Comment se définiraient-ils s'il n'existait ni religion 'populaire', ni croyance ici bas envers aucune déité?
J'ai comme l'impression (certaine finalement) que la plupart d'entre eux, se revendiquant "athées", usent abondamment de leur anti-religiosité dans la simple optique de masquer leurs propres torts, leur propre vileté qui très souvent crève plus profondément les yeux que celle de nombreux croyants 'populaires' (chrétiens & musulmans).
Tout comme ces féministes -finalement- qui, sous prétexte de lutte contre la misogynie, vont pouvoir masquer leur très profonde misandrie. Ou tout comme les anti-lepeniste, qui sous prétexte d'anti-intolérance, vont couvrir leur plus profonde haine, leur plus profond mépris pour leurs confrères. Toujours le même schéma finalement, et énormément de falsificateurs fonctionnent de la sorte en réalité : il y a ce masque brandi de prétendue révolte contre une immoralité afin de se couvrir de son propre penchant amoral, très souvent plus atroce.
Et l'athéisme c'est probablement ça, c'est un terme d'abord fabriqué en fonction de l'anti-religiosité, donc en faveur d'une pseudo-grandeur qui cache en réalité toute la perversité des idéologies relativistes, nihilistes, orientées à l'encontre des barrières et frontières établies par les générations précédentes en faveur d'un bien commun, d'une vie spirituelle saine pour tout à chacun.
Il n'est pas question de défendre farouchement, par ma démonstration, les personnes se targuant de leur étiquette de 'musulman' ou de 'chrétien', ni de défendre les dogmes les accompagnant, mais plutôt de défendre (encore une fois) le principe très simple de moralité et de dualité morale. (C'est-à-dire le fait de renoncer, de s'imposer des délimitations ou des frontières personnelles au nom de ce qui est universellement juste) En combattant la notion d'athéisme (communément admise) je ne combats pas l'anti-religiosité, mais plutôt cette pseudo-neutralité qui ne cache en réalité que le consensus de la masse en faveur de la défectuosité et de l'immoralité, bien plus profond que celui partiellement combattu dans les théocraties (musulmanes par exemple)
Un certain nombre de croyants (malgré leur reprochabilité, relative à chacun) détiennent à l'heure actuelle une plus forte légitimité en matière de principes moraux, face au nombre de plus en plus croissant de pseudo-êtres rationnels se fourvoyant dans la fuite en avant, la corruption et le dévergondage. C'est évident. Et généralement, ces mêmes se targuent de leur athéisme, par couverture, c'est notoire.
Ce qui est aussi notoire, c'est que la destruction des monothéismes n'est ni garante de paix entre les hommes, ni garante de vivre-ensemble, TANT QUE les hommes ne sauront pas faire preuve par eux-même de RENONCEMENTS.
Tandis que le christianisme est en grande partie en voie d'extinction sur le sol français, on ne constate que de la dépravation partout, l'injustice bat son plein, aucune autorité supérieure ne sévit concrètement contre les plus vils, contre l'élite démoniaque en particulier, l'Ordre est dès lors incontestablement Immoral.
Je pourrai me faire des ennemis ici. Mais : le fait de se revendiquer chrétien, athée ou musulman auprès d'un ou plusieurs interlocuteurs n'est qu'un décorum de couverture. (Je me revendiquais chrétien durant une période, je l'admets, et je me suis finalement détaché du dogme avec satisfaction, désolé si j'entache les concernés mais bon) De mon côté je ne fais que défendre ce principe de dualité : celui des personnes sur la voie de l'élévation et des autres sur les pentes infinies de la bassesse.
J'ai comme l'impression (certaine finalement) que la plupart d'entre eux, se revendiquant "athées", usent abondamment de leur anti-religiosité dans la simple optique de masquer leurs propres torts, leur propre vileté qui très souvent crève plus profondément les yeux que celle de nombreux croyants 'populaires' (chrétiens & musulmans).
Tout comme ces féministes -finalement- qui, sous prétexte de lutte contre la misogynie, vont pouvoir masquer leur très profonde misandrie. Ou tout comme les anti-lepeniste, qui sous prétexte d'anti-intolérance, vont couvrir leur plus profonde haine, leur plus profond mépris pour leurs confrères. Toujours le même schéma finalement, et énormément de falsificateurs fonctionnent de la sorte en réalité : il y a ce masque brandi de prétendue révolte contre une immoralité afin de se couvrir de son propre penchant amoral, très souvent plus atroce.
Et l'athéisme c'est probablement ça, c'est un terme d'abord fabriqué en fonction de l'anti-religiosité, donc en faveur d'une pseudo-grandeur qui cache en réalité toute la perversité des idéologies relativistes, nihilistes, orientées à l'encontre des barrières et frontières établies par les générations précédentes en faveur d'un bien commun, d'une vie spirituelle saine pour tout à chacun.
Il n'est pas question de défendre farouchement, par ma démonstration, les personnes se targuant de leur étiquette de 'musulman' ou de 'chrétien', ni de défendre les dogmes les accompagnant, mais plutôt de défendre (encore une fois) le principe très simple de moralité et de dualité morale. (C'est-à-dire le fait de renoncer, de s'imposer des délimitations ou des frontières personnelles au nom de ce qui est universellement juste) En combattant la notion d'athéisme (communément admise) je ne combats pas l'anti-religiosité, mais plutôt cette pseudo-neutralité qui ne cache en réalité que le consensus de la masse en faveur de la défectuosité et de l'immoralité, bien plus profond que celui partiellement combattu dans les théocraties (musulmanes par exemple)
- Il n'empêche de toute façon que :
Un certain nombre de croyants (malgré leur reprochabilité, relative à chacun) détiennent à l'heure actuelle une plus forte légitimité en matière de principes moraux, face au nombre de plus en plus croissant de pseudo-êtres rationnels se fourvoyant dans la fuite en avant, la corruption et le dévergondage. C'est évident. Et généralement, ces mêmes se targuent de leur athéisme, par couverture, c'est notoire.
Ce qui est aussi notoire, c'est que la destruction des monothéismes n'est ni garante de paix entre les hommes, ni garante de vivre-ensemble, TANT QUE les hommes ne sauront pas faire preuve par eux-même de RENONCEMENTS.
Tandis que le christianisme est en grande partie en voie d'extinction sur le sol français, on ne constate que de la dépravation partout, l'injustice bat son plein, aucune autorité supérieure ne sévit concrètement contre les plus vils, contre l'élite démoniaque en particulier, l'Ordre est dès lors incontestablement Immoral.
Je pourrai me faire des ennemis ici. Mais : le fait de se revendiquer chrétien, athée ou musulman auprès d'un ou plusieurs interlocuteurs n'est qu'un décorum de couverture. (Je me revendiquais chrétien durant une période, je l'admets, et je me suis finalement détaché du dogme avec satisfaction, désolé si j'entache les concernés mais bon) De mon côté je ne fais que défendre ce principe de dualité : celui des personnes sur la voie de l'élévation et des autres sur les pentes infinies de la bassesse.
Dernière édition par TrillyGR le 20/12/2013, 23:50, édité 4 fois