.
Voir l'invisible
les convictions que nombre d'entre nous portent et défendent, ne sont pas que simples croyances.
Pour les adeptes des trois proportions étriques de la physique, il est communément difficile d'imaginer d'autres dimensions supplémentaire à l'espace, mais le monde n'est ni ce qu'on nous en dit ni ce qu'il apparaît à notre échelle.
Il suffit de se hisser au plan des galaxies pour se rendre compte que les perceptions varient assez vite, non pas que nos sens acquirent subitement à ces altitudes des facultés qu'elles n'avaient pas auparavant ; mais continuant à faire usage des mêmes outils habituels à notre bon sens et nous faisant nous-même juge de ce que nous abordons du haut de ce promontoire, notre champ d'observation s’élargit au-delà de ce qui nous est coutumier nous finissons par percevoir l'invisible.
L'astronomie est une science qui repose principalement sur l'observation et rien d'autre! Le reste des techniques et technologies qui la soutiennent ne font que venir en appuie à cette observation.
Ne croyez à aucun moment que ce qui est reproduire ici ait pu échapper aux mentors de cette branche. La science carrée, affectant la rigueur ne se résigne à admettre que ce qui est déjà popularisé, sa « bien-pensance » lui interdit de relever tout ce qui serait susceptible de bouleverser l'ordre des doctrines établies et la conduit à écarter ce qui conforterait ou affirmerait l'intuitif collectif.
Aussi invitons-nous sur cette petite parcelle de notre galaxie qui doit faire à peu près: 25 000 années lumière de large et
Constatons comment s’étale le tissu filandreux de la matière pour former un plan étendu et profusément ramifié.
La question est qu'est ce qui fait qu'il épouse cette forme de nappe aplatie, parcouru ça et là de vagues et de creux ?
Tout en nous situons en son centre on s’apprête à regarder vers la droite sur l'image à l’endroit où se rencontre cette crête du nuage interstellaire du double amas de Persée se trouvant à quelques 7000 années lumière de nous.
Nous redoublons de concentration à cette endroit précis, au travers du centre de ce regroupement d’étoiles de notre galaxie la Voie Lacté, le télescope à rayons X Chandra de la nasa traverse pour nous le temps et nous embarque jusqu'au rives de l'expansion en cours d'un nuage gazeux situé au bord d'un autre autre monde opposé à la verticale du notre se trouvant à une distance éloigné de 240 millions d'années lumière.
C'est dire qu'au travers de notre monde nous pouvons observer d'autres où l'on distingue une multitude de galaxies autre que la notre. Celle qui nous intéresse est la NGC884 et elle est en train de traverser une immense nébuleuse gazeuse embrasé des suite d'une Giga explosion.
La galaxie NGC884 est la petite tache allongé en bleu sur l'image au rayons X, on aperçoit son noyau galactique plus brillant au centre, finalement c'est ce noyau centrale qui éclaire cet immense nuage de gaz et de poussiere.
Ce qui fait songer à d'autres mondes est le fait que les galaxie se placent sur des plans ou pour être plus concis : des nappes successives qui s’échelonnent en vastes réseaux de tissus entrelacés de matière.
L’épaisseur de chaque couche dépassant rarement les 2 000 années lumière en son point le plus haut, à l'emplacement des noyaux galactiques. Par contre ces couches peuvent être sépare par plus de 100 000 voir des millions d'années lumière les unes des autres.
Ce qui nous intéresse en cette bulle de gaz incendié, est qu'elle se trouve au bord de l'une de ces couches et que celle ci coupe notre horizon dans un plan perpendiculaire au notre puisqu'on la voit à la verticale.
Cette position aurait put être confondu avec des captures d'en dessous ou d'en dessus, mais là le sens de l’observation fait face au prolongement du disque de notre voie lactée, regardant au travers du centre du groupement d’étoiles nommé Percée le reliquat de l'explosion d'une Méga-supernovæ qui se trouvait au-delà de la distance de 240 millions d'a.l.
Seulement voilà, toute explosion dans le vide devrait normalement rayonner en boule de feu dans les 360° tout azimut et la sphère résiduelle de ses gaz toujours ardents, devrait présenter une bulle vibrante complètement fermé ; or celle-ci comme d'autres dans son cas reste incommodément ouverte de deux cotés, laissant transparaître derrière son centre la profondeur de l'espace.
Ce nuage écumant se répand en succession de vagues qui dessinent des anses partant en trois directions principales restant jointe sous forme de trèfle qui s’étale uniquement en largeur.
C'est plus embrassant que surprenant, le chevauchement même des vagues fronces, témoignant de la présence dans un espace supposé vide d'une résistance opposée à la propagation qui ne devrait pas être là !
L'extension de l'explosion à de beaucoup progressé en largeur qu'elle ne l'a fait en hauteur ou profondeur ! On ne peut passer devant cette constatation sans essayer de la comprendre, d'autant qu'elle se répète dans plusieurs cas des explosions de supernovæ !
Que le nuage résiduelle de l'explosion d'une supernovæ (donc une étoile) soit plus grand qu'une galaxie est assez remarquable en soit.
Celui-ci est si démesuré qu'il obstrue l’horizon sur plus d'un million d'années lumière de diamètre devant la galaxie NGC884 qui avance pour traverser son son centre ; toute l’étendue de notre galaxie, la voie lactée, n’excède pas 70 000 a.l. !
On ne peut non plus manquer de mentionner la diamétrale déchirure de cette conflagration à laquelle manque la partie couvrante du dôme nébuleux des gaz qui semble avoir totalement disparu alors que le reste présent du disque latérale continue de se déployer !
Plus étrange, les bords en crêtes des ourlets lissés qu'ondulent les vagues à des millier de degrés de température et qui au vu de la taille de la détonation doivent produire des poussés d’une énergie inimaginable, semblent ployer et se polir au frottement d'une lisière invisible, souple en même temps qu'infranchissable !
Cette lisière inapparente que paraissent épouser les rebords du disque en dispersion marque les limites du plan ou nappe où évolue le tissu vertical qui traverse le notre.
Au même temps que se pressente devant nous et avant cette nappe verticale un épais mur invisible décelable par la prodigieuse compression qu'il imprime à la couche dressée à notre front.
C'est à dire que partout nous somme sépare de ce que nous pouvons voir par des champs invisibles.
Notre vision perçois l’inverse de la réalité, pour mieux saisir l'ampleur du phénomène on regardera la vrai photographie au rayon X et non son négatif qui nous est présenté.
On réalise alors que ce qu'on prenait jusque-là pour être la majeur expression physique de l'explosion, malgré son million d'années lumière d’extensions, n'est au fait que l'évanescence des minces nuées gazeuses négligées tel des oripeaux sur les rives d'un immense trou par la métamorphose de la substance de la supernovæ en autre chose qui à migré ailleurs ; de cette ailleurs imperceptible et inconsistant pour notre dimension, l'excavation qui nous apparaît n'est qu'un bossage.
Hormis toutes transformations la matière ne peut réellement disparaître, il faut donc bien qu'elle soit quelque part !
Si nous pouvions voir la consistance de cet épais mur invisible qui nous sépare du plan regardé, nous verrions l'essence de l'étoile mutante se fondre à son nouvel élément, et là réapparaîtrait le dôme manquant à la couche du plan visible.
D'ailleurs la page, du site électronique dédié au télescope à rayon X Chandra, qui relate cette nébuleuse, signale dans cette zone la mystérieuse présence d’émission élevé de radiation X alors qu'il n'y a aucune source apparente à leur
diffusion !
http://chandra.harvard.edu/photo/2014/perseus/
Ils ont timidement oser évoquer la matière noir, or la matière dite sombre ou noir, n'est ni l'un ni l'autre mais est invisible ; ceux qui la qualifient d'antimatière sont plus près de sa description scientifique et physique*.
Lorsqu'une super étoile fini par fusionner l'ensemble de sa masse d'hydrogène en hélium, il résulte de cette réaction thermonucléaire une extrême extension de l’étoile hors de l'environnement spatial qu'elle occupait auparavant.
Comme le plan d'un tissu de matière ne dépasse que rarement les deux mille a.l. d'épaisseur, celle dont le diamètre de dilatation excède en hauteur cette limite, trouve ses parties qui dépassent du haut et du dessous fichées dans les couches invisibles. Mais qu'est ce qui fait qu'elle devienne elle même invisible ?
Que personne ne dise qu'elle s'est transformé en la médiocre nébuleuse gazeuse que nous percevons !
Et la prodigieuse énergie qui a résulté de cette extraordinaire réaction ? S'est-elle dissipée dans l'univers se propageant ?
Tout le monde sait aujourd'hui que la matière et l’énergie sont une même chose, juste transformé.
La science nous apprend qu'au début de la création au cours du big-bang, l’élément primordial s'est séparé en 4% de matière et 96% d’antimatière et que depuis lorsque la matière entre en contact avec l’antimatière ceux-ci disparaissent tous deux !...
On comprend alors peut être un peu mieux les restes étalés en disque des supernovæ et aussi la séparation des éléments en matière et antimatière, mais on ne comprend pas du tout pourquoi les scientifiques refusent-ils à reconnaître que l'univers qui est fait de matière et d’antimatière soit séparé en couches intercalés des différentes composantes de cet élément primordial, tel l'a prédit le physicien russe Andrej Zakharov et décrit le scientifique Français, Jean Pierre Petit, dans ses univers gémellaires (dont d'ailleurs la carrier a été ruiné après cette déclaration) !
Bien, entre monde scientifique et publique on assiste à un statu quo tacite de la reconnaissance d'une division de l'univers en ces deux élément, dont l'un est visible alors que l'autre non , ce qui au fait en font deux univers et non plus un seul !
Mais si on admet qu'il y en a deux, qu'est ce qui nous garantie qu'il n'y en a pas plus ?
Justement, l'examen minutieux de la même image nous laisse voir qu'en plus d’être situé sur un plan opposé verticalement au notre, les poussières nappant ce soufflet des gaz résiduels marquent plusieurs plis sécants autour
desquels s'articulent d'autres plans traversants les feuillets déjà mis en évidence.
Ainsi en on voit supplémentairement (ici en bleu) un verticale, perpendiculaire coupant les deux grande pétales de l’auréole et un second (en jaune sur l'image) perpendiculaire, horizontal fendant en deux la petite corolle du centre.
Revenant aux trois grandes pétales périphériques, on les voit elles même traversés pareillement d'autres plans verticaux obliques plongeants qui rétrécissent tous à l'instant de dévaler un invisible goulot !
Regardez ce même type de goulot au centre de cette galaxie irisée !
Nous avons l'extraordinaire opportunité de voir par la fin de vie de certaines grandes supernovæ, leurs cendres encore animés des forces de précipitation, surprendre et figer ces nappes le temps que ces expansions demeurent récente, car plus tard les nuages conséquents s’effilochent en nébuleuses difformes avant de ployer et redonner naissance a de plus petites étoiles.
Les explosions de supernovæ les plus imposantes ouvrent donc ces fenêtres sur la multidimensionalité du Multivers.
Pourtant la saisissante simultanéité de cette imbrication de de plans croisés tout azimut, n'est nullement une récente découverte de la science, puisqu'elle se trouve depuis la moitie du siècle dernier déjà conceptualisée par la physique quantique dans sa théorie des cordes.
On peut donc dire avec certitude que même s'ils restent loin d’avoir déchiffré leurs profondes propriétés, la physique et l'astronomie ont déjà échancrée le voile de l'horizon sur beaucoup de ce qui était ignoré au seuil de la la métaphysique des multiplicités dimensionnelles, et que si la science persiste à maintenir l'opacité sur ce sujet, c'est pour laisser les majorités continuer à penser que les convictions traditionnelles que nombres véhiculent et défendent, ne seraient que simples croyances.
Autant l'indestructible et prodigieuse énergie des étoiles passe d'une dimension à l'autre au terme de leurs précieux services et séjours en la notre, autant nos immortelles âmes font de même.
27/7/14 assiwan
.
Voir l'invisible
les convictions que nombre d'entre nous portent et défendent, ne sont pas que simples croyances.
Pour les adeptes des trois proportions étriques de la physique, il est communément difficile d'imaginer d'autres dimensions supplémentaire à l'espace, mais le monde n'est ni ce qu'on nous en dit ni ce qu'il apparaît à notre échelle.
Il suffit de se hisser au plan des galaxies pour se rendre compte que les perceptions varient assez vite, non pas que nos sens acquirent subitement à ces altitudes des facultés qu'elles n'avaient pas auparavant ; mais continuant à faire usage des mêmes outils habituels à notre bon sens et nous faisant nous-même juge de ce que nous abordons du haut de ce promontoire, notre champ d'observation s’élargit au-delà de ce qui nous est coutumier nous finissons par percevoir l'invisible.
L'astronomie est une science qui repose principalement sur l'observation et rien d'autre! Le reste des techniques et technologies qui la soutiennent ne font que venir en appuie à cette observation.
Ne croyez à aucun moment que ce qui est reproduire ici ait pu échapper aux mentors de cette branche. La science carrée, affectant la rigueur ne se résigne à admettre que ce qui est déjà popularisé, sa « bien-pensance » lui interdit de relever tout ce qui serait susceptible de bouleverser l'ordre des doctrines établies et la conduit à écarter ce qui conforterait ou affirmerait l'intuitif collectif.
Aussi invitons-nous sur cette petite parcelle de notre galaxie qui doit faire à peu près: 25 000 années lumière de large et
Constatons comment s’étale le tissu filandreux de la matière pour former un plan étendu et profusément ramifié.
La question est qu'est ce qui fait qu'il épouse cette forme de nappe aplatie, parcouru ça et là de vagues et de creux ?
Tout en nous situons en son centre on s’apprête à regarder vers la droite sur l'image à l’endroit où se rencontre cette crête du nuage interstellaire du double amas de Persée se trouvant à quelques 7000 années lumière de nous.
Nous redoublons de concentration à cette endroit précis, au travers du centre de ce regroupement d’étoiles de notre galaxie la Voie Lacté, le télescope à rayons X Chandra de la nasa traverse pour nous le temps et nous embarque jusqu'au rives de l'expansion en cours d'un nuage gazeux situé au bord d'un autre autre monde opposé à la verticale du notre se trouvant à une distance éloigné de 240 millions d'années lumière.
C'est dire qu'au travers de notre monde nous pouvons observer d'autres où l'on distingue une multitude de galaxies autre que la notre. Celle qui nous intéresse est la NGC884 et elle est en train de traverser une immense nébuleuse gazeuse embrasé des suite d'une Giga explosion.
La galaxie NGC884 est la petite tache allongé en bleu sur l'image au rayons X, on aperçoit son noyau galactique plus brillant au centre, finalement c'est ce noyau centrale qui éclaire cet immense nuage de gaz et de poussiere.
Ce qui fait songer à d'autres mondes est le fait que les galaxie se placent sur des plans ou pour être plus concis : des nappes successives qui s’échelonnent en vastes réseaux de tissus entrelacés de matière.
L’épaisseur de chaque couche dépassant rarement les 2 000 années lumière en son point le plus haut, à l'emplacement des noyaux galactiques. Par contre ces couches peuvent être sépare par plus de 100 000 voir des millions d'années lumière les unes des autres.
Ce qui nous intéresse en cette bulle de gaz incendié, est qu'elle se trouve au bord de l'une de ces couches et que celle ci coupe notre horizon dans un plan perpendiculaire au notre puisqu'on la voit à la verticale.
Cette position aurait put être confondu avec des captures d'en dessous ou d'en dessus, mais là le sens de l’observation fait face au prolongement du disque de notre voie lactée, regardant au travers du centre du groupement d’étoiles nommé Percée le reliquat de l'explosion d'une Méga-supernovæ qui se trouvait au-delà de la distance de 240 millions d'a.l.
Seulement voilà, toute explosion dans le vide devrait normalement rayonner en boule de feu dans les 360° tout azimut et la sphère résiduelle de ses gaz toujours ardents, devrait présenter une bulle vibrante complètement fermé ; or celle-ci comme d'autres dans son cas reste incommodément ouverte de deux cotés, laissant transparaître derrière son centre la profondeur de l'espace.
Ce nuage écumant se répand en succession de vagues qui dessinent des anses partant en trois directions principales restant jointe sous forme de trèfle qui s’étale uniquement en largeur.
C'est plus embrassant que surprenant, le chevauchement même des vagues fronces, témoignant de la présence dans un espace supposé vide d'une résistance opposée à la propagation qui ne devrait pas être là !
L'extension de l'explosion à de beaucoup progressé en largeur qu'elle ne l'a fait en hauteur ou profondeur ! On ne peut passer devant cette constatation sans essayer de la comprendre, d'autant qu'elle se répète dans plusieurs cas des explosions de supernovæ !
Celui-ci est si démesuré qu'il obstrue l’horizon sur plus d'un million d'années lumière de diamètre devant la galaxie NGC884 qui avance pour traverser son son centre ; toute l’étendue de notre galaxie, la voie lactée, n’excède pas 70 000 a.l. !
On ne peut non plus manquer de mentionner la diamétrale déchirure de cette conflagration à laquelle manque la partie couvrante du dôme nébuleux des gaz qui semble avoir totalement disparu alors que le reste présent du disque latérale continue de se déployer !
Plus étrange, les bords en crêtes des ourlets lissés qu'ondulent les vagues à des millier de degrés de température et qui au vu de la taille de la détonation doivent produire des poussés d’une énergie inimaginable, semblent ployer et se polir au frottement d'une lisière invisible, souple en même temps qu'infranchissable !
Cette lisière inapparente que paraissent épouser les rebords du disque en dispersion marque les limites du plan ou nappe où évolue le tissu vertical qui traverse le notre.
Au même temps que se pressente devant nous et avant cette nappe verticale un épais mur invisible décelable par la prodigieuse compression qu'il imprime à la couche dressée à notre front.
C'est à dire que partout nous somme sépare de ce que nous pouvons voir par des champs invisibles.
Notre vision perçois l’inverse de la réalité, pour mieux saisir l'ampleur du phénomène on regardera la vrai photographie au rayon X et non son négatif qui nous est présenté.
Hormis toutes transformations la matière ne peut réellement disparaître, il faut donc bien qu'elle soit quelque part !
Si nous pouvions voir la consistance de cet épais mur invisible qui nous sépare du plan regardé, nous verrions l'essence de l'étoile mutante se fondre à son nouvel élément, et là réapparaîtrait le dôme manquant à la couche du plan visible.
diffusion !
http://chandra.harvard.edu/photo/2014/perseus/
Ils ont timidement oser évoquer la matière noir, or la matière dite sombre ou noir, n'est ni l'un ni l'autre mais est invisible ; ceux qui la qualifient d'antimatière sont plus près de sa description scientifique et physique*.
Lorsqu'une super étoile fini par fusionner l'ensemble de sa masse d'hydrogène en hélium, il résulte de cette réaction thermonucléaire une extrême extension de l’étoile hors de l'environnement spatial qu'elle occupait auparavant.
Comme le plan d'un tissu de matière ne dépasse que rarement les deux mille a.l. d'épaisseur, celle dont le diamètre de dilatation excède en hauteur cette limite, trouve ses parties qui dépassent du haut et du dessous fichées dans les couches invisibles. Mais qu'est ce qui fait qu'elle devienne elle même invisible ?
Que personne ne dise qu'elle s'est transformé en la médiocre nébuleuse gazeuse que nous percevons !
Et la prodigieuse énergie qui a résulté de cette extraordinaire réaction ? S'est-elle dissipée dans l'univers se propageant ?
Tout le monde sait aujourd'hui que la matière et l’énergie sont une même chose, juste transformé.
La science nous apprend qu'au début de la création au cours du big-bang, l’élément primordial s'est séparé en 4% de matière et 96% d’antimatière et que depuis lorsque la matière entre en contact avec l’antimatière ceux-ci disparaissent tous deux !...
On comprend alors peut être un peu mieux les restes étalés en disque des supernovæ et aussi la séparation des éléments en matière et antimatière, mais on ne comprend pas du tout pourquoi les scientifiques refusent-ils à reconnaître que l'univers qui est fait de matière et d’antimatière soit séparé en couches intercalés des différentes composantes de cet élément primordial, tel l'a prédit le physicien russe Andrej Zakharov et décrit le scientifique Français, Jean Pierre Petit, dans ses univers gémellaires (dont d'ailleurs la carrier a été ruiné après cette déclaration) !
Bien, entre monde scientifique et publique on assiste à un statu quo tacite de la reconnaissance d'une division de l'univers en ces deux élément, dont l'un est visible alors que l'autre non , ce qui au fait en font deux univers et non plus un seul !
Mais si on admet qu'il y en a deux, qu'est ce qui nous garantie qu'il n'y en a pas plus ?
Justement, l'examen minutieux de la même image nous laisse voir qu'en plus d’être situé sur un plan opposé verticalement au notre, les poussières nappant ce soufflet des gaz résiduels marquent plusieurs plis sécants autour
desquels s'articulent d'autres plans traversants les feuillets déjà mis en évidence.
Revenant aux trois grandes pétales périphériques, on les voit elles même traversés pareillement d'autres plans verticaux obliques plongeants qui rétrécissent tous à l'instant de dévaler un invisible goulot !
Regardez ce même type de goulot au centre de cette galaxie irisée !
Galaxie irisée
Nous avons l'extraordinaire opportunité de voir par la fin de vie de certaines grandes supernovæ, leurs cendres encore animés des forces de précipitation, surprendre et figer ces nappes le temps que ces expansions demeurent récente, car plus tard les nuages conséquents s’effilochent en nébuleuses difformes avant de ployer et redonner naissance a de plus petites étoiles.
Les explosions de supernovæ les plus imposantes ouvrent donc ces fenêtres sur la multidimensionalité du Multivers.
Pourtant la saisissante simultanéité de cette imbrication de de plans croisés tout azimut, n'est nullement une récente découverte de la science, puisqu'elle se trouve depuis la moitie du siècle dernier déjà conceptualisée par la physique quantique dans sa théorie des cordes.
On peut donc dire avec certitude que même s'ils restent loin d’avoir déchiffré leurs profondes propriétés, la physique et l'astronomie ont déjà échancrée le voile de l'horizon sur beaucoup de ce qui était ignoré au seuil de la la métaphysique des multiplicités dimensionnelles, et que si la science persiste à maintenir l'opacité sur ce sujet, c'est pour laisser les majorités continuer à penser que les convictions traditionnelles que nombres véhiculent et défendent, ne seraient que simples croyances.
Autant l'indestructible et prodigieuse énergie des étoiles passe d'une dimension à l'autre au terme de leurs précieux services et séjours en la notre, autant nos immortelles âmes font de même.
27/7/14 assiwan
.
Dernière édition par assiwan le 10/8/2014, 22:42, édité 1 fois