Quelques vérités sur l’autisme, l’hypo/hyperactivité et les problèmes scolaires... PARLONS EN !
Source PDF: http://www.hyperactif.net/images/Hyperactivite_brochure.pdf
Un ensemble de recherches scientifiques sur des problèmes graves
de la santé et du comportement de nos enfants et la répercussion à
l’adolescence et dans leur vie d’adulte.
Quand on parle de troubles comme: hypo - hyperactivité, problèmes
scolaires, inattention, dyslexie, humeur changeante, violence,
dépression juvénile, manque de confiance en allant en s’accentuant
jusqu’à divers troubles autistiques des plus sévères, accompagnés de
problèmes physiques:
Les psychologues vont aller rechercher les causes dans des problèmes
d’ordre psychique et relationnel, non résolus...!
La médecine conventionnelle va au contraire, apporter une réponse
médicamenteuse, en sachant pertinemment que les amphétamines
qui sont ordonnées à ces enfants et à ces adolescents ne sont pas des
bonbons et que peut-être à la longue...!
Pourtant l’axe de la perturbation biologique est passée sous silence
durant toutes ces années volontairement, mise sous une chape de plomb
et gardée secrète pour bien des raisons... !
L’hyperactivité / THADA
L’hyperactivité est un trouble du comportement de plus en plus
répandu. Un enfant hyperactif se reconnaît à son énergie débordante, à
son agitation, il est sujet à des crises de colère prolongées et régulières,
ainsi qu’une nervosité à fleur de peau. Chez ceux dont l’hyperactivité
est débordante: risque de délinquance.
Ils ont un seuil très bas à la frustration, une mauvaise image d’eux-
mêmes, des tendances à la dépression et d’énormes difficultés à travailler
régulièrement. Ils sont aussi peu structurés, ont tendance à repousser
au lendemain (quand ce n’est pas aux calandes grecques) leurs tâches
quotidiennes qui paraissent alors trop lourdes...
Et encore nous pourrions ajouter d’autres symptômes à ceux de la
longue litanie des symptômes qui compliquent leur vie à souhait depuis
la tendre enfance.
Nous savons de par notre expérience personnelle, qu’il est difficile de
vivre avec un enfant souffrant de ces syndromes, tant au niveau familial
qu’au niveau de l’entourage. Parents, amis, voisins, maîtres ou maîtresses
d’école faisant souvent preuve d’incompréhension et d’intolérance, les
familles se trouvent seules et démunies pour affronter leurs problèmes.
Avec un sévère déficit de l’attention, sans pour
autant être hyperactifs
Ces enfants-là ont souvent une intelligence supérieure et manifestent
cependant un défaut de l’attention voire un manque de concentration,
parfois responsable d’échec scolaire sans pour autant être hyperactif.
Des fois même, certains sont hypo actif.
Cette perturbation se déclare chez les enfants de moins de quatre ans,
mais c’est leur développement qui risque d’être perturbé.
Cela risque de créer à la fin qu’un individu marginalisé, au bagage
scolaire insuffisant, ses symptômes passant souvent inaperçus jusqu’à
la scolarité. Il est rare qu’un enfant atteint de ce syndrome termine
facilement une formation universitaire.
Certains d’entre eux pouvant laisser croire que ce n’est somme toute pas
si gênant de vivre avec un déficit d’attention.
Pourtant, souvent ils reviennent de loin. Ils risquent quelquefois d’être
anéantis par une sévère dépression, qui va leur bouffer leur vie et surtout
les plus belles années de leur enfance ou adolescence.
Ces dépressions
vont souvent rendre les études et les apprentissages excessivement
difficiles, dans tous les sens du terme, avant de les rendre franchement
impossibles.
Ce n’est qu’à force de ténacité et en payant le prix fort qu’ils finissent
pour certains, par réussir à la fac ou dans leurs apprentissages et
effectivement dans leur vie. Comme quoi l’entêtement, est un trait
de caractère qui accompagnant typiquement le THADA, a aussi ses
avantages!
A la hauteur de l’effort C’est aussi ça... !
Ils peuvent braver le jugement hâtif de presque tout leur entourage qui
affirme ou décrètent carrément qu’ils ne sont pas à la hauteur de leurs
ambitions et les autres, leur prêtent tout de même quelques dispositions,
tout cela uniquement pour pouvoir prouver ce dont ils sont capables !
Avoir un THADA (hyperactif), c’est se voir conseiller de toutes parts,
que l’on soit demandeur ou non, et pas toujours dans le sens de ses
intérêts!
Difficile de ne pas ressentir de la colère devant tant de «personnes
qui nous veulent du bien» et nous jugent sur des critères si normatifs.
Certains refusent de se plier et ils vont mettre toute leur énergie dans
leurs études, ou apprentissages au détriment des autres expériences
normales de la vie d’enfants ou de jeunes adultes qu’ils sont. Pour ça, ils
vont ne pas lésiner sur les moyens et vont se servir de leur impulsivité et
de leur intuition, autres caractéristiques parfois bienvenues.
Les adultes hyperactifs / THADA
Difficile de reconnaître une maladie chez des adultes qui présentent des
symptômes qui apparaissent chez Monsieur Tout Le Monde. Seuls les
critères de fréquence et d’intensité de ces comportements permettent
d’opérer une distinction entre le normal (tel que cela pourrait être le cas
d’un adulte qui a tendance à travailler au dernier moment et qui est peu
organisé) et le pathologique (un adulte hyperactif - THADA, pour
qui s’organiser et accomplir les simples tâches de la vie quotidienne
dans des délais raisonnables relève, à peu de choses près, de la science-
fiction !)
Ils ignorent aussi que l’étourderie, et les fréquents retards, les difficultés
d’organisation, la difficulté de se lever le matin et d’affronter la vie
de tous les jours, leur humeur changeante et les capacités de travail
fluctuante et en retour des fait, douter d’eux même ce
qui les fait déprimer. Un véritable cercle vicieux certes gênant, en
lien avec le reste des symptômes.
Ils s’étonnent juste de réaliser qu’ils conservent les symptômes qui vont
se majorer au plus fort de leur dépression !
Rétrospectivement, (bien que de moins en moins dépressifs ils se rendent
compte que les maintes expériences négatives vécues lors de l’enfance,
expériences provoquées par leur déficit d’attention) ils n’ont jamais
osé penser que ces symptômes, de même que les coups de déprime et
les perturbations qu’ils se sont attribués suite à leurs premiers échecs
proviennent en bonne partie d’un manque de bon fonctionnement
neurobiochimique des neurotransmetteurs! ...
Comme quoi les erreurs de parcours, aussi involontaires soient-elles, se paient parfois
cher et très longtemps! Je ne cherche pas à dénigrer le travail
des psychologues, mais ils ne vont tout simplement pas penser que ces adultes
puissent souffrir d’un déficit d’attention, (avec ou sans hyperactivité) ayant un lien
biochimique bien précis. Vous pouvez croire, que chez
certains, les longues p s y c h o t h é r a p i e s
entreprises ont certes quelque peu aidé à dépasser les échecs
attribués à un auto sabotage, ce qui a pu
légèrement améliorer le peu d’estime qu’ ils se portent.
Certains, plus sûr d’eux, ont le besoin de rattraper
le temps perdu en déprime! Ils apprennent à se servir de leur potentiel et développent les qualités propres à ceux qui ont un THADA: l’intuition, la créativité et
l’originalité. Ils apprennent aussi à donner l’impression, à l’extérieur, de
bien fonctionner, ce qui est nécessaire pour leur crédibilité, pour leur
permettre de se lancer dans des domaines inconnus.
Les rares bons thérapeutes vont tout de même pour certains les aider à
traverser bien des tempêtes, et à construire patiemment une meilleure
image d’eux-mêmes! Car cela va les aider à ouvrir des horizons nouveaux
Ils peuvent donner l’impression d’être bien accomplis au regard des
objectifs de la société grâce à leur réussite professionnelle.
Hyperactivité / THADA sont des troubles neurobiochimiques ?
Comment expliquerions-nous sinon, à la lueur d’un seul facteur
psychique, qu’une amphétamine – et d’autres excitants, à l’instar
du café – puissent apaiser les personnes Hyperactives THADA,
sur lesquelles, en revanche, les calmants exercent une action sur
stimulatrice? Comment expliquer, de même, que l’ingestion d’aliments
qui contiennent certaines substances, parviennent à interférer sur le
bon fonctionnement du cerveau des personnes et leur fassent perdre
tout contrôle d’eux-mêmes?
Devant un problème de santé publique d’une telle ampleur, depuis
quelques années, des scientifiques révoltés soulèvent cette chape de
plomb et nous donnent accès à diverses informations et cela nous
permet de pouvoir dissiper, nous parents, tant de problèmes physiques
et psychiques et aussi des malentendus qui nous font passer encore pour
des irresponsables...!
Grâce au courage et aux études de ces scientifiques, la vérité commence
enfin à faire surface.
Afin de bien comprendre, je vous propose un résumé d’un article paru
dans le journal Rolling Stone du 30 juin 2005 «ROBERT F. KENNEDY
JR. est l’un des environnementalistes au sommet de son pays et il est
Président du Waterkeeper Alliance. Son récit «Crimes contre la nature»
a paru dans Rolling Stone 937»
Robert F. Kennedy Jr. se bat avec le Prof. Boyd Halley, épidémiologiste,
pour porter à notre connaissance le plus grand scandale des annales de
la médecine, scandale qui nous concerne tous sur les graves atteintes
neurologiques (retard de la parole, retard mental) sur l’hyperactivité
et l’augmentation de l’autisme. Pathologies causées par le mercure
(Thimérosal ou Thiomersal) présent comme conservateur dans les
vaccins depuis 1931.
Le scandale se produit lors de la réunion de Simpson Wood en présence
de scientifiques travaillant pour les sociétés pharmaceutiques, la FDA et
l’OMS, qui consacrèrent deux jours de réunion pour discuter comment
cacher l’augmentation dramatique de l’autisme (augmentation de 700%
dans le début des années 90).
On assiste alors à toutes les stratégies les plus viles et les plus basses
pour contrecarrer l’étude d’un épidémiologiste qui n’a pas pu se taire
et qui, fort de ses statistiques à l’appui, a révélé le pot aux roses (une
autre étude faite par Lily Pharma mentionne que le mercure sous forme
de thimerosal est toxique pour les cellules à une concentration de une
partie par million). Un sénateur, Bill Frist, reçoit 873’000.- dollars de
contribution pour «immuniser» les fabricants de vaccins dans 4200 cas
de plaintes de parents d’enfants contaminés.
Les conclusions de F. Kennedy Jr.: il s’inquiète des efforts des organisations
officielles comme l’OMS et les dirigeants de gouvernements qui font du
protectionnisme à l’égard des producteurs de vaccins. En approuvant
cette politique, ils perpétuent un grave problème contre l’humanité.
Les producteurs de vaccins continuent à vendre dans les pays du Tiers
Monde pour liquider leurs stocks contaminés. F. Kennedy Jr. conclut
qu’il est difficile de calculer les dégâts que son pays subirait si les nations
du Tiers-monde devenaient convaincues que l’Amérique, connue comme
la nation la plus impliquée dans l’aide internationale, empoisonne ses
enfants (article complet sur le site www.hyperactif.net).
De plus, le mercure, qui s’est trouvé banalisé, est généralisé partout.
Utilisé en abondance dans toutes sortes de préparations: Dans les
cosmétiques, on l’utilise pour la conservation des produits de beauté et
de nombreuses préparations pharmaceutiques, crème, etc. sans égard
pour l’humanité, et on le retire partiellement et silencieusement du
marché (thermomètre) pour que la population ne puisse pas se rendre
compte des dommages subis et ne réagisse pas en conséquence.
Dans la dentisterie, on trouve également du mercure dans les amalgames
dentaires et de nombreuses études scientifiques démontrent les graves
dégât causés notamment par transfert placentaire (travaux du Prof. J-J
Melet et M. Grosmann).
Les métaux lourds toxiques comme le mercure passent la barrière
hémato - encéphalique et vont nécroser les cellules en détruisant les
protéines constitutives de ces cellules.
Les vapeurs de mercure peuvent gagner le système nerveux central
– surtout l’hypophyse par pénétration des terminaisons nerveuses et la
tubuline. (travaux du Prof. Boyd Haley).
Les graves dangers des métaux lourds et mode
d’action du mercure sur la cellule
D’autre part, le mercure inhibe les systèmes de protection cellulaire
contre les radicaux libres. (cancer).
Le mercure provoque la lyse des membranes cellulaires (oxydation
d’un phospholipide membranaire en particulier (Segall et Wood
1974) (maladies cardiovasculaires) Les effets clastogènes du
mercure ont été observés dans les lymphocytes, anomalies chromosomiques
notamment le 21 (Sterfving 1974) (mongole ou handicapé moteur).
L’activité cytotoxique du mercure est liée d’une part à sa grande affinité
pour le souffre entraînant le blocage des fonctions thiol des protéines
(travaux du Prof. Montinari et A Costi).
Le mercure bloque lentement divers systèmes enzymatiques du:
- système immunitaire (infections, allergies)
- système digestif (intolérance, peptidurie)
Les métaux lourds font toutes sortes de blocages enzymatiques et par
conséquent diverses métabolisations ne se feront plus correctement et
provoqueront des intolérances à plusieurs aliments
(Travaux du Pr.Montinari et A Costi).
Si le système digestif ne fonctionne pas correctement !
Des années de recherches ont permis à des scientifiques de mettre en évidence
les liens entre la nourriture et diverses pathologies, et syndromes comme les
brillantes découvertes du prof. Karl L. Reichelt de l’hôpital d’Oslo, en Norvège.
Ses découvertes ont démontré que lorsque les protéines des céréales et du
lait ne sont pas complètement dégradées par notre système enzymatique, ces
peptides, alors transformés en «peptides opiacés», (opiacés par qu’ils possèdent
des résidus de protéines qui ressemblent chimiquement à l’opium et ont donc
des propriétés équivalentes), celles-ci franchissent la paroi intestinale, se
retrouvent dans le système sanguin et peuvent alors franchir la barrière hémato-
encéphalique du cerveau, uniquement si cette dernière est altérée et enflammée
par les métaux.
En occupant et en saturant les récepteurs des cellules nerveuses, les peptides
provenant du gluten et de la caséine, mal métabolisés, vont alors entraîner
des dérèglements du comportement et favoriser le développement de
maladies dégénératives et du système nerveux central. Ex: hyperactivité,
troubles scolaires (de la mémoire, de la concentration, du comportement),
dyslexie, troubles de l’humeur, somnolence, sommeil, divers degrés
d’autisme, schizophrénie, violence, troubles psychologiques et psychiatriques.
Ces substances chez certains individus ne passe pas la barrière du cerveau
mais causent une plus forte inflammation de l’intestin et déclenchent
ainsi les maladies physiques. (Travaux du Pr. Montinari)
Ces peptides vont se comporter dans l’organisme comme certains dérivés
morphiniques et se fixer sur les récepteurs biochimiques spécifiques à
ces substances.
Il faut savoir qu’une molécule de gluten contient 16 molécules opioïdes
(16 résidus qui ressemblent chimiquement à l’opium). Le gluten se
divise en deux groupes: les prolamines et les glutamines. Les prolamines
sont à la source de diverses maladies et problèmes. Et cela a permis de
donner bien des réponses à de nombreuses pathologies...!
La différence entre l’allergie et l’intolérance:
L’allergie est la pointe de l’iceberg, elle se manifeste par une réaction
physique immédiate. Elle est détectable dans le sang par la présence
d’anticorps (IgE, IgA ) fabriqués contre des substances étrangères
(antigènes).
L’intolérance (allergie chronique) est la partie immergée de l’iceberg.
Elle peut amener la transformation de protéines en fragments toxiques
pour l’organisme. En provoquant ainsi l’altération sur n’importe quels
organes de notre système physio pathologique. (Travaux du
Pr. Montinari)
Voici une liste de symptômes de l’intolérance que j’ai pu observer liés à
la non assimilation:
du lait et ses dérivés:
Croûte du lait, muguet, dermatoses, strabisme, transpiration excessive,
problèmes ORL (otites, sinusites, pharyngites) et respiratoires (asthme,
bronchites asthmatiformes) aphtes, diarrhée, crises d’épilepsie, allergies
diverses (y compris aux bijoux, pollens, salive des chiens et des chats,
etc.), dépression, maladies inflammatoires (rhumatismes, arthrites,
arthroses), œdèmes, fibromyalgie, fatigue chronique, obésité, etc...
du gluten:
Pathologies souvent dites d’une façon erronée d’origine
«psychosomatique» ou «gastrique»:
Problèmes scolaires, dyspraxie, dyslexie, déficit d’attention, de
comportement, hypo hyperactivité, problèmes relationnels, violences,
divers types autistiques (avec ou sans langage), tic, toc, automutilations,
perturbation du sommeil, fatigue chronique, maladies de l’intestin
(ballonnements, constipation, cœliaque, maladie de Crohn, coeliaquie,
carcinomes de l’intestin, schizophrénie, etc.
13 ans d’expériences et d’accompagnements d’enfants et d’adultes
souffrant de nombreuses pathologies citées plus haut m’ont permis de
constater les divers mécanismes qu’ont soulevés des chercheurs comme
les Professeurs Boyd Halley, Reichelt, Montinari, Costi, Pelliccia, Picot,
Rabache, Sandhaus, et bien d’autres encore...
Pourquoi ce changement alimentaire est-il si important ?
Sans un traitement adéquat, la présence de métaux lourds qui empêchent
le fonctionnement normal du métabolisme et des cellules, inactivant
certaines de leurs enzymes, aggravent de plus en plus tout le système
digestif et intestinal développant ainsi un système bactériologique:
ces mauvaises bactéries produisent alors des toxines (phényles) qui
déclenchent à leur tour, en franchissant la barrière intestinale, une
longue série de perturbations inflammatoires (surproduction de
mucus). Et si certains individus ont une altération de la barrière hémato
- encéphalique, certains de ces toxiques pourront alors déclencher des
pathologies psychiatriques.
Les manifestations se développent d’après la perturbation due aux
métaux lourds dans l’organisme qui dépendent du seuil de tolérance
de chaque individu, adulte ou enfant, sans compter les problèmes
environnementaux engrais, pesticides, additifs alimentaires tels que
phosphates, colorants et conservateurs, qui depuis une trentaine
d’années, surabondent dans ce que nous mangeons et buvons.
C’est pour cela qu’il est fortement conseillé de commencer en premier
par des analyses du métabolisme:
intolérances le Cyto-aliments-test, puis la peptidurie et la bactériologie
Les analyses des métaux lourds sont seulement nécessaires pour une
dépose des amalgames dentaires.
Attention: faire sortir les métaux avec des chélateurs chimiques ou
naturels sur un corps malade et fatigué aggrave davantage votre cas: le
corps n’est pas un torchon que l’on peut laver à 90 degrés !!!
Adaptons le changement alimentaire individualisé
Oui, nous avons aujourd’hui la chance de pouvoir démontrer les
intolérances alimentaires par analyse biochimique comme le CYTO-
ALIMENTS-TEST qui permet de tester 60 aliments et leur famille
mettant en évidence les pathologies physiques.
De même, une simple analyse urinaire de PEPTIDURIE, va mettre
en évidence des éventuelles toxiques, et leur quantité, susceptibles de
perturber l’activité électrique du cerveau.
Grâce aux nombreuses découvertes du professeur Karl Reichelt et à ses
analyses de peptides urinaires, les parents peuvent, comme je l’ai fait,
mettre en place un changement alimentaire individualisé et permettre
à leurs enfants de se construire une nouvelle vie en pleine santé. Bien
évidemment, j’ai personnellement effectué ces analyses pour mon fils.
J’ai ainsi pu constater que ses problèmes autistiques étaient liés à sa
grande sensibilité au gluten.
Et c’est là que j’ai supprimé le gluten de sa nourriture...
Ce fut comme un coup de baguette magique. Après le nouveau
changement alimentaire sans gluten, mon fils, qui avait encore
un manque de confiance en lui, des difficultés avec l’orthographe,
l’écriture, les dictées, beaucoup de difficultés à faire ses devoirs, une
grande susceptibilité, et très sensible à la frustration, devint comme
par enchantement souriant, de bonne humeur. Il a fait des progrès
extraordinaires. Par ailleurs, tous les troubles du comportement et
les troubles physiques ont disparu, ce qui lui permet de poursuivre
sereinement le cursus scolaire élevé exigé par l’école et de participer à
de nombreuses activités sportives.
Mangez seulement ce que vous pouvez métaboliser !
D’après les résultats des analyses, le fait d’apporter un changement
alimentaire personnalisé pour équilibrer le fonctionnement du corps et
réactiver les émonctoires, est la bonne solution.
Par un changement alimentaire ciblé et bien suivi, le corps réagit
toujours favorablement. Bien évidemment les résultats se constateront,
selon l’âge, la durée de la pathologie, l’ampleur de l’intoxication, les
dégâts causés par la médication et le potentiel de chacun à réagir face
aux problèmes.
Curieusement, la vie devient singulièrement facile et la réussite ne fait
pas peur, mais alors pas peur du tout, quoi qu’en puissent dire certains
psy. et médecins...
J’accompagne ces enfants et adultes qui se ressemblent tant... Je les
accompagne pour que leur chemin de vie ressemble le moins possible à
celui qu’ont emprunté, durant des années, pleins d’autres avant.
Je les accompagne afin qu’ils puissent se mettre à courir, à grandes
enjambées, vers la liberté...
Pour finir, parlons de la Ritaline, ce fameux calmant chimique censé
traiter l’hyperactivité des enfants.
Oui, la Ritaline (ou methylphenidate, son principe actif) est une
amphétamine qui a la particularité de calmer temporairement les enfants
hyperactifs, alors qu’elle rend hyperactive une personne normale. Ce
médicament est donné sur de longues durées pour le confort soi-disant
des enfants, mais aussi des parents et des enseignants à l’école. On se
doit d’être contre cette approche de traitement sur le long terme, parce
qu’on ne peut pas se contenter de supprimer le symptôme apparent de la
maladie et penser ainsi que l’on va aller de l’avant.
Comment un médecin oserait-il donner une amphétamine à un
enfant depuis son plus jeune âge sans faire la moindre analyse, les
moindre contrôles médicaux, et en sachant que la Ritaline est une
béquille qui cache seulement le vrai problème? De plus, on sait que la
Ritaline cause des effets secondaires, retard de croissance, céphalées,
douleurs abdominales, etc... (voir Vidal). Des études (voir réf plus bas)
montrent même que ce médicament est cancérigène (augmentation des
aberrations chromosomiques). Info complémentaires à disposition sur
www.hyperactif.net
Petit à petit, j’ai développé ma propre méthode...
Même si le chemin n’a pas été facile, je ne regrette rien et je serais prête
à le refaire pour revoir autant de sourires sur les visages d’enfants qui
viennent me voir des quatre coins du monde, et qui, pour certains
d’entre eux, m’offrent leurs premières paroles après des années de silence.
Pendant ces treize ans, d’une manière systématique et empirique, j’ai
élaboré chaque dossier d’enfant l’un après l’autre, pour pouvoir donner
aux parents les meilleures solutions possibles afin qu’ils puissent
améliorer l’état de santé de leur enfant.
Aujourd’hui, grâce aux différentes analyses mises en place (bilans),
les plans alimentaires individualisés, la minéralisation, et cela sur des
centaines d’enfants et d’adultes, j’ai pu créer ma propre méthode Delta
6 Désaturase ainsi qu’une thérapie centrée sur la recherche grâce à de
nombreux scientifiques de renommés mondiales que comptent le centre
scientifique Stelior. (www.stelior.com)
STELIOR HYPERACTIF – AUTISTE EPILEPSIE
CP 105 – 1247 Anières/CH Email:
elke@hyperactif.net
tel: 0041 (0)22 751 36 36 / 0900 20 30 00
Source PDF:
http://www.hyperactif.net/images/Hyperactivite_brochure.pdf