Le souverainisme néo-jacobin de 2020 (Ce « nationalisme » en carton.) : https://integralisme-organique.com/2020/09/le-souverainisme-neo-jacobin-de-2020/
« Comme toujours, tout n’est pas à jeter aux ordures et à priori Nous sommes ouvert d’esprit, aussi sûr qu’il nous plaît de chercher le bien là où il peut être, toutefois il ne faut pas abuser ! Il était difficile de s’infliger cette demi-heure autistique. Dans ces interventions, il ne manquait plus que l'ineffable Asselineau. Nous pouvons les évoquer, d’autant que nous sommes qu’au début de ce cauchemar crypto-réactionnaire.
Aux États-Unis ce pan de doctrine est surnommé « nationalisme civique » et il correspond peu ou prou aux périodes de dégénérescence de la tradition au sein de l’Empire romain (voulant assimiler tout le globe terrestre au point de mettre les « desouches » minoritaires sur leur propre sol). Ce genre de vidéo convainc au moins un homme qu’il faille sortir du pétrin démocrateux. Attention, troussage de mouches en perspective : (VIDÉO) (...)
A) D’un côté, il ne sert à rien de défendre la simple « souveraineté d’un État » si c’est pour faire la même strictement la même politique désincarnée et irréelle que l’État précédent (excepté une ou deux virgules ?), à savoir avoir un programme toujours aussi cosmopolite et en faveur de l’assimilation exogène massive. B) Et de l’autre côté, il est inopérant, inefficace et inepte de défendre cette souveraineté seule. Notre raisonnement politique doit partir de toutes les réalités naturelles d’une société donnée pour la défendre et la développer en réaction.
C’est ainsi que la culture, le caractère, la génétique et la foi d’un peuple, dans toute sa diversité bien comprise, doit être tenu en considération ; et non seulement le pouvoir étatique libre et indépendant (Encore une fois : pour quoi faire ?). C’est d'ailleurs le génie du « fascisme historique » d’avoir su résoudre la question de l’État moderne tout en comprenant en son sein toutes ces composantes organiques et anthropologiques. Un nationalisme qui ne tiendrait compte que de l'aspect étatique serait d'évidence qu'un nationalisme en plastique mâché.
Dans notre « dossier napoléonien » nous avons rappelé le lien idéologique qui unissait gallicanisme et jacobinisme, voilà qui est encore d'actualité. C'est un contexte très français et celui-ci explique encore nombre d'influences doctrinales actuelles. Pour la mémoire de Pierre Sidos, refusons avec force toutes les demi-mesures, quelles qu'elles soient. »
« Comme toujours, tout n’est pas à jeter aux ordures et à priori Nous sommes ouvert d’esprit, aussi sûr qu’il nous plaît de chercher le bien là où il peut être, toutefois il ne faut pas abuser ! Il était difficile de s’infliger cette demi-heure autistique. Dans ces interventions, il ne manquait plus que l'ineffable Asselineau. Nous pouvons les évoquer, d’autant que nous sommes qu’au début de ce cauchemar crypto-réactionnaire.
Aux États-Unis ce pan de doctrine est surnommé « nationalisme civique » et il correspond peu ou prou aux périodes de dégénérescence de la tradition au sein de l’Empire romain (voulant assimiler tout le globe terrestre au point de mettre les « desouches » minoritaires sur leur propre sol). Ce genre de vidéo convainc au moins un homme qu’il faille sortir du pétrin démocrateux. Attention, troussage de mouches en perspective : (VIDÉO) (...)
A) D’un côté, il ne sert à rien de défendre la simple « souveraineté d’un État » si c’est pour faire la même strictement la même politique désincarnée et irréelle que l’État précédent (excepté une ou deux virgules ?), à savoir avoir un programme toujours aussi cosmopolite et en faveur de l’assimilation exogène massive. B) Et de l’autre côté, il est inopérant, inefficace et inepte de défendre cette souveraineté seule. Notre raisonnement politique doit partir de toutes les réalités naturelles d’une société donnée pour la défendre et la développer en réaction.
C’est ainsi que la culture, le caractère, la génétique et la foi d’un peuple, dans toute sa diversité bien comprise, doit être tenu en considération ; et non seulement le pouvoir étatique libre et indépendant (Encore une fois : pour quoi faire ?). C’est d'ailleurs le génie du « fascisme historique » d’avoir su résoudre la question de l’État moderne tout en comprenant en son sein toutes ces composantes organiques et anthropologiques. Un nationalisme qui ne tiendrait compte que de l'aspect étatique serait d'évidence qu'un nationalisme en plastique mâché.
Dans notre « dossier napoléonien » nous avons rappelé le lien idéologique qui unissait gallicanisme et jacobinisme, voilà qui est encore d'actualité. C'est un contexte très français et celui-ci explique encore nombre d'influences doctrinales actuelles. Pour la mémoire de Pierre Sidos, refusons avec force toutes les demi-mesures, quelles qu'elles soient. »