Voici un court résumé sur la mondialisation. Il a été laissé tel quel pour que chacun puisse l'analyser de son propre regard. En garder ce qu'il considère correct et en rejeter ce qu'il ne considère pas comme juste. Bien évidemment n'oublions pas que tout point de vue est toujours subjectif. Comme toujours ce qui est important c'est "Ce qui est" non "Ce qui paraît".
Le développement des échanges mondiaux se traduit par une accumulation du pouvoir (en dollars) de certains lobbies de milliardaires. Le mondialisme est l’aspect politique et institutionnel de ces changements économiques. C’est une approche de l’évolution des sociétés humaines tendant à créer un centre unique et mondial de décision économique et financier (contrôlant les pouvoirs politiques), une pensée unique et une langue unique (le « globlish » anglo-américain). C’est une évolution naturelle du capitalisme vers le marxisme. Il suffit de lire les Mémoires de David Rockefeller ; plus particulièrement, le chapitre 27 qui porte comme titre : « internationaliste et fier de l’être » pour s’en convaincre.
Un nouveau corps représentatif pour une autre forme de gouvernement :
Think tank : La Think tank est une « institution de droit privé, regroupant des experts plus ou moins spécialisés, émettant des idées dans le domaine des sciences sociales, disposant d'une capacité d'analyse et de réflexion interne et visant à faire des propositions de politique publique. »
Politique d’influence : Aujourd'hui, tout est affaire d’ « influence », la politique n’est plus celle de nos grands-parents. En « management », influencer signifie : « modifier le comportement d’une cible sans avoir recours à la contrainte ou à la coercition. Dans ce cas, les individus ciblés agissent de leur plein gré, consciemment ou pas, alors que dans le cas de la contrainte ils agissent consciemment contre leur gré. »
Par ces deux réalités vous avez redéfini tout le nouveau système politique. L’UMP, le PS, la LCR, le MPF, etc. ne sont que des sociétés de communication dont les candidats sont un produit à vendre, rien de plus. Les futures lois sont décidées, non par ces sociétés spécialistes de l’électoralisme, mais par une élite bureaucratique bien plus efficace ! Cette nouvelle façon de gouverner a un résultat : l’atomisation du pouvoir politique (local ou régional) et l’unification des institutions sur un modèle fédéral qui en découle. L’Europe en est d’ailleurs un modèle : régionalisation, éclatement des frontières, puis création d’un parlement unique. Là encore, les technocrates ont tout pouvoir face à des députés européens qui, désormais, peuvent être arrêtés comme n’importe quel citoyen lambda et ce, en toute illégalité (comme ce fut par exemple le cas lors de la manifestation bruxelloise du 11 septembre 2007 en mémoire des attentats). La création d’un gouvernement fédéral sur le modèle américain est une évidence que la T.V. nous rabâche toute honte bue. L’Europe des régions n’a qu’un but, servir de palier à une fédération encore plus grande.
Dépendance des populations
Une fois la main mise des bureaucrates (ou technocrates) sur les états nations, il est important pour eux de casser le modèle rural, de détruire l’agriculture pour rendre impraticable l’autonomie des communautés nationales, régionales ou même locales. La stérilité des produits OGM est un secret de polichinelle (sauf le pollen qui lui peut se mélanger avec des non-OGM et produire, à la génération d’après, des OGM stériles), si celui-ci produit davantage qu’un non-OGM, son achat doit se renouveler chaque année. Les agriculteurs seront tôt ou tard dépendant des fournisseurs d’OGM. Les autres types d’agriculteurs disparaissent d’eux-mêmes, sous les coups des restrictions et des dépendances aux aides (encouragées par l’Etat).
La politique actuelle réclame de tout privatiser. Dans nos pays on assiste au démembrement des services publics dans un plan d’ensemble que l’on pourrait qualifier d’OPA sur le patrimoine public. Tout est actuellement bradé à des investisseurs et des capitaux privés, ceux- là même qui vont, quoi qu’il arrive et par le jeu de la concurrence, se faire avaler par des entreprises plus grosses. Ainsi, de la main de l’État ces services publics seront transférés aux mains des multinationales. Dans les pays pauvres ce sont les matières premières qui sont privatisées, l’eau restant l’exemple le plus frappant !
Contrôle des populations
La société moderne, c’est la société du « tout marchand ». Plus l’on connaît le consommateur, plus on sait ce qu’il consomme aujourd’hui et consommera demain. Les technologies d’information se multiplient, s’améliorent, s’étendent. Nulle limite désormais à la connaissance d’un individu, plus il consomme plus on sait qui il est, comment le faire consommer et comment l’influencer. Du mondialisme institutionnel on passe ainsi au mondialisme individuel : la standardisation des esprits. C’est un contrôle permanent de vos choix qui ouvre à l’élite bureaucratique des marches de manœuvres de plus en plus grandes.
Le code barre apparaît au début des années 80. Il est le symbole d’une donnée numérique destinée à une lecture automatisée par un capteur électronique. Dans le commerce européen, celui-ci est appelé code-barres EAD (créé par la société GENCOD) composé de trois barres principales autrefois symbolisés par le chiffre 6. À la fin des années 80 apparaît la « carte à mémoire » permettant de numériser et de garder en mémoire les achats d’un individu. Depuis, elle s’est généralisée (Moneo, Calypso, Pass Navigo, etc.) et les informations enregistrées ne sont plus seulement commerciales mais aussi personnelles (niveau d’étude, date de naissance, lieu de résidence, etc.). Entre autre, le Pass Navigo permet de connaître les déplacements d’une personne grâce aux transports publics. Les lieux de départs et d’arrivées sont enregistrés dans un terminal et associé à vos informations personnelles.
Avec la création de Velib’ (service public de location de vélo) on suit désormais une personne à la trace. Ce vélo sert en réalité à développer la technologie de la puce RFID (Radio Frequency Identification) qui servira prochainement à un service biométrique offert par Air France et plus tard généralisé dans les aéroports. La puce RFID ne se voit pas, ses informations sont modifiables et elle est consultable sans que l’individu porteur le sache. Cette puce réagit aux ondes radio et transmet ses informations à distance, elle remplacera à terme les codes-barres de nos parents et peut-être facilement implantée sous la peau. C’est déjà le cas pour les animaux de compagnie et ça le sera pour l’être humain une fois la monnaie virtuelle généralisée.
Cette étape sera déterminante. Il existe déjà une puce produite à cet effet, longtemps appelée Digital Angel, ses premiers états de services ont été de « réguler les battements du cœur d’un soldat durant une séance d’entraînement », elle contient une poche de mercure qui, une fois brisée, peut provoquer le décès de son porteur. La présence d’une telle puce sous cutanée pourrait bien agir sur le comportement d’un individu. Si vous stimulez le cerveau d’une personne jour après jour, vous pouvez lui modifier son comportement, changer son identité, altérer l’image qu’il a de lui et surtout vous pouvez augmenter de manière très importante sa subjectivité… une fois atteint ce stade, l’homme n’est plus qu’une marchandise.
Marchandisation de l’homme
La légalisation générale de la recherche sur les cellules souches n’est qu’une question de temps. Le génome humain a été décodé dans sa quasi-totalité. Depuis la fin juillet 2007, le gouvernement britannique a donné son autorisation à la création in vitro d’embryons hybrides humains-animaux à des fins de pseudos « recherches scientifiques ». De telles expériences existent déjà aux Etats-Unis. On vit de plus en plus mal et les consommations généralisées des médicaments chimiques affaiblissent nos défenses immunitaires. Ces mêmes médicaments deviennent, à force d’une utilisation abusive, de moins en moins efficaces. Tôt ou tard c’est sur la génétique de l’homme que l’on va agir. Sous prétexte d’amélioration, on pourra sectoriser le code génétique d’un homme selon son métier et la tâche qu’il aura à accomplir. Ce scénario digne d’un Georges Orwell (« 1984 ») n’est pas un fantasme. Il est la simple amélioration de ce qu’aurait donné l’URSS si elle n’avait pas échoué dans son objectif réel : la création d’un homme standardisé ! Bref, que l’homme descende du singe ou pas, il se pourrait que bientôt, ce soit ce dernier qui descende de l’homme…
Lien intellectuel entre marxisme et capitalisme
Les racines même du marxisme se trouvent dans le capitalisme. Tous les grands dignitaires du marxisme d’autrefois ont été recrutés dans l’élite capitalistique (Marx, Fribourg, Fränkel, Haltmayer, Blum, Adler, Ellenbogen, Braun, Lénine, Trotski, etc.). Ils ont remplacé le socialisme originel par une idéologie tout aussi matérialiste que le capitalisme, basée sur la lutte des classes. Égalitarisme pour l’un (marxisme), libéralisme pour l’autre, ils se rejoignent tous deux dans ce qu’ils appellent eux-mêmes la « raison universelle ».
Quand en 1991 le bloc soviétique s’est écroulé, ses restes ont été absorbés par le capitalisme. À la chute du bloc soviétique, le mondialisme est né et a pris le relais. Le néo-conservatisme est la nouvelle phase connue de la politique libérale, celle-ci fut instituée par Irving Kristol et Robert Kagan, tout deux d’anciens trotskistes. Il en est de même pour Dick Cheney qui est un passionné de la stratégie de la guerre permanente théorisée par Léon Trotski. Nathan Glazer, Daniel Bell, Seymour Martin Lipset, etc. tous les penseurs du néo-conservatisme sont trotskistes, parce qu’une seule et même évidence apparaît dans les débouchés et la philosophie réelle du capitalisme comme du marxisme : ils ne font qu’un. Ils s’achèvent dans une seule et même réalité :
L’étatisation marxiste n’aboutit pas à l’anarchie, l’individualisme libéral n’aboutit pas à l’homme divin, ils aboutissent tous deux à un gouvernement mondial dont les informations partent du sommet pour arriver à la base. C’est ce qui est en train de se réaliser aujourd’hui ! « Si on ne peut vaincre quelqu’un, alors on doit le posséder » voilà qui pourrait être la devise des technocrates…
Vers l’asservissement des peuples !
Le développement des échanges mondiaux se traduit par une accumulation du pouvoir (en dollars) de certains lobbies de milliardaires. Le mondialisme est l’aspect politique et institutionnel de ces changements économiques. C’est une approche de l’évolution des sociétés humaines tendant à créer un centre unique et mondial de décision économique et financier (contrôlant les pouvoirs politiques), une pensée unique et une langue unique (le « globlish » anglo-américain). C’est une évolution naturelle du capitalisme vers le marxisme. Il suffit de lire les Mémoires de David Rockefeller ; plus particulièrement, le chapitre 27 qui porte comme titre : « internationaliste et fier de l’être » pour s’en convaincre.
Un nouveau corps représentatif pour une autre forme de gouvernement :
Think tank : La Think tank est une « institution de droit privé, regroupant des experts plus ou moins spécialisés, émettant des idées dans le domaine des sciences sociales, disposant d'une capacité d'analyse et de réflexion interne et visant à faire des propositions de politique publique. »
Politique d’influence : Aujourd'hui, tout est affaire d’ « influence », la politique n’est plus celle de nos grands-parents. En « management », influencer signifie : « modifier le comportement d’une cible sans avoir recours à la contrainte ou à la coercition. Dans ce cas, les individus ciblés agissent de leur plein gré, consciemment ou pas, alors que dans le cas de la contrainte ils agissent consciemment contre leur gré. »
Par ces deux réalités vous avez redéfini tout le nouveau système politique. L’UMP, le PS, la LCR, le MPF, etc. ne sont que des sociétés de communication dont les candidats sont un produit à vendre, rien de plus. Les futures lois sont décidées, non par ces sociétés spécialistes de l’électoralisme, mais par une élite bureaucratique bien plus efficace ! Cette nouvelle façon de gouverner a un résultat : l’atomisation du pouvoir politique (local ou régional) et l’unification des institutions sur un modèle fédéral qui en découle. L’Europe en est d’ailleurs un modèle : régionalisation, éclatement des frontières, puis création d’un parlement unique. Là encore, les technocrates ont tout pouvoir face à des députés européens qui, désormais, peuvent être arrêtés comme n’importe quel citoyen lambda et ce, en toute illégalité (comme ce fut par exemple le cas lors de la manifestation bruxelloise du 11 septembre 2007 en mémoire des attentats). La création d’un gouvernement fédéral sur le modèle américain est une évidence que la T.V. nous rabâche toute honte bue. L’Europe des régions n’a qu’un but, servir de palier à une fédération encore plus grande.
Dépendance des populations
Une fois la main mise des bureaucrates (ou technocrates) sur les états nations, il est important pour eux de casser le modèle rural, de détruire l’agriculture pour rendre impraticable l’autonomie des communautés nationales, régionales ou même locales. La stérilité des produits OGM est un secret de polichinelle (sauf le pollen qui lui peut se mélanger avec des non-OGM et produire, à la génération d’après, des OGM stériles), si celui-ci produit davantage qu’un non-OGM, son achat doit se renouveler chaque année. Les agriculteurs seront tôt ou tard dépendant des fournisseurs d’OGM. Les autres types d’agriculteurs disparaissent d’eux-mêmes, sous les coups des restrictions et des dépendances aux aides (encouragées par l’Etat).
La politique actuelle réclame de tout privatiser. Dans nos pays on assiste au démembrement des services publics dans un plan d’ensemble que l’on pourrait qualifier d’OPA sur le patrimoine public. Tout est actuellement bradé à des investisseurs et des capitaux privés, ceux- là même qui vont, quoi qu’il arrive et par le jeu de la concurrence, se faire avaler par des entreprises plus grosses. Ainsi, de la main de l’État ces services publics seront transférés aux mains des multinationales. Dans les pays pauvres ce sont les matières premières qui sont privatisées, l’eau restant l’exemple le plus frappant !
Contrôle des populations
La société moderne, c’est la société du « tout marchand ». Plus l’on connaît le consommateur, plus on sait ce qu’il consomme aujourd’hui et consommera demain. Les technologies d’information se multiplient, s’améliorent, s’étendent. Nulle limite désormais à la connaissance d’un individu, plus il consomme plus on sait qui il est, comment le faire consommer et comment l’influencer. Du mondialisme institutionnel on passe ainsi au mondialisme individuel : la standardisation des esprits. C’est un contrôle permanent de vos choix qui ouvre à l’élite bureaucratique des marches de manœuvres de plus en plus grandes.
Le code barre apparaît au début des années 80. Il est le symbole d’une donnée numérique destinée à une lecture automatisée par un capteur électronique. Dans le commerce européen, celui-ci est appelé code-barres EAD (créé par la société GENCOD) composé de trois barres principales autrefois symbolisés par le chiffre 6. À la fin des années 80 apparaît la « carte à mémoire » permettant de numériser et de garder en mémoire les achats d’un individu. Depuis, elle s’est généralisée (Moneo, Calypso, Pass Navigo, etc.) et les informations enregistrées ne sont plus seulement commerciales mais aussi personnelles (niveau d’étude, date de naissance, lieu de résidence, etc.). Entre autre, le Pass Navigo permet de connaître les déplacements d’une personne grâce aux transports publics. Les lieux de départs et d’arrivées sont enregistrés dans un terminal et associé à vos informations personnelles.
Avec la création de Velib’ (service public de location de vélo) on suit désormais une personne à la trace. Ce vélo sert en réalité à développer la technologie de la puce RFID (Radio Frequency Identification) qui servira prochainement à un service biométrique offert par Air France et plus tard généralisé dans les aéroports. La puce RFID ne se voit pas, ses informations sont modifiables et elle est consultable sans que l’individu porteur le sache. Cette puce réagit aux ondes radio et transmet ses informations à distance, elle remplacera à terme les codes-barres de nos parents et peut-être facilement implantée sous la peau. C’est déjà le cas pour les animaux de compagnie et ça le sera pour l’être humain une fois la monnaie virtuelle généralisée.
Cette étape sera déterminante. Il existe déjà une puce produite à cet effet, longtemps appelée Digital Angel, ses premiers états de services ont été de « réguler les battements du cœur d’un soldat durant une séance d’entraînement », elle contient une poche de mercure qui, une fois brisée, peut provoquer le décès de son porteur. La présence d’une telle puce sous cutanée pourrait bien agir sur le comportement d’un individu. Si vous stimulez le cerveau d’une personne jour après jour, vous pouvez lui modifier son comportement, changer son identité, altérer l’image qu’il a de lui et surtout vous pouvez augmenter de manière très importante sa subjectivité… une fois atteint ce stade, l’homme n’est plus qu’une marchandise.
Marchandisation de l’homme
La légalisation générale de la recherche sur les cellules souches n’est qu’une question de temps. Le génome humain a été décodé dans sa quasi-totalité. Depuis la fin juillet 2007, le gouvernement britannique a donné son autorisation à la création in vitro d’embryons hybrides humains-animaux à des fins de pseudos « recherches scientifiques ». De telles expériences existent déjà aux Etats-Unis. On vit de plus en plus mal et les consommations généralisées des médicaments chimiques affaiblissent nos défenses immunitaires. Ces mêmes médicaments deviennent, à force d’une utilisation abusive, de moins en moins efficaces. Tôt ou tard c’est sur la génétique de l’homme que l’on va agir. Sous prétexte d’amélioration, on pourra sectoriser le code génétique d’un homme selon son métier et la tâche qu’il aura à accomplir. Ce scénario digne d’un Georges Orwell (« 1984 ») n’est pas un fantasme. Il est la simple amélioration de ce qu’aurait donné l’URSS si elle n’avait pas échoué dans son objectif réel : la création d’un homme standardisé ! Bref, que l’homme descende du singe ou pas, il se pourrait que bientôt, ce soit ce dernier qui descende de l’homme…
Lien intellectuel entre marxisme et capitalisme
Les racines même du marxisme se trouvent dans le capitalisme. Tous les grands dignitaires du marxisme d’autrefois ont été recrutés dans l’élite capitalistique (Marx, Fribourg, Fränkel, Haltmayer, Blum, Adler, Ellenbogen, Braun, Lénine, Trotski, etc.). Ils ont remplacé le socialisme originel par une idéologie tout aussi matérialiste que le capitalisme, basée sur la lutte des classes. Égalitarisme pour l’un (marxisme), libéralisme pour l’autre, ils se rejoignent tous deux dans ce qu’ils appellent eux-mêmes la « raison universelle ».
Quand en 1991 le bloc soviétique s’est écroulé, ses restes ont été absorbés par le capitalisme. À la chute du bloc soviétique, le mondialisme est né et a pris le relais. Le néo-conservatisme est la nouvelle phase connue de la politique libérale, celle-ci fut instituée par Irving Kristol et Robert Kagan, tout deux d’anciens trotskistes. Il en est de même pour Dick Cheney qui est un passionné de la stratégie de la guerre permanente théorisée par Léon Trotski. Nathan Glazer, Daniel Bell, Seymour Martin Lipset, etc. tous les penseurs du néo-conservatisme sont trotskistes, parce qu’une seule et même évidence apparaît dans les débouchés et la philosophie réelle du capitalisme comme du marxisme : ils ne font qu’un. Ils s’achèvent dans une seule et même réalité :
L’étatisation marxiste n’aboutit pas à l’anarchie, l’individualisme libéral n’aboutit pas à l’homme divin, ils aboutissent tous deux à un gouvernement mondial dont les informations partent du sommet pour arriver à la base. C’est ce qui est en train de se réaliser aujourd’hui ! « Si on ne peut vaincre quelqu’un, alors on doit le posséder » voilà qui pourrait être la devise des technocrates…
Dernière édition par gauchenationale le 13/11/2008, 14:06, édité 1 fois