La mondialisation libérale et le capitalisme financier qui la régit sont le résultat des mesures prises à partir des années 80 par des gouvernements de droite et de gauche pour déréglementer la finance mondiale et supprimer les barrières douanières, permettant ainsi la libre circulation des capitaux et des marchandises. C'est ce qui a rendu possible les délocalisations vers les pays à bas salaires. Cerise sur le gâteau, l'argent public a été généreusement distribué aux multinationales sous forme de subventions pour financer ces délocalisations. Résultat: une désindustrialisation massive et un appauvrissement sans précédent de la population ordinaire.
Nos dirigeants politiques ont aussi permis le développement des paradis fiscaux afin d'aider les grandes entreprises à échapper aux impôts, creusant d'autant le déficit des états et donc leur endettement.
Ils ont permis aux banques de spéculer sans règles ni contrôle avec l'argent des déposants, ce qui a obligé la collectivité à s'endetter encore plus lourdement pour éponger leur pertes au casino boursier.
Ils ont permis l'empoisonnement à petit feu de la population en laissant les multinationales noyauter complètement les agences gouvernementales chargées des normes environnementales ou sanitaires, de la surveillance des produits alimentaires, ou encore de la mise sur le marché des médicaments.
Ils ont également oeuvré sans relâche à privatiser ou démanteler les services publics, là encore au bénéfice d'intérêts privés.
Dans tous les domaines, nos responsables politiques agissent en permanence à l'opposé de l'intérêt général, en volant les citoyens et en trahissant l'intérêt supérieur du pays. Les 3600 milliards donnés aux banques (rien qu'en 2008) ne sont que le dernier épisode de cette trahison.
Tout ceci continuera tant qu'une révolte générale n'aura pas mis fin à la totale collusion des dirigeants politiques et des médias avec les élites économiques, une collusion développée et entretenue par le biais de multiples organisations, "think tanks", "clubs de réflexion", réseaux d'influence ou lobbies parmi lesquels on peut citer le Groupe de Bilderberg (à l'origine de toutes les grandes étapes de la "construction européenne"), le World Economic Forum, la Commission Trilatérale, le CFR, l'European Round Table, ou encore au niveau français Le Siècle. Depuis 3 ou 4 décennies, toutes les décisions importantes émanent de ces cercles opaques et fermés qui court-circuitent les institutions élues où la politique d'un pays est légalement censée s'élaborer.
Depuis quelque temps, grâce à Internet, ces organisations occultes ont été débusquées et le secret dont elles s'entouraient commence à être dissipé. Jusqu'à il y a peu, presque personne ne connaissait le Siècle. Désormais, des manifestants (encore peu nombreux il est vrai) sont présents régulièrement place de la Concorde au moment des réunions du Siècle, le dernier mercredi de chaque mois à l'Automobile Club, dans le même bâtiment que l'hotel de luxe Le Crillon.
http://blog.syti.net/index.php?article=345
Nos dirigeants politiques ont aussi permis le développement des paradis fiscaux afin d'aider les grandes entreprises à échapper aux impôts, creusant d'autant le déficit des états et donc leur endettement.
Ils ont permis aux banques de spéculer sans règles ni contrôle avec l'argent des déposants, ce qui a obligé la collectivité à s'endetter encore plus lourdement pour éponger leur pertes au casino boursier.
Ils ont permis l'empoisonnement à petit feu de la population en laissant les multinationales noyauter complètement les agences gouvernementales chargées des normes environnementales ou sanitaires, de la surveillance des produits alimentaires, ou encore de la mise sur le marché des médicaments.
Ils ont également oeuvré sans relâche à privatiser ou démanteler les services publics, là encore au bénéfice d'intérêts privés.
Dans tous les domaines, nos responsables politiques agissent en permanence à l'opposé de l'intérêt général, en volant les citoyens et en trahissant l'intérêt supérieur du pays. Les 3600 milliards donnés aux banques (rien qu'en 2008) ne sont que le dernier épisode de cette trahison.
Tout ceci continuera tant qu'une révolte générale n'aura pas mis fin à la totale collusion des dirigeants politiques et des médias avec les élites économiques, une collusion développée et entretenue par le biais de multiples organisations, "think tanks", "clubs de réflexion", réseaux d'influence ou lobbies parmi lesquels on peut citer le Groupe de Bilderberg (à l'origine de toutes les grandes étapes de la "construction européenne"), le World Economic Forum, la Commission Trilatérale, le CFR, l'European Round Table, ou encore au niveau français Le Siècle. Depuis 3 ou 4 décennies, toutes les décisions importantes émanent de ces cercles opaques et fermés qui court-circuitent les institutions élues où la politique d'un pays est légalement censée s'élaborer.
Depuis quelque temps, grâce à Internet, ces organisations occultes ont été débusquées et le secret dont elles s'entouraient commence à être dissipé. Jusqu'à il y a peu, presque personne ne connaissait le Siècle. Désormais, des manifestants (encore peu nombreux il est vrai) sont présents régulièrement place de la Concorde au moment des réunions du Siècle, le dernier mercredi de chaque mois à l'Automobile Club, dans le même bâtiment que l'hotel de luxe Le Crillon.
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