On n'a pas besoin d'une preuve irréfutable qu'Israël était impliqué dans le 11 septembre 2001. Pourquoi? Parce c'est ce que les circonstances globales révèlent à notre bon sens:
1. Le complexe du WTC était la possession d'un Juif (Larry Silverstein) qui a des liens directs avec deux premiers ministres d'Israël: Ariel Sharon et Benjamin Netanyahu. (source)
2. Le détenteur d'hypothèse de Silverstein est Juif, l'homme qui a convenu du contrat est Juif, le PDG de Blackstone Group est aussi Juif.
3. Le Pentagone est hautement infiltré dans les plus hauts niveaux. Le département de la Défense à l'époque était contrôlé par des Juifs et des Sionistes. (source)
4. Les Lobby les plus puissants à Washington, D.C. (AIPAC, AEI, JINSA) qui déterminent les poliques étrangères sont contrôlés par et pour des Juifs.
5. Les premières personnes à êtres arrêtées après les attaques du 11 septembre étaient Juifs (les Israéliens dansants de la Urban Moving Company - façade du Mossad), tout comme celui qui les a libéré: Michael Chertoff du Deptartment of Homeland Security. (source)
6. Le Rabbin Dov Zakheim (à l'époque ministre de la Défense et membre du PNAC) est connu comme étant le "cerveau" du 11 septembre.
(source)
7. Les compagnies de hautes technologies (la RSA) qui ont brisé les codes de communications secrètes du NORAD et du FAA, qui fournissent les logiciels de sécurité (PTech) aux USA et à l'OTAN, ainsi que celles qui sont entrées dans les banques de données d'ordinateurs et de téléphone (Amdocs et Comverse) étaient une possession de l'État Israel.
8. Israël et les Sionistes ont la main mise sur toutes les banques au sommet de la pyramide de contrôle mondial.
9. Ils étaient aussi en charge de la sécurité aux tours du WTC et aux aéroports du 11 septembre. Une seule entité avait un accès interne à tous les aéroports vitaux du 11 septembre pour violer la sécurité - c'était une compagnie israélienne (ICTS).
10. Le monopole médiatique américain est entre les mains de Juifs Sionistes - les désinformateurs qui ont modelé l'opinion publique et ont travaillé en relation symbiotique avec les autres acteurs du 'cover up'.
11. Le plan des attaques du 11 septembre a été mise sur papier par des sionistes néoconservateurs, dont plusieurs sont Juifs et/ou de double nationalité israélo-américaine: Paul Wolfowitz, Richard Perle, Douglas Feith, Elliot Abrams, Donald Kagan, Richard Haas, Kenneth Adelman, Edward Luttwak, Robert Satloff, David Frum, David Wurmser, Steve Goldsmith, Marc Grossman (signataires du PNAC et de "Rebuilding America's Defense, 'Catastrophic Terrorism' in Foreign Affairs")
Quatre éléments stratégiques devaient être mis en place avant les attaques du 11 septembre pour que l'opération fonctionne:
a) George W. Bush devait être élu président en novembre 2000.
b) Le Pentagone et la Défense devaient être sous le contrôlé de l'intérieur par des agents.
c) Les tours du WTC devaient être achetées à la ville de New York (par Silverstein).
d) La sécurité aux aéroports du 11 septembre et au complexe du WTC devait être sous contrôle.
11 septembre 2001 : le mensonge du siècle
Des enquêtes indépendantes permettent d'identifier Israël et les sionistes aux commandes des États-Unis, ceux-là même qui s’activent le plus dans la « guerre au terrorisme », comme étant les vrais responsables du 11 septembre.
Ce n’est pas la première attaque terroriste israélienne perpétrée sous une fausse bannière (« false flag ») et portant le blâme sur les Arabes : notons les attentats de l’Hotel King David en 1946 (91 tués et 45 blessés), l’attaque contre l’Égypte en 1954 et le bombardement du navire américain USS Liberty en 1967 (35 marins étasuniens tués et 171 blessés). Il est intéressant de noter que les attentats de l’Hotel King David ont été commis par le mouvement terroriste juif sioniste Irgun, sous la direction de son fondateur Menachem Begin, qui devint rien de moins que président d’Israël. C’est du militant sioniste fasciste Vladimir Jabotinsky, admirateur de Mussolini et fondateur du Bétar, la toujours très active milice de défense juive, que se réclamait l’Irgun de Menachem Begin. Suite au massacre de centaines d’Arabes à Der Yassin par l’Irgun et la Stern gang en avril 1948, qui finalisa la partition de la Palestine et inaugura la fondation d’Israël, Begin affirma: « nous avons créé le terrorisme chez les Arabes ». L’Irgun se transforma ensuite en parti politique de droite : le Likud. C’est ce même parti qui, sous le mandat d’Ariel Sharon, érigera le Mur (une idée de Jabotinsky: « Le Rideau de Fer ») entourant la Palestine.
Trois analystes Juifs sionistes, Ashton Carter, John Deutch et Philip Zelikow, expliquaient déjà dans un article intitulé « The Catastrophic Terrorism: Imagining the Transforming Event », paru en 1998 dans la revue Foreign Affairs : « Un tel acte de terrorisme serait un événement catastrophique, une ligne de démarcation dans l'histoire américaine. Il impliquerait des pertes de vie et de propriété d’une ampleur sans précédent en temps de paix et minerait la signification de la sécurité en Amérique. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre passé et notre futur en un ‘avant’ et un ‘après’. » (trad. libre)
On retrouve la même idée dans le manifeste du think tank néoconservateur Plan for A New American Century (PNAC, 1997), où les faucons de la guerre en Irak révèlent qu’ils ont besoin d’un « nouveau Pearl Harbor » pour catalyser l’expansion hégémonique américaine: « Le processus de transformation, même s’il apporte des changements révolutionnaires, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor ». Le 11 septembre fut précisément ce « nouveau Pearl Harbor ». L’analogie est d’autant plus pertinente que Roosevelt savait que Sous la direction de Robert Kagan et William Kristol (fils du trotskyiste et propagandiste anti-Soviet Irving Kristol et éditeur du journal Weekly Standard de Rupert Murdoch), le PNAC compte parmi ses membres : Paul Wolfowitz (ancien président de la banque mondiale), Dick Cheney, Donald Rumsfeld (tous trois ont servi sous les administrations Reagan et Bush père), Richard Perle, le rabbin Dov Zakheim, Lewis ‘Scooter’ Libby (ancien directeur du bureau du v-p Cheney), Eliot Cohen, Donald Kagan, Jeb Bush, Steve Rosen, Daniel Pipes (protégé de Perle et fils du théoricien anti-Soviet Richard Pipes), Robert Zoellick (nouveau président de la banque mondiale), etc., tous sionistes et co-responsables (sous l’égide de Wolfowitz, Feith et Libby) de la guerre en Irak, une guerre pour les intérêts d’Israël. Parmi eux, seuls Bush, Cheney et Rumsfeld ne sont pas juifs.
Perle et Cheney, tous deux membres du Council on Foreign Relations (CFR), ont été tour à tour directeur du Jewish Institue for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) et tout aussi partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran. Perle est très proche des Juifs sionistes Michael Ledeen (le théoricien de la « destruction créative » du Moyen-Orient) et Eliott Abrams (le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz). Les liens étroits de Perle avec Israël lui ont valu d’être investigué en 1970 pour avoir passé des secrets à Israël, comme Wolfowitz l’a été en 1978.
En fait, l’idée de la guerre au terrorisme vient du livre de Bibi Netanyahu « Terrorism: How the West Can Win » paru en 1986. Il prédit jusqu’à la guerre en Irak et en Afghanistan et appelle l’Occident à combattre les ennemis d'Israël, les Palestiniens et les Arabes, qui ne sont pour lui que des terroristes à anéantir.
Le lendemain du 11 septembre, Netanyahu déclarait que cet événement est « très bon pour les relations entre les États-Unis et Israël » (Jerusalem Post).
Un quotidien israélien a rapporté le fait que de nombreux Juifs travaillant au complexe du World Trade Center (propriété du Juif sioniste Larry Silverstein) ont reçu un appel par messagerie Odigo (propriété de la compagnie israélienne de surveillance Comverse) leur informant de ne pas se rendre au travail ce matin-là.
Cinq Israéliens ont été aperçus sautant de joie à la vue de l’effondrement du WTC. Dans leur camion de déménagement de la compagnie Urban Moving System, les policiers qui les ont interceptés ont trouvé des passeports israéliens, des habits musulmans et des explosifs (en effet tout indique que les tours ont été démolies de manière contrôlée à l’aide d’explosifs et non pas par l’affaiblissement de la structure sous la chaleur du feu de carburant-kérosene). Ces agents du Mossad prétendirent avoir été envoyés là pour « documenter l’événement », ce qui implique une connaissance préalable du lieu, de la date et de l’heure exacte de l’attaque. Quelques mois après le 11 septembre, Fox News révélait qu’un réseau d’agents du Mossad utilisant la technologie Comverse opérait sous le couvert de compagnies de déménagement, de messagerie instantanée (Odigo), de kiosque à jouets dans les aéroports, et même d’étudiants en Arts. Le lendemain du 11 septembre, mille de ces kiosques ont fermé et les agents sont retournés en Israël. Avant et après le 11 septembre, indique Fox News, une centaine d’Israéliens ont été arrêtés en sol américain, interrogés puis relâchés grâce au Juif sioniste Michael Chertoff (Homeland Security), mais le sujet est classé ‘secret défense’.
Que faut-il de plus pour exiger des comptes de ces sionistes responsables du terrorisme synthétique et de la mascarade de la guerre au terrorisme?
Plus de détails sur l'enquête du 11 septembre ici.
La conspiration du 11 septembre (et le rôle du Mossad)
La connexion Verint, compagnie israélienne chargée de la surveillance du Métro de Londres lors des attentats