Opération CIArkozy 3 : Comment assurer la 2ème partie du mandat :

A l'aube de l'aggravation de la crise, du chômage pour la rentrée de Septembre ainsi que pour couvrir les perturbations sociales entre Septembre et Octobre, les conseillers de l'Elysée élabore un plan de relance du mandat présidentiel en 3 étapes :

- Redonner un surplus de confiance et de compassion au chef de l'Etat avant la rentrée sociale, en mettant en scène un faux malaise cardiaque.

- Masquer l'aggravation du chômage avec l'instrumentalisation du virus H1N1, préparation du vaccin obligatoire pour tous en Octobre-Novembre 2009.

- Changement de style du président suivant la 1ère étape, discours plus concis et écourtés afin de maintenir un taux de confiance équilibré jusqu'en 2012.

Buts des étapes :

- Attirer une sympathie naïve, agissant psychologiquement sur les électeurs, montrant l'esprit de sacrifice du chef de l'Etat pour la patrie.

- Focalisation des médiats sur la grippe porcine, comme en 1976 aux Etats-Unis, pour masquer à cet époque l'augmentation du coût du pétrole.

- Mise en place des éléments pour la sortie de crise, faire en sorte que le président soit l'instigateur de celle-ci.



Il s'agit de la fin du plan de ré-élection qui avaient pour précédent :

- Contrôle des médiats France Télévision et de radio-France pour accompagner ce processus

- Faire en sorte que Ségolène Royal reste la candidate de la Gauche par médiatisation.

- Eviter l'aspect légitime du PS en créant des conflits internes à l'instigateur du Franc-Maçon Manuel Valls.

- En cas d'échec des objectifs précédents, préparer Dominique Strauss-Khan pour garantir et sécuriser l'élite néo-libérale atlanto-sioniste.


La main-mise de l'injustice perdurera...

en plein dans le mil !!!

j'y ajouterai son GRAND empreint national qui va fidéliser des "empreinteurs" en électeurs !!! avec un livret A au plus bas ...
tous les moyens sont bons pour fidéliser la clientèle

"En septembre 2008, le gouvernement tablait sur 3% de déficit.Le 4 mars, le meme gouvernement annonçait un déficit problable de 5,6% du PIB en 2009, soit largement plus que les 3% définis par les critères de Maastricht.Le 16 juin, Eric Woerth, ministre du budget, créait la sensation avec un déficit "probable" de 6% du PIB.Moins d'une semaine plus tard, le meme ministre repartait à la hausse avec un déficit prévu entre 7%et 7,5% en 2009 et "probablement le meme déficit en 2010, soit environ 140 milliard d'euros tandis que le déficit de la Sécurité Sociale devrait avoisiner les 20 milliards d'euros en 2009 et les 30 milliards en 2010.Tout cela, pour finir réellement sans doute au dessus de 8%.
Autant d'élements qui permettent aisément de comprendre que le "grand emprunt" lancé par Sarkozy servira non à des investissements "durables" mais à rembourser les intérets d'une dette vertigineuse.La charge de cette dette, initialement prévue à 44 milliards d'euros, pourrait monter jusqu'à 55 milliards d'euros.
Pour résumer, l'Etat français emprunte pour payer des préteurs de plus en plus gourmands. Il applique la stratégie de la "chaine de Ponzi" utilisée par Bernard Madoff.Cet emprunt ne pourra etre doublé que par une nouvelle vague de privatisations et une augmentation des impots, une solution que Nicolas Sarkozy prétend rejeter.Début 2010, si l'emprunt n'est pas souscrit, l'Etat sera en faillite ....."

source : faits et documents, lettred'informations confidentielles d'Emmanuel Ratier no 280 ( faits et documents bp 254-09 75424 PARIS
cedex 9 )