Méthodes pour obtenir des comportements :
Dette : être en dette, c'est avoir plus reçu que donné. Dans une telle situation, on va naturellement essayer de donner pour rétablir l'équilibre ou en tout cas accepter une autorité nous disant de rendre la pareille. Convaincre les gens qu'ils sont en dette, soit en surestimant ce qu'on leur donne, soit en se faisant passer pour celui qui donne comme par exemple avec la création monétaire taxée par les banques, on peut exiger des intérêts pour les emprunts des particuliers ou pour la dette nationale. Les gens se sentant endettés vont alors payer leur tribu. En réalité la majorité des gens qui sont officiellement endettés ne le sont pas réellement envers leurs semblables. L'argent et la finance permettent ce genre de pirouettes, et permet de masquer une dette sociétale des pays développés envers les pays "pauvres".
Peur panique : en flanquant la frousse au gens, on peut leur imposer des limites sans qu'ils s'en aperçoivent. La peur inhibe la pensée et invite à la fuite ou au combat. La fuite est utilisée pour créer un enclos mental, et le combat est utilisé pour justifier la guerre. C'est donc une méthode de contrôle social et de justification d'actions impopulaires pour des buts stratégiques non explicites. Le but n'est pas forcément de convaincre de la menace, mais de convaincre que les gens en général en sont convaincu.
Désinformation : lorsque l'on est conscient de ce qu'il se passe, on est à même d'y réagir. Alors, en limitant le contact entre les gens et l'information sur leur environnement réel et en inventant une pseudo-réalité, on peut induire des comportements décalés par rapport à la réalité. On transforme alors la réalité selon ce qu'on veut obtenir. C'est le principe de la propagande utilisée partout dans le monde, notamment les média de masse.
Valorisation narcissique : il s'agit de parler des actions envisagées comme des choses magnifiques dont nous seront fier. Par exemple, de mettre en place la démocratie dans le monde.
Méthodes pour faire rentrer dans le rang :
Culpabilité : quand on est coupable, on doit réparer ou bien donner quelque chose de valeur supérieure au tort, ou bien se devouer au bien commun. Si la personne n'accepte pas simplement des excuse ou qu'il est possible qu'on cause des dommages similaires à l'avenir, mériter une punition pour nous "convaincre" de ne pas recommencer, que ce soit des chatiments corporels ou bien la privation de liberté. On voit alors l'intérêt égoïste qu'il peut y avoir à ce que d'autres se sentent coupables, afin d'obtenir d'eux ce qu'on désire et qu'ils désirent eux-mêmes se punir s'ils ne nous donne pas satisfaction. La religion fait abondamment usage de cette technique. En réalité, une partie de la culpabilité s'annule étant donné que s'il nous arrive de blesser les autres par manque d'empathie, il arrive que les autres nous blessent également. La culpabilisation consiste alors à compter uniquement les torts que fait subir la personne, et pas ceux qu'elle subit.
Pessimisme : lorsque l'on est déprime ou que l'on est sujet à la résignation aquise, on ne tentera pas de se libérer, on obéit en évitant les coups et en attendant que cela se passe. L'optimisme raisonnable est donc une entrave au contrôle social. Il peut paradoxalement être neutralisé par l'exhibition d'un optimisme naïf. Les gens qui ont des status sociaux élevés peuvent donc penser avoir un intérêt à maintenir un pessimisme généralisé. On peut aussi obtenir un effet semblable grâce à l'apathie et au divertissement.
La méfiance : Que personne ne se fasse confiance est un moyen d'éviter toute association construite et organisée des gens pour s'affranchir.
L'ego : en dévalorisant les comportements non souhaités, voire en dévalorisant les personnes directement, on les dissuade de faire certaines choses. Lorsqu'un groupe entier intègre une norme de dévalorisation, il devient très difficile pour quelqu'un de ne pas s'y conformer, parce que l'on recherche la reconnaissance sociale parfois quel qu'en soit le prix.
Méthode pour détourner l'attention :
Le diverstissement ou la diversion : on peut le rapprocher de la désinformation et de la séparation entre les gens et les informations sur leur environnement. Par exemple, en utilisant l'humour, on attire les gens vers des produits, ou avec le mystère on attire les gens vers des films ou des théories farfelues.
Le désir : ce qui nous amène à encore une autre méthode, la canalisation et la génération des désirs. Si les gens sont trop occupés à chercher à assouvir des désirs impossibles, ils sont "neutralisés". On utilise le désir de séduire, de plaire, de fonder une famille, d'avoir des enfants qu'on canalise vers des produits à acheter (une 806 par exemple, un déodorant). Et bien sûr, pour pouvoir se procurer ces choses, il faut travailler.
Dette : être en dette, c'est avoir plus reçu que donné. Dans une telle situation, on va naturellement essayer de donner pour rétablir l'équilibre ou en tout cas accepter une autorité nous disant de rendre la pareille. Convaincre les gens qu'ils sont en dette, soit en surestimant ce qu'on leur donne, soit en se faisant passer pour celui qui donne comme par exemple avec la création monétaire taxée par les banques, on peut exiger des intérêts pour les emprunts des particuliers ou pour la dette nationale. Les gens se sentant endettés vont alors payer leur tribu. En réalité la majorité des gens qui sont officiellement endettés ne le sont pas réellement envers leurs semblables. L'argent et la finance permettent ce genre de pirouettes, et permet de masquer une dette sociétale des pays développés envers les pays "pauvres".
Peur panique : en flanquant la frousse au gens, on peut leur imposer des limites sans qu'ils s'en aperçoivent. La peur inhibe la pensée et invite à la fuite ou au combat. La fuite est utilisée pour créer un enclos mental, et le combat est utilisé pour justifier la guerre. C'est donc une méthode de contrôle social et de justification d'actions impopulaires pour des buts stratégiques non explicites. Le but n'est pas forcément de convaincre de la menace, mais de convaincre que les gens en général en sont convaincu.
Désinformation : lorsque l'on est conscient de ce qu'il se passe, on est à même d'y réagir. Alors, en limitant le contact entre les gens et l'information sur leur environnement réel et en inventant une pseudo-réalité, on peut induire des comportements décalés par rapport à la réalité. On transforme alors la réalité selon ce qu'on veut obtenir. C'est le principe de la propagande utilisée partout dans le monde, notamment les média de masse.
Valorisation narcissique : il s'agit de parler des actions envisagées comme des choses magnifiques dont nous seront fier. Par exemple, de mettre en place la démocratie dans le monde.
Méthodes pour faire rentrer dans le rang :
Culpabilité : quand on est coupable, on doit réparer ou bien donner quelque chose de valeur supérieure au tort, ou bien se devouer au bien commun. Si la personne n'accepte pas simplement des excuse ou qu'il est possible qu'on cause des dommages similaires à l'avenir, mériter une punition pour nous "convaincre" de ne pas recommencer, que ce soit des chatiments corporels ou bien la privation de liberté. On voit alors l'intérêt égoïste qu'il peut y avoir à ce que d'autres se sentent coupables, afin d'obtenir d'eux ce qu'on désire et qu'ils désirent eux-mêmes se punir s'ils ne nous donne pas satisfaction. La religion fait abondamment usage de cette technique. En réalité, une partie de la culpabilité s'annule étant donné que s'il nous arrive de blesser les autres par manque d'empathie, il arrive que les autres nous blessent également. La culpabilisation consiste alors à compter uniquement les torts que fait subir la personne, et pas ceux qu'elle subit.
Pessimisme : lorsque l'on est déprime ou que l'on est sujet à la résignation aquise, on ne tentera pas de se libérer, on obéit en évitant les coups et en attendant que cela se passe. L'optimisme raisonnable est donc une entrave au contrôle social. Il peut paradoxalement être neutralisé par l'exhibition d'un optimisme naïf. Les gens qui ont des status sociaux élevés peuvent donc penser avoir un intérêt à maintenir un pessimisme généralisé. On peut aussi obtenir un effet semblable grâce à l'apathie et au divertissement.
La méfiance : Que personne ne se fasse confiance est un moyen d'éviter toute association construite et organisée des gens pour s'affranchir.
L'ego : en dévalorisant les comportements non souhaités, voire en dévalorisant les personnes directement, on les dissuade de faire certaines choses. Lorsqu'un groupe entier intègre une norme de dévalorisation, il devient très difficile pour quelqu'un de ne pas s'y conformer, parce que l'on recherche la reconnaissance sociale parfois quel qu'en soit le prix.
Méthode pour détourner l'attention :
Le diverstissement ou la diversion : on peut le rapprocher de la désinformation et de la séparation entre les gens et les informations sur leur environnement. Par exemple, en utilisant l'humour, on attire les gens vers des produits, ou avec le mystère on attire les gens vers des films ou des théories farfelues.
Le désir : ce qui nous amène à encore une autre méthode, la canalisation et la génération des désirs. Si les gens sont trop occupés à chercher à assouvir des désirs impossibles, ils sont "neutralisés". On utilise le désir de séduire, de plaire, de fonder une famille, d'avoir des enfants qu'on canalise vers des produits à acheter (une 806 par exemple, un déodorant). Et bien sûr, pour pouvoir se procurer ces choses, il faut travailler.