D'ici quelques mois, la "liberté" sur internet, ce sera finie. Place au contrôle social totalitaire, et à la résistance armée?
inv
Le gouvernement envisage d'autoriser la police à poser mouchards et autres spywares dans nos ordinateurs.
Le gouvernement prépare une mise à jour de la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Lopsi 2). Une loi que le gouvernement voudrait présenter à l'automne en conseil des ministres.
Un point mobilise déjà ceux qui s'inquiètent pour les libertés et le respect de la vie privée. En l'état, cette loi permettrait d'introduire dans les ordinateurs des citoyens des mouchards informatiques.
Le texte stipule qu'il sera possible - à la demande d'un juge d'instruction - mais "sans le consentement des intéressés, d'accéder à des données informatiques, de les observer, les collecter, les enregistrer, les conserver et les transmettre, telles qu'elles s'affichent pour l'utilisateur ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractère".
Concrétement, la police pourra installer à distance des logiciels espions, ou spyware, des enregistreurs de frappe par exemple. La police pourra aussi installer un dispositif technique - pas plus gros qu'un morceau de sucre - dans l'ordinateur. Il pourra être mis en place par la police à toute heure, en s'introduisant dans tout lieu.
La justice et la police pouvaient déjà placer des caméras et des micros espions dans les lieux privés mais elle n’avaient pas le droit d’intervenir en douce sur les ordinateurs.
inv
Le gouvernement envisage d'autoriser la police à poser mouchards et autres spywares dans nos ordinateurs.
Le gouvernement prépare une mise à jour de la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Lopsi 2). Une loi que le gouvernement voudrait présenter à l'automne en conseil des ministres.
Un point mobilise déjà ceux qui s'inquiètent pour les libertés et le respect de la vie privée. En l'état, cette loi permettrait d'introduire dans les ordinateurs des citoyens des mouchards informatiques.
Le texte stipule qu'il sera possible - à la demande d'un juge d'instruction - mais "sans le consentement des intéressés, d'accéder à des données informatiques, de les observer, les collecter, les enregistrer, les conserver et les transmettre, telles qu'elles s'affichent pour l'utilisateur ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractère".
Concrétement, la police pourra installer à distance des logiciels espions, ou spyware, des enregistreurs de frappe par exemple. La police pourra aussi installer un dispositif technique - pas plus gros qu'un morceau de sucre - dans l'ordinateur. Il pourra être mis en place par la police à toute heure, en s'introduisant dans tout lieu.
La justice et la police pouvaient déjà placer des caméras et des micros espions dans les lieux privés mais elle n’avaient pas le droit d’intervenir en douce sur les ordinateurs.