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L’amnésie semble être générale, totale et insidieusement soutenue par les médias et par un formatage toujours plus inculte des citoyens, surtout des plus jeunes. Il suffit de regarder un peu les données climatiques anciennes pour se rendre compte que sécheresses, tempêtes et autres catastrophes climatiques ont émaillé le passé, partout à travers le monde et que ce sont les périodes froides qui ont causé le plus de dommages aux sociétés humaines alors que les périodes chaudes ont toujours été plutôt bénéfiques.
L’ahurissant conditionnement médiatique actuel rappelle les heures les plus sombres où l’on poussait les peuples à guerroyer contre ses voisins ou une autre religion. Aujourd’hui, c’est l’humain que l’on dresse insidieusement contre lui-même, lui faisant porter toute la charge émotionnelle d’un système où l’argent, seul impératif, pousse à l’exploitation extrême de toute la planète.
De toute évidence, nous allons revoir des humains conduisant d’autres humains à la mort, froidement, sans émotion, car ils seront persuadé d’agir pour le bien commun, pour le bien de la planète.
Le monde est au bord d’un gouffre, effectivement, mais ce gouffre n’est pas climatique. A part une soudaine vague de froid, toujours possible, qui affamerait une grande partie de l’humanité, c’est l’économie qui est la plus inquiétante.
Mais cette crise n’est pas accidentelle. On voudrait nous faire croire le contraire mais ce sont bien quelques personnes qui sont responsables, à la base, de cette crise. Ces mêmes personnes ayant mis en marche les subprimes sont les mêmes qui les ont disséminées dans tout le système ( les subprimes sont des crédits immobiliers concédés aux revenus les plus faibles, ces crédits ayant été revendus partout dans le monde, dans des "paquets" de titres), et ces mêmes personnes ont décidé d’augmenter les taux 17 fois dans les années suivantes, rendant ces crédit irremboursables. C’est bien une stratégie, une démolition contrôlée de l’économie mondiale.
Le discours de plus en plus présent sur le surpopulation et le besoin de réguler (dans le meilleur des cas) celle-ci, masque une volonté déjà ancienne, remontant au courant eugéniste du début du siècle dernier. Nous devons nous rappeler comment cette folie scientifique globale a finie. Il est bon aussi de se rappeler que les auteurs des plus atroces expériences faites dans les camps de la mort ont été extradés et naturalisés par les U.S.A après la guerre. Ils ont pu, en totale impunité, faire profiter de leur grand savoir sur les limites humaines une nation qui pratique maintenant les enlèvements, la torture et très certainement l’élimination des "opposants" à son hégémonie.
Oui, il y a un plan sous la manipulation climatique, il y a un plan sous la crise économique, sous la pandémie qui n’en est pas une. Il y a un plan avec des relents nauséabonds d’éliminations massives. N’oublions pas que si le massacre a cessé un jour, ce qui n’est pas sûr, il a repris de plus belle depuis un jour de fin d’été, en 2001. Depuis, le fracas des bombes occidentales se répand chaque jour un peu plus, et la liste des victimes innocentes s’allonge toujours à l’infini. Car nos dirigeants ont accepté le concept de guerre permanente et sans fin. Et c’est bien la première fois dans toute l’Histoire connue de l’humanité que des chefs ne promettent pas la victoire, mais seulement une guerre éternelle.
Ou bien nous ont-ils promis une guerre suicidaire, une guerre déjà perdue ?
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article7042
L’ahurissant conditionnement médiatique actuel rappelle les heures les plus sombres où l’on poussait les peuples à guerroyer contre ses voisins ou une autre religion. Aujourd’hui, c’est l’humain que l’on dresse insidieusement contre lui-même, lui faisant porter toute la charge émotionnelle d’un système où l’argent, seul impératif, pousse à l’exploitation extrême de toute la planète.
De toute évidence, nous allons revoir des humains conduisant d’autres humains à la mort, froidement, sans émotion, car ils seront persuadé d’agir pour le bien commun, pour le bien de la planète.
Le monde est au bord d’un gouffre, effectivement, mais ce gouffre n’est pas climatique. A part une soudaine vague de froid, toujours possible, qui affamerait une grande partie de l’humanité, c’est l’économie qui est la plus inquiétante.
Mais cette crise n’est pas accidentelle. On voudrait nous faire croire le contraire mais ce sont bien quelques personnes qui sont responsables, à la base, de cette crise. Ces mêmes personnes ayant mis en marche les subprimes sont les mêmes qui les ont disséminées dans tout le système ( les subprimes sont des crédits immobiliers concédés aux revenus les plus faibles, ces crédits ayant été revendus partout dans le monde, dans des "paquets" de titres), et ces mêmes personnes ont décidé d’augmenter les taux 17 fois dans les années suivantes, rendant ces crédit irremboursables. C’est bien une stratégie, une démolition contrôlée de l’économie mondiale.
Le discours de plus en plus présent sur le surpopulation et le besoin de réguler (dans le meilleur des cas) celle-ci, masque une volonté déjà ancienne, remontant au courant eugéniste du début du siècle dernier. Nous devons nous rappeler comment cette folie scientifique globale a finie. Il est bon aussi de se rappeler que les auteurs des plus atroces expériences faites dans les camps de la mort ont été extradés et naturalisés par les U.S.A après la guerre. Ils ont pu, en totale impunité, faire profiter de leur grand savoir sur les limites humaines une nation qui pratique maintenant les enlèvements, la torture et très certainement l’élimination des "opposants" à son hégémonie.
Oui, il y a un plan sous la manipulation climatique, il y a un plan sous la crise économique, sous la pandémie qui n’en est pas une. Il y a un plan avec des relents nauséabonds d’éliminations massives. N’oublions pas que si le massacre a cessé un jour, ce qui n’est pas sûr, il a repris de plus belle depuis un jour de fin d’été, en 2001. Depuis, le fracas des bombes occidentales se répand chaque jour un peu plus, et la liste des victimes innocentes s’allonge toujours à l’infini. Car nos dirigeants ont accepté le concept de guerre permanente et sans fin. Et c’est bien la première fois dans toute l’Histoire connue de l’humanité que des chefs ne promettent pas la victoire, mais seulement une guerre éternelle.
Ou bien nous ont-ils promis une guerre suicidaire, une guerre déjà perdue ?
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article7042
