LA NATION LIBRE
1 - La dissidence spirituelle
La libération individuelle n'est possible que dans un cadre social harmonieux, où l'individu peut puiser la force de s'élever au dessus des systèmes de puissance matérielle. Or, aujourd'hui, l'emprise des réseaux électromagnétiques bloque la réception et l'assimilation des énergies cosmiques pures.
L'individu, sous tension constante de millions d'ondes, est le récepteur inconscient d'informations fausses dont l'atmosphère est saturée.
Il doit s'en soustraire en transférant son potentiel vital dans un système social absolument différent que nous appelons la « Nation Libre ».
La Nation Libre n'est pas une entité fermée mais c'est la fédération des communautés réunies par affinités d'âme, et échappant au contrôle mondial.
L'individualisme est une attitude de liberté illusoire qui conduit à une plus forte dépendance par rapport à la sous-conscience collective.
La liberté intérieure ne peut s'exercer pleinement que dans un cadre véritablement humain, une communauté d'âme une famille énergétique - unie dans la création, la production, la spiritualité et le gouvernement.
Il faut s'organiser en nation politique indépendante pour semer le germe d'une nouvelle civilisation.
L'isolement de la fausse unité virtuelle fait retomber dans la sphère du système de masse qui domine la conscience collective. (exemple : les réseaux de « prière pour la paix » sous contrôle de services spéciaux et des gourous qu'ils manipulent; les émissions « d'ondes d'amour » par la technologie ELF, la propagande pour « l'unité mondiale », et toutes les séductions anesthésiantes &)
L'espoir en une unité internationale - l'alter mondialisme ou le nouvel âge - est une propagande pour mettre l'humanité sous contrôle par la « douceur » avant l'usage de la violence effective - ou pour la masquer.
L'espérance en un sauveur providentiel, politique ou messianique, paralyse la volonté d'agir et anesthésie les ressources spirituelles profondes.
A l'avenir, une authentique communauté humaine devra être constituée d'un groupe d'individus unis dans un même but spirituel. Ils se seront choisis et acceptés, se connaîtront, pourront se voir, se parler, collaborer et s'aimer. Ils viseront un but supérieur de libération de groupe.
Leur potentiel énergétique collectif se déploiera en une force donnant naissance à la « technologie morale ». (Machines éthériques réagissant à l'amour et protections neutralisantes.)
Il faut se soustraire à l'emprise psychique et culturelle collective pour recréer des foyers de civilisation qui seront comme des îles sur la mer houleuse des temps à venir.
L'idée de se constituer en Nation Libre est un acte de rupture. C'est l'amorce de la séparation de l'humanité en deux races distinctes. Ce processus de sélection est en voie de s'accomplir. D'un côté, la masse soumise aux autorités, et de l'autre, une minorité qui aspire à une vie radicalement autre.
Cette minorité doit s'organiser pour se protéger des nuisances de la « technologie noire », mais aussi, dans un proche avenir, elle devra repousser les pressions brutales exercées pour la remettre au pas.
Plus tard, grâce à la technologie morale fondée sur « l'énergie libre intérieure », l'adversité sera tenue à distance, et cette minorité pourra créer une civilisation autonome.
Ceux qui ne peuvent pas encore lâcher le système, ou qui croient en son amélioration, pourront rejoindre la Nation Libre ultérieurement.
Pour le moment, peu d'êtres comprennent ce qu'implique une rupture avec le système, et comment la réaliser spirituellement et pratiquement.
Lorsque des coercitions morales ou des persécutions surviendront, ils verront clairement à quel type d'esclavage et de robotisation on les amène dans l'ordre mondial. Alors, beaucoup voudront s'échapper. En attendant, ils rêvent que les loups vont se transformer en agneaux. Cette inertie est entretenue par la propagande idéaliste et pacifiste par laquelle on leur lave le cerveau.
Comment libérer l'énergie libre intérieure ?
Cette question conditionne l'existence d'une Nation Libre. Sans énergie, pas de survie et pas de vie.
L'acte de dissidence par rapport au « monde du mal » - qui est la civilisation fondée sur les énergies électromagnétiques violentes et le matérialisme - cet acte de dissidence est un acte de conscience.
Celui qui est conscient de la souffrance qui règne ici-bas, l'exploitation des règnes vivants et l'esclavage humain, et qui réalise lucidement que la situation dépassera les cauchemars de la science fiction, cet être est en train d'acquérir la conscience de l'ère nouvelle.
Cette conscience sensible est capable de se relier à des courants spirituels qui peuvent régénérer la vie planétaire corrompue. Mais, ces forces ne sont assimilables que par des êtres humains acceptant les enjeux de ce renouvellement. Cela implique de fonder un groupe social, une civilisation fondée sur l'énergie libérée par un nouveau métabolisme organique et spirituel. Il faut une mutation intérieure pour parvenir à l'unité de la tête et du coeur et disposer d'une véritable science spirituelle.
Cette conscience morale ne peut se compromettre avec la civilisation actuelle. Un être qui s'attache au vieux monde ne peut pas éprouver cette force subtile. Il n'est pas encore sur la bonne fréquence.
Par contre, un groupe d'êtres conscients, emplis d'un désir d'absolu, peut devenir le récepteur d'une grande force cosmique. C'est cela la Nation Libre.
2 - L'âme combattante
Qu'est-ce qu'un esprit léger aujourd'hui ? C'est quelqu'un qui dit par exemple : « Moi , on ne m'obligera pas à recevoir la puce sous-cutanée ! »
A l'heure ou certains pays imposent la « puce » aux enfants des écoles sous prétexte de sécurité, on peut prévoir que de manière irréversible, ce processus aboutira à une loi « démocratique » nous obligeant à nous faire injecter une micro chip, au risque, en cas d'insoumission, de devenir des parias privés de droits et de moyens de subsistance.
Il ne sera plus temps d'appeler au secours les ligues de défense des droits de l'homme, car celles-ci seront alors devenues les pires adversaires de la liberté. Il n'y aura aucun lieu où se réfugier dans l'empire mondial. Pas même une jungle.
Un esprit superficiel, c'est quelqu'un qui dit : « On en arrivera jamais là ». (C'est qu'il a déjà accepté)
Un esprit plus stupide encore, dira : « On verra pour se protéger le moment venu ». Quant à celui qui est débile, il en arrive à penser : « De toute façon, je serai mort d'ici là ».
Que peuvent faire les êtres sensibles et conscients ?
Il faut examiner la situation sans se voiler la face, en restant sourd au chant des sirènes, ce qui est devenu une tâche de tous les instants.
Il faut anticiper les évènements à venir, en déduisant les effets lointains de ce qui se prépare sous nos yeux. Il faut réaliser qu'un puissant esprit démoniaque est à l'oeuvre, et qu'il attaque l'âme depuis l'intérieur de l'être si bien qu'on ne peut que constater son inexorable avancée.
Il faut savoir également que l'enjeu spirituel de cette bataille est d'opérer une sélection des âmes, en mettant l'homme au défi de résister au mal en refusant la robotisation de la culture binaire.
C'est le temps de la séparation entre les « bons » tournés vers l'esprit, et les « mauvais » tournés vers la matière. Ceux qui voient là un dualisme simpliste, ont déjà choisi leur camp.
La minorité qui se démarquera sera constituée des êtres (encore humains) qui prennent conscience de l'enfer où l'on nous entraîne, enfer où nous descendons lentement et inéluctablement, par manque de vision des risques comme si nous étions paralysés dans l'impasse du présent.
On ne voit pas ce qu'il serait possible de faire pour inverser le cours des choses. Alors, en attendant, nous nous perdons en conjonctures, en nous réfugiant dans notre séculaire attitude de l'autruche.
Vous pouvez encore agir, spirituellement et concrètement. Il y a une marge de manoeuvre si vous vous arrachez à vos évasions. Mais il faut mettre de côté ce qui est personnel, alors que tout renforce notre individualisme.
Rassemblez-vous avec ceux qui refusent l'engloutissement matérialiste. Démontrez votre volonté de maintenir des foyers de vie décente sur cette planète, afin que les âmes qui doivent y descendre, trouvent des conditions d'incarnation préservées. Pensez à défendre la dignité de l'âme, maintenant et pour le futur.
Tout en travaillant à votre élévation de conscience dans le présent, vous pouvez préparer de bonnes conditions pour les âmes qui descendront ici-bas pour accomplir leur périple selon le plan divin.
Car la vie continuera pendant des millénaires même si une guerre éclate entre les camps des « bons » et des « mauvais ». (Les forces libres seront protégées par leur technologie morale fondée sur l'énergie libre intérieure.)
La puissance démoniaque qui agit à travers la technologie actuelle n'en est encore qu'à ses débuts ! Sa victoire sur l'ensemble de l'humanité sera totale, à l'exception du petit nombre qui se démarque, avec encore trop d'hésitation, à cause de la névrose sécuritaire qui s'est emparée de tous.
C'est le temps de la grande séparation.
Pour que personne ne s'échappe, l'ordre mondial nous met sous contrôle par tous les moyens : économiques, technologiques et même spirituels !
Comment s'échapper ? Regroupez-vous au sein de la nouvelle entité communautaire - la Nation Libre - qui forgera sa propre économie, sa technologie et sa jurisprudence. Quittez le courant de la mort.
Un noyau de personnes très déterminées constitue déjà le germe d'une nation libérée. C'est une force collective pouvant déplacer des montagnes.
La séparation a commencé. Elle s'opérera durant les siècles à venir et sera définitive lorsque la planète, transformée en un immense appareil électronique ne permettra plus aux âmes de s'incarner.
Idéalistes, vous ne sauverez pas la nature de la dégradation, mais vous pourrez trouver refuge dans les enclaves des tribus de la « nation libre ».
Pour les plus téméraires, il n'est pas interdit de programmer une future reconquête de la planète. Cela est une belle éventualité, si l'on parvient à développer une puissance énergétique pouvant neutraliser les organisations qui détiennent la technologie noire. Pour l'heure, l'idée de combattre nous effraie, car nous sommes anesthésiés. Mais, lorsqu'on viendra nous implanter la puce ou pour toute autre raison abominable, il se peut qu'un sursaut se produise.
S'arracher à l'individualisme est le défi actuel car la culture binaire isole l'individu. En unissant nos forces, nous pourrons résister à la Bête.
Nous ne pouvons vaincre le Mal mais on peut le tenir à distance et construire une société hors de son influence. C'est la mission d'une âme combattante.
3 Principes de fondation
Sans craindre de passer pour un utopiste, ce qui est contraire à mon état d'esprit, puisque je dénonce le messianisme nouvel âge et les idéalismes planétaires, je prends le risque de poser les principes d'une société alternative. Cela paraît irréalisable aux esprits à la vue courte, mais il faut commencer à forer une issue. C'est le premier pas qui coûte. La théorie sera brève, car il ne s'agit pas de démonstration intellectuelle mais de compréhension du Coeur.
La plupart des penseurs sont prisonniers d'une vision internationaliste du destin humain. Tout au contraire, l'avenir dépend d'une minorité de conscience qui rompra avec l'ordre ancien pour prendre une voie nouvelle.
La Nation Libre est une dissidence, spirituellement armée, qui organise la défense des âmes qui s'incarneront longtemps encore sur cette terre pour y faire les expériences nécessaires à l'élaboration de leur « corps d'immortalité ».
C'est du réalisme spirituel, en opposition au matérialisme qui va robotiser l'homme jusqu'à produire des monstres.
Au début de toute chose, il y a une idée qui a fait son chemin. Une idée est une graine. Placée dans un milieu propice, elle germera au bon moment si un nombre suffisant d'esprits lui en donnent la force. Ainsi vitalisée, l'idée déploiera sa vitalité et son champ de rayonnement dans le domaine approprié : artistique, scientifique, philosophique ou politique.
L'idée de la « Nation Libre » est spirituelle mais sans rapport avec une tradition. Elle est sociale mais sans rapport avec une idéologie.
L'idée de fonder une nation libre au coeur de l'ordre mondial impérial, peut être exprimée simplement, sans démonstration philosophique. C'est une idée évidente pour qui la capte. Mais elle ne concerne pas les foules, et ne fera pas l'objet de prosélytisme.
Rappelons ce qu'est une nation.
Une nation est une « communauté humaine caractérisée par la conscience de son identité historique ou culturelle, et généralement par l'unité linguistique ou religieuse ».
Nous sommes des êtres humains, membres de la nation française dont les restes historiques, religieux et culturels surnagent dans la mare de l'ordre mondial. L'unité linguistique est le dernier lien entre nous, quoique menacé par la puissance de l'impérialisme anglo-saxon.
Bientôt, le dernier vestige authentique de la France, comme de toutes les nations historiques, sera dans un musée, et les nostalgiques de la « patrie » ne s'accrocheront qu'à des lambeaux de rêves à jamais perdus. Certains s'en contentent et continueront de crier « vive la liberté » avec une puce digitale implantée dans le cou. L'idéalisme c'est stupide quand on est incapable d'élaborer une stratégie.
Nous vivons souvent dans un rêve. Le rêve d'un monde meilleur ou d'une société idéale.
Les gens qui veulent refaire le monde empoignent le problème du mauvais côté.
L'état du monde est le reflet de la conscience globale de l'humanité. Tous les gouvernements sont légitimes, même s'ils nous révulsent, car ils sont à l'image des masses. C'est la première leçon de réalisme si l'on veut aller plus loin.
Allant au bout de la réflexion, on se dit : « Il faut se changer soi-même ». C'est le début de la sagesse.
C'est une prise de conscience élémentaire mais que nombre d'idéalistes ne font pas. Elle couperait l'herbe sous le pied de l'activisme qui masque leur incompétence à penser les problèmes jusqu'au bout.
Car il est plus difficile de se changer intérieurement que de militer pour une bonne cause ou d'adopter un mode de vie extérieur. Si un changement de conscience était facile, ceux qui descendent dans la rue pour contester l'ordre mondial, réaliseraient qu'ils sont les pions d'une partie macabre. Alors, ils feraient retour sur eux-mêmes, et commenceraient leur révolution intérieure. Mais c'est plus difficile que de brandir des slogans, au demeurant inventés par les maître de l'ordre mondial totalitaire.
S'il était facile de se changer soi-même, les gens le feraient car ils y verraient un avantage. Tandis que l'on bataille avec soi-même pour changer de mentalité, la société ne nous facilite pas la tâche.
Certes, elle nous procure les épreuves dont nous avons besoin pour avancer, mais de plus en plus, le monde des gens ordinaires est pénible à supporter. Pour les âmes sensibles, la décadence moderne rend l'existence douloureuse.
La vie est devenue un combat dangereux, ne serait-ce que par l'air qui véhicule une pollution spirituelle qui n'a rien de chimique.
Les expériences de « vie alternative » ont échoué, et qu'on ne vienne pas nous dire que des « éco-villages gaulois » résistent à l'ordre mondial. Tout le monde respire l'air empoisonné, et cherche trois sous à gagner. L'individualisme est à son comble.
Considérant cette situation, deux attitudes sont possibles : se lamenter ou accepter. Ces attitudes ne sont pas satisfaisantes. Les agressions que l'on endure ne sont pas acceptables, et le pire est à venir.
Tout en nous consacrant à notre éveil intérieur, on se demande ce qui est souhaitable pour le bien collectif ?
La solution est loin d'être évidente de prime abord.
Puisque tout semble perdu, que le système n'est pas réformable, et qu'il serait même criminel de l'entretenir et de le faire durer à coups de thérapies miracles, il reste une issue pour qui n'accepte pas de sombrer.
Nous parlons à ceux qui ne supportent plus le matérialisme arrogant et la propagande cynique du « meilleur des mondes ». En aucune façon, il ne s'agit de troubler les gens satisfaits de leur sort, la masse soumise et les charlatans du new age.
Non, nous parlons à une minorité de conscience - une minorité moralement persécutée - et sans doute à une minorité infime dans cette catégorie.
Qu'avons-nous à lui annoncer qui pourrait la tirer de sa morosité et l'aider à faire face au temps présent ? Nous lui proposons d'imaginer ce que pourrait être la civilisation qui remplacera l'ordre des choses qui s'engage toujours plus dans la folie.
Il ne s'agit pas d'un « royaume terrestre ». Nous ne leur offrons pas une théocratie, mais nous leur proposons de devenir un peuple de la conscience.
L'alternative est simple : soit constituer une fédération de nations indépendantes ou bien se résoudre à adopter la citoyenneté de l'ordre mondial. Aujourd'hui, la nationalité française ne recouvre que l'appartenance linguistique à la minorité francophone, laquelle est fondue dans le nouvel ordre mondial. C'est valable pour les indiens d'Amazonie comme pour les esquimaux. Tous les humains sont citoyens de l'ordre impérial planétaire dont la République française maçonnique n'est qu'une colonie, au demeurant bananière.
L'idée de la Nation Libre est annoncée.
Comment définir la Nation Libre ?
C'est une communauté humaine caractérisée par la conscience de son identité morale et spirituelle.
C'est un groupe humain, difficilement quantifiable, qui ne s'identifie plus au monde actuel. Rien de spectaculaire pour le moment, et cette « migration spirituelle » n'est pas observée par les instituts.
Les participants à cette mutation, ont un point commun, ils ressentent un appel indicible qui les détache du monde des gens ordinaires.
Sortir d'où pour aller vers quoi ?
L'histoire contemporaine nous a montré qu'un groupe ethnique dispersé sur la surface de la terre a constitué un état qui n'existait pas - l'état d'Israël - grâce il est vrai, à l'argent de financiers dont ce projet satisfaisait les visées politiques. Au début, personne ne voulait du projet « terre promise ». Personne ne l'aurait suggéré sans craindre le ridicule, et, Herzl le prophète du retour à Sion, fut pris pour un rêveur sans esprit pratique. Par l'effet de circonstances dramatiques manipulées il est vrai par des agents sionistes le monde a été mis devant l'évidence de la création d'un état juif.
Alors, nous voulons aussi retrouver un territoire, pour y vivre en accord avec notre conscience.
Toutefois, avant de revendiquer un territoire, il faut d'abord justifier qu'il existe bel et bien un peuple qui est réellement fondé d'avoir cette exigence.
Il faudrait d'abord être constitué en nation selon la définition de « communauté caractérisée par une identité culturelle ou spirituelle ». En principe, ce peuple existe dans les faits mais il doit manifester sa volonté de se couper de l'ordre mondial pour intégrer sa « terre promise » dans la nouvelle ère. Ce peuple, ce pourrait être vous.
Sur le territoire français, cela concerne un million de déportés placés sous le joug d'une civilisation d'occupation. Mais en réalité, nous sommes peut-être quelques milliers à comprendre ces choses. Et encore moins à vouloir quitter le courant &
Comment constituer la Nation Libre ?
Il n'est pas nécessaire de la constituer puisqu'elle existe de fait. Ceux qui en acceptent l'idée, tout en rejetant l'ancien système autant que les idéologies réformistes, et qui savent que le temps d'une mutation est venu, sont déjà accordés à la fréquence de la nation Libre.
Cette fréquence spirituelle est indépendante des croyances particulières et exclusives. Cela présage l'apparition d'une nouvelle race sur la terre, comme un « peuple élu », un groupe qui se sépare.
Qui est citoyen de la Nation Libre ?
La plupart sont en recherche d'une vérité qu'ils ne reconnaissent dans aucun système standardisé. Ils vivent dans un état de conscience limite, comme entre deux mondes, avec la nostalgie d'une perfection qui n'est pas de ce monde.
Ils seraient éventuellement prêts à laisser leur vie ancienne derrière eux, si l'opportunité se présentait de partir vers un autre monde. Sans doute, très peu d'entre eux ont vu cette aspiration autrement que comme un rêve lointain, car l'idée elle-même ne leur a jamais été présentée.
Les idéalistes de la vieille école ne parlent que de réformer le système, et aucun n'a le courage d'annoncer sa fin, et de préparer l'après ordre mondial.
Quelle que soit son orientation philosophique, quel que soit son statut social et son origine culturelle, sa psychologie ou ses goûts, le citoyen de la Nation Libre est une personne en voie de se reconnecter avec l'univers total et qui ne désire rien d'autre.
L'ouverture de la conscience et le désir d'une vie nouvelle sont les caractéristiques du citoyen de la Nation Libre. Il s'agit des qualités du pionnier.
Ce pionnier est centré sur le pôle spirituel de son être, et quoiqu'il soit conscient des réalités de l'existence, il n'est pas matérialiste, ni séduit par un projet ou une idéologie matérialiste.
Le pionnier de l'ère nouvelle a rejeté les idéologies anciennes, et les idéaux qui ne cadrent pas avec la réintégration dans l'univers multidimensionnel.
La Nation Libre est-elle soutenue ?
A défaut de recevoir le soutien des forces spirituelles anciennes, nous pensons que les hautes intelligences qui suivent le déroulement des affaires terrestres, ont déjà mis en place les lignes directrices de la civilisation qui naîtra à partir des nouveaux rayonnements cosmiques.
Contrairement à l'utopie new age qui espère la venue d'un sauveur, nous ne voulons pas sauver l'ordre ancien, ce qui est de toute façon impossible. Cette vision naïve est entretenue par des forces rétrogrades qui veulent neutraliser nos initiatives. Nous avons déjà réfuté l'idéologie nouvel âge et son néo-messianisme politique.
Si vous attendez un salut d'en haut, ou si vous espérez en un âge d'or sur la terre, cela vous rend inapte à changer les choses. L'espérance passive vous berce pendant que les maîtres du jeu blindent leur pouvoir. Il ne faut compter que sur nous-mêmes.
Les intelligences supérieures qui ont la bienveillance de s'intéresser à notre sort - ceux qui supervisent la situation dans ce coin mal famé de la banlieue galactique - n'interviennent jamais personnellement dans notre destin. Exceptionnellement, ils lancent une incitation au respect du libre arbitre. Se référer aux puissances supérieures n'est pas utile. Il y a toujours une possibilité d'exploitation dès qu'on en réfère à une autorité invisible prestigieuse.
De grandes âmes sont incarnées sur la terre, et les vaisseaux de visiteurs de civilisations plus avancées suivent les opérations en cours.
Chacun d'entre nous est aidé si cela s'avère utile.
Nous recevons les informations qui peuvent nous mobiliser et s'harmoniser avec la stratégie de la fraternité spirituelle qui veille sur le système solaire, mais qui nous laisse décider de notre sort. L'homme est libre de choisir son chemin.
Or, il y a deux chemins qui s'ouvrent &
Quelle force fera naître la Nation Libre ?
Le peuple qui se prépare à construire la civilisation nouvelle sera placé sous l'influence d'un champ spirituel spécial.
La nation Libre sera branchée sur un courant émanant de la source universelle. Dans le règne humain, cette énergie se manifeste comme une force intérieure harmonisant le mental et l'émotion. Elle peut devenir d'une grande puissance lorsqu'un groupe d'âmes se branche en unité sur cette force. Pour la différencier des qualités énergétiques répertoriées par les anciens systèmes ésotériques, nous l'avons nommé « énergie libre intérieure » car elle a le pouvoir d'être utilisée par des systèmes de « technologie morale », les appareils éthériques qu'utilisera la nation libre.
L'énergie libre intérieure est la propriété d'un collectif de conscience mais pas d'un individu isolé.
Sous la pression des événements, des groupes accordés spirituellement, se retrouveront unis au sein d'une confédération des peuples de la Nation Libre. Il recevront un afflux d'énergie qui les propulsera en avant car leur potentiel collectif servira de circuit de transmission aux rayonnements qui balaient actuellement notre planète.
Voilà ce que signifie approximativement la Nation Libre et la mission planétaire qui l'attend.
Les êtres humains ont été conditionnés à remettre leur sort entre les mains d'une autorité. Pour la masse, cela ne changera guère, mais ce n'est pas la masse qui déclenche les initiatives historiques. C'est une minorité qui fait l'histoire.
Un jour ou l'autre, il faudra bien se dire : « et si l'on reprenait en mains les affaires de cette planète au lieu de se laisser guider par de mauvais bergers qui nous tondent la laine sur le dos. »
Cette prise de conscience rebute l'être humain habitué à la passivité car il n'y voit pas d'issue immédiate. Il ne peut concevoir que sa volonté, sa pensée et son amour sont des forces qui peuvent influer sur le destin collectif.
Au lieu de rejoindre la cohorte des mécontents et des braillards, au lieu de se morfondre, au lieu d'attendre un miracle, au lieu de se résigner, au lieu de devenir malade ou méchant, reprenons notre destin en mains car l'opportunité est dans l'air.
Comment accélérer ce processus ?
Premier constat : une civilisation commence toujours avec quelques personnes réceptives qui sont là au bon moment pour incarner une idée.
Deuxième constat : les grandes intelligences qui supervisent les cycles terrestres travaillent avec ceux qui sont là pour passer à l'action. Il n'y a rien de pénible à faire si on se tient à l'écoute de l'univers. Rien de pénible ni de compliqué. Il suffit d'être ensemble, et d'être conscients.
Les esprits rassemblés dans l'intention de constituer le nouveau peuple qui construira la civilisation future, forment un champ de conscience particulier qui attire à lui la force universelle réservée à cet effet. A chaque nouveau cycle, une énergie nouvelle apparaît dans l'atmosphère. Ceux qui la captent forment le peuple élu de la nouvelle période.
Il n'est pas nécessaire d'enrober ce processus naturel avec de l'imagerie religieuse. Il est même déconseillé d'y projeter les bondieuseries de l'ère des Poissons. Cela ne sert plus à rien, et freinerait plutôt le flux de l'énergie pure qui se répand sur ceux dont le coeur est aujourd'hui ouvert.
Aide-toi et le ciel t'aidera
Rien ne peut s'opposer à la détermination positive de ceux qui sont appelés à recréer une réalité qui est déjà inscrite dans le devenir du monde. Il n'y a aucun risque de défaite lorsqu'on se place du côté de la loi universelle fondamentale.
Sans doute, nous avons beaucoup de volonté lorsqu'il s'agit de nous battre pour notre survie personnelle, mais nous sommes moins dynamiques quand c'est la cause collective qui nous sollicite.
Les humains attendent que le ciel fasse tourner le monde et pendant ce temps des pirates prennent les postes de commande. Après, il est trop tard, et l'on dit que c'est la faute aux méchants. Mais c'est la faute à notre paresse.
4 - L'écologie essentielle
La planète malade de l'homme
et le cycle dégénératif de l'oxygène
La race humaine devra quitter la Terre où elle s'auto-étouffe tout en dénaturant un milieu originellement conçu pour l'évolution des espèces non humaines. En s'accrochant à une dimension qui n'est pas la sienne, l'âme humaine se dénature et perturbe l'harmonie planétaire. Il faut donc concevoir une véritable écologie spirituelle, et mettre en place une civilisation qui nous permettrait de retrouver notre nature originelle. Nous allons en sens contraire en nous accrochant au plan physique par oubli de notre origine.
Les défenseurs de la nature sont très gentils, mais leur rêve d'une planète idéale provient de leur ignorance du cycle dégénératif constant.
La consommation d'oxygène entraîne l'émission de gaz carbonique qui est réassimilé par les autres règnes, qui à leur tour dégagent un oxygène de plus en plus dégradé selon son essence éthérique. Donc, la qualité spirituelle de l'air que notre âme absorbe et dont dépend sa santé est en chute continue. Ce processus est lent mais irréversible. Il est invisible à l'observation normale qui ne s'alarme que de la pollution chimique, sans voir qu'un auto empoisonnement définitif nous menace à long terme. Bien entendu, il s'agit là d'une position qui semble plus philosophique que scientifique, car l'humanité ne s'est jamais souciée de la qualité spirituelle de l'oxygène quelle respire. Les naturistes et idéalistes voudraient que la nature soit originellement pure et dans un état d'équilibre parfait. Mais c'est ignorer les raisons de la présence de l'être humain ici-bas. Les mythes racontent que nous avons été déportés de l'Eden initial sous une forme spirituelle d'abord, et que nous avons progressivement cristallisé notre enveloppe matérielle. Qu'importe si l'on rejette l'hypothèse spirituelle de l'origine de l'humanité, mais le fait de la constante dégradation du cycle de l'oxygène demeure. Les ésotéristes pouvant lire dans la mémoire de la nature, sont seuls capables de détecter la raison métaphysique du problème. L'empoisonnement est de nature éthérique.
Il découle directement de la présence anormale de l'humanité sur une dimension qui n'était pas originellement la sienne. L'on peut appeler cela « évolution », mais il s'agit en réalité d'une entropie, d'une chute constante dont la conséquence finale sera l'impossibilité de respirer sur cette dimension. C'est là l'origine de nos problèmes existentiels, lesquels ne sont pas créés par des prédateurs ou par un esprit mauvais inhérent à notre nature humaine, mais par notre présence anormale sur le plan terrestre. C'est pourquoi, quoi que nous fassions, en bien ou en mal, sur cette terre, nous l'usons et la détruisons. Nous la dégradons par le simple fait de respirer. Comment est-ce possible diront les gentils naturistes si fiers de leur planète bleue ? Voilà le secret. L'être humain était à l'origine un être spirituel qui a été déporté dans une zone galactique réservée aux règnes végétaux et animaux pour lesquels la Terre est un vrai paradis.
Ce paradis éthérico-organique a accueilli les entités humaines en quête d'un lieu de refuge et leur a fourni des corps extraits de son milieu. Ces organismes corporels sont terrestres mais l'entité spirituelle qui les habite est d'une autre nature. Il y a incompatibilité. C'est là l'origine de notre malaise existentiel, de notre folie, de notre incapacité de vivre heureux comme les animaux dans le vert paradis des bêtes, des plantes et des fées.
Nous usons lentement notre milieu d'accueil par notre souffle même, et finalement, nous le détruirons par notre science qui est une tentative désespérée pour survivre.
C'est pourquoi, le salut de l'homme et de la planète terre serait que nous retrouvions notre état spirituel afin de ne plus dépendre des conditions physiques, en soulageant ainsi les autres règnes de notre présence incongrue. La nature retrouverait alors sa qualité éthérique d'harmonie, et le monde retrouverait son état originel de « jardin de plaisance des dieux », alors qu'il en est devenu le dépotoir. Mais qui se soucie de la qualité éthérique des éléments vitaux ? Et pourtant, c'est là où réside la pollution irréversible, celle qui fera qu'un jour l'humanité ne pourra plus se maintenir sur le plan terrestre.
L'homme est une pile qui assimile et transforme des forces éthériques présentes dans l'atmosphère et dans les quatre éléments chimiques : hydrogène, oxygène, azote et carbone. A chacun de ces éléments correspond une force éthérique. L'oxygène est une condensation de « l'éther lumineux ». L'âme humaine assimile ces quatre nourritures éthériques correspondant à l'hydrogène, l'oxygène, l'azote et le carbone.
Notre vitalité, notre énergie vitale provient de ces substances éthériques que nous convertissons en forces dans notre organisme.
La respiration. La substance que nous inhalons est différente de celle que nous exhalons. Nous exhalons entre autres du gaz carbonique, oxyde de carbone qui est un produit de la combustion, une transformation de son double vital « l'éther chimique ». Nous connaissons différentes propriétés du gaz carbonique. L'atmosphère en contient naturellement, attendu qu'il se forme par la respiration des hommes et des animaux et par la combustion et la décomposition de matières organiques. Si rien ne l'empêchait, notre atmosphère contiendrait toujours davantage de gaz carbonique, ce qui nous serait funeste ; car une flamme s'éteint immédiatement dans ce gaz. Tout processus de combustion deviendrait donc impossible dans une atmosphère ainsi surchargée et toute vie y serait littéralement étouffée.
Pour parer à cette menace, le règne végétal intervient. Les feuilles de la plante absorbent le gaz carbonique et rejettent de l'oxygène.
Le règne végétal prévient donc notre asphyxie par un produit de notre propre pile humaine !
Des observateurs ont déterminé dans quelle mesure l'atmosphère peut être saturée de gaz carbonique sans entraîner la mort.
Un homme normal peut, dit-on, supporter 5% de gaz carbonique. Or, remarquez que ce gaz est toujours présent dans l'atmosphère, quoiqu'à un degré moindre !
Pensez maintenant à votre maison, à votre chambre, à votre jardin. Vous passez une très grande partie de votre vie dans votre habitation. Vous y respirez et y produisez du gaz carbonique que vos plantes absorbent avidement. C'est une bénédiction pour vous et pour les plantes aussi. Car, sans gaz carbonique, pas de plantes et sans plantes, vous étoufferiez !
Le règne végétal et le soin qu'il exige est donc de nécessité vitale pour tout homme de la nature. Plus il y a de décomposition et de combustion, plus il y a de gaz carbonique ; plus il y a de gaz carbonique, plus il y a de plantes ; et plus il y a de plantes et plus il y a d'assurance- vie pour nous.
Donc, en retour du gaz carbonique qu'elles reçoivent de vous et de votre chat, vos plantes vous fournissent de l'oxygène. Cependant, ce n'est pas un oxygène complet mais un sous-produit.
Sur le plan éthérique, on observe que la qualité de cet oxygène est toujours un éther lumineux, mais plus sombre, de vibration très ralentie. Cet oxygène végétal déficient se mélange de nouveau à l'oxygène de l'atmosphère, après quoi, nous l'inhalons de nouveau et produisons du gaz carbonique &
Considérez cette chaîne de vie et comprenez que vous vivez à la faveur du règne végétal !
Vous découvrirez peut-être également que tout ceci est un processus alarmant et très critique, parce qu'il est dégénératif.
D'autres facteurs interviennent simultanément avec le cycle de l'oxygène. Le sous-produit du carbone rend nécessaire le règne végétal, et cela pour notre salut. Mais les sous-produits de l'azote, de l'hydrogène et de l'oxygène rendent nécessaires, outre le règne végétal et animal, celui des insectes et des microbes, et celui des êtres élémentaux. Et ceci à notre attention ! En effet, ces règnes assimilent tout ce qui nous ferait mourir. Ils vivent, et existent littéralement de nos radiations de mort, et nous donnent en retour le produit de la dissociation de ces radiations.
Dès lors, trouvez-vous étrange que ces règnes naturels qui vivent des exhalaisons de mort de notre existence coupée de la source originelle, s'épient, se chassent, s'entre-dévorent, se mutilent et se souillent mutuellement dans la lutte pour la survie ? Comment est-il possible d'y voir de la beauté et la main de Dieu ? Comment est-il possible d'en espérer une perfection ? Voyez-vous clairement la tragédie de cette loi naturelle inexorable ? Vous qui cherchez la « santé » sur le plan matériel, ne réalisez-vous pas qu'il s'agit d'un enfer qui ne produit que de la souffrance ?
Avez-vous compris que votre état actuel provient d'une « chute », une rupture avec la loi universelle, et que cet état vous oblige à contribuer à cette dégénérescence ?
Combien réalisent que l'humanité est entraînée à une vitesse vertigineuse dans une abomination lorsqu'elle produit de l'énergie en dissociant l'atome d'hydrogène qui est sur le plan spirituel le milieu de naissance de l'âme ?
Si les écologistes pouvaient comprendre la véritable écologie spirituelle, ils cesseraient de protester pour ce qui semble des broutilles en comparaison du drame fondamental. Comprendrons-nous à temps que nous collaborons à une catastrophe cosmique ?
L'homme originel reçut le souffle de vie, mais il exhale à présent un souffle de mort.
Un enfant pourrait comprendre que les règnes naturels qui sont là pour nous protéger, ne peuvent suffire à la tâche. L'homme consomme de la nourriture synthétique; des contrées toujours plus étendues sont déboisées et défrichées ; le danger microbien et le venin des insectes, combattus de façon de plus en plus massive ; les maladies sont refoulées par les vaccins et les médicaments ; les animaux des campagnes remplacés par des machines &que ne fait l'homme dans sa rage d'assurer son existence conservatrice ?
Il combat les dangers en en déchaînant d'autres. C'est la mer à boire ! Les forces génératrices de mort engendrées par ces piles vitales que sont les humains, ces forces dégradées que les règnes protecteurs de la nature ne peuvent plus absorber entièrement, s'étendent et se multiplient. Sans cesse, le souffle de mort gagne du terrain et le résultat ne peut être qu'une explosion atomique sous forme d'une crise : une « révolte cosmique ».
Toutes les maladies qui accablent l'humanité sont occasionnées par l'un des règnes naturels sous-humains ; ces règnes étant nécessaires à l'absorption des dangereux produits de nos piles vitales.
Prenons par exemple le moustique, qui n'est rien qu'un bout de venin piquant, et qui est la cause de maladies dans de nombreux pays. Cet insecte vit à partir des produits atomiques de notre pile vitale. Il nous recherche et nous pique par réaction aveugle, car pour se maintenir, toute créature se tourne vers son créateur. (Nous ne développerons pas ici comment les pensées humaines finissent par se matérialiser au fil de longues périodes, sous formes de monstres qui reviennent vers la source de leur existence, nous-mêmes &)
Que faire pour contrer les moustiques ?
Ils sont exterminés et cela est compréhensible. D'autres insectes qui succèdent à cette tâche sont également combattus. Les microbes et virus qui, pour les mêmes raisons, reviennent vers nous et rongent nos corps, sont combattus. Nous devons le faire, parce que nous ne pouvons pas faire autrement !
Mais quand nous réussissons à exterminer ces agents d'infection, alors, c'est du super venin que nous produisons nous-mêmes, et dont nous devenons entièrement la proie, tandis que, jusqu'ici, grâce aux fonctions biologiques de ces règnes sous-humains, nous n'en subissions, sous forme de maladies, qu'une réaction ralentie, donc affaiblie !
Peut-on imaginer tragédie plus profonde ? Combattre des maladies, rechercher la santé et, par là même, inhaler à larges traits nos propres miasmes de mort.
Celui qui comprend clairement tout ceci et l'éprouve en pleine conscience, celui qui parvient à cette connaissance, commence à se connaître lui-même. Il s'engage alors dans une recherche sérieuse sur l'origine et la destination de l'humanité. Au bout de son enquête, il ferme ses livres et ses oreilles aux élucubrations des spécialistes et des réformateurs. Il n'y a plus en lui qu'une aspiration : retourner à la source de la Vie. Mais, il doit d'abord abandonner ses croyances idéalistes, philosophiques, scientifiques et religieuses pour parvenir à une totale lucidité.
Ce travail de déconditionnement des idées reçues est une tâche que bien peu veulent effectuer car notre culture ne nous apprend pas à aller au fond des choses. Il y a toujours une restriction, un préjugé, une crainte pour nous détourner de la lucidité. Et lorsque nous commençons à comprendre, alors, les marchands d'espoir rappliquent avec leurs évasions, leurs fausses solutions et leurs bricolages messianiques.
Or, il y a une espérance. Il y a une issue, mais elle implique une profonde connaissance de soi et un profond désir de libération.
Heureusement, l'humanité n'est pas abandonnée à son ignorance et aux mauvais bergers qui lui font miroiter un bonheur artificiel dans leur camp de concentration planétaire.
Les lois universelles corrigent les situations déviantes qui mettent en péril les systèmes planétaires sur toutes les dimensions.
Une telle correction est à l'oeuvre dans le système solaire. Ce qui nous paraît infiniment long à cause de notre vibration ralentie est l'effet d'un règlement cosmique immédiat.
C'est pourquoi les hiérarchies conservatrices terrestres et d'autres races parasitaires sont très actives aujourd'hui.
Se sentant menacés, ces groupes tentent de plaquer l'humanité au sol par la violence politique ou à l'aide d'illusions diverses. Mais, peut-on tricher avec les lois universelles ?
Le jugement tombera inéluctablement car il a été prononcé dès le début de la déviation.
L'univers enregistre parfois des expériences négatives du point de vue de l'harmonie divine, expériences se déroulant sur des dimensions éloignées de la Source. Mais la correction est inéluctable, sauf qu'elle est enregistrée sur une dimension de vibration ralentie, telle cette longue période que nous appelons « l'histoire du monde ».
Ainsi, le risque n'est pas de manquer le salut ultime, mais plutôt de chercher à l'anticiper par toutes sortes d'artifices. Ces tentatives spéculatives nées de la douleur et de l'espoir qui en découle, sont plus pernicieuses que le mal qu'elles tentent de combattre. Ne prenant pas en compte le Plan divin, ces expériences politiques et scientifiques « humanistes » aggravent la situation planétaire.
On peut dire que la grande trahison provient de la théologie qui a interprété à rebours les textes sacrés. C'est la racine de l'illusion dans notre culture. Nous avons été manipulés afin de nous faire croire le contraire de la vérité, et quoique nous commencions à ouvrir les yeux, ces croyances enracinées forment notre structure mentale.
Il faut donc remettre en question ce que l'on a voulu nous faire croire dans le but de nous maintenir plaqués au sol.
Dans l'état actuel de notre conscience, dépendante de son support physique programmé pour une survie aveugle, il est difficile de VOIR la situation avec lucidité. Cela est même impossible si l'on réalise combien notre conscience est tributaire de la forme. Cette forme physique capte toute notre énergie pour son entretien et sa survie. Lorsque nous nous « spiritualisons », ce désir de survie prend un caractère plus noble mais tout au fond, c'est la peur sécuritaire qui parle. Cette peur enracinée dans le subconscient nous sollicite afin que nos efforts soient détournés vers une spiritualisation de la matière, telle la politique des loges occultes.
Les lois universelles en ont décidé autrement et la vérité va faire craquer le système. Ceux qui ne pourront pas s'ouvrir aux rayonnements cosmiques qui corrigent la situation, seront toujours plus malades et deviendront quasi déments. On ne peut exister contre l'univers.
Il y a un salut pour la race humaine si elle accepte de se défaire de ses fausses croyances. Alors, les processus de redressement s'accélèrent et l'homme retrouve sa puissance originelle.
Il se délivre et délivre la création « malade de l'homme » en même temps.
5 Quelle parade ?
Sachant que nous n'en sommes encore qu'à la préhistoire des « technologies noires », nous devons découvrir s'il existe une parade aux dangers de la science matérialiste. Depuis 50 ans, nous maugréons, nous contestons, nous nous révoltons même, mais en pure perte.
La machine avance et rien ne la fera reculer. Pire, les cris d'alarme nous donnent bonne conscience, comme si la bonne foi pouvait dévier le cours d'un programme aussi bien réglé.
Si autant de moyens destructeurs hyper sophistiqués ont été rassemblés pour attaquer la conscience, c'est qu'elle constitue une forteresse qui ne se laisse pas prendre facilement. Il s'agit donc d'une guerre totale contre la conscience.
Nous ne croyons pas comme les alter mondialistes - les nouveaux « collabos » - qu'il pourrait exister un ordre mondial à visage humain. Cela n'existera pas.
Au contraire, nous savons qu'un ordre mondial « humaniste » serait l'antichambre de l'enfer. Mais il n'est plus temps de convaincre qui n'a pas déjà compris. Il n'est plus temps de rabâcher des évidences sur la pollution, la corruption et les « méchants illuminati ». Il faut en finir avec les jérémiades. Il faut en finir avec l'impuissance.
Nous qui savons que la Conscience est la cible du déploiement de technologie noire, nous nous demandons : que faire pour se protéger et retrouver notre liberté ? Réponse : reprendre le contrôle !
En terme de stratégie, on sait depuis toujours que la meilleure défense c'est l'attaque. Or, à moins d'être mentalement perturbé, il n'est pas vraiment possible d'attaquer le gouvernement de l'ombre. D'abord, parce qu'il est secret et intouchable, mais surtout, parce que nous n'avons aucune prise sur la situation. L'idéologie new age a même inventé le concept de « guerrier de la paix » pour écarter tout risque de confrontation. Certains s'intitulent même « guerriers de la lumière » en ignorant l'âpre combat que mènent les forces de Lumière depuis des millénaires.
Et que nous conseillent ces combattants du néant ? « Priez, mais ne prenez aucune initiative ! » Pire, ils recommandent d'envoyer de l'amour aux prédateurs - pour se faire dévorer avec plus de douceur, sans doute ?
Tout cet idéalisme frelaté encourage notre passivité et nos tendances à la soumission et à l'attente du miracle. On nous décourage. On nous paralyse.
Les bons apôtres, si pleins de bonnes intentions, nous flattent et nous embrassent avant de nous livrer pour trente deniers.
Mais n'oublions jamais que nous sommes armés intérieurement. Notre espèce est spirituellement invincible, et c'est précisément ce qui inquiète le gouvernement de l'ombre, qui se voit contraint de déployer des forces gigantesques pour parer à une prise de conscience qui pourrait l'anéantir.
Donc, sachant qu'il s'agit d'une guerre CONTRE la conscience humaine, il faut riposter en conscience et avec nos forces de conscience. Qu'aurions-nous d'autre à opposer à l'énorme machine à détruire ?
Cela ne veut pas dire ramasser des fourches et des marteaux, mais « prendre conscience », c'est à dire s'armer de nos facultés psychiques et spirituelles en les orientant dans une nouvelle direction.
Parmi l'arsenal de pouvoirs à notre disposition, nous distinguons les moyens passifs et les moyens actifs. Bien entendu, les moyens passifs sont les plus usités car nos gardiens - quels qu'ils soient - ont formaté notre cerveau par une culture de la soumission - prier le ciel en attendant que tout s'arrange. Si l'on est athée, on priera l'état d'instaurer un paradis terrestre. Mais religieux ou matérialiste, dans les deux cas, la passivité est la même puisque nos croyances, l'athéisme et l'idéalisme nous ont été implantées par nos gardiens.
Les moyens actifs pour un réveil des pouvoirs de la conscience sont plus secrets, et bien qu'ils soient accessibles, ils ont donné lieu à des malentendus.
Prenons l'exemple significatif du Bouddhisme, considéré comme une voie de renoncement donc passive - alors que le prince Gautama en tant que membre de la caste guerrière, avait forgé sa doctrine en vue de combattre l'illusion et l'ignorance. Pour ce preux chevalier, il s'agissait de mener une guerre héroïque contre l'emprise démoniaque, afin d'extirper le mal à la racine, et non pour l'adoucir et le rendre acceptable. Or, sa « noble loi » martiale est devenue une religion banalisée et aseptisée au service de l'élite planétaire.
Nous ne sommes plus en possession de nos moyens spirituels car nous avons été désarmés.
Nos gardiens se sont assurés que nos chaînes sont solidement rivées aux illusions culturelles, philosophiques et religieuses avec notre complaisance et notre assentiment, il est vrai &
Toutefois, ils n'ont réussi qu'à neutraliser des facultés latentes qui pourraient être éveillées à nouveau. C'est pourquoi, ils redoublent d'ardeur pour nous abrutir, ne pouvant pas stériliser totalement le troupeau qui les fait vivre. Car la pile humaine doit émettre de l'énergie &
Réaliser que notre complaisance est à l'origine de notre faiblesse, permettrait une prise de conscience. C'est pourquoi, il est plus important de se responsabiliser que de dénoncer sans fin un adversaire qui ne lâchera pas la proie bêlante qui dit amen après chaque raclée.
Mais où sont les esprits libres dans les rangs de notre génération ? Nombre d'entre nous, sommes découragés car nous ne constatons pas le moindre frémissement. Il faut s'en prendre à nous-mêmes. Que faisons-nous pour modifier la situation ?
Attendons-nous un messie ? Espérons-nous qu'à force de supplications, les loups vont se transformer en agneaux ? La terre va t-elle « ascensionner » ?
Chacun devrait s'interroger sur ses idéaux. Qui nous les a inspirés ? Sont-ils réalisables ?
Chaque être responsable doit s'interroger sur les solutions qu'on lui propose : idéologique, politique, écologique, spirituelle, scientifique, miraculeuse &
Il découvrirait que nos meilleures intentions sont manipulées avec une ruse démoniaque qui n'appartient pas au registre de la perfidie humaine.
Heureusement, il y a un espoir, car la restauration de notre intégrité individuelle est facilitée à notre époque par l'élévation du niveau conscience. Indéniablement, la conjoncture cosmique nous permet une « accélération ».
Le masque des joueurs commence à tomber, et parallèlement, nous sommes amenés à arracher nos vieux oripeaux égocentriques.
Une partie de l'humanité s'éveille tandis qu'une autre plonge dans la narcose collective. C'est un mouvement naturel car la lumière accélère la crise.
Dès lors, lorsque nous constatons en nous-mêmes un élan pour participer à l'avènement de l'ère nouvelle, il faut passer à l'action. Ceci peut nécessiter un temps de préparation avant de parvenir à unir ses forces à d'autres. Mais, quels que soient notre prédisposition et notre système de croyance, agir est préférable au rêve.
La spiritualité exige des actes concrets. Mais qu'est-ce que cela signifie en terme de conscience ? Qu'est-ce que la conscience en action ?
Ceci nous ramène aux lois électromagnétiques qui déterminent le fonctionnement de notre conscience.
Il ne faut plus en rester à une perception vague des phénomènes spirituels. La conscience et la vie sont constituées de réelles forces électromagnétiques.
Notre état de conscience détermine notre existence entière. Rien ne nous arrive qui ne soit conditionné par notre état de conscience individuel ou bien par « la conscience collective » de l'humanité.
La force magnétique du collectif conditionne l'individu. En retour l'individu peut influer sur l'ensemble lorsqu'il lui apporte une donnée nouvelle une information qui « change tout ».
Celui qui se change lui-même agit sur le collectif. Tandis que celui qui répète les schémas collectifs, les renforce et fait tourner la grande roue de l'illusion. Les hommes sont des forçats à la roue.
Dans la mesure où des êtres se rassemblent en vue d'opérer un changement, il se dégage de leur association un rayonnement particulier.
Tout groupement humain génère un « champ de tension » qui est la synthèse électromagnétique de l'état de conscience de ses membres. En retour, la qualité vibratoire de ce foyer détermine l'expérience qui sera vécue au sein de ce groupe.
Un égrégore de revendication, fondé sur une pulsion de ressentiment, de peur ou d'avidité portera des fruits en rapport avec les pulsions inférieures des êtres qui le composent.
Un égrégore de rêveurs ne produira que du rêve. Un égrégore de bonnes volontés passives, aussi sincères que soient ses participants, ne restituera aucune force capable de modifier la conscience collective. Il sera vampirisé par un groupe plus puissant.
Au mieux, ces égrégores servent de refuges provisoires avant de s'étioler comme des nuages.
Seuls, les égrégores vitalisés par une idée puissante (idéologie, foi) ou par des rites (parfois civils) pourront se maintenir, à moins d'être dévorés par des super égrégores (Eglises).
Par nos attaches confessionnelles ou idéologiques, nous participons inconsciemment à divers égrégores. Nul n'y échappe à moins d'avoir été intégré au collectif des âmes libérées de la grande fraternité universelle &
Comment s'associer avec d'autres sans adhérer à une religion ou à une idéologie commune ? Pourquoi former une communauté énergétique ?
Voilà ce qu'en dit un texte admirable paru dans les Carnets de Noé sous le nom « Projet Village Pi » :
« Si l'univers a un sens, il est possible de se protéger complètement et totalement. En maniant l'univers par la douceur et l'amour.
Le Village Pi est un état d'esprit où rien ne vous fera peur, où ne pourra vous rejoindre aucune mauvaise vibration ; un état d'âme où rien ne vous rend triste, où vous aimez tout et tous, où le spectacle de la misère et de la souffrance provoque une compassion telle qu'elle guérit tout.
C'est ici qu'il faut examiner les possibilités réelles de se protéger physiquement, efficacement et absolument de l'agression violente de ceux qui manient le pouvoir. Sans avoir à se servir du fusil, de l'épée, des bombes, du poing ; sans vouloir tuer celui qui veut vous tuer ou vous emprisonner.
Construire autour de notre corps, notre âme, notre esprit, notre maison, notre village, notre tribu, un CHAMP MAGNETIQUE tissé par les forces maternelles de l'univers et construit de façon telle qu'aucun objet, aucun sentiment, aucune pensée, aucune personne, aucune armée qui n'a pas une intention paisible et fraternelle puisse y pénétrer. Ne plus avoir à se défendre avec les armes de l'adversaire parce que l'Univers et la Mère vous protègent.
Les champs magnétiques ne sont plus à prouver ; la Terre elle-même n'hébergerait aucune forme de vie organique si elle n'était protégée par une énorme ceinture magnétique qui filtre les vibrations de la galaxie et PROTEGE ainsi la planète.
L'atmosphère et ce champ magnétique forment ensemble un prisme qui transforme les énergies brûlantes de l'univers en gamme de couleurs douces que peut absorber l'Arbre de Vie terrestre. »
La parade ? Construire un champ magnétique tissé par les forces maternelles de l'univers
Dernière édition par nex le 23/6/2010, 00:34, édité 2 fois