Anti Nouvel Ordre Mondial

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    La fouine Gandhi révéle son vrai visage.

    Aurelien
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    Message  Aurelien 5/3/2010, 20:49

    La fouine Gandhi révéle son vrai visage. Gandhi10
    Au fil des discussions, il n'est pas rare de voir apparaitre la figure mythique du Mahatma Gandhi, le grand libérateur de l'Inde.

    A chaque fois, je passais pour quelqu'un de rétrograde car je ne cachais pas qu'instinctivement sa figure de Fouine ne m'inspirait pas confiance.
    Et j'affirmais aussi ce qui me paraissait comme une évidence, à savoir que sans lui l'indépendance de l'Inde aurait été réglée en moins d'une demi heure, 300 millions d'Indiens pouvant aisément venir à bout de 10 000 fonctionnaires anglais et de leur petite armée coloniale.

    Et encore une fois, les faits donnent raison à l'intuition, le reseau voltaire vient de publier un article qui révise le mythe de Gandhi (cette face de faux cul de Dalaï Lama en prend aussi pour son grade).
    Non seulement ce n'était pas un vrai pacifiste mais au contraire, il avait encouragé les indiens à s'engager dans des guerres coloniales.

    Son pacifisme affiché n'était qu'une entourloupe de plus destinée aux zombis de l'époque.
    Et franchement quelqu'un qui organise une marche de centaines de KM juste pour ramasser du sel de mer ou qui demande à son peuple de faire gentillement la queue afin de recevoir des coups de bâtons, ne pouvait être qu'un charlatan.
    On comprend alors pourquoi Attali &co le vénèrent et entretiennent le mythe.
    L'arme psychologique Gandhi est une bride autour de notre cou dont nous devons nous défaire.


    La non-violence : le mythe et les réalités

    Marie-Ange Patrizio : Le concept de non-violence nous fait immédiatement penser à Gandhi : quel jugement exprimes-tu sur cette grande personnalité historique ?

    Domenico Losurdo : Il faut distinguer deux phases dans l’évolution de Gandhi. Au cours de la première phase, il ne pense pas du tout à une émancipation générale des peuples coloniaux. Il appelle au contraire la puissance coloniale, la Grande-Bretagne, à ne pas confondre le peuple indien —qui à l’instar des Anglais peut faire état d’une antique civilisation et d’origines raciales « aryennes »— avec les noirs, avec, même, les « grossiers cafres, dont l’occupation est la chasse et dont la seule ambition est de rassembler une certain nombre de têtes de bétail pour conquérir une femme et mener ensuite une existence d’indolence et de nudité » (sic).

    Afin d’obtenir la cooptation par la race dominante, par le peuple des seigneurs (aryens et blancs), Gandhi appelle au début du 20ème siècle ses co-nationaux à se mettre au service de l’armée impériale engagée dans une répression féroce contre les Zoulous.

    Surtout, durant la Première Guerre mondiale, le présumé champion de la non-violence se propose de recruter 500 000 hommes pour l’armée britannique. Il le fait avec tellement de zèle qu’il écrit au secrétaire personnel du vice-roi : « J’ai l’impression que si je devenais votre recruteur en chef, je pourrais vous submerger d’hommes ». Lorsqu’il s’adresse à ses co-nationaux ou au vice-roi, Gandhi insiste de façon quasiment obsédante sur sa disponibilité au sacrifice dont tout un peuple est appelé à faire preuve : il faut « offrir notre appui total et décidé à l’Empire » ; l’Inde doit être prête à « offrir, à l’heure critique, ses fils valides au sacrifice à l’Empire », à « offrir en ce moment critique tous ses fils aptes à combattre comme offrande à l’Empire » ; « nous devons, pour la défense de l’Empire donner tout homme dont nous disposons ».

    Avec une cohérence d’acier, Gandhi souhaite que ses propres fils s’enrôlent et participent à la guerre.

    Marie-Ange Patrizio : À ce propos, tu confrontes l’attitude de Gandhi avec celle prise par le mouvement antimilitariste d’inspiration socialiste et marxiste, et c’est ce dernier qui va le mieux s’en sortir.

    Domenico Losurdo : Oui, je réfute le mythe selon lequel le marxisme serait synonyme de culte de la violence. Je renvoie en particulier à la figure de Karl Liebknecht, qui fut par la suite un des fondateurs du Parti communiste allemand, avant d’être assassiné avec Rosa Luxembourg. Après avoir longuement lutté contre le réarmement et les préparatifs de guerre, alors qu’il est appelé au front, avant d’être arrêté à cause de son pacifisme, Liebknecht envoie une série de lettres à sa femme et à ses enfants : « Je ne tirerai pas […] Moi je ne tirerai pas même si on me l’ordonne. On pourra me fusiller à cause de cela ».

    Marie-Ange Patrizio : Reste le fait que Liebknecht finit par saluer la violence de la Révolution d’octobre déclenchée par Lénine.

    Domenico Losurdo : Il ne faut pas perdre de vue qu’au début de la Première Guerre mondiale, Lénine, bien loin de célébrer à la manière de Gandhi la valeur de la vie militaire et du combat au front, exprime sa « profonde amertume ». L’espoir, moral avant d’être politique, renaît chez lui grâce à un phénomène qui pourrait peut-être enrayer la machine infernale de la violence : c’est la « fraternisation entre les soldats des nations belligérantes, jusque dans les tranchées ». Lénine écrit : « C’est bien que les soldats maudissent la guerre. C’est bien qu’ils exigent la paix. La fraternisation peut et doit devenir fraternisation sur tous les fronts. L’armistice de fait sur un front peut et doit devenir un armistice de fait sur tous les fronts ».

    Malheureusement, cet espoir aussi sera déçu : les gouvernements belligérants traitent la fraternisation à l’instar d’une trahison. A ce point-là, il s’agit de choisir non pas entre violence et non-violence, mais bien entre la violence de la continuation de la guerre d’une part et la violence de la révolution appelée à mettre fin au carnage insensé, d’autre part.

    Les dilemmes moraux de Lénine ne sont pas différents des dilemmes moraux auxquels font face aux Etats-Unis les pacifistes chrétiens des premières décennies du 19ème (c’est de ce chapitre de l’histoire que part mon livre). Opposés à toute forme de violence et à l’esclavage des noirs (lui-même expression de violence), tandis que la Guerre de sécession se profile puis fait rage, les pacifistes chrétiens sont appelés à opérer un choix tragique : appuyer directement ou indirectement la continuation de cette forme particulièrement horrible de violence qu’est l’institution de l’esclavage ou bien adhérer à cette sorte de révolution abolitionniste que finit par être la guerre de l’Union ? Les pacifistes les plus matures choisissent cette seconde alternative. Ils se situent de manière similaire à celle qui caractérisera plus tard Lénine, Liebknecht et les bolcheviques dans leur ensemble.

    Marie-Ange Patrizio : Nous avons laissé Gandhi dans son rôle de chef recruteur au service de l’armée britannique. Tu as parlé cependant d’une seconde phase de son engagement. Quand et comment advient-elle ?

    Domenico Losurdo : Deux événements l’ont déterminée : l’un de caractère international, l’autre national. La Révolution d’octobre et la diffusion de l’agitation communiste dans les colonies et en Inde même constituent un formidable coup de buttoir à l’idéologie de la pyramide raciale et rendent obsolète l’aspiration à la cooptation dans la race blanche ou aryenne, qui doit maintenant faire face à la révolte généralisée des peuples de couleur.

    Mais ce qui va surtout jouer un rôle décisif est avant tout une expérience directe et douloureuse pour le peuple indien. Celui-ci avait espéré améliorer sa condition en se battant vaillamment dans l’armée britannique au cours de la Première Guerre mondiale. Si ce n’est que, à peine les célébrations de la victoire terminées, le pouvoir colonial se rend responsable au printemps 1919 du massacre d’Amritsar. Cette répression non seulement coûte la vie à des centaines d’Indiens sans armes, mais comporte aussi une terrible humiliation nationale et raciale par l’obligation édictée aux habitants des villes rebelles de devoir se traîner à quatre pattes pour rentrer chez eux ou en sortir. Pour le dire avec Gandhi, « des hommes et des femmes innocents furent obligés de se traîner comme des vers, sur le ventre ». Il en résulte une vague d’indignation à cause des humiliations, de l’exploitation et de l’oppression infligées par l’Empire britannique : son comportement est un « crime contre l’humanité, qui ne trouve peut-être pas de parallèle dans l’histoire ». Tout ceci fait disparaître chez les Indiens le désir d’être cooptés dans une race dominante qui leur apparaît maintenant odieuse et capable de toute infamie.

    Marie-Ange Patrizio : À partir de quand Gandhi prend-il réellement au sérieux sa profession de non-violence ?

    Domenico Losurdo : En réalité, chez le second Gandhi, rien n’a moins disparu que la disponibilité à appeler ses co-nationaux à accourir sur les champs de bataille aux côtés de la Grande-Bretagne ; mais il pose maintenant comme condition à cet appel aux armes la concession de l’indépendance de l’Inde. Il est par contre difficile d‘imaginer le second Gandhi faire la promotion de la participation de ses co-nationaux à la répression d’une révolte comme celle des Zoulous (un peuple cruellement opprimé par le colonialisme). A partir de la révolution d’octobre et de la répression d’Amritsar le mouvement indépendantiste indien est une part intégrante du mouvement de libération nationale des peuples opprimés. Et Gandhi s’identifie pleinement avec ce mouvement sans procéder à une lacération entre violents et non-violents. En juin 1942, il exprime sa « profonde sympathie » st son « admiration pour la lutte héroïque et les sacrifices infinis » du peuple chinois, décidé à défendre « la liberté et l’intégrité » du pays. C’est une déclaration contenue dans une lettre adressée à Tchang Kai-chek, qui à ce moment-là est allié avec le Parti communiste chinois. En septembre 1946 encore —c’est-à-dire après que Churchill eut ouvert la Guerre froide avec son discours de Fulton— Gandhi exprime sa sympathie pour le « grand peuple » de l’Union Soviétique, dirigée par « un grand homme comme Staline ».

    Marie-Ange Patrizio : Alors que tu livres un jugement positif, sur le second Gandhi et sur Martin Luther King, tu te montres très critiques sur le Dalaï Lama, qui est pourtant célébré de nos jours comme l’héritier de la tradition non-violente.


    Domenico Losurdo : Dans mon livre je cite un ex-fonctionnaire de la CIA, qui déclare tranquillement que la non-violence était un « écran » dont le Dalaï Lama se servait pour les relations publiques de la révolte armée qu’il stimulait au Tibet, grâce aux financements et aux arsenaux états-uniens [1]. Cependant, cette révolte a échoué à cause du manque de soutien de la population. Cet ex-fonctionnaire de la CIA ajoute que, malgré cet échec, cette opération a fourni aux Etats-Unis des enseignements qui trouvèrent ensuite leur application « dans des lieux comme le Laos et le Vietnam », c’est-à-dire au cours de guerres coloniales qui ont été parmi les plus barbares du 20ème siècle.

    Tandis qu’en récompense le Dalai Lama recevait à Washington reconnaissances et hommages, Martin Luther King organisait la contestation contre la guerre au Vietnam, et finissait par mourir assassiné pour cette raison justement.

    L’antithèse entre Gandhi et le Dalaï Lama n’est pas moins nette. Le premier parle de « méthodes hitlériennes » et d’ « hitlérisme » à propos du bombardement atomique de Hiroshima et Nagasaki. Et ouvrons maintenant le Corriere della Sera du 15 mai 1998 : à côté d’une photo du Dalaï Lama les mains jointes en signe de prière on trouve un petit article dont le sens est clair dès son titre : « Le Dalaï Lama se range aux côtés de New Delhi : ‘Eux aussi ont droit à la bombe atomique’ », afin de contrebalancer —est-il précisé ensuite— l’arsenal nucléaire chinois. Evidemment pas un mot sur la menace que fait peser le puissant arsenal nucléaire états-unien, face auquel a été conçu le modeste arsenal chinois.

    Et l’on pourrait continuer sur cette voie…

    Marie-Ange Patrizio : Il y a autre chose ?

    Domenico Losurdo : L’identification de Gandhi avec le mouvement anti-colonialiste est si forte que le 20 novembre 1938, tout en dénonçant la barbarie de la Nuit de cristal et des « persécutions antijuives » qui « semblent n’avoir aucun précédent dans l’histoire », Gandhi n’hésite pas à condamner la colonisation sioniste de la Palestine en tant qu’« incorrecte et inhumaine » et contraire à tout « code moral de conduite ». Il ne me semble pas que le Dalaï Lama ait jamais exprimé de sympathie à l’égard des victimes de la colonisation sioniste persistante, et il ne pourrait en être autrement étant donné que les protecteurs états-uniens de « Sa Sainteté » sont les principaux responsables, avec les dirigeants israéliens, de l’interminable martyre infligé au peuple palestinien.

    La suite ici :
    http://www.voltairenet.org/article164337.html


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    Message  Thl 5/3/2010, 22:54

    intéressant, perturbant même
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    Message  Auda 6/3/2010, 09:06

    Dommage que les lois-bâillons en vigueur en Europe aujourd'hui nous interdisent d'y répondre.
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    zeiyen


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    Message  zeiyen 6/3/2010, 12:12

    Oui Gandhi a eu deux visages, il n'en reste pas moins le pionner de la désobeïssance civile. C'était aussi le cas de Malcom X que tu cites, du Che etc...

    J'ai effacé de nombreux liens que j'avais en favoris mais j'en ai retrouvé quelques uns :

    http://chutefinale.wordpress.com/2010/01/26/albert-schweitzer-et-gandhi-des-saints-racistes
    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EEVpFZAyFkOeqoVceT.shtml (lettres de Gandhi à Hitler)
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    Message  Auda 6/3/2010, 12:41

    @ pirea

    En ce qui concerne cette citation ci-dessus d'Albert Schweitzer, il est à éviter de confondre racisme et expérience directe. Schweitzer n'était pas un philosophe en chambre comme beaucoup à notre époque, mais un observateur direct durant une vie entière. Tout dépend alors de la définition du mot racisme : elle a varié maintes fois en un siècle...
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    Message  Aurelien 6/3/2010, 17:40

    Quelques citations du Mahatma trouvées sur le lien transmis par Pirea :

    « Nous croyons en la pureté raciale. Nous croyons aussi qu’en tant que Blancs, la race Blanche d’Afrique du Sud doit être la race prédominante ».

    « Les Indiens natifs n’ont rien apporté à l’Inde, et doivent leur prospérité aux Indiens. »

    « Les personnes appartenant aux races incivilisées doivent être enregistrées, car elles ne peuvent de toutes façons pas travailler ».

    « Notre combat est une lutte pour la préservation de notre race, que les Européens veulent mêler aux Kaffirs rudes et incivilisés. »

    Collected Works, Indian Opinion Archives.

    Dans les commentaires :
    J’ai visité le musée Gandhi derrière Chowpati beach à Mumbai. Je me souviens avoir lu des lettres adressées à Hitler ainsi qu’à des autorités musulmanes. On est loin du discours officiel rapporté par la pensée dominante.
    A Adolph il écrit » Cher ami, j’ai entière confiance en votre humanité et votre discernement. Vous êtes un grand pacifiste etc. »

    Gandhi je connaissais .. c etait lui aussi un ami d¨’ Hitler!!

    En tous cas ils correspondaient.. les Indiens sont reconnaissants des Allemands pour les avoir aides contre les Britanniques..

    Mein Kampf est un best seller en Inde,

    Le vrai Gandhi correspondait avec Hitler et Staline et était anti-sioniste, mais que fait la LICRA ?


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    Message  zeiyen 6/3/2010, 17:55

    Traduction d'une des deux lettres de Gandhi, adressée à Hitler


    24 décembre 1941,

    Cher Ami,

    * Si je vous appelle ami, ce n’est pas du formalisme. Je n’ai pas d’ennemis. Depuis 33 ans l’œuvre de ma vie a été de m’assurer l’amitié de toute l’humanité, sans distinction de race, de couleur ou de croyance.

    * J’espère que vous aurez le temps et le désir de savoir comment une part importante de l’humanité qui vit sous l’influence de cette doctrine d’amitié universelle considère vos actions. Nous ne doutons pas de votre courage et de votre amour pour votre patrie et nous ne croyons pas que vous soyez le monstre décrit par vos adversaires. Mais vos écrits et vos déclarations, ainsi que ceux de vos amis et de vos admirateurs, ne permettent pas de douter qu’un grand nombre de vos actes ne soient monstrueux et attentatoires à la dignité humaine, surtout au jugement de ceux qui, comme moi, croient à l’amitié universelle. Il en est ainsi de votre humiliation de la Tchécoslovaquie, du viol de la Pologne et de l’absorption du Danemark. Je suis conscient que, selon votre conception de la vie, ces spoliations sont des actes louables. Mais nous avons appris depuis notre enfance à les considérer comme des actes humiliants pour l’humanité. Aussi ne pouvons-nous pas souhaiter le succès de vos armes.

    * Mais notre position est unique. Nous résistons à l’impérialisme britannique tout autant qu’au nazisme. S’il y a une différence, c’est une différence de degré. Un cinquième de la race humaine a été mis sous la botte britannique par des méthodes qui ne supportent pas l’examen.

    * Notre résistance à cette oppression ne signifie pas que nous voulons du mal au peuple britannique. Nous cherchons à le convertir, non à le battre sur le champ de bataille. Notre révolte contre la domination britannique est désarmée. Mais que nous convertissions ou non les Britanniques, nous sommes résolus à rendre leur domination impossible par la non-coopération non-violente. C’est une méthode invincible par sa nature même. Elle est basée sur le fait qu’aucun spoliateur ne peut atteindre son but sans un minimum de coopération, volontaire ou forcée, de la part de sa victime.

    * Nos maîtres peuvent avoir nos terres et nos corps, mais pas nos âmes. Ils ne peuvent avoir ces dernières qu’en exterminant tous les Indiens, hommes, femmes et enfants. Il est vrai que tous ne peuvent s’élever à ce degré d’héroïsme et que la force peut briser la révolte, mais ce n’est pas la question. Car si l’on peut trouver en Inde un nombre convenable d’hommes et de femmes prêts, sans aucune rancune contre les spoliateurs, à sacrifier leurs vies plutôt que de fléchir le genou devant eux, ils auront montré le chemin de la libération de la tyrannie violente. Je vous prie de me croire quand j’affirme que vous trouverez un nombre inattendu de tels hommes et femmes en Inde. Ils ont reçu cette formation depuis 20 ans.

    * Comme je l’ai dit, dans la technique non-violente la défaite n’existe pas. C’est «agir ou mourir» sans tuer ni blesser. Elle peut être utilisée pratiquement sans argent et de toute évidence sans l’aide de la science de la destruction que vous avez poussée à une telle perfection. Je suis étonné que vous ne voyiez pas qu’elle n’est l’exclusivité de personne. Si ce n’est pas les Britanniques, quelque autre puissance pourra améliorer votre méthode et vous battre avec vos propres armes. Vous ne laissez pas à votre peuple un héritage dont il aura lieu d’être fier. Il ne pourra s’enorgueillir du récit d’actes cruels, même adroitement préparés. Je vous demande donc au nom de l’humanité de cesser la guerre (...).

    * Pendant cette saison où les cœurs des peuples d’Europe implorent la paix, nous avons suspendu même notre propre lutte pacifique. Ce n’est pas trop vous demander que de faire un effort pour la paix à un moment qui ne signifie peut-être rien pour vous, mais qui doit signifier beaucoup pour les millions d’Européens dont j’entends la clameur muette pour la paix, car mes oreilles sont habituées à entendre les masses silencieuses. J’avais l’intention d’adresser un appel conjoint à vous-même et au Signor Mussolini que j’ai eu l’honneur de rencontrer à l’époque de mon voyage en Angleterre comme délégué à la conférence de la table ronde. J’espère qu’il voudra considérer ceci comme lui étant également adressé, avec les changements indispensables.




    Je crois que cela a le mérite d'être clair. Peut-être a-t-il était raciste, sûrement même, mais dans un pays raciste comme l'Inde il était difficile d'en être autrement. Il a fini par retrouver le chemin de la tolérance et de la non-violence, et aujourd'hui c'est lui qui nous y guide.
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    Message  Auda 6/3/2010, 19:26

    Quel dommage que je n'aie pas le droit de te répondre Pirea...
    Bonsoir.
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    Message  zeiyen 6/3/2010, 19:49

    ???

    On est sur un forum, très ouvert, fais toi plaisir, les débats nous enrichissent.
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    Message  Auda 6/3/2010, 20:52

    pirea a écrit:On est sur un forum, très ouvert, fais toi plaisir, les débats nous enrichissent.
    Certes, mais c'est oublier que nous sommes désormais dans une Europe où la censure et la répression sont omniprésentes. Au cas où tu ne le saurais pas, il existe aujourd'hui des lois interdisant tout libre débat sur certaine période de l'Histoire contemporaine dont il est justement question plus haut. Il est, en ce moment, nombre d'historiens, chimistes ou témoins, et même des avocats, qui croupissent en prison depuis des années pour avoir seulement osé remettre en question la doxa "démocratique" officielle sur le sujet. Le dernier en date, Ernst Zündel, venant tout juste d'être libéré après 7 ans d'incarcération au Canada et en Allemagne pour le simple fait d'avoir contesté ce... qu'il est interdit de ne pas croire comme parole d'évangile. La vérité explosera un jour, bien sûr, mais en attendant la Terre est plate et l'Inquisition veille.

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    Bonne nuit à tous.


    Dernière édition par Auda le 6/3/2010, 20:54, édité 1 fois
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    Message  Thl 6/3/2010, 20:54

    et les investigations de maurice faurisson dont les conclusions semblaient indiquer que cette partie de l histoire a été faussée?...

    Loin de dire qu hitler etait un humaniste, il etait certainement moins monstrueux (bien que certainement pas mal quand meme) que ce que l on en dit aujourd hui

    donc, ces lettres de gandhi a hitler sont une piece du puzzle; gandhi n a peut etre pas été sain tout au long de sa vie, hitler n a peut etre pas ete monstrueux toute sa vie?

    ce qui est inquiètant aussi, ce sont les accusations contre le dalaï lama; sans croire un truc parce que je l ai lu sur internet, ca fait plusieurs fois que je vois cette version d un dalaï lama corrompu
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    Message  Auda 6/3/2010, 20:59

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    Message  Aurelien 29/3/2011, 08:15

    Du nouveau sur Gandhi :


    De 1893 à 1915 Mohandas K. Gandhi fut avocat en Afrique du Sud. Il y défendit les droits de la minorité indienne qui, pensait-il, devait bénéficier du même statut que les Blancs dans le système ségrégationniste. Ce n’est qu’après la Première Guerre mondiale qu’il abandonna cette vision raciste de la société.

    Great Soul : Mahatma Gandhi and His Struggle with India révèle un élément de vie privée qui modifie bien des interprétations de la personnalité du Mahatma.

    Durant sa période sud-africaine, Mohandas K. Gandhi a vécu une histoire d’amour avec l’architecte juif allemand Hermann Kallenbach qu’il avait rencontré en 1908. Joseph Lelyveld publie une correspondance de Gandhi à son amant qui ne laisse aucun doute.

    http://www.voltairenet.org/article169143.html


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    Message  stg45 2/4/2011, 00:08

    Aurelien a écrit:
    Et franchement quelqu'un qui organise une marche de centaines de KM juste pour ramasser du sel de mer ou qui demande à son peuple de faire gentillement la queue afin de recevoir des coups de bâtons, ne pouvait être qu'un charlatan.
    On comprend alors pourquoi Attali &co le vénèrent et entretiennent le mythe.
    L'arme psychologique Gandhi est une bride autour de notre cou dont nous devons nous défaire.

    c'est clair qu'instinctivement je prefere le sniper de l'IRA et les "loups du caucase " tchetchenes plutot que la loque qui se laisse piétinner en tendant la joue droite.

    autre faux mythe: le tres médiatisé martin luther king en réalité c'est malcom x qui a inquiété l'état a l'époque avec ses groupes paramilitaires en mencacant de repondre par la loi du talion a coups d'usm1 aux ratonandes du ku klux klan et des flics.

    de la même facon gandhi a occulté chandra bose: http://fr.wikipedia.org/wiki/Subhash_Chandra_Bose

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Gandhi-homosexuel-et-xenophobe-6026.html

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    Message  Aurelien 21/7/2012, 10:41

    Gandhi : l'une des plus grandes supercheries de l'histoire

    Le mode de vie austère du Mahatma est aujourd’hui bien ancré dans l’imaginaire collectif de l’Inde comme du reste du monde. Il s’agissait pourtant d’une suprême supercherie politique. Son prétendu dénuement n’était qu’un mythe, fruit d’une grande opération de communication. On se souvient, d’ailleurs, de la célèbre remarque de l’un de ses assistants : « Il faut beaucoup d’argent pour maintenir Gandhi dans la pauvreté. »


    Il a toujours été pratiquement impossible de toucher à son image. Quand on a appris qu’il « autorisait » des adolescentes de son ashram à dormir nues avec lui (et des milliers d’entre elles se disputaient ce privilège), on nous a expliqué qu’il s’agissait d’une façon de « mettre son vœu de chasteté à l’épreuve ». On sait également qu’au nom de sa cause, il devait endurer nu les massages que lui faisaient subir ces mêmes filles pendant une heure chaque jour. Elles lui administraient également un lavement d’eau salée quotidien.

    Selon ses proches collaborateurs, il était extrêmement difficile de travailler avec lui. Il dictait les moindres mouvements de ses adeptes, y compris ce qu’ils devaient manger et à quel moment. Le mot « compromis » ne figurait pas dans son dictionnaire. En 1920, lors d’un congrès national indien, il a déclaré : « À partir du moment où vous me choisissez comme leader, vous devez accepter la dictature et la discipline de la loi martiale. »

    Gandhi l’impérialiste
    Le pacifisme n’est apparu que tardivement dans la philosophie de Gandhi. Durant ses jeunes années, en Afrique du Sud, il s’était porté volontaire pour lever une brigade indienne au service de l’armée britannique dans la guerre des Boers. Les autorités n’étaient pas convaincues de la valeur de ses hommes mais, sur son insistance, elles avaient néanmoins fini par céder et les former comme brancardiers. En tant que sergent major, Gandhi a remporté des médailles à la guerre des Boers et, quatre ans plus tard, durant la guerre anglo-zouloue. En 1920, quand il a lancé son mouvement de non coopération en Inde, il les a cérémonieusement renvoyées au vice-roi – « non sans un pincement au cœur », a-t-il avoué.

    Jusqu’aux derniers jours de la campagne anti-britannique, il a approuvé le conflit. Il a soutenu de terribles émeutes à Calcutta sous prétexte qu’il s’agissait d’un « recours à la violence pour une cause morale ». Il a donné sa bénédiction à une sorte de prince, le nawab de Malerkotla, qui avait donné l’ordre de fusiller dix musulmans pour chaque hindou tué sur son territoire. Et, lors d’une réunion de prière, en juin 1947, quelques mois avant sa mort, il a déclaré : « Si nous avions la bombe atomique, nous l’aurions utilisée contre les Britanniques. »

    L’idole des jeûnes
    Gandhi a été le pionnier de la grève de la faim comme mode de protestation politique. Il l’a plus tard utilisée avec succès contre les Britanniques mais la première fois qu’il y eut recours, en 1932, ce fut pour des raisons remarquablement déplaisantes. Appartenant à une caste supérieure, il s’opposait à une proposition des autorités britanniques d’accorder aux « intouchables » (la plus basse classe sociale) un statut électoral séparé afin que leurs intérêts puissent être mieux représentés. Son jeûne était censé durer jusqu’à la mort. Il a duré cinq jours, c’est-à-dire jusqu’à ce que les dirigeants hindous aient fait pression sur le leader des intouchables pour qu’il refuse les réformes britanniques.

    En 2008, on a retrouvé des rapports de conversations ayant eu lieu au British Cabinet à l’époque. Ils nous apprennent comment Churchill réagissait aux menaces de grèves de la faim de Gandhi : « Nous serions débarrassés d’un mauvais homme et d’un ennemi de l’Empire s’il mourait. » Quand le Cabinet découvrit qu’on ajoutait du glucose dans le jus d’orange du mahatma et qu’on massait ce dernier avec des huiles nutritives, le Premier ministre commenta :
    « Apparemment, ce n’est pas un jeûne mais juste un changement de régime. » La pauvreté et l’opposition à tout ce qui était moderne constituaient l’épine dorsale de la philosophie de Gandhi. Il exécrait l’industrie et les moyens de communication de son temps. En revanche, s’il déplorait l’invention du télégraphe, de la radio et du téléphone, cela ne l’a pas empêché de passer énormément sur les antennes nationales durant ses grandes grèves de la faim, à l’apogée de sa lutte pour l’indépendance. Il professait que le monde idéal était celui de la simplicité du rouet et de la charrue à bœufs. Selon les termes de sa biographe Judith Brown, il prônait un mode de vie « clairement et consciemment basé sur la pauvreté ».Il était également contre la médecine moderne et a refusé que l’on injecte de la pénicilline à sa femme quand celle-ci a contracté une pneumonie. Elle en est morte. (Plus tard, il a trouvé tout à fait acceptable de prendre de la quinine pour soigner sa malaria.)


    http://www.atlantico.fr/decryptage/gandhi-superstar-plus-grandes-supercheries-histoire-gandhi-phil-mason-426275.html


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