source
http://www.partiantisioniste.com/communications/15-avril-2010-paris-occupee-paris-outragee-0390.html
15 avril 2010 : Paris occupée, Paris outragée
(Communiqué de Presse)
C’est par une résolution du Conseil Municipal de la Ville de Paris, votée à l’unanimité, que le nom de Ben Gourion a été donné à une esplanade. Pour situer qui était Ben Gourion, il suffit de se souvenir de ce qu’il a déclaré en septembre 1937 : « Nous devons expulser les Arabes et prendre leur place et nous devons le faire avec violence ». Ainsi, la Ville de Paris sera dorénavant maculée d'une promenade portant le nom d’un criminel praticien de la purification ethnique.
Comme nous l’avons dit, cette décision a été votée à l’unanimité par le Conseil Municipal de Paris, y compris par les élus communistes avec Ian Brossat à leur tête. Aujourd’hui, ces mêmes dirigeants communistes, vieux habitués du double jeu et du double langage, appellent à manifester contre l’inauguration. Les vrais amis du peuple palestinien et les vrais antisionistes se souviendront de tous les partis politiques (y compris les communistes) qui ont pris part à cette insulte envers les innombrables victimes du sionisme et de Ben Gourion.
Il est intéressant de constater que, lorsque le combat s’aiguise, chacun est obligé de choisir son camp. A Paris comme partout, il y a ceux qui « honorent » le purificateur ethnique Ben Gourion et ceux, comme nous, qui sont résolument, sans réticence ni concession, aux côtés des victimes, c’est-à-dire les centaines de milliers de Palestiniens expulsés, bombardés, assassinés, et dont le calvaire continue aujourd’hui...
Fait ce jour le 14 avril 2010, à Tel-Aviv-sur-Seine (anciennement Paris).
Le Président,
Yahia Gouasmi.
http://www.partiantisioniste.com/communications/15-avril-2010-paris-occupee-paris-outragee-0390.html
15 avril 2010 : Paris occupée, Paris outragée
(Communiqué de Presse)
C’est par une résolution du Conseil Municipal de la Ville de Paris, votée à l’unanimité, que le nom de Ben Gourion a été donné à une esplanade. Pour situer qui était Ben Gourion, il suffit de se souvenir de ce qu’il a déclaré en septembre 1937 : « Nous devons expulser les Arabes et prendre leur place et nous devons le faire avec violence ». Ainsi, la Ville de Paris sera dorénavant maculée d'une promenade portant le nom d’un criminel praticien de la purification ethnique.
Comme nous l’avons dit, cette décision a été votée à l’unanimité par le Conseil Municipal de Paris, y compris par les élus communistes avec Ian Brossat à leur tête. Aujourd’hui, ces mêmes dirigeants communistes, vieux habitués du double jeu et du double langage, appellent à manifester contre l’inauguration. Les vrais amis du peuple palestinien et les vrais antisionistes se souviendront de tous les partis politiques (y compris les communistes) qui ont pris part à cette insulte envers les innombrables victimes du sionisme et de Ben Gourion.
Il est intéressant de constater que, lorsque le combat s’aiguise, chacun est obligé de choisir son camp. A Paris comme partout, il y a ceux qui « honorent » le purificateur ethnique Ben Gourion et ceux, comme nous, qui sont résolument, sans réticence ni concession, aux côtés des victimes, c’est-à-dire les centaines de milliers de Palestiniens expulsés, bombardés, assassinés, et dont le calvaire continue aujourd’hui...
Fait ce jour le 14 avril 2010, à Tel-Aviv-sur-Seine (anciennement Paris).
Le Président,
Yahia Gouasmi.