La planète des singes: une allégorie de l'asservissement de l'humanité par les descendants des Néandertaliens?
Contrairement à ce qu'on croyait, il y a eu des métissages entre cro-magnon et Néandertal
Le néandertal survit en nous
http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8263
http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2011802348_neanderthal07.html
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2010/05/06/AR2010050604423.html
Néandertaliens trouvés en Israël: jamais vu une aussi forte concentration au même endroit!
http://www.jpost.com/HealthAndSci-Tech/ScienceAndEnvironment/Article.aspx?id=173230
Michael Bradley (lui-même en partie juif) a montré que les populations du Moyen-Orient et du Caucase présentent un pourcentage de génétique néandertalienne variant entre 10% et 20%. Dans certaines population provenant du Caucase du Sud (qui devinrent les Hébreux) et du Caucase du Nord (les Khazars), on retrouve jusqu'à 50% de génétique néandertalienne, et même plus.
Les descendants de néandertaliens ne seraient pas vraiment des humains comme nous. En plus d'être deux fois plus agressifs que nous et de ne pas avoir une mentalité comme nous, ils présentent des traits physiologiques caractéristiques.
Voici quelques traits physiques typiquement néandertaliens (liés au climat froid des cavernes de l'ère glaciaire - qui correspond grosso modo au Déluge):
-Développement nasal protubérant
-Torse long
-Courtes jambes
-Grosses dents
-Pilosité mâle excessivement importante (pensez au légendaire Esaü, le frère de Jacob)
-Cervelet très développé, donc leur "cerveau reptilien" est dominant. (Pas étonnant donc qu'un tel groupe ait pu être perçu comme étant des "humanoïdes reptiliens"!)
Quelques traits psychologiques, selon Michael Bradley
-fanatisme (conviction d'être dans le vrai absolu)
-agression et violence (deux fois et demi plus violents que les humains)
-crise et hystérie lorsque contrariés, lorsqu'ils sont pas en contrôle
-anti-féminisme extrémiste
-xénophobie extrême
-monothéisme et obsession avec l'Unité
-intelligence supérieure
-aptitudes supérieures pour le calcul, les mathématiques, nombres (Madoff, Meyer Lansky)
-inaptitude pour les arts visuels (donc interdit de représenter le divin!)
-etc.
Résumé de la thèse de Bradley:
...en ce qui concerne l'histoire du monde, nous
sommes confrontés à un fait génétique significatif et terrifiant.
Un seul groupe de barbares très agressifs des steppes du
Caucase a joué un rôle démesurément grand dans la formation
du modèle général de l'histoire du monde.
Les tribus des steppes du Caucase jadis connues sous les noms
« Hyksos », « Mitanni », « Hébreux », « Hourrites » et « Hittites »
qui fuyaient du bassin inondé de la mer Noire avaient envahi le
Moyen-Orient entre environ 5600 et 2000 av. J.-C. Dès environ
1300 av. J.-C., ils avaient établi le monothéisme, mieux connu
comme le « judaïsme » biblique, dans certaines parties du Moyen-
Orient, notamment en Égypte ancienne, au Yémen et dans les
environs immédiats de Jérusalem en Palestine.
Les Huns de cette même région du Caucase, entre la mer Noire
et la mer Caspienne, avaient attaqué la Chine au IIIe siècle av. J.-
C., mais ils avaient été déjoués par la Grande Muraille bâtie par
la dynastie Ch’in. Cependant, à cause de ces « barbares velus »
du Moyen-Orient, la civilisation chinoise est demeurée inhibée sur
le plan psychologique, et relativement non expansive (par rapport
à l'Ouest) sur le plan territorial.
Ces même Huns avaient ensuite regagné les steppes du
Caucase d’où ils étaient venus. Ils avaient terrorisé leurs voisins
et entraîné la chute de Rome.
« Les Huns blancs », une tribu apparentée, avaient envahi
l'Inde à peu près en même temps qu’Attila envahissait l'Europe. Ils
avaient entraîné la fin de la magnifique « époque Gupta »
artistique de l'histoire de l'Inde et avaient laissé l'Inde prostrée et
vulnérable à l'attaque islamique qui allait bientôt suivre. À la suite
des invasions barbares de l'Empire romain, les Huns d’Europe
avaient entraîné « l’âge des ténèbres » européen. Ces invasions
avaient coïncidé avec l'établissement du «judéo-christianisme »
en Europe et dans certaines parties du Moyen-Orient.
Poussant ensuite les Vandales à envahir le Moyen-Orient, ces
Huns avaient inspiré la religion monothéistique de l'Islam en 622
apr. J.-C. (Il serait plus correct de dire le « judéo-Islam », puisque
l'Islam est également fermement basé sur la tradition judaïque.)
Ceci avait donné naissance à un « djihad » musulman – ou une
« guerre sainte » – qui avait résulté dans la conquête du Moyen-
Orient, de la Méditerranée jusqu’en l'Inde, ainsi que la conquête
de l'Afrique de l'Est et l'Afrique du Nord.
Les Huns sous leur nouvelle forme, en tant que « Khazars »,
s’étaient converti au judaïsme en 740 apr. J.-C., et ils allaient
mouler l'expansion technologique, financière, militaire et
culturelle du monde occidental moderne – ainsi que les conflits
majeurs du monde occidental.
Par exemple, bien que la plupart des gens aient été trop
polarisées par la propagande pour le réaliser, le communisme et
le capitalisme moderne ont été, tous deux, développés par des
théoriciens économiques, des activistes, des avocats et des
entrepreneurs principalement Ashkénazes. Le communisme et le
capitalisme avaient facilité la domination néandertalienne de
différentes manières qui avaient été adaptées en fonction de
différentes sociétés.
Extrait de "Épées dans le soleil couchant
http://www.michaelbradley.info/grail/SAS/epees-epi.pdf
V.O.A. : Genetics in Western History and Religion
http://www.michaelbradley.info/tjv/appendix4.pdf
Michael Bradley
Dans deux livres, The Iceman Inheritance (1978) et Chosen
People from the Caucasusa (1992), j'avais affirmé que la
différence culturelle immense mais insaisissable qui sépare
« l’Antiquité » méditerranéenne et « l’ère judéo-chrétienne » avait
essentiellement une composante de plus en plus génétique
Les Hébreux avaient envahi la Palestine vers 2000-1700 av. J.-
C., du moins c’est ce que la plupart des experts pensent. Ils étaient
une composante de la migration des Hyksos vers le sud depuis la
région des montagnes du Caucase. Jusqu'aussi récemment que
1997, cependant, personne (y compris moi) ne pouvait avancer de
suggestion constructive ou raisonable en ce qui concerne pourquoi
les tribus du Caucase vivant autour de la mer Noire auraient
soudainement décidé d'émigrer de leurs patries sans doute
originales. Mais émigrer, elles avaient certainement fait et, en tant
que « Hittites », « Mitanni », « Hourrites », « Hyksos » et
« Hébreux », ces tribus avaient inondé la Turquie moderne, l'Irak,
la Syrie, le Liban, l'Israël-Palestine et même la région de l'Égypte
ancienne.
Mais In Search of Noah’s Flood, par Walter Pitman et William
Ryan, deux océanographes de l’université Colombia, est paru en
1997. Leur assemblage massif de preuves diverses avait placé le
fait que le bassin de la mer Noire avait été inondé en 5600 av. J.-
C. au-delà de toute ombre d’un doute scientifique
Pendant la dernière « période glaciaire », la mer Noire actuelle
avait été un lac d'eau douce assez grand à peu près de la taille du
lac Ontario (approximativement 19 425 kilomètres carrés en
superficie). Mais avec la fin de la « période glaciaire » vers
11 500 av. J.-C., les plus grandes calottes glacières de l'ère
glaciaire avaient commencé à fondre et le niveau des mers du
monde a commencé à monter. Le niveau des mers du monde s'était
élevé par 91 metres après environ 6 000 ans de cette fonte
glaciaire, soit vers 5600 av. J.-C. C'était assez pour que la
Méditerranée se déferle par-dessus du Bosphore actuel et tombe en
cascade dans le bassin de la mer Noire. Comme nous l’avons déjà
vu dans l'océan Atlantique, cette même élévation de 91metres du
niveau des mers du monde avait inondé plusieurs grands monts
marins qui, ensemble, pourraient avoir été « l’Atlantide »
légendaire. Le groupe d'îles au large de la Bretagne, autrefois
connues sous le nom de Lyonesse, avait également été
progressivement inondé.
L'eau salée s’était déversée dans le bassin de la mer Noire au
débit approximatif de deux cents Niagaras pendant presque deux
siècles. Tout autour de l'ancien du rivage lac, les riches steppes
avaient été inondés à un rythme d’environ un-demi kilomètre par
jour. En un peu moins de deux siècles, la mer Noire désormais-
salée avait atteint le niveau des mers du monde, sa superficie
actuelle d'environ 441 000 kilometres carrés et sa profondeur
moyenne actuelle d'environ 457 mètres au-dessus de la couche
d'eau douce originale.
Des fouilles archéologiques sous-marines sont actuellement en
cours, menées par la célèbre équipe de Robert Ballard, le
découvreur du lieu de repos du Titanic. En explorant le fond marin
avec des caméras de télévision contrôlées à distance et en
récupérant des objets du fond marin, l’équipe a déjà prouvé d'une
manière concluante que les bords de l'ancien lac avaient été très
abondamment peuplées avant l'inondation. Le fond de la mer
Noire est parsemé de nombreuses maisons en bois et de fermes.
Les anciens habitants avaient dû fuir à toutes jambes à mesure que
leurs anciennes prairies disparaissaient sous un déluge progressif
mais inexorable d'eau salée méditerranéenne. Et l'évidence
squelettique prouve qu'ils avaient des traits physiques néanderthal
marqués. Ces gens éta ient surtout des gardiens de troupeaux de
moutons et de chevaux. Comme nous l’avons vu, Hyksos signifie
les « rois bergers », et dans l’ancienne langue égyptienne, Hi-bi-ru
dénote apparemment des moindres gardiens de troupeaux.
Ces bergers là, cependant, ne pouvaient pas avoir été très doux
et tolérants. Les montagnes du Caucase étaient le dernier refuge de
la lignée ou de la « race » génétique des Néanderthals parce que le
climat glaciaire auquel les Néanderthals s'étaient adaptés avait
persisté dans la région du Caucase après la fin de dernière
« période glaciaire ». C'était dû à l'altitude moyenne relativement
élevée de cette région montagneuse du Caucase au-dessus du
niveau de la mer. Ailleurs en Europe et en Asie occidentale le
climat était plus tempéré.
Les contreforts des Alpes, les Pyrénées, l'épine montagneuse de
l'Italie, le massif central de la France et les Balkans étaient
également plus ou moins un refuge pour les Néanderthals
spécifiquement européens Le folklore européen se rappele encore
d’eux sous la forme de trolls et de gnomes de montagne. Ainsi, les
Néanderthals assez purs doivent s'être attardé jusqu’à relativement
récemment dans les plus hautes montagnes de l'Europe. Dr Chris
Stringer, du British Museum, a maintenu que des groupes ou tribus
cohésifs de Néanderthals presque purs existaient dans les
montagnes européennes il y a seulement 10 000 ans, soit en
8000 av. J.-C.8
Mais les montagnes du Caucase menant au complexe pêle -mêle
de montagnes du Taurus, du Zagros et de l'Elbourz formaie nt le
plus grand refuge, et le plus récent, des les Néanderthals.
La question à savoir si des Néanderthals assez purs existent
toujours ou pas est un sujet fortement controversé. Depuis les
années 50, il était généralement accepté par la plupart des
anthropologues physiques que certaines populations locales dans
les régions montagneuses de l'Europe – l'épine de l'Italie, le Massif
central de la France, les Balkans, etc. – étaient à toutes fins
pratiques très « néanderthalesques ». Certaines populations du
Caucase et d'autres chaînes de montagne moyen-orientales
présentent encore des caractéristiques squelettiques néanderthales
plus extrêmes que le « spécimen type », un Néanderthal français
daté à environ 50 000 av. J.-C. Il est maintenant politiquement
incorrect de suggérer une telle chose.
Dès décembre 1978, Dr Eric Trinkaus (alors à Harvard) et Dr
T. Dale Stewart de la Smithsonian, avaient entrepris une étude
médicolégale de chaque os de Néanderthal alors connu. Ils avaient
constaté que les os de Néanderthals montraient environ deux fois
plus de blessures causées par la violence que tout autre groupe
humain antique comparable. Le fruit de leur collaboration avait été
publié dans Natural History, le magazine du Musée américain
d'histoire naturelle à New York, dans un article intitulé «Hard
Times Among the Neanderthals »a. Leur article s’était terminé
avec les mots suivants : « Les Néanderthals doivent être
considérés parmi les plus primitifs des humains modernes, ne
serait-ce qu'en raison de leur propension pour la violence. »
Il a déjà été démontré que la culture et la société néanderthales
étaient extrêmement agressives et xénophobiques envers ceux
ayant une culture ou des aspects physiques différents des leurs.
Des raisons théoriques, ainsi que des preuves de nature culturelle
et religieuse réelles, suggèrent que les gens « fortement
néanderthalesques » ont une mentalité anti-féministe et tendent à
adorer des dieux du ciel masculins, pas des déesses de la fertilité.
La preuve est trop complexe et trop spécialisée pour en traiter ici.
Mais il est une caractéristique néanderthale qui n'est partagée
par aucune autre population humaine fossile ou vivante. Ceci doit
être expliqué au moins superficiellement si nous voulons
comprendre la civilisation occidentale . Et cela peut également être
d'importance cruciale à une compréhension de l'histoire religieuse
du monde occidental. Bien que littéralement des douzaines de sites
de caverne et d'abris sous roche des Néanderthals de la « période
glaciaire » aient été découverts et étudiés, aucune peinture rupestre
néanderthale n’a été jamais trouvée.
Bien qu'ils aient été dotés de cerveaux plus grands que ceux de
beaucoup d’Européens vivant aujourd'hui et aient été sans doute
extrêmement « intelligents », leur intelligence n'était pas artistique
ou créatrice d’une manière visuelle. Ceci rend l'intelligence et
l’orientation mentale des Néanderthals sensiblement différentes de
toutes autres populations humaines ancestrales.
Il peut y avoir une cause évolutionnaire pour ceci. Le National
Geographic (août 2002) rapportait que des restes squelettiques
d'un hominien semblable ou identique à Homo habilis avaient été
plutôt étonnamment découverts dans les montagnes du Caucase de
l'ancienne République soviétique de Géorgie.
Homo habilis n’était précédemment connu que de restes
squelettiques trouvés en Afrique de l'Est, et est daté à il y a
environ 1-3 millions d'années. Quelques caractéristiques de ces os,
les mâchoires inférieures notamment, me semblent posséder
certaines particularités tout à fait similaires aux mâchoires
néandethales typiques. Les Néanderthals pourraient (notez
l'emphase) donc avoir évolué de cet hominien primitif. Il est pensé
que Homo habilis aurait bien été « humain », mais pas de la
branche Homo qui a évolué pour devenir la majeure partie de
l'humanité actuelle et moderne.9
Bien qu'il y ait actuellement beaucoup de controverse à ce
sujet, les Néanderthals étaient jadis classifiés comme Homo
sapiens neanderthalis, c’est-à-dire, une «race » ou sous-espèce
séparée de l'humanité moderne, Homo sapiens sapiens. De nos
jours, il n’est toutefois pas poli de suggérer qu'il y ait des « races »
génétiques de l'humanité, identifiables à partir de traits physiques,
ayant des caractéristiques mentales et émotives différentes.
Malheureusement pour la pensée politiquement correcte,
cependant, l'article du National Geographic suggère au moins que
l’ancienne perspective « qui n’est pas politiquement correcte » est
possiblement ou même probablement « factuellement correcte »
après tout – les Néanderthals sont peut-être venus d'un autre type
« d'humanité ».
Les Néanderthals n’étaient peut-être pas capables de dessiner
ou de peindre, mais ils étaient cependant obsédés par les nombres.
Comme « le comte » de Sesame Street, ils ne pouvaient pas
s’empêcher de compiler et d’énumérer les choses. La première
preuve humaine connue de « l’activité chrono-factorisée» est sous
la forme de notations néanderthales des phases lunaires (ou des
cycles menstruels) gravées sur os qui datent à environ 50 000 av.
J.-C. Selon nos connaissances actuelles, ces notations pré-datent
les célèbres peintures rupestres d'Europe occidentale par au moins
20 000 ans.
Dans son livre Les racines de la civilisation (1971) a, Alexander
Marshack a illustré plusieurs exemples de notations numériques
néanderthales et a démontré qu'elles étaient tout aussi importantes
au développement de la civilisation que l'intelligence plus
« visuellement artistique » des peintres rupestres de l'Europe
occidentale. En fait, comme Marshack l’a démontré, le penchant
néanderthal pour la manipulation des nombres a probablement été
plus important que les capacités artistiques visuelles de l'Europe
occidentale en ce qui concerne le développement des
mathématiques, de la topographie, de la phys ique, des sciences et
de la technologie.
En termes d'impact culturel facilement discernable sur la
civilisation occidentale, ceci signifie qu'il est encore possible de
tracer une ligne allant des environs de la frontière allemande-
polonaise sur la mer Baltique à la frontière italienne-slovène sur la
mer Adriatique sur une carte. On constate ainsi que les artistes
visuels sont généralement nés à l'ouest de la ligne, tandis qu'un
nombre disproportionné de mathématiciens, de physiciens, de
musiciens et de compositeurs de renommée mondiale vivaient à
l'Est de celle -ci. La musique est, naturellement, une appréciation
des proportions numériques exprimées en sons.10
Cette ligne est aussi la ligne de démarcation qui sépare les bons
joueurs d'échecs des obsédés du jeu. D’un côté, nous trouvons la
pointure pour hommes extrêmement large EEE commune en
Europe de l'Est, et de l’autre, les pieds plus étroits des hommes de
l'Ouest. Les chaussures de pointure EEE ne sont pas normalement
fabriquées à l'Ouest de la République Tchèque d'aujourd'hui. Les
Néanderthals avaient des pieds très larges, un « indice plantaire »
élevé. Comme le dit Dr Carlton Coon dans son livre The Origin of
Racesa (L'origine des races, édition de 1968) commandité par la
National Academy of Sciencesb : « Les Néanderthals avaient des
pieds russes plutôt que des pieds anglais. »
Cette ligne était « plus évidente » avant 1800 qu'elle ne l’est
aujourd'hui, bien sûr. Deux siècles de voyage relativement rapide
et peu coûteux ont permis aux gens de se marier avec d’autres
groupes et mélanger leurs gènes. Néanmoins, même présentement
(octobre 2003), la ligne de démarquation demeure au moins
approximativement valide.
J'ai suggéré dans divers textes, y compris The Iceman
Inheritance et Chosen People from the Caucasus, qu’en raison de
leur obsession avec les nombres, les Néanderthals devaient avoir
été fascinés avec le nombre « Un » ou 1. C'est la différence
soudaine entre le néant et quelque chose. « Tout » ce qui existe
peut être envisagé en termes de multiples de « Un », mais sans
« Un » rien n’existe. J'ai donc suggéré que les Néanderthals et
gens « fortement néanderthalesques » avaient une tendance
« innée » ou génétique vers le monothéisme, la conception d’un
Dieu Unique qui avait « Tout » créé. Et, parce qu'ils ne pouvaient
apparemment rien représenter visuellement, ce Dieu Unique
« Néanderthal » aurait été une entité totalement abstraite.
Qui plus est, puisqu'ils ne pouvaient pas dessiner ou peindre
très bien et n'appréciaient pas ou ne respectaient pas cette aptitude,
les Néanderthals et gens « fortement néanderthalesques » auraient
considéré l'art figuratif et surtout l'art religieux d'autres peuples
comme étant blasphème et « idolatrie ».
Pour résumer les caractéristiques néanderthales, donc, nous
avons une très grande intelligence numérique et logique, un niveau
d’agression élevé, la dominance des hommes, l’anti-féminisme, la
xénophobie, le matérialisme (si vous pouvez les compter, ils
existent) et possiblement ou probablement une inclination vers le
monothéisme comme traits mentaux néanderthals.11
Le Caucase, et les montagnes y étant immédiatement reliées,
avaient été le plus grand et plus récent refuge pour les peuples
Néanderthals et «fortement néanderthalesques » de la «période
glaciaire » persistante., Ces montagnes mêmes ne pouvaient
cependant soutenir qu’une population limitée. Il se trouve,
parcontre, qu’en raison de facteurs géographiques, de vastes terres
de steppes fertiles s’étendent au-delà des contreforts du Caucase et
des chaînes de montagnes reliées.
Ces steppes avaient donc absorbé la population néanderthale
excédentaire que les montagnes ne pouvaient pas soutenir. De
plus, le potentiel exceptionnel des steppes, en termes d’agriculture
et d’élevage de troupeaux, avait permis à cette population
excédentaire de s’accroître de manière explosive et de décroître
rapidement par la suite, à mesure que les gens émigraient vers
l'extérieur. La population restante pouvant ainsi s’accroître jusqu'à
ce qu’elle ait atteint une concentration critique encore une fois.12
L'histoire de l'Ouest en a été une de cycles – des vagues de gens
des steppes du Caucase inondant le monde extérieur. Cette carte
extraite de The Iceman Inheritance montre de manière graphique
les points saillants de l'histoire occidentale.
Le grand déluge de la mer Noire de 5600 av. J.-C. avait poussé les
habitants du bassin à escalader les montagnes côtières toujours
plus proches et à s’aventurer dans le monde occidental plus large.
Ainsi avait commencé, pour la toute première fois dans l'histoire
humaine connue, le cycle historique d'expansion hors du Caucase.
Ces peuples fortement néanderthals du Caucase ont génétiquement
inondé l’ancienne civilisation européenne de la Déesse. Les
premières villes fortifiées ont été découvertes en Thrace, en
Roumanie, en Bulgarie et en Macédonie. Elles datent pour la
plupart à environ de 4500 av. J.-C.13
À cause de l’inondation du bassin de la mer Noire, le monde
occidental est devenu de plus en plus caucasien – c’est-à-dire,
possédant des traits physiques caucasiques reconnaissables – à
mesure que les Cro-Magnons se sont mélangés avec les
Néanderthals sur une échelle jamais vue auparavant en Europe et
Asie occidentale. Par conséquent, la civilisation de la Déesse a été
transformée, graduellement et à un plus ou moin grand degré, en
une civilisation dominée par le monothéisme et matérialisme des
hommes dominants.
Les Hyksos et les Hébreux avaient apparemment escaladé les
montagnes côtières de la Turquie moderne et de l'ancienne
République soviétique de Géorgie, et avaient avancé avec peine
jusque dans la vallée de l'Euphrate. Ceci les avait menés, par la
suite, au pays de Sumer. Ce n'était pas une migration
intentionnelle vers une destination connue. Les montagnes du
Caucase et du Taurus avaient isolé ces peuples du monde
extérieur, et il est fortement improbable quils connaissaient
l’existence des villes du pays civilisé de Sumer. Au moins, aucune
évidence de contact culturel entre le Caucase et le pays de Sumer
avant environ 3000 av. J.-C. n’a été découverte jusqu'à présent.
Ces villes avaient été fondées aux alentours de 8000-7000 av.
J.-C. par des représentants de l’ancienne civilisation européenne
croyant en la Déesse lorsque la « race méditerranéenne »
s’étendait lentement vers l'Inde. Les archéologues l’appellent la
culture Ubaid a, telle qu’elle est connue localement. Les réfugiés de
la mer Noire étaient simplement lentement décendus dans la vallée
de l'Euphrate, leur déplacement étant dicté par l’épuisement des
pâturages disponibles pour leurs troupeaux. Ils avaient atteint les
environs d'Ur dans le pays de Sumer vers environ 3000 av. J.-C.
Dès environ 2000 av. J.-C. ils avaient traversé la Syrie pour arriver
en Palestine. Ils avaient envahi la partie Nord-Est du delta du Nil
de l'Egypte qui est contiguë à la Palestine et appelée « Gosen »
dans la Bible Dès 1700 av. J.-C.
Les archéologues peuvent tracer et dater cette migration de
manière approximative par une traînée d’os de cheval domestiqué.
Ces peuples du Caucase avaient domestiqué les chevaux sauvages
(ou « tarpans ») de la « période glaciaire » qui s’était attardée sur
les steppes. Le premier squelette de cheval domestiqué découvert
jusqu'à présent en Égypte ancienne, dans le delta du Nil, date
d’environ 1650 av. J.-C.14 Ceci donne aux archéologues une date
approximative pour l'arrivée des Hyksos et des Hi-bi-ru associés
dans cette région. Cette occupation quasi-militaire peut être la
vraie raison pour laquelle les tribus hébraïques avaient résidé dans
le Nord-Est de l’Égypte pendant un certain temps. La Bible est
imprécise au sujet de la durée de leur résidence dans « le pays de
Gosen »... s’agit-il de quatre siècles ou quatre générations ?
Pour terminer l'histoire, ces Hyksos et Hébreux ont été
expulsés d'Égypte entre 1550 et 1350 av. J.-C. à la suite d’une
contre-offensive lancée par les princes égyptiens de Thèbes. Cette
contre-offensive avait été menée, d’abord par Ahmosis 1er puis par
son succès, et avait résulté en la fondation de la XVIIIe dynastie et
le début du fameux « Nouvel Empire » de l'Égypte ancienne.
Après deux cents ans de lutes sporadiques, l'expulsion d'Égypte
des « bergers » asiatiques détestés était finalement terminée. Cette
expulsion finale semble avoir été l'Exode de la Bible. Nous avons
déjà traité de ceci dans la mesure ou les faits disponibles
présentement nous le permettent.15
L’Ancien Testament de la Bible témoigne amplement de
l'agression des Hébreux envers les tribus voisines après l'Exode, et
de leur certitude absolue de rectitude s'ils servaient leur Dieu.
« Il » était le seul « Dieu véritable » dans un grand monde rempli
de beaucoup d'autres peuples et cultures qui avaient leurs propres
dieux et déesses.
L’Ancien Testament note également le fait qu’un grand
nombre des premiers Hébreux avaient conservé des traits
physiques néanderthals marqués de leur origine dans les
montagnes du Caucase. Esau le Velu est connu à la plupart des
lecteurs de la Bible. Mais ce que la plupart des lecteurs ne savent
pas, c’est qu'Esau n'était pas seul. Des gens Esau-esques étaient
très communs au sein de la population hébraïque primitive. Selon
les premiers exégètes hébreux, il y avait suffisamment « d’Esaus »
pour contester le droit de Jacob de diriger les tribus israélites. Le
plus ancien ouvrage exégétique en hébreu, le Levitecus Rabba,
appelle ces gens « les destructeurs, les fils d'Esau » et le Zohar
indique qu’ils étaient « la bête au sein d'Israël » qui devait être
éradiquée.
Les Hébreux bibliques doivent être venus, à l'origine, d'une
certaine source génétique néanderthale extrêmement concentrée,
dans leur ancienne patrie du Caucase. Mais la connaissance au
sujet de premières populations humaines dans cette région n’est
malheureusement pas suffisante pour déterminer le lieu
géographique d’origine probable des ancêtres des Hébreux. Mais
les nombreux « Esaus » de l’Ancien Testament ayant fait l’objet
de commentaires dans les anciens ouvrages exégétiques, indiquent
la présence de ce degré extrême de matériel génétique néanderthal
dans les tribus israélites.
Une autre caractéristique de la culture hébraïque témoigne
également de la même chose. De tous les peuples primitifs connus
d'Europe et d'Asie occidentale, seuls les Hébreux bibliques ont
exercé un effort concerté pour établir ou (maintenir) un Dieu
purement mâle et dominant dans leur monothéime aussi-unique.
Bien qu'au moins une partie de leur peuple ait apparemment
souffert des défaillances fréquentes en s’attachant à l’idolatrie et
même au culte des déesses des nations voisines, la plus grande
partie des tribus judaïques est demeuré fidèle au Dieu Unique. Ce
Dieu avait d’abord été connu sous le nom d'Aton (en égyptien
original), puis sous le nom d’Adonaï lorsque l'hébreu a évolué en
une langue séparée. En secret, les prêtres le connaissaient par les
sons de voyelle qui s’approchent du nom « Jéhovah » ou
« Yaweh. » C'est pourquoi les voyelles ne sont jamais écrites en
hébreu et dans d’autres langues « sémitiques ».16
Ces caractéristiques physiques, intellectuelles, émotives et
« religieuses » néanderthales sont demeurées relativement pures et
non-diluées en raison des taboos culturels et religieux hébraïques
contre le mariage avec tout autre peuple. (...)
Dans l’espace de trois siècles – ou seulement environ onze
générations – après la vie du « saint Paul » du christianisme
orthodoxe, les barbares appelés Visigoths, Ostrogoths, Lombards
et Vandales dans nos livres d'histoire avaient commencé à envahir
l'Empire romain. Ils étaient des parents éloignés des peuples
bibliques des steppes du Caucase qui avaient fuit la grande
inondation de la mer Noire et qui avaient envahi la Palestine et
l'Égypte en tant Hyksos et Hébreux environ deux mille ans plus
tôt.
À mesure que les recherches sur les histoires obscures des
steppes ont péniblement et lentement progressé, il est devenu clair
que le Visigoths, Ostrogoths, Lombards et Vandales avaient été
poussés dans une migration désespérée, dans un genre « d’effet
domino », par les terribles Huns au Nord et à l'Est de ces tribus.
Les auteurs gréco-romains avaient entendu parler des Huns et en
avaient fait mention pour la première fois en 272 apr. J.-C.,
probablement en raison des histoires racontées par les réfugiés
Visigoths dispersés qui entraient alors lentement dans le nord la
Grèce. Ces Huns étaient situés dans les terres vaguement connues
à l'extrémité nord de la mer Caspienne.
On sait maintenant que les Huns étaient une tribu caucasienne
des steppes qui avait mené une attaque contre la Chine pendant le
IIIe siècle av. J.-C.18 La dynastie Ch'in de l’époque avait construit
le grand mur afin de garder les Huns à distance.19 Ceci avait
apparemment fonctionné parce que les Huns étaient alors
retournés vers l'ouest, vers ce qui semble avoir été leurs patries
originales au nord de la mer Caspienne. Mais à partir de ce
moment, la culture chinoise avait tendance à être introspective et
pas très expansive. Bien qu'ils aient été arrêtés, les Huns avaient
peut-être sérieusement intimidé les Chinois. En tout cas, pas plus
tard qu’en 1325 apr. J.-C., l'expansion maritime chinoise avait été
interrompue par décret impérial de peur de « rencontrer les
barbares velus » dont il était connu qu’ils existaient dans le
Moyen-Orient.
Les Visigoths, dont le mouvement terrifié avait été déclenché
par les Huns, étaient apparus sur la scène de l'histoire européenne
pour la première fois à la bataille d'Adria nople en Grèce en 378
apr. J.-C. Là, leur cavalerie avait complètement défait une armée
romaine. Il est bientôt devenu évident que les légions d'infanterie
romaines ordinaires n'étaient pas à la hauteur des nouveaux
guerriers Visigoths montés sur chevaux blindés et munis de
longues lances et de longues épées. Les Visigoths, Ostrogoths et
Lombards avaient envahi successivement la Grèce et l'Italie. Les
Visigoths avaient pillé Rome en 410 apr. J.-C.
Bien qu’ils étaient des guerriers féroces, les Visigoths,
Ostrogoths et Lombards pouvaient cependant apprécier la
civilisation au moins jusqu’à un certain degré, et ils pouvaient être
assimilés. Plusieurs de ces barbares étaient devenus des officiers
dans l'armée romaine ainsi que des citoyens romains. Ils avaient
aidé la Rome impériale à développer ses propres corps de
cavalerie blindée, appelés clibanarii (Empire romain d’Occident)
et cataphracti (Empire romain d’Orient), avec lesquels s'opposer à
l’attaque inévitable des Huns.
Selon des rapports préservés dans les chroniques, même les
Visigoths, Ostrogoths et Lombards féroces et bélliqueux qui
s'étaient établi dans la Rome conquise doutaient que les Huns
étaient entièrement humains. Les Huns ont été décrits comme des
« gnomes » extrêmement velus avec de grandes têtes, de grands
nez et des jambes courtes. Les barbares christianisés leur avaient
donné l’épithète « le fléau de Dieu » parce qu’ils étaient
impitoyables dans l’extermination de leurs ennemis et qu’ils
visitaient d’affreuses atrocités sur leurs captifs malchanceux.
L'attaque longuement redoutée arriva environ deux générations
après la chute de Rome aux Visigoths. Entre 449 et 451 apr. J.-C.,
Attila mena ses Huns à travers l'Europe centrale laissant derrière
lui destruction et génocide. La horde d'Attila, constituée
principalement d’archers montés, fut assez étonnamment défaite
en 451 apr. J.-C., à la bataille très étroitement combattue de
Châlons en France centrale. Les vainqueurs étaient une coalition
désespérée de Visigoths, d’Ostrogoths, de Lombards romanisés,
d’infanterie romaine, de recrues celtiques indigènes et de forces
teutoniques de l'Est du Rhin. Les Teutons avaient déjà éprouvé la
terreur des Huns et le cycle de poésie épique l’Anneau des
Niebelungen fait souvent référence à ce conflit.
Les lecteurs aux intérêts littéraires variés trouveront de quoi
réfléchir en apprenant qu'en 2000, deux groupes indépendants
d'acheteurs et de lecteurs de livres ont proclamé Le Seigneur des
Anneaux de J.R.R. Tolkien « le livre le plus important du siè cle »
et « le livre le plus important du millénaire ». Un important
revendeur international de livres, Amazon.com, avait effectué un
sondage d’opinion auprès des deux groupes. Un groupe était
britannique, l'autre était américain. Ceci peut également être d'une
importance sociale insoupçonnée.
La « Terre du Milieu » de Tolkien représentait les « Jours
Anciens » de l’ancienne civilisation européenne Néolithique-
megalithique de façon assez évidente. Plus particulièrement, « la
Comté » voulait représenter l'Angleterre préindustrielle. Les
« Haut Elfes », qui étaient venu de l'Ouest et avaient apporté la
civilisation à la Terre du Milieu, n'étaient nuls autres que nos
présumés « Atlantes » ou Cro-Magnons de l'Ouest qui avaient
apporté la civilisation à l'Europe occidentale.
Dans Le Seigneur des Anneaux, « Mordor », le royaume
oriental de Sauron, représente la tendance des peuples du Caucase
vers le monothéisme extrême et fanatique. Il y n’avait qu’un
Seigneur Unique dans Mordor : Sauron, le Seigneur Ténébreux.
En termes légaux, il n'y avait en Mordor aucune distinction entre
la loi civile et la loi religieuse. Tous adoraient Sauron et
l’obéissaient absolument. Du point de vue technologie, nous
trouvons dans la terre de Mordor un étrange mélange de
fabrication artisanale Huns/Khazars du début de la période
médiévale et d'industrialisme occidental moderne. Les soldats de
Mordor sont appelés « Orques », qui est irlandais gaélique (la
branche goïdelique de la langue celtique) pour porcs. Le mot
« Khazar » veut égale ment dire « porc » dans la branche gothique
de la langue germanique qui a influencé le yiddish. Nous
apprendrons bientôt la signification de ceci.
Tolkien racontait donc dans son chef-d’œuvre, une histoire
allégorique mais pourtant vraie. La grande lutte presque
désespérée relatée dans Le Seigneur des Anneaux représente la
bataille continuelle d’origine très ancienne de l’Ouest contre la
domination génétique des barbares féroces des steppes du
Caucase.
Même la « civilisation de la Déesse » est représentée dans
l'ouvrage de Tolkien. On se souviendra des trois Anneaux de
Puissance qui avaient toujours la force de faire au moins un certain
bien dans le monde. La reine elfique Galadriel de Lothlórien
utilisait un de ces Anneaux. Arwen, l’Étoile du Soir, du bastion
elfique de Fondcombe était fiancée à Aragorn, le Roi caché de
l'Ouest. Les enfants potentiels d'Arwen par Aragorn étaient le seul
espoir pour un leadership futur quelconque de l'Ouest.
Ce ne peut être un accident, donc – pour un homme de
l'érudition de Tolkien – que l'Étoile du Soir est la planète Vénus et
que « Galadriel » est le nom « elfique » pour l'Étoile du Matin...
qui est aussi la planète Vénus. Mais il faut lire la longue annexe de
Tolkien « Sur la langue des Elfes » pour découvrir ceci. Le nom
latin qui a été donné à la planète est Vénus, mais ce nom est
interchangeable avec Aphrodite, Ishtar, Cybèle et Isis. La planète a
été nommée en honneur de la grande Déesse en raison de sa
beauté.
Notre symbole actuel pour le sexe féminin est également le
signe pour Vénus, et ces deux symboles viennent de la forme de
l'ankh, le symbole égyptien ancien de la vie. Mais Tolkien, le
spécialiste en connaissances traditionnelles et littérature
teutoniques et celtiques d'Oxford, savait que même l'ankh, ce
symbole égyptien ancien pour la vie avait apparemment été
apporté en Égypte, avec le christianisme de base, par des migrants
néolithiques et mégalithiques venus de l'Ouest atlantique.
Un scientifique allemand très bien connu avec le nom
malheureux de Dr Otto Muck est allé plus loin que Tolkien. Muck
a suggéré que la forme de la croix celtique était une représentation
du plan de ville de « l’Atlantide » tel que décrit par Platon, tout
comme le sont l'ankh et nos symboles pour la planète Vénus et le
sexe féminin. Mais ces symboles en sont aussi des déformations
légères. Selon Platon, ville avait été entourée de canaux
concentriques afin de desservir ses différentes sections. Ce
système de canaux concentriques était entrecroisé par quatre
canaux transversaux courts visant à assurer un accès plus facile à
chacun des « quartiers. » Cette planification urbaine avait donné à
la ville de l'Atlantide sa forme distinctive.
Voici une carte douteuse de « l’Atlantide » avancée par Paul
Schliemann en 1912. Il avait affirmé que son célèbre grand-père,
Heinrich Schliemann, avait trouvé une représentation plus
rudimentaire de celle -ci gravée sur un tesson de poterie à Troie.
Les documents du vieux Schliemann ne font aucune mention de
ceci, mais cela avait fait une bonne histoire en 1912.
La provenance affirmée par Paul Schliemann pour cette carte
est évidemment assez douteuse, mais là n'est pas le problème. Le
problème est que la représentation de la ville de l'Atlantide qui y
est faite est fidèle aux descriptions données par Platon dans ses
dialogues : Timaeus et Critias. La ville de l'Atlantide représentée
ici est une croix celtique. La petite barre transversale du « miroir
de Vénus » (symbole de la planète et du sexe féminin) et la barre
transversale sur l'ankh représentent peut-être le littoral de l'île.
Selon Platon, un important chenal maritime reliait le réseau de
canaux à la mer.
Plus de détails: http://pascasher.blogspot.com/2010/05/les-protocoles-des-neanderthaliens.html
Dernière édition par Druide le 8/6/2010, 12:21, édité 10 fois