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nemandi
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Auda
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    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM

    Druide
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    Nombre de messages : 971
    Date d'inscription : 30/01/2009

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Empty "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM

    Message  Druide 28/5/2010, 23:43

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Planet_of_the_apes
    La planète des singes: une allégorie de l'asservissement de l'humanité par les descendants des Néandertaliens?


    Contrairement à ce qu'on croyait, il y a eu des métissages entre cro-magnon et Néandertal

    Le néandertal survit en nous
    http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8263
    http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2011802348_neanderthal07.html
    http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2010/05/06/AR2010050604423.html

    Néandertaliens trouvés en Israël: jamais vu une aussi forte concentration au même endroit!
    http://www.jpost.com/HealthAndSci-Tech/ScienceAndEnvironment/Article.aspx?id=173230


    Michael Bradley (lui-même en partie juif) a montré que les populations du Moyen-Orient et du Caucase présentent un pourcentage de génétique néandertalienne variant entre 10% et 20%. Dans certaines population provenant du Caucase du Sud (qui devinrent les Hébreux) et du Caucase du Nord (les Khazars), on retrouve jusqu'à 50% de génétique néandertalienne, et même plus.

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Dia3

    Les descendants de néandertaliens ne seraient pas vraiment des humains comme nous. En plus d'être deux fois plus agressifs que nous et de ne pas avoir une mentalité comme nous, ils présentent des traits physiologiques caractéristiques.


    Voici quelques traits physiques typiquement néandertaliens (liés au climat froid des cavernes de l'ère glaciaire - qui correspond grosso modo au Déluge):
    -Développement nasal protubérant
    -Torse long
    -Courtes jambes
    -Grosses dents
    -Pilosité mâle excessivement importante (pensez au légendaire Esaü, le frère de Jacob)
    -Cervelet très développé, donc leur "cerveau reptilien" est dominant. (Pas étonnant donc qu'un tel groupe ait pu être perçu comme étant des "humanoïdes reptiliens"!)

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Article-1273904-0975614F000005DC-562_638x921
    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Picture-comparing-cranium-of-a-modern-man-to-neanderthal-man
    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Neanderthal-001

    Quelques traits psychologiques, selon Michael Bradley
    -fanatisme (conviction d'être dans le vrai absolu)
    -agression et violence (deux fois et demi plus violents que les humains)
    -crise et hystérie lorsque contrariés, lorsqu'ils sont pas en contrôle
    -anti-féminisme extrémiste
    -xénophobie extrême
    -monothéisme et obsession avec l'Unité
    -intelligence supérieure
    -aptitudes supérieures pour le calcul, les mathématiques, nombres (Madoff, Meyer Lansky)
    -inaptitude pour les arts visuels (donc interdit de représenter le divin!) Wink
    -etc.

    Résumé de la thèse de Bradley:

    ...en ce qui concerne l'histoire du monde, nous
    sommes confrontés à un fait génétique significatif et terrifiant.
    Un seul groupe de barbares très agressifs des steppes du
    Caucase a joué un rôle démesurément grand dans la formation
    du modèle général de l'histoire du monde.
    Les tribus des steppes du Caucase jadis connues sous les noms
    « Hyksos », « Mitanni », « Hébreux », « Hourrites » et « Hittites »
    qui fuyaient du bassin inondé de la mer Noire avaient envahi le
    Moyen-Orient entre environ 5600 et 2000 av. J.-C. Dès environ
    1300 av. J.-C., ils avaient établi le monothéisme, mieux connu
    comme le « judaïsme » biblique, dans certaines parties du Moyen-
    Orient, notamment en Égypte ancienne, au Yémen et dans les
    environs immédiats de Jérusalem en Palestine.
    Les Huns de cette même région du Caucase, entre la mer Noire
    et la mer Caspienne, avaient attaqué la Chine au IIIe siècle av. J.-
    C., mais ils avaient été déjoués par la Grande Muraille bâtie par
    la dynastie Ch’in. Cependant, à cause de ces « barbares velus »
    du Moyen-Orient, la civilisation chinoise est demeurée inhibée sur
    le plan psychologique, et relativement non expansive (par rapport
    à l'Ouest) sur le plan territorial.
    Ces même Huns avaient ensuite regagné les steppes du
    Caucase d’où ils étaient venus. Ils avaient terrorisé leurs voisins
    et entraîné la chute de Rome.
    « Les Huns blancs », une tribu apparentée, avaient envahi
    l'Inde à peu près en même temps qu’Attila envahissait l'Europe. Ils
    avaient entraîné la fin de la magnifique « époque Gupta »
    artistique de l'histoire de l'Inde et avaient laissé l'Inde prostrée et
    vulnérable à l'attaque islamique qui allait bientôt suivre. À la suite
    des invasions barbares de l'Empire romain, les Huns d’Europe
    avaient entraîné « l’âge des ténèbres » européen. Ces invasions
    avaient coïncidé avec l'établissement du «judéo-christianisme »
    en Europe et dans certaines parties du Moyen-Orient.
    Poussant ensuite les Vandales à envahir le Moyen-Orient, ces
    Huns avaient inspiré la religion monothéistique de l'Islam en 622
    apr. J.-C. (Il serait plus correct de dire le « judéo-Islam », puisque
    l'Islam est également fermement basé sur la tradition judaïque.)
    Ceci avait donné naissance à un « djihad » musulman – ou une
    « guerre sainte » – qui avait résulté dans la conquête du Moyen-
    Orient, de la Méditerranée jusqu’en l'Inde, ainsi que la conquête
    de l'Afrique de l'Est et l'Afrique du Nord.
    Les Huns sous leur nouvelle forme, en tant que « Khazars »,
    s’étaient converti au judaïsme en 740 apr. J.-C., et ils allaient
    mouler l'expansion technologique, financière, militaire et
    culturelle du monde occidental moderne – ainsi que les conflits
    majeurs du monde occidental.
    Par exemple, bien que la plupart des gens aient été trop
    polarisées par la propagande pour le réaliser, le communisme et
    le capitalisme moderne ont été, tous deux, développés par des
    théoriciens économiques, des activistes, des avocats et des
    entrepreneurs principalement Ashkénazes. Le communisme et le
    capitalisme avaient facilité la domination néandertalienne de
    différentes manières qui avaient été adaptées en fonction de
    différentes sociétés.

    Extrait de "Épées dans le soleil couchant
    http://www.michaelbradley.info/grail/SAS/epees-epi.pdf
    V.O.A. : Genetics in Western History and Religion
    http://www.michaelbradley.info/tjv/appendix4.pdf
    Michael Bradley

    Dans deux livres, The Iceman Inheritance (1978) et Chosen
    People from the Caucasusa (1992), j'avais affirmé que la
    différence culturelle immense mais insaisissable qui sépare
    « l’Antiquité » méditerranéenne et « l’ère judéo-chrétienne » avait
    essentiellement une composante de plus en plus génétique
    Les Hébreux avaient envahi la Palestine vers 2000-1700 av. J.-
    C., du moins c’est ce que la plupart des experts pensent. Ils étaient
    une composante de la migration des Hyksos vers le sud depuis la
    région des montagnes du Caucase. Jusqu'aussi récemment que
    1997, cependant, personne (y compris moi) ne pouvait avancer de
    suggestion constructive ou raisonable en ce qui concerne pourquoi
    les tribus du Caucase vivant autour de la mer Noire auraient
    soudainement décidé d'émigrer de leurs patries sans doute
    originales. Mais émigrer, elles avaient certainement fait et, en tant
    que « Hittites », « Mitanni », « Hourrites », « Hyksos » et
    « Hébreux », ces tribus avaient inondé la Turquie moderne, l'Irak,
    la Syrie, le Liban, l'Israël-Palestine et même la région de l'Égypte
    ancienne.

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Caucasus-map

    Mais In Search of Noah’s Flood, par Walter Pitman et William
    Ryan, deux océanographes de l’université Colombia, est paru en
    1997. Leur assemblage massif de preuves diverses avait placé le
    fait que le bassin de la mer Noire avait été inondé en 5600 av. J.-
    C. au-delà de toute ombre d’un doute scientifique
    Pendant la dernière « période glaciaire », la mer Noire actuelle
    avait été un lac d'eau douce assez grand à peu près de la taille du
    lac Ontario (approximativement 19 425 kilomètres carrés en
    superficie). Mais avec la fin de la « période glaciaire » vers
    11 500 av. J.-C., les plus grandes calottes glacières de l'ère
    glaciaire avaient commencé à fondre et le niveau des mers du
    monde a commencé à monter. Le niveau des mers du monde s'était
    élevé par 91 metres après environ 6 000 ans de cette fonte
    glaciaire, soit vers 5600 av. J.-C. C'était assez pour que la
    Méditerranée se déferle par-dessus du Bosphore actuel et tombe en
    cascade dans le bassin de la mer Noire. Comme nous l’avons déjà
    vu dans l'océan Atlantique, cette même élévation de 91metres du
    niveau des mers du monde avait inondé plusieurs grands monts
    marins qui, ensemble, pourraient avoir été « l’Atlantide »
    légendaire. Le groupe d'îles au large de la Bretagne, autrefois
    connues sous le nom de Lyonesse, avait également été
    progressivement inondé.
    L'eau salée s’était déversée dans le bassin de la mer Noire au
    débit approximatif de deux cents Niagaras pendant presque deux
    siècles. Tout autour de l'ancien du rivage lac, les riches steppes
    avaient été inondés à un rythme d’environ un-demi kilomètre par
    jour. En un peu moins de deux siècles, la mer Noire désormais-
    salée avait atteint le niveau des mers du monde, sa superficie
    actuelle d'environ 441 000 kilometres carrés et sa profondeur
    moyenne actuelle d'environ 457 mètres au-dessus de la couche
    d'eau douce originale.
    Des fouilles archéologiques sous-marines sont actuellement en
    cours, menées par la célèbre équipe de Robert Ballard, le
    découvreur du lieu de repos du Titanic. En explorant le fond marin
    avec des caméras de télévision contrôlées à distance et en
    récupérant des objets du fond marin, l’équipe a déjà prouvé d'une
    manière concluante que les bords de l'ancien lac avaient été très
    abondamment peuplées avant l'inondation. Le fond de la mer
    Noire est parsemé de nombreuses maisons en bois et de fermes.
    Les anciens habitants avaient dû fuir à toutes jambes à mesure que
    leurs anciennes prairies disparaissaient sous un déluge progressif
    mais inexorable d'eau salée méditerranéenne. Et l'évidence
    squelettique prouve qu'ils avaient des traits physiques néanderthal
    marqués. Ces gens éta ient surtout des gardiens de troupeaux de
    moutons et de chevaux. Comme nous l’avons vu, Hyksos signifie
    les « rois bergers », et dans l’ancienne langue égyptienne, Hi-bi-ru
    dénote apparemment des moindres gardiens de troupeaux.
    Ces bergers là, cependant, ne pouvaient pas avoir été très doux
    et tolérants. Les montagnes du Caucase étaient le dernier refuge de
    la lignée ou de la « race » génétique des Néanderthals parce que le
    climat glaciaire auquel les Néanderthals s'étaient adaptés avait
    persisté dans la région du Caucase après la fin de dernière
    « période glaciaire ». C'était dû à l'altitude moyenne relativement
    élevée de cette région montagneuse du Caucase au-dessus du
    niveau de la mer. Ailleurs en Europe et en Asie occidentale le
    climat était plus tempéré.
    Les contreforts des Alpes, les Pyrénées, l'épine montagneuse de
    l'Italie, le massif central de la France et les Balkans étaient
    également plus ou moins un refuge pour les Néanderthals
    spécifiquement européens Le folklore européen se rappele encore
    d’eux sous la forme de trolls et de gnomes de montagne. Ainsi, les
    Néanderthals assez purs doivent s'être attardé jusqu’à relativement
    récemment dans les plus hautes montagnes de l'Europe. Dr Chris
    Stringer, du British Museum, a maintenu que des groupes ou tribus
    cohésifs de Néanderthals presque purs existaient dans les
    montagnes européennes il y a seulement 10 000 ans, soit en
    8000 av. J.-C.8
    Mais les montagnes du Caucase menant au complexe pêle -mêle
    de montagnes du Taurus, du Zagros et de l'Elbourz formaie nt le
    plus grand refuge, et le plus récent, des les Néanderthals.
    La question à savoir si des Néanderthals assez purs existent
    toujours ou pas est un sujet fortement controversé. Depuis les
    années 50, il était généralement accepté par la plupart des
    anthropologues physiques que certaines populations locales dans
    les régions montagneuses de l'Europe – l'épine de l'Italie, le Massif
    central de la France, les Balkans, etc. – étaient à toutes fins
    pratiques très « néanderthalesques ». Certaines populations du
    Caucase et d'autres chaînes de montagne moyen-orientales
    présentent encore des caractéristiques squelettiques néanderthales
    plus extrêmes que le « spécimen type », un Néanderthal français
    daté à environ 50 000 av. J.-C. Il est maintenant politiquement
    incorrect de suggérer une telle chose.
    Dès décembre 1978, Dr Eric Trinkaus (alors à Harvard) et Dr
    T. Dale Stewart de la Smithsonian, avaient entrepris une étude
    médicolégale de chaque os de Néanderthal alors connu. Ils avaient
    constaté que les os de Néanderthals montraient environ deux fois
    plus de blessures causées par la violence que tout autre groupe
    humain antique comparable. Le fruit de leur collaboration avait été
    publié dans Natural History, le magazine du Musée américain
    d'histoire naturelle à New York, dans un article intitulé «Hard
    Times Among the Neanderthals »a. Leur article s’était terminé
    avec les mots suivants : « Les Néanderthals doivent être
    considérés parmi les plus primitifs des humains modernes, ne
    serait-ce qu'en raison de leur propension pour la violence. »
    Il a déjà été démontré que la culture et la société néanderthales
    étaient extrêmement agressives et xénophobiques envers ceux
    ayant une culture ou des aspects physiques différents des leurs.
    Des raisons théoriques, ainsi que des preuves de nature culturelle
    et religieuse réelles, suggèrent que les gens « fortement
    néanderthalesques » ont une mentalité anti-féministe et tendent à
    adorer des dieux du ciel masculins, pas des déesses de la fertilité.
    La preuve est trop complexe et trop spécialisée pour en traiter ici.
    Mais il est une caractéristique néanderthale qui n'est partagée
    par aucune autre population humaine fossile ou vivante. Ceci doit
    être expliqué au moins superficiellement si nous voulons
    comprendre la civilisation occidentale . Et cela peut également être
    d'importance cruciale à une compréhension de l'histoire religieuse
    du monde occidental. Bien que littéralement des douzaines de sites
    de caverne et d'abris sous roche des Néanderthals de la « période
    glaciaire » aient été découverts et étudiés, aucune peinture rupestre
    néanderthale n’a été jamais trouvée.
    Bien qu'ils aient été dotés de cerveaux plus grands que ceux de
    beaucoup d’Européens vivant aujourd'hui et aient été sans doute
    extrêmement « intelligents », leur intelligence n'était pas artistique
    ou créatrice d’une manière visuelle. Ceci rend l'intelligence et
    l’orientation mentale des Néanderthals sensiblement différentes de
    toutes autres populations humaines ancestrales.
    Il peut y avoir une cause évolutionnaire pour ceci. Le National
    Geographic (août 2002) rapportait que des restes squelettiques
    d'un hominien semblable ou identique à Homo habilis avaient été
    plutôt étonnamment découverts dans les montagnes du Caucase de
    l'ancienne République soviétique de Géorgie.
    Homo habilis n’était précédemment connu que de restes
    squelettiques trouvés en Afrique de l'Est, et est daté à il y a
    environ 1-3 millions d'années. Quelques caractéristiques de ces os,
    les mâchoires inférieures notamment, me semblent posséder
    certaines particularités tout à fait similaires aux mâchoires
    néandethales typiques. Les Néanderthals pourraient (notez
    l'emphase) donc avoir évolué de cet hominien primitif. Il est pensé
    que Homo habilis aurait bien été « humain », mais pas de la
    branche Homo qui a évolué pour devenir la majeure partie de
    l'humanité actuelle et moderne.9
    Bien qu'il y ait actuellement beaucoup de controverse à ce
    sujet, les Néanderthals étaient jadis classifiés comme Homo
    sapiens neanderthalis, c’est-à-dire, une «race » ou sous-espèce
    séparée de l'humanité moderne, Homo sapiens sapiens. De nos
    jours, il n’est toutefois pas poli de suggérer qu'il y ait des « races »
    génétiques de l'humanité, identifiables à partir de traits physiques,
    ayant des caractéristiques mentales et émotives différentes.
    Malheureusement pour la pensée politiquement correcte,
    cependant, l'article du National Geographic suggère au moins que
    l’ancienne perspective « qui n’est pas politiquement correcte » est
    possiblement ou même probablement « factuellement correcte »
    après tout – les Néanderthals sont peut-être venus d'un autre type
    « d'humanité ».
    Les Néanderthals n’étaient peut-être pas capables de dessiner
    ou de peindre, mais ils étaient cependant obsédés par les nombres.
    Comme « le comte » de Sesame Street, ils ne pouvaient pas
    s’empêcher de compiler et d’énumérer les choses. La première
    preuve humaine connue de « l’activité chrono-factorisée» est sous
    la forme de notations néanderthales des phases lunaires (ou des
    cycles menstruels) gravées sur os qui datent à environ 50 000 av.
    J.-C. Selon nos connaissances actuelles, ces notations pré-datent
    les célèbres peintures rupestres d'Europe occidentale par au moins
    20 000 ans.
    Dans son livre Les racines de la civilisation (1971) a, Alexander
    Marshack a illustré plusieurs exemples de notations numériques
    néanderthales et a démontré qu'elles étaient tout aussi importantes
    au développement de la civilisation que l'intelligence plus
    « visuellement artistique » des peintres rupestres de l'Europe
    occidentale. En fait, comme Marshack l’a démontré, le penchant
    néanderthal pour la manipulation des nombres a probablement été
    plus important que les capacités artistiques visuelles de l'Europe
    occidentale en ce qui concerne le développement des
    mathématiques, de la topographie, de la phys ique, des sciences et
    de la technologie.
    En termes d'impact culturel facilement discernable sur la
    civilisation occidentale, ceci signifie qu'il est encore possible de
    tracer une ligne allant des environs de la frontière allemande-
    polonaise sur la mer Baltique à la frontière italienne-slovène sur la
    mer Adriatique sur une carte. On constate ainsi que les artistes
    visuels sont généralement nés à l'ouest de la ligne, tandis qu'un
    nombre disproportionné de mathématiciens, de physiciens, de
    musiciens et de compositeurs de renommée mondiale vivaient à
    l'Est de celle -ci. La musique est, naturellement, une appréciation
    des proportions numériques exprimées en sons.10
    Cette ligne est aussi la ligne de démarcation qui sépare les bons
    joueurs d'échecs des obsédés du jeu. D’un côté, nous trouvons la
    pointure pour hommes extrêmement large EEE commune en
    Europe de l'Est, et de l’autre, les pieds plus étroits des hommes de
    l'Ouest. Les chaussures de pointure EEE ne sont pas normalement
    fabriquées à l'Ouest de la République Tchèque d'aujourd'hui. Les
    Néanderthals avaient des pieds très larges, un « indice plantaire »
    élevé. Comme le dit Dr Carlton Coon dans son livre The Origin of
    Racesa (L'origine des races, édition de 1968) commandité par la
    National Academy of Sciencesb : « Les Néanderthals avaient des
    pieds russes plutôt que des pieds anglais. »
    Cette ligne était « plus évidente » avant 1800 qu'elle ne l’est
    aujourd'hui, bien sûr. Deux siècles de voyage relativement rapide
    et peu coûteux ont permis aux gens de se marier avec d’autres
    groupes et mélanger leurs gènes. Néanmoins, même présentement
    (octobre 2003), la ligne de démarquation demeure au moins
    approximativement valide.
    J'ai suggéré dans divers textes, y compris The Iceman
    Inheritance et Chosen People from the Caucasus, qu’en raison de
    leur obsession avec les nombres, les Néanderthals devaient avoir
    été fascinés avec le nombre « Un » ou 1. C'est la différence
    soudaine entre le néant et quelque chose. « Tout » ce qui existe
    peut être envisagé en termes de multiples de « Un », mais sans
    « Un » rien n’existe. J'ai donc suggéré que les Néanderthals et
    gens « fortement néanderthalesques » avaient une tendance
    « innée » ou génétique vers le monothéisme, la conception d’un
    Dieu Unique qui avait « Tout » créé. Et, parce qu'ils ne pouvaient
    apparemment rien représenter visuellement, ce Dieu Unique
    « Néanderthal » aurait été une entité totalement abstraite.
    Qui plus est, puisqu'ils ne pouvaient pas dessiner ou peindre
    très bien et n'appréciaient pas ou ne respectaient pas cette aptitude,
    les Néanderthals et gens « fortement néanderthalesques » auraient
    considéré l'art figuratif et surtout l'art religieux d'autres peuples
    comme étant blasphème et « idolatrie ».
    Pour résumer les caractéristiques néanderthales, donc, nous
    avons une très grande intelligence numérique et logique, un niveau
    d’agression élevé, la dominance des hommes, l’anti-féminisme, la
    xénophobie, le matérialisme (si vous pouvez les compter, ils
    existent) et possiblement ou probablement une inclination vers le
    monothéisme comme traits mentaux néanderthals.11
    Le Caucase, et les montagnes y étant immédiatement reliées,
    avaient été le plus grand et plus récent refuge pour les peuples
    Néanderthals et «fortement néanderthalesques » de la «période
    glaciaire » persistante., Ces montagnes mêmes ne pouvaient
    cependant soutenir qu’une population limitée. Il se trouve,
    parcontre, qu’en raison de facteurs géographiques, de vastes terres
    de steppes fertiles s’étendent au-delà des contreforts du Caucase et
    des chaînes de montagnes reliées.
    Ces steppes avaient donc absorbé la population néanderthale
    excédentaire que les montagnes ne pouvaient pas soutenir. De
    plus, le potentiel exceptionnel des steppes, en termes d’agriculture
    et d’élevage de troupeaux, avait permis à cette population
    excédentaire de s’accroître de manière explosive et de décroître
    rapidement par la suite, à mesure que les gens émigraient vers
    l'extérieur. La population restante pouvant ainsi s’accroître jusqu'à
    ce qu’elle ait atteint une concentration critique encore une fois.12
    L'histoire de l'Ouest en a été une de cycles – des vagues de gens
    des steppes du Caucase inondant le monde extérieur. Cette carte
    extraite de The Iceman Inheritance montre de manière graphique
    les points saillants de l'histoire occidentale.
    Le grand déluge de la mer Noire de 5600 av. J.-C. avait poussé les
    habitants du bassin à escalader les montagnes côtières toujours
    plus proches et à s’aventurer dans le monde occidental plus large.
    Ainsi avait commencé, pour la toute première fois dans l'histoire
    humaine connue, le cycle historique d'expansion hors du Caucase.
    Ces peuples fortement néanderthals du Caucase ont génétiquement
    inondé l’ancienne civilisation européenne de la Déesse. Les
    premières villes fortifiées ont été découvertes en Thrace, en
    Roumanie, en Bulgarie et en Macédonie. Elles datent pour la
    plupart à environ de 4500 av. J.-C.13
    À cause de l’inondation du bassin de la mer Noire, le monde
    occidental est devenu de plus en plus caucasien – c’est-à-dire,
    possédant des traits physiques caucasiques reconnaissables – à
    mesure que les Cro-Magnons se sont mélangés avec les
    Néanderthals sur une échelle jamais vue auparavant en Europe et
    Asie occidentale. Par conséquent, la civilisation de la Déesse a été
    transformée, graduellement et à un plus ou moin grand degré, en
    une civilisation dominée par le monothéisme et matérialisme des
    hommes dominants.
    Les Hyksos et les Hébreux avaient apparemment escaladé les
    montagnes côtières de la Turquie moderne et de l'ancienne
    République soviétique de Géorgie, et avaient avancé avec peine
    jusque dans la vallée de l'Euphrate. Ceci les avait menés, par la
    suite, au pays de Sumer. Ce n'était pas une migration
    intentionnelle vers une destination connue. Les montagnes du
    Caucase et du Taurus avaient isolé ces peuples du monde
    extérieur, et il est fortement improbable quils connaissaient
    l’existence des villes du pays civilisé de Sumer. Au moins, aucune
    évidence de contact culturel entre le Caucase et le pays de Sumer
    avant environ 3000 av. J.-C. n’a été découverte jusqu'à présent.
    Ces villes avaient été fondées aux alentours de 8000-7000 av.
    J.-C. par des représentants de l’ancienne civilisation européenne
    croyant en la Déesse lorsque la « race méditerranéenne »
    s’étendait lentement vers l'Inde. Les archéologues l’appellent la
    culture Ubaid a, telle qu’elle est connue localement. Les réfugiés de
    la mer Noire étaient simplement lentement décendus dans la vallée
    de l'Euphrate, leur déplacement étant dicté par l’épuisement des
    pâturages disponibles pour leurs troupeaux. Ils avaient atteint les
    environs d'Ur dans le pays de Sumer vers environ 3000 av. J.-C.
    Dès environ 2000 av. J.-C. ils avaient traversé la Syrie pour arriver
    en Palestine. Ils avaient envahi la partie Nord-Est du delta du Nil
    de l'Egypte qui est contiguë à la Palestine et appelée « Gosen »
    dans la Bible Dès 1700 av. J.-C.
    Les archéologues peuvent tracer et dater cette migration de
    manière approximative par une traînée d’os de cheval domestiqué.
    Ces peuples du Caucase avaient domestiqué les chevaux sauvages
    (ou « tarpans ») de la « période glaciaire » qui s’était attardée sur
    les steppes. Le premier squelette de cheval domestiqué découvert
    jusqu'à présent en Égypte ancienne, dans le delta du Nil, date
    d’environ 1650 av. J.-C.14 Ceci donne aux archéologues une date
    approximative pour l'arrivée des Hyksos et des Hi-bi-ru associés
    dans cette région. Cette occupation quasi-militaire peut être la
    vraie raison pour laquelle les tribus hébraïques avaient résidé dans
    le Nord-Est de l’Égypte pendant un certain temps. La Bible est
    imprécise au sujet de la durée de leur résidence dans « le pays de
    Gosen »... s’agit-il de quatre siècles ou quatre générations ?
    Pour terminer l'histoire, ces Hyksos et Hébreux ont été
    expulsés d'Égypte entre 1550 et 1350 av. J.-C. à la suite d’une
    contre-offensive lancée par les princes égyptiens de Thèbes. Cette
    contre-offensive avait été menée, d’abord par Ahmosis 1er puis par
    son succès, et avait résulté en la fondation de la XVIIIe dynastie et
    le début du fameux « Nouvel Empire » de l'Égypte ancienne.
    Après deux cents ans de lutes sporadiques, l'expulsion d'Égypte
    des « bergers » asiatiques détestés était finalement terminée. Cette
    expulsion finale semble avoir été l'Exode de la Bible. Nous avons
    déjà traité de ceci dans la mesure ou les faits disponibles
    présentement nous le permettent.15
    L’Ancien Testament de la Bible témoigne amplement de
    l'agression des Hébreux envers les tribus voisines après l'Exode, et
    de leur certitude absolue de rectitude s'ils servaient leur Dieu.
    « Il » était le seul « Dieu véritable » dans un grand monde rempli
    de beaucoup d'autres peuples et cultures qui avaient leurs propres
    dieux et déesses.
    L’Ancien Testament note également le fait qu’un grand
    nombre des premiers Hébreux avaient conservé des traits
    physiques néanderthals marqués de leur origine dans les
    montagnes du Caucase. Esau le Velu est connu à la plupart des
    lecteurs de la Bible. Mais ce que la plupart des lecteurs ne savent
    pas, c’est qu'Esau n'était pas seul. Des gens Esau-esques étaient
    très communs au sein de la population hébraïque primitive. Selon
    les premiers exégètes hébreux, il y avait suffisamment « d’Esaus »
    pour contester le droit de Jacob de diriger les tribus israélites. Le
    plus ancien ouvrage exégétique en hébreu, le Levitecus Rabba,
    appelle ces gens « les destructeurs, les fils d'Esau » et le Zohar
    indique qu’ils étaient « la bête au sein d'Israël » qui devait être
    éradiquée.
    Les Hébreux bibliques doivent être venus, à l'origine, d'une
    certaine source génétique néanderthale extrêmement concentrée,
    dans leur ancienne patrie du Caucase. Mais la connaissance au
    sujet de premières populations humaines dans cette région n’est
    malheureusement pas suffisante pour déterminer le lieu
    géographique d’origine probable des ancêtres des Hébreux. Mais
    les nombreux « Esaus » de l’Ancien Testament ayant fait l’objet
    de commentaires dans les anciens ouvrages exégétiques, indiquent
    la présence de ce degré extrême de matériel génétique néanderthal
    dans les tribus israélites.
    Une autre caractéristique de la culture hébraïque témoigne
    également de la même chose. De tous les peuples primitifs connus
    d'Europe et d'Asie occidentale, seuls les Hébreux bibliques ont
    exercé un effort concerté pour établir ou (maintenir) un Dieu
    purement mâle et dominant dans leur monothéime aussi-unique.
    Bien qu'au moins une partie de leur peuple ait apparemment
    souffert des défaillances fréquentes en s’attachant à l’idolatrie et
    même au culte des déesses des nations voisines, la plus grande
    partie des tribus judaïques est demeuré fidèle au Dieu Unique. Ce
    Dieu avait d’abord été connu sous le nom d'Aton (en égyptien
    original), puis sous le nom d’Adonaï lorsque l'hébreu a évolué en
    une langue séparée. En secret, les prêtres le connaissaient par les
    sons de voyelle qui s’approchent du nom « Jéhovah » ou
    « Yaweh. » C'est pourquoi les voyelles ne sont jamais écrites en
    hébreu et dans d’autres langues « sémitiques ».16
    Ces caractéristiques physiques, intellectuelles, émotives et
    « religieuses » néanderthales sont demeurées relativement pures et
    non-diluées en raison des taboos culturels et religieux hébraïques
    contre le mariage avec tout autre peuple. (...)
    Dans l’espace de trois siècles – ou seulement environ onze
    générations – après la vie du « saint Paul » du christianisme
    orthodoxe, les barbares appelés Visigoths, Ostrogoths, Lombards
    et Vandales dans nos livres d'histoire avaient commencé à envahir
    l'Empire romain. Ils étaient des parents éloignés des peuples
    bibliques des steppes du Caucase qui avaient fuit la grande
    inondation de la mer Noire et qui avaient envahi la Palestine et
    l'Égypte en tant Hyksos et Hébreux environ deux mille ans plus
    tôt.
    À mesure que les recherches sur les histoires obscures des
    steppes ont péniblement et lentement progressé, il est devenu clair
    que le Visigoths, Ostrogoths, Lombards et Vandales avaient été
    poussés dans une migration désespérée, dans un genre « d’effet
    domino », par les terribles Huns au Nord et à l'Est de ces tribus.
    Les auteurs gréco-romains avaient entendu parler des Huns et en
    avaient fait mention pour la première fois en 272 apr. J.-C.,
    probablement en raison des histoires racontées par les réfugiés
    Visigoths dispersés qui entraient alors lentement dans le nord la
    Grèce. Ces Huns étaient situés dans les terres vaguement connues
    à l'extrémité nord de la mer Caspienne.
    On sait maintenant que les Huns étaient une tribu caucasienne
    des steppes qui avait mené une attaque contre la Chine pendant le
    IIIe siècle av. J.-C.18 La dynastie Ch'in de l’époque avait construit
    le grand mur afin de garder les Huns à distance.19 Ceci avait
    apparemment fonctionné parce que les Huns étaient alors
    retournés vers l'ouest, vers ce qui semble avoir été leurs patries
    originales au nord de la mer Caspienne. Mais à partir de ce
    moment, la culture chinoise avait tendance à être introspective et
    pas très expansive. Bien qu'ils aient été arrêtés, les Huns avaient
    peut-être sérieusement intimidé les Chinois. En tout cas, pas plus
    tard qu’en 1325 apr. J.-C., l'expansion maritime chinoise avait été
    interrompue par décret impérial de peur de « rencontrer les
    barbares velus » dont il était connu qu’ils existaient dans le
    Moyen-Orient.
    Les Visigoths, dont le mouvement terrifié avait été déclenché
    par les Huns, étaient apparus sur la scène de l'histoire européenne
    pour la première fois à la bataille d'Adria nople en Grèce en 378
    apr. J.-C. Là, leur cavalerie avait complètement défait une armée
    romaine. Il est bientôt devenu évident que les légions d'infanterie
    romaines ordinaires n'étaient pas à la hauteur des nouveaux
    guerriers Visigoths montés sur chevaux blindés et munis de
    longues lances et de longues épées. Les Visigoths, Ostrogoths et
    Lombards avaient envahi successivement la Grèce et l'Italie. Les
    Visigoths avaient pillé Rome en 410 apr. J.-C.
    Bien qu’ils étaient des guerriers féroces, les Visigoths,
    Ostrogoths et Lombards pouvaient cependant apprécier la
    civilisation au moins jusqu’à un certain degré, et ils pouvaient être
    assimilés. Plusieurs de ces barbares étaient devenus des officiers
    dans l'armée romaine ainsi que des citoyens romains. Ils avaient
    aidé la Rome impériale à développer ses propres corps de
    cavalerie blindée, appelés clibanarii (Empire romain d’Occident)
    et cataphracti (Empire romain d’Orient), avec lesquels s'opposer à
    l’attaque inévitable des Huns.
    Selon des rapports préservés dans les chroniques, même les
    Visigoths, Ostrogoths et Lombards féroces et bélliqueux qui
    s'étaient établi dans la Rome conquise doutaient que les Huns
    étaient entièrement humains. Les Huns ont été décrits comme des
    « gnomes » extrêmement velus avec de grandes têtes, de grands
    nez et des jambes courtes. Les barbares christianisés leur avaient
    donné l’épithète « le fléau de Dieu » parce qu’ils étaient
    impitoyables dans l’extermination de leurs ennemis et qu’ils
    visitaient d’affreuses atrocités sur leurs captifs malchanceux.
    L'attaque longuement redoutée arriva environ deux générations
    après la chute de Rome aux Visigoths. Entre 449 et 451 apr. J.-C.,
    Attila mena ses Huns à travers l'Europe centrale laissant derrière
    lui destruction et génocide. La horde d'Attila, constituée
    principalement d’archers montés, fut assez étonnamment défaite
    en 451 apr. J.-C., à la bataille très étroitement combattue de
    Châlons en France centrale. Les vainqueurs étaient une coalition
    désespérée de Visigoths, d’Ostrogoths, de Lombards romanisés,
    d’infanterie romaine, de recrues celtiques indigènes et de forces
    teutoniques de l'Est du Rhin. Les Teutons avaient déjà éprouvé la
    terreur des Huns et le cycle de poésie épique l’Anneau des
    Niebelungen fait souvent référence à ce conflit.
    Les lecteurs aux intérêts littéraires variés trouveront de quoi
    réfléchir en apprenant qu'en 2000, deux groupes indépendants
    d'acheteurs et de lecteurs de livres ont proclamé Le Seigneur des
    Anneaux de J.R.R. Tolkien « le livre le plus important du siè cle »
    et « le livre le plus important du millénaire ». Un important
    revendeur international de livres, Amazon.com, avait effectué un
    sondage d’opinion auprès des deux groupes. Un groupe était
    britannique, l'autre était américain. Ceci peut également être d'une
    importance sociale insoupçonnée.
    La « Terre du Milieu » de Tolkien représentait les « Jours
    Anciens » de l’ancienne civilisation européenne Néolithique-
    megalithique de façon assez évidente. Plus particulièrement, « la
    Comté » voulait représenter l'Angleterre préindustrielle. Les
    « Haut Elfes », qui étaient venu de l'Ouest et avaient apporté la
    civilisation à la Terre du Milieu, n'étaient nuls autres que nos
    présumés « Atlantes » ou Cro-Magnons de l'Ouest qui avaient
    apporté la civilisation à l'Europe occidentale.
    Dans Le Seigneur des Anneaux, « Mordor », le royaume
    oriental de Sauron, représente la tendance des peuples du Caucase
    vers le monothéisme extrême et fanatique. Il y n’avait qu’un
    Seigneur Unique dans Mordor : Sauron, le Seigneur Ténébreux.
    En termes légaux, il n'y avait en Mordor aucune distinction entre
    la loi civile et la loi religieuse. Tous adoraient Sauron et
    l’obéissaient absolument. Du point de vue technologie, nous
    trouvons dans la terre de Mordor un étrange mélange de
    fabrication artisanale Huns/Khazars du début de la période
    médiévale et d'industrialisme occidental moderne. Les soldats de
    Mordor sont appelés « Orques », qui est irlandais gaélique (la
    branche goïdelique de la langue celtique) pour porcs. Le mot
    « Khazar » veut égale ment dire « porc » dans la branche gothique
    de la langue germanique qui a influencé le yiddish. Nous
    apprendrons bientôt la signification de ceci.
    Tolkien racontait donc dans son chef-d’œuvre, une histoire
    allégorique mais pourtant vraie. La grande lutte presque
    désespérée relatée dans Le Seigneur des Anneaux représente la
    bataille continuelle d’origine très ancienne de l’Ouest contre la
    domination génétique des barbares féroces des steppes du
    Caucase.
    Même la « civilisation de la Déesse » est représentée dans
    l'ouvrage de Tolkien. On se souviendra des trois Anneaux de
    Puissance qui avaient toujours la force de faire au moins un certain
    bien dans le monde. La reine elfique Galadriel de Lothlórien
    utilisait un de ces Anneaux. Arwen, l’Étoile du Soir, du bastion
    elfique de Fondcombe était fiancée à Aragorn, le Roi caché de
    l'Ouest. Les enfants potentiels d'Arwen par Aragorn étaient le seul
    espoir pour un leadership futur quelconque de l'Ouest.
    Ce ne peut être un accident, donc – pour un homme de
    l'érudition de Tolkien – que l'Étoile du Soir est la planète Vénus et
    que « Galadriel » est le nom « elfique » pour l'Étoile du Matin...
    qui est aussi la planète Vénus. Mais il faut lire la longue annexe de
    Tolkien « Sur la langue des Elfes » pour découvrir ceci. Le nom
    latin qui a été donné à la planète est Vénus, mais ce nom est
    interchangeable avec Aphrodite, Ishtar, Cybèle et Isis. La planète a
    été nommée en honneur de la grande Déesse en raison de sa
    beauté.
    Notre symbole actuel pour le sexe féminin est également le
    signe pour Vénus, et ces deux symboles viennent de la forme de
    l'ankh, le symbole égyptien ancien de la vie. Mais Tolkien, le
    spécialiste en connaissances traditionnelles et littérature
    teutoniques et celtiques d'Oxford, savait que même l'ankh, ce
    symbole égyptien ancien pour la vie avait apparemment été
    apporté en Égypte, avec le christianisme de base, par des migrants
    néolithiques et mégalithiques venus de l'Ouest atlantique.
    Un scientifique allemand très bien connu avec le nom
    malheureux de Dr Otto Muck est allé plus loin que Tolkien. Muck
    a suggéré que la forme de la croix celtique était une représentation
    du plan de ville de « l’Atlantide » tel que décrit par Platon, tout
    comme le sont l'ankh et nos symboles pour la planète Vénus et le
    sexe féminin. Mais ces symboles en sont aussi des déformations
    légères. Selon Platon, ville avait été entourée de canaux
    concentriques afin de desservir ses différentes sections. Ce
    système de canaux concentriques était entrecroisé par quatre
    canaux transversaux courts visant à assurer un accès plus facile à
    chacun des « quartiers. » Cette planification urbaine avait donné à
    la ville de l'Atlantide sa forme distinctive.
    Voici une carte douteuse de « l’Atlantide » avancée par Paul
    Schliemann en 1912. Il avait affirmé que son célèbre grand-père,
    Heinrich Schliemann, avait trouvé une représentation plus
    rudimentaire de celle -ci gravée sur un tesson de poterie à Troie.
    Les documents du vieux Schliemann ne font aucune mention de
    ceci, mais cela avait fait une bonne histoire en 1912.
    La provenance affirmée par Paul Schliemann pour cette carte
    est évidemment assez douteuse, mais là n'est pas le problème. Le
    problème est que la représentation de la ville de l'Atlantide qui y
    est faite est fidèle aux descriptions données par Platon dans ses
    dialogues : Timaeus et Critias. La ville de l'Atlantide représentée
    ici est une croix celtique. La petite barre transversale du « miroir
    de Vénus » (symbole de la planète et du sexe féminin) et la barre
    transversale sur l'ankh représentent peut-être le littoral de l'île.
    Selon Platon, un important chenal maritime reliait le réseau de
    canaux à la mer.

    Plus de détails: http://pascasher.blogspot.com/2010/05/les-protocoles-des-neanderthaliens.html


    Dernière édition par Druide le 8/6/2010, 12:21, édité 10 fois
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    Nombre de messages : 971
    Date d'inscription : 30/01/2009

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Empty Re: "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM

    Message  Druide 28/5/2010, 23:43

    suite et fin

    Si c’est le cas, la position de barre transversale de l'ankh est
    légèrement différente de celle du « miroir de Vénus », mais c'est
    tout. La longueur de ce canal de navigation représentant la
    distance de la ville à la côte avait peut-être été oubliée au cours
    des siècles qui avaient suivit la submersion supposée de l'Atlantide
    légendaire. D'autre part, les gens aiment simplement modifier
    certains motifs à mesure que leurs sociétés évoluent. Vous pouvez
    voir pour vous-même que l'argument d'Otto Muck est intelligent
    même s’il peut ne pas être vrai. 20
    Les « bons Bergers » sont également bien représentés dans Le
    Seigneur des Anneaux. Gandalf, le magicien, et « Grand-Pas », le
    Roi de l'Ouest Aragorn déguisé, escortent les hobbits vulnérables
    vers Mordor. Ce n’est peut-être pas aller trop loin que de penser
    aux Hobbits en termes de brebis innocentes et assez ignorantes. Le
    pauvre Frodon, le Porteur de l’Anneau, étant l'héritier de Bilbon,
    porte ce qui ressemble de façon suspecte au fardeau chrétien
    orthodoxe du « péché originel ».
    Mais, pour être juste, Tolkien détestait et se méfiait des
    interprétations allégoriques de son œuvre – ce qui n'a pas empêché
    plusieurs personnes de s’y livrer, y compris moi. J'ai eu le grand
    honneur et l'immense avantage, cependant, d’être en
    correspondance avec le célèbre poète et auteur britannique Robert
    Graves (1895-1985) pendant les dernières années de sa vie sur
    Majorque. Graves avait été un ami particulier et le confident de
    Tolkien et ils avaient souvent discuté du livre Le Seigneur des
    Anneaux parce qu'il avait tant de résonance avec l’ouvrage Graves
    The White Goddessa (1947).
    J’avais envoyé une des premières copies de The Iceman
    Inheritance à Robert Graves et il avait dicté une réponse à son
    épouse Beryl parce qu'il était trop malade pour écrire lui-même. Il
    avait écrit que la « théorie » présentée dans le livre était l’histoire
    que Tolkien avait choisit de raconter sous une forme allégorique.21
    Par conséquent, je m'en tiendrai à mon interprétation du livre Le
    Seigneur des Anneaux. Et, pour continuer, il deviendra bientôt
    évident, je pense, pourquoi Tolkien avait très manifestement
    comparé les Huns et Khazars avec l'industrialisme occidental
    effréné.
    Une évaluation du caractère nommé « Gollum » devrait aider à
    disposer de tout argument de quiconque serait enclin à disputer
    mon interprétation du livre Le Seigneur des Anneaux de Tolkien.
    Gollum était obsédé avec le grand Anneau qui avait jadis
    appartenu à Sauron et était la source de sa puissance. L’obsession
    de Gollum l'avait empêché de développer une personnalité
    normale et il était graduellement devenu plus infantile. Dans Le
    Seigneur des Anneaux, le dialogue de Gollum est un language
    enfantin.
    Sigmund Freud avait observé dans L'homme Moïse et la
    religion monothéistea, qu’une société dominée par une « figure de
    père » monothéistiq ue terrible et toute-puissante ne peut pas
    atteindre un équilibre psychosexuel sain ou « grandir ». Il résulte
    donc habituellement, comme conséquence, une espèce d'agression
    adolescente. Freud avait déménagé à Londres en 1938 et y avait
    achevé L'homme Moïse et la religion monothéiste.
    Mais il avait déjà rencontré et correspondu avec Howard
    Carter, découvreur de la tombe de Toutankhamon. En fait, Anna
    Freud avait été invitée, et était présente, à l'ouverture officielle de
    la crypte du roi Toutankhamon (Sigmund Freud n’avait pas pu s’y
    rendre.) Et Sigmund Freud avait également rencontré J.R.R.
    Tolkien tandis qu’il vivait à Londres en 1938 et 1939. Il y a des
    raisons de croire que Sigmund Freud avait contribué une certaine
    perspective dans le caractère de Gollum.
    Il y avait plusieurs « Golems » ou « monstres » humains plutôt
    pathétiques, dans le folklore et la littérature des Juifs d’Europe
    orientale. Le mot « Golem » veut dire embryon en hébreu. Tolkien
    n'était pas complètement ignorant de la littérature juive et il peut
    avoir entendu parler des nombreux Golems des histoires juives.
    Mais Freud pourrait avoir révélé la signification psychologique
    du nom de « Gollum » à Tolkien. Seul un peuple qui est
    psychosexuellement inadapté à l’égard de la reproduction
    penserait à donner aux embryons le rôle de « monstres »
    potentiels. Et c’est précisément ce que Tolkien a fait avec Gollum.
    Non ! Il est presque impossible d’éviter le message de Tolkien
    dans Le Seigneur des Anneaux – à moins, évidemment, que l’on
    soit très déterminé à l'éviter.
    Ce qui peut être considéré étonnant, c’est la popularité
    immense et extraordinaire du livre Le Seigneur des Anneaux
    auprès d’une génération à la pointe de notre technologie. Ceci
    indique peut-être un vif désir subconscient de redécouvrir la
    véritable histoire de l’Ouest. Et, peut-être au moins en partie, un
    vif désir de retourner aux valeurs psychosexuelles originellement
    saines de l’Ouest, qui incluaient la divinité féminine dans son
    orientation religieuse.
    Mais nous devons maintenant retourner aux Huns et traiter aussi
    des Vandales. L’importance de ces derniers, dans le contexte du
    monde occidental moderne et des titres d’actualité d'aujourd'hui,
    est insoupçonnée.
    Ces Visigoths, Ostrogoths, Lombards, Vandales et Huns des
    steppes du Caucase des IIIe au Ve siècles apr. J.-C., possédaient,
    tout comme les Hébreux en Palestine vers 2000 av. J.-C., une
    mentalité de dominance par les hommes et adoraient des dieux du
    ciel masculins. Et tout comme les Hébreux bibliques, ils tendaient
    à rejeter l'idée d’une reverence sérieuse quelconque envers les
    déesses. Les femmes avaient peu de droits dans les sociétés de ces
    envahisseurs barbares, comme chez les Hébreux bibliques, parce
    qu'aucune représentation féminine forte n’existait dans leurs
    conceptions culturelles de la divinité.
    En façonnant le Nouveau Testament, St. Paul avait assuré que
    le judéo-christianisme romain naissant en Europe aurait un rapport
    fondamental avec le judaïsme. Et avec un peu de chance, ce serait
    un rapport sympathique. Bien que les chrétiens orthodoxes se
    soient livrés, de temps en temps, à des accès d'antisémitisme Cet
    espoir a été en grande partie réalisé. Sous la tradition judéo-
    chrétienne cependant, l'ancien statut social des femmes a
    nettement été réduit, et l'Europe s'est même livrée au massacre de
    femmes comme « sorcières ».
    Il était normal que la croyance dans la déesse égyptienne Isis,
    la grande Déesse avec son bon Berger époux-fils, ait été abhorrée
    par la religion, répudiée avec émotion et presque entièrement
    effacée de l’histoire à mesure que les Visigoths, Ostrogoths,
    Lombards, Vandales et Huns avaient inondé le monde
    méditerranéen. La version de l'histoire chrétienne de Paul avait
    déplacé le centre émotif, religieux et social du monde
    méditerranéen en Palestine et à Rome, rendant l'Égypte de moins
    en moins pertinente au monde occidental.
    Le judéo-christianisme orthodoxe de l'Église catholique s'était
    développé à une vitesse phénoménale pendant les premiers siècles
    apr. J.-C. C'était en partie parce que l'empereur Constantin l'avait
    accepté comme religion officielle de l'Empire romain en 312 apr.
    J.-C. et que son orthodoxie avait été codifiée à Nicée en 325 apr.
    J.-C. Mais c’était également parce que les barbares des steppes du
    Caucase, qui empiétaient déjà, étaient génétiquement prédisposés
    à accepter son Dieu et son Sauveur masculins. Ce changement
    d’emphase démographique et génétique avait divisé le «monde
    antique » méditerranéen de la mentalité de l'ère chrétienne
    orthodoxe. Et cette acceptation presque totale de la tradition judéo-
    chrétienne orthodoxe est le point de départ de l'évolution
    inexorable de l'Europe vers le monde moderne.
    Les barbares avaient graduellement été convertis à la tradition
    judéo-chrétienne orthodoxe de l' Église catholique, et ils s’étaient
    progressivement mélangés avec les peuples européens indigènes
    autour d'eux.
    Les participants nominalement romains à la bataille de Châlons
    étaient peut-être étonnés de leur victoire sanglante en 451 apr. J.-
    C. Ils étaient certainement soulagés. Les Huns étaient retournés à
    leur ancienne patrie située dans la région où le fleuve Volga se
    déverse dans la mer Caspienne. Les vainqueurs « romains » à
    Châlons n'étaient pas pressés de les suivre pour un deuxième
    combat. Attila, grand Roi des Huns, est m dans sa capitale
    appelée Kazaran-Itil en Volga en 453 apr. J.-C.
    Il doit être dit que, de tous les barbares qui avaient envahi
    l'Empire romain (c’est-à-dire, à part pour les Huns), les Vandales
    en particulier étaient également destinés à jouer un rôle
    crucialement important dans le développement de notre monde
    moderne. Comme ils étaient originellement situés du côté ouest
    des montagnes du Caucase, le chemin de leur invasion du monde
    romain les avait menés vers le sud, le long des côtes orientales de
    la Méditerranée. Ils avaient envahi la Turquie, le Liban, la Syrie
    modernes, la région actuelle d’Israël-Palestine, l’Égypte moderne
    et avaient ensuite continué à travers l'Afrique du Nord, jusqu’à la
    côte atlantique du Maroc.
    En 391 apr. J.-C., une bande chrétienne menée par un évêque
    romain mi-visigoth appelé Théophile avait brûlé la grande
    bibliothèque d'Alexandrie et massacré les chrétiens égyptiens.
    Mais environ un demi-siècle plus tard – 450 à 500 apr. J.-C. –
    l'invasion des Vandales avait achevé la destruction de tout vestige
    des cultures d’Égypte ancienne ou gréco-romaine au Moyen-
    Orient et en Afrique du Nord. Notre mot moderne « vandalisme »
    rappelle, de façon pertinente, la destruction dévergondée visitée
    par cette tribu de barbares particulièrement féroce des steppes du
    Caucase. Peu de mélange avait lieu entre les Vandales et les
    peuples indigènes. Les Vandales (comme les Huns), à la
    différence des Visigoths, des Ostrogoths et des Lombards en
    Europe, avaient tendance à exterminer les peuples locaux qu'ils
    rencontraient au Moyen-Orient.22
    Les Vandales étaient presque aussi farouchement agressifs,
    xénophobes et « anti-féministes » que les Huns. Et c’est de ces
    perspectives émotives et culturelles « Vandalisées » que
    Mohammed avait puisé son inspiration et que l'Islam avait pris sa
    source. L'Islam n’était pas moins agressif, anti-féministe et
    monothéistique que le judaïsme, parmi les premiers peuples
    « Vandalisés » du Moyen-Orient qui l'avait développé et
    embrassé. Ce n'est pas étonnant puisque le judaï me et l'Islam ont
    été conçus et développés par des peuples des steppes du Caucase
    très étroitement liés.
    287 années séparent le retrait des Huns et leur retour au Volga en
    453 apr. J.-C. et l'apparition des Khazars sur la scène de l'histoire
    en 740 apr. J.-C., Pendant cette péridode, les Vandales avaient
    détruit les cultures d’Égypte ancienne et gréco-romaine dans le
    Moyen-Orient et partout à travers l'Afrique du Nord. Et, dès 622
    apr. J.-C., l'Islam avait commencé son expansion explosive.
    Le « jihad » musulman avait conquis la Perse dès environ 700
    apr. J.-C., et menaçait l'Empire romain d’Orient basé à
    Constantinople qui commencait tout juste à reprendre son nom
    grec plus ancien : « Byzance ». L'Empire romain d’Orient n'était
    pas tombé avec Rome parce que les barbares l’avaient contourné
    en allant vers l'ouest, à travers la Grèce. L'Empire romain
    d’Orient, à la limite occidentale de la péninsule turque, n'avait pas
    succombé aux Vandales non plus, parce qu'il était très à l'ouest des
    chemins d’invasion des Vandales. Mais dès 700 apr. J.-C.,
    l'Empire d’Orient chrétien (Église orthodoxe grecque) était
    menacé par le califat islamique en Perse voisine.
    Une grande tribu dominante des steppes appelée « Khazars »
    contrôlait l'équilibre des pouvoirs de la région. Il est possible que
    le mot plus moderne « cossack » soit venu de ce nom tribal. Les
    émissaries de Constantinople avaient donc essayé de convertir ces
    Khazars au christianisme tandis que les émissaries persans avaient
    essayé de les convertir à l’Islam. Il est étonnant et ironique pour
    l'histoire occidentale que les Khazars avaient rejeté ces deux
    religions.23
    En 740 apr. J.-C., entre 1 et 3 millions de personnes des steppes
    russo-ukrainiennes, le peuple appelé « Khazars » par les
    chroniqueurs du jour, avaient étonnamment choisi de se convertir
    au judaïsme.24 Et, la position juive dans le monde occidental allait
    en être incommensurablement renforcée. Puisque les Khazars
    juifs représentaient de loin la plus grande population de « Juifs »
    n'importe où dans le monde, le célèbre auteur juif, Arthur
    Koestler, les avaient désignés par le nom de La treizième tribu
    dans son livre de ce titre publié en 1967.
    L'agression, le chauvinisme et la xénophobie militante du
    judaïsme biblique avaient apparemment plu à la psychologie
    féroce des Khazars. Mais des facteurs géopolitiques et
    économiques avaient également contribué à leur préférence pour le
    judaïsme. Ils étaient effectivement devenus immunisés contre les
    missionnaires chrétiens et islamiques et avaient ainsi maintenu
    leur indépendance géopolitique. Il est connu que cette tribu de dits
    « Khazars » était simplement un nom ultérieur pour les Huns
    d'Attila.
    Ayant acquis une plus grande cohésion sociale grâce à leur
    religion commune du judaïsme, les Khazars s’étaient taillé un
    véritable royaume ou empire modeste qui avait régné sur les
    steppes, depuis montagnes du Caucase dans l'Est jusqu’aux
    Carpates dans l'ouest. C'est-à-dire qu’ils avaient régné sur les
    steppes au nord de la mer Noire. Les chroniqueurs de l’époque et
    par des auteurs de la fin de période médiévale avaient noté
    l’existence de ce royaume des Khazars. Les historiens modernes
    traitant de l'Empire romain d’Orient, comme J.M. Bury qui
    écrivait en 1912, ont mentionné brièvement la conversion des
    Khazars au judaïsme et le domaine des Khazars qui en avait
    résulté. Mais très peu était connu à ce sujet.
    Le premier livre consacré uniquement à l'histoire de ce
    royaume Khazar était Khazaria: The History of a Jewish Kingdom
    in Europea (Beliak Mossad, Jérusalem, 1950) par Dr A.N. Poliak,
    historien à l’université de Tel Aviv. Kazaran-Itil, la capitale des
    Khazars, située sur le Volga, avait été découverte et avait fait
    l’objet de fouilles archéologiques entre 1946 et 1960 par
    l'archéologue soviétique, Dr A.M. Artomonov (Khazaria , Moscou,
    1961).
    Les Khazars étaient haïs et craint par leurs voisins slaves en
    Ukraine, en Russie et dans d'autres parties d'Europe de l'Est, parce
    qu'ils étaient des pilleurs et des marchands d’esclaves. En fait, les
    Khazars ont donné au monde le mot anglais « slavery» a en
    capturant et en vendant des nombres vraiment sidérants de Slaves.
    Le mot « Khazar » veut dire « porc » en gothique, la langue
    germanique maintenant presque disparue qui était parlée sur les
    steppes méridionales, la péninsule criméenne et jusqu’à la limite
    occidentale du royaume des Khazars sur la mer Noire.
    Dans Jewish Contributions to Western Civilizationb (Service
    d'information juif, 1921), Joseph Jacobs a décrit ce qu'il appelait
    « la malheureuse affaire » du pillage de Slaves par les Khazars, y
    compris la manière violente avec laquelle les Khazars « traitaient »
    leurs captifs.
    La brève mais intense invasion de la Russie et de l'Ukraine
    moderne par les Mongols, amorcée en 1218 apr. J.-C., avait détruit
    les Khazars qui avaient terrifié les Slaves pendant environ cinq
    siècles. Les Khazars avaient cessé d’être puissance cohésive des
    steppes du Caucase et, en compagnie de moindres tribus des
    steppes (Magyars, Bulgares, Alains, etc.), les Khazars avaient été,
    soit dispersés sur le territoire de la Russie et l'Ukraine, soit
    poussés dans les territoires d'Europe de l'Est.
    Les Khazars avaient perdu leur cohésion guerrière, mais ils
    avaient conservé leur judaïsme et certaines coutumes des steppes.
    Encerclés par leurs anciennes vic times et méprisés, ils s’étaient
    rassemblés dans des « stetls » ruraux (de petits villages parfois
    protégés par des palissades) ou dans certaines quartiers de villes
    qui commençaient à se développer. Ces enclaves de Khazars sont
    devenues les « ghettos juifs » de l'Europe de l'Est.
    J'ai placé le mot « juif » entre guillemets, et je continuerai à le
    faire pendant encore quelques paragraphes se rapportant aux
    « Juifs » d’Europe de l’Est, car il est difficile à dire s’ils sont
    vraiment juifs ou pas. Les Israélites ou les Hébreux bibliques
    considéraient qu’ils étaient un groupe ethnique spécifique et
    distinct : les descendants d'Abraham et de Sara de la Bible. Selon
    la loi de mosaïque ainsi que le Talmud, pour être un Juif il faut
    que votre mère soit ou ait été juive dans ce sens ethnique. Il est
    assez évident que cette loi judaïque ne peut pas s'appliquer à des
    convertis religieux comme les Khazars et leurs descendants.
    Le mot français « esclavage » vient du mot « esclave » qui, à son tour,
    vient du latin médiéval sclavus, de slavus « slave ».
    Les savants juifs et les rabbins de l’époque médiévale qui
    avaient visité la Khazarie, et qui étaient réellement des
    descendants des Hébreux de la dite « terre Sainte », désignaient
    ces « Juifs » d’Europe de l’Est du nom d’Ashkénazés ou, parfois,
    « Juifs Ashkénazes » afin de les distinguer des « vrais » Juifs qui
    pouvaient tracer leur descente à partir d'Abraham.
    Puisqu'ils étaient surpassés en nombre et entourés par leurs
    anciennes victimes qui les détestaient, les Ashkénazés avaient dû
    renoncer à l'agression armée « à la khazar ». Et leurs voisins
    prenaient souvent des mesures pour empêcher ces « Juifs »
    d’Europe de l’Est de monter à cheval de toute façon, parce qu'ils
    se rappelaient trop bien toutes les incursions montées des Khazars
    marchands d’esclaves.
    Selon le linguiste juif Moishe Miesnes ( Die Yiddishe Sprache,
    1924), la langue originale des Khazars était le gothique, une
    ancienne branche de la proto-langue germanique indo-européenne
    qui était parlée sur les steppes au nord de la mer Noire. Mais la
    langue qui s’est développée parmi ces «Juifs » de stetls et de
    ghettos était un dialecte mélangé de gothique, de slave et d’hébreu
    élémentaire, appelé yiddish (de « Yid Deutsch » ou « juif
    allemand »).25
    Par conséquent, en ce qui concerne l'histoire du monde, nous
    sommes confrontés à un fait génétique significatif et terrifiant.
    Un seul groupe de barbares très agressifs des steppes du
    Caucase a joué un rôle démesurément grand dans la formation
    du modèle général de l'histoire du monde.
    Les tribus des steppes du Caucase jadis connues sous les noms
    « Hyksos », « Mitanni », « Hébreux », « Hourrites » et « Hittites »
    qui fuyaient du bassin inondé de la mer Noire avaient envahi le
    Moyen-Orient entre environ 5600 et 2000 av. J.-C. Dès environ
    1300 av. J.-C., ils avaient établi le monothéisme, mieux connu
    comme le « judaïsme » biblique, dans certaines parties du Moyen-
    Orient, notamment en Égypte ancienne, au Yémen et dans les
    environs immédiats de Jérusalem en Palestine.
    Les Huns de cette même région du Caucase, entre la mer Noire
    et la mer Caspienne, avaient attaqué la Chine au IIIe siècle av. J.-
    C., mais ils avaient été déjoués par la Grande Muraille bâtie par
    la dynastie Ch’in. Cependant, à cause de ces « barbares velus »
    du Moyen-Orient, la civilisation chinoise est demeurée inhibée sur
    le plan psychologique, et relativement non expansive (par rapport
    à l'Ouest) sur le plan territorial.
    Ces même Huns avaient ensuite regagné les steppes du
    Caucase d’où ils étaient venus. Ils avaient terrorisé leurs voisins
    et entraîné la chute de Rome.
    « Les Huns blancs », une tribu apparentée, avaient envahi
    l'Inde à peu près en même temps qu’Attila envahissait l'Europe. Ils
    avaient entraîné la fin de la magnifique « époque Gupta »
    artistique de l'histoire de l'Inde et avaient laissé l'Inde prostrée et
    vulnérable à l'attaque islamique qui allait bientôt suivre. À la suite
    des invasions barbares de l'Empire romain, les Huns d’Europe
    avaient entraîné « l’âge des ténèbres » européen. Ces invasions
    avaient coïncidé avec l'établissement du «judéo-christianisme »
    en Europe et dans certaines parties du Moyen-Orient.
    Poussant ensuite les Vandales à envahir le Moyen-Orient, ces
    Huns avaient inspiré la religion monothéistique de l'Islam en 622
    apr. J.-C. (Il serait plus correct de dire le « judéo-Islam », puisque
    l'Islam est également fermement basé sur la tradition judaïq ue.)
    Ceci avait donné naissance à un « jihad » musulman – ou une
    « guerre sainte » – qui avait résulté dans la conquête du Moyen-
    Orient, de la Méditerranée jusqu’en l'Inde, ainsi que la conquête
    de l'Afrique de l'Est et l'Afrique du Nord.
    Les Huns sous leur nouvelle forme, en tant que « Khazars »,
    s’étaient converti au judaïsme en 740 apr. J.-C., et ils allaient
    mouler l'expansion technologique, financière, militaire et
    culturelle du monde occidental moderne – ainsi que les conflits
    majeurs du monde occidental.
    Par exemple, bien que la plupart des gens aient été trop
    polarisées par la propagande pour le réaliser, le communisme et
    le capitalisme moderne ont été, tous deux, développés par des
    théoriciens économiques, des activistes, des avocats et des
    entrepreneurs principalement Ashkénazes. Le communisme et le
    capitalisme avaient facilité la domination néanderthalesque de
    différentes manières qui avaient été adaptées en fonction de
    différentes sociétés.
    Des mélanges entre les Cro-Magnons et les Néanderthals avaient
    eu lieu de temps en temps depuis l’arrivée des Cro-Magnons en
    Europe pendant l'intervalle plus chaud de la dernière période
    glaciaire appelée l’Interstade Gottweig. Ce répit « relativement »
    chaud de la dernière période glaciaire avait duré d’environ 38 000
    av. J.-C. à environ 28 000 av. J.-C. La découverte au Portugal du
    squelette hybride de « l’enfant de Lapedo », par exemple, a suscité
    un certain intérêt médiatique en 1998. Il avait été trouvé dans les
    contreforts où il était plus probable que les Néanderthals et les
    Cro-Magnons purs se seraient rencontrés de temps en temps. Les
    os de l'enfant ont été datés à environ 23 000 av. J.-C. L’existence
    d’un autre hybride Néanderthal-et-Cro-Magnon dans les
    montagnes de la République tchèque a été signalée en 1999, et il
    datait d’un peu plus tôt, environ 32 000 av. J.-C.
    Une grotte entière, remplie d’os de Néanderthals pur, de Cro-
    Magnons purs, et d’individus hybrides attestant d’une
    « évolution » progressive en hommes « modernes », a été
    découverte au mont Carmel en Israël moderne entre 1934 et 1964.
    Cette collection d'os, y compris plusieurs crânes diagnostiques et
    très intéressants, est habituellement appelée la « série de Skuhl »
    par les anthropologues physiques.
    Les os de Néanderthals purs varient en date, les plus anciens
    datant d’environ 40 000 av. J.-C., tandis que les hybrides
    commencent à apparaître vers environ 30 000 av. J.-C., et
    commencent alors à devenir des humains pleinement « modernes »
    à partir d’environ 25 000 av. J.-C.
    Cette date très ancienne pour l’apparition de « l'homme
    moderne » dans la terre Sainte peut, bien sûr, être expliquée par la
    croyance chère qu’il s’agit de l’endroit où Dieu a créé l'humanité.
    Mais on se demande alors comment et pourquoi une humanité tout
    aussi moderne est apparue environ 50 000 ans auparavant en
    Extrême-Orient dans la région de Beijing.
    L’explication mondaine la plus probable, c’est que l’Est de la
    Méditerranée était à la limite extrême sud de la répartition des
    Néanderthals de la « période glaciaire » tandis que, même avant le
    commencement de l’Interstade Gottweig, le climat local était assez
    doux pour tenter les Cro-Magnons de l’Atlantique à migrer vers
    l'est le long de la côte de l'Afrique du Nord. Ce sont des facteurs
    climatiques plutôt que de l’intervention divine qui ont fait que ces
    deux groupes se sont d'abord rencontrés et mélangés en
    Palestine.26
    Tous les natifs d’Europe et d’Asie occidentale moderne, depuis
    l'Irlande jusqu’en Inde occidentale sont, en proportions plus ou
    moins grandes, des hybrides des Néanderthals et des Cro-
    Magnons. La période la plus active de mélange entre ces deux
    groupes aurait été juste aprés la grande inondation de la mer Noire
    en 5600 av. J.-C. Et à cause de cette inondation, ce mélange avait
    continué pendant la période allant d’environ 4500 av. J.-C. à
    environ 1500 av. J.-C.
    L'inondation avait forcé les Néanderthals à migrer hors de leur
    bassin enserré des montagnes de la mer Noire et à se répandre
    dans le monde cro-magnon de l’ancienne Europe que Marija
    Gimbutas a appelé la civilisation de la Déesse.
    Ceci n'a pas vraiment eu lieu dans le passé lointain et obscur,
    mais plusieurs voudraient évidemment repousser l'hybridation des
    Néanderthals et des Cro-Magnons aussi loin que possible dans le
    passé le plus obscur. Cette période de mélange massif est vraiment
    juste à la limite de la mémoire humaine où la légende et le folklore
    rencontrent l'histoire.
    Par exemple, notre année 2004 corresponds à l'année 5764 du
    calendrier juif. Et même si les années juives ne concordent pas
    exactement avec les années grégoriennes, ceci nous ramène à
    environ 3700 av. J.-C. Ce groupe tribal particulier avait commencé
    à chroniquer une certaine continuité à cette époque. Les listes
    sumériennes des rois (culture Ubaid) remontent tout aussi loin ou
    un peu plus.
    Le tout premier horizon culturel de notre cycle de civilisation
    actuel date à environ 4500 av. J.-C. Certains de nos textes saints
    et certaines de nos épopées les plus anciennes, comme L'Épopée
    de Gilgamesh, contiennent des références claires à cette ère. L'ami
    de Gilgamesh, «l'homme sauvage » Enkidu, est d'ailleurs et de
    toute évidence un caractère fortement néanderthalesque. L'histoire
    de Cain et d'Abel dans la Bible semble également être une
    mémoire de cette époque.
    II est difficile de dire comment le mélange entre les
    Néanderthals et les Cro-Magnons a eu lieu exactement. J'ai mes
    propres idées à ce sujet, mais elles ne sont que mes propres
    conjectures et ne devraient porter aucun grand poids auprès les
    lecteurs.
    Étant donné l'agression connue, et mes propres arguments au
    sujet de l'agression psychosexuelle parmi les Néanderthals, je
    pense qu'il doit y avoir eu une extermination considérable
    d’hommes Cro-Magnon là où les Cro-Magnons et les
    Néanderthals s’étaient rencontré – avec le viol répandu et
    simultané des femmes Cro-Magnon. Les habitudes des Nephilim
    de la Bible font probablement référence à cette conquête
    néanderthale. Au moins, je préférerais penser que l'expression
    biblique « ceux venus de haut » (texte de Jérusalem) se rapporte
    aux Néanderthals des montagnes plutôt qu'aux étrangers
    extraterrestres venus de l'espace de Von Daniken.
    J'ai traité de ceci en très grand détail, en me basant sur les
    traductions correctes faites par le rabbin Yonah ibn Ahron de New
    York City des plus anciens textes hébraïques connus de la Bible.
    J'ai choisi d’employer les traductions d'Ibn Ahron dans Chosen
    People from the Caucasusa parce qu'il est un linguiste accrédité
    par les Nations-Unies ainsi qu'un rabbin. Ibn Ahron avait été
    sélectionné pour travailler à la traduction de certains des fragments
    bibliques les plus anciens pour le fameux « sanctuaire du livre » de
    l’État d'Israel moderne.
    Il doit également être un des quelques linguistes ou rabbins à
    avoir une formation en anthropologie. Il avait étudié la zoologie et
    l'anthropologie sous Ivan T. Sanderson de Cambridge. Les
    traductions de la Genèse par Ibn Ahron, particulièrement l'histoire
    de Cain et d'Abel et l'histoire de la déception pratiquée par Jacob
    auprès de son père Isaac pour acquérir le droit d’aînesse d'Esau,
    supportent fortement cette élaboration.
    Ibn Ahron a lui-même mentionné qu'Esau semblait être un
    caractère très « néanderthalesque ». En fait, les traductions d'ibn
    Ahron ont inspiré, en partie, Chosen People from the Caucasus.
    Et, évidemment, personne ne pourrait m'accuser de me rapporter à
    une opinion « experte » douteuse.
    Étant donné cette activité sexuelle entre Néanderthals et Cro-
    Magnons, que les anthropologues aiment appeler euphémiquement
    un « flux génétique périphérique », il est évident que les
    caractéristiques néanderthales pures auraient été diluées en très
    peu de générations. Dans la première génération de progéniture
    très nombreuse issue des viols, les caractéristiques génétiques cro-
    magnon et les caractéristiques néanderthales auraient été à peu
    près égales.
    Mais lorsque ces nombreux enfants issus des viols, devenus
    sexuellement matures, se seraient accouplés surtout entre eux, les
    gènes des Cro-Magnons seraient devenus prépondérants dans la
    population et ceux des Néanderthals seraient rapidement devenus
    moins représentés sur une base démographique. Dans l’espace de
    quelques générations, les Néanderthals purs auraient pratiquement
    « disparu ».
    Et c’est ce que les anthropologues voient dans les os de ce qui
    s'appelle la «population moderne primitive » de l'Europe et de
    l'Asie occidentale. Il demeure vrai, cependant, que les
    caractéristiques physiques des Néanderthals étaient si distinctives
    que, dans une forme très diluée et vestigiale, elles sont toujours les
    traits diagnostiques qui séparent les « Caucasiens » des autres
    « groupes génétiques principaux » de l'humanité. Le mot
    Caucasien veut dire « de la région du Caucase ».
    Les Néanderthals ne pouvaient être restés relativement purs, ou
    « plus purs », que parmi les tribus qui attachaient une grande
    valeur à leur identité génétique. La manière évidente d'assurer la
    pureté génétique, ou d’au moins ralentir la dilution génétique
    inévitable, était de ne reconnaître que les enfants dont les mères
    étaient Néanderthales ou étaient acceptablement
    néanderthalesques comme membres de la tribu. Peu importe
    combien de femmes non-néanderthales l’homme était parvenu à
    violer.
    Cette valeur tribale supposerait également des injonctions
    strictes contre le marriage avec des partenaires sexuels potentiels
    en dehors de la tribu. Les enfants des femmes cro-magnon
    malchanceuses et violées seraient des exclus de la tribu et seraient
    sans valeur à la tribu, sauf peut-être comme esclaves et jouets
    sexuels. Cette attitude est très bien reflétée dans l'histoire biblique
    d'Abraham et Agar et de leur fils Ismaël, par opposition à
    Abraham et Sara et leur fils Isaac.
    Si nous comptons vingt ans par génération, les Européens et
    Asiatiques occidentaux modernes – c’est-à-dire « l'humanité
    occidentale » ou les « Caucasiens » – sont le produit de 350-400
    générations de mélange et de remélange depuis le grand déluge de
    la mer Noire de 5600 av. J.-C. Nous sommes si bien mélangés et
    remélangés que nous avons la difficulté à reconnaître que nos
    caractéristiques « raciales » représentent une combinaison presque
    infinie des traits physiques néanderthals et cro-magnon. En
    revanche, lorsque leurs os sont parfois trouvés, il est assez facile
    de reconnaître les anciens hybrides des deux groupes relativement
    purs et distincts.
    Comme je l'ai remarqué précédemment, cependant, même de
    nos jours il est encore possible de tracer une ligne de démarcation
    entre les peuples « plus cro-magnonesques » et les peuples « plus
    néanderthalesques ». Cette ligne va de la frontière allemande-
    polonaise sur la mer Baltique à la frontière italio-slovène de la mer
    Adriatique. Il y a des exceptions, mais dans ces endroits on
    trouvera que les gens néanderthalesques habitent dans les
    montagnes ou sont venus des montagnes pendant le s périodes
    historiques, et on trouvera aussi que les gens cro-magnonesques
    sont concentrés le long des vallées fluviales et des côtes.
    Il est également intéressant de savoir que n’importe qui peut
    faire le tracé des lieux des conflits occidentaux modernes. Et on
    constatera presque invariablement que des Pyrénées aux Pamir,
    des vestiges de peuples fortement néanderthalesques habitent dans
    ces points sensibles chroniques. Et on trouvera que les peuples des
    steppes des montagnes, qui ont été isolés par des facteurs
    géographiques ou qui ont adopté des prohibitions culturelles et
    « religieuses » contre le marriage avec d'autres peuples, sont les
    exemples le plus uniformément agressifs de l'humanité
    occidentale.
    Une deuxième indication diagnostique d’un contenu génétique
    fortement néanderthal serait la coïncidence d’injonctions
    culturelles ou religieuses anti-féminines et d’un comportement
    purement agressif apparent. Et, si mes idées ont quelque validité
    que ce soit, une troisième indication diagnostique d'expression
    génétique fortement néanderthale serait le monothéisme fanatique.
    Quiconque lit les journaux ou regarde les nouvelles télévisées
    n’a pas besoin qu’on lui dise que le conflit entre deux groupes
    pareils menace la survie du monde avec un Armageddon nucléaire
    dans le Moyen-Orient. Ces deux groupes sont les Israéliens
    (soutenus par la grande majorité des Juifs nord-américains) et les
    musulmans fondamentalistes.
    Comme la plupart des lecteurs de journaux sauront, de
    nombreuses tentatives pour nier tous traits physiques néanderthals
    ou autres inclinations «raciales » néanderthales dans l'humanité
    moderne ont eu lieu récemment. La majeure partie de cette
    recherche a été entreprise depuis la parution de The Iceman
    Inheritance en 1978 et de Chosen People from the Caucasus en
    1992. Ces études politiquement correctes ont évidemment été
    fortement favorisées, et surtout à la télélvision nord-américaine et
    dans les journaux et magazines nord-américains. Elles impliquent
    typiquement des analyses statistiques compliquées de
    comparaisons génétiques de l’ADN et des chromosomes-Y.
    La question à savoir si ces études sont de la science ou de la
    « pseudo-science » est sujette à des opinions fortement
    controversées. La majeure partie du public ne peut pas saisir les
    difficultés associées aux comparaisons de l’ADN de personnes
    vivantes avec l’ADN de populations humaines anciennes. De plus,
    les statistiques sont si faciles à manipuler et à tordre qu’il est
    habituellement possible de les manier de façon à leur faire
    « prouver » ce que le chercheur veut prouver. Comme l’avait dit
    quelqu'un, et comme nous l’avons déjà cité, « d'abord viennent les
    mensonges, puis les satanés mensonges et puis les statistiques ».27
    Il me semble pourtant que ces études prétendant réfuter
    l'existence des caractéristiques raciales néanderthales dans
    l'humanité moderne sont elles-mêmes vaines et même des
    exercices ridicules de démenti psychologique.
    Si nous mettons de côté la religion et prenons encore un autre
    secteur de conflit, le conflit socio-économique entre le dit
    « capitalisme » et le dit « communisme » dans l'ère très moderne
    du XXe siècle, nous pouvons voir un schéma semblable à celui sur
    la carte de « l’héritage de l’Homme des neiges» donnée plus tôt
    dans cet épilogue. Un observateur intelligent ne peut pas ignorer
    que la subjugation autoritaire des Soviétiques, une subjugation
    basée sur « un système politique à parti unique », ressemble trop
    au monothéisme religieux. C'est un exemple des inclinations
    raciales monothéistiques transplantées dans le champ de la
    dialectique économique et de la politique supposément athées.
    C'est une version économique du monothéisme judaïque ou
    islamique.
    Ce ne peut pas être un accident que trois des cinq principaux
    élaborateurs du communisme soviétique moderne – Karl Marx,
    Friedrich Engels et Leon Trotsky – étaient des Juifs russes des
    steppes de l’Ukraine et de la Russie moderne. Pour ce qui est deux
    autres élaborateurs du communisme moderne, Vladimir Lenin est
    né sur le Volga, près de Kazaran-Itil, l’ancienne capitale des Huns
    et des Khazars, tandis que Joseph Stalin est né à Gori, en Géorgie,
    à l'ombre des montagnes du Caucase.
    De toute évidence, le « communisme » moderne a surtout été
    moulé par des influences génétiques, et non par des influences
    économiques objectivement théoriques, bien que le communisme
    ait été exporté comme produit culturel et ait trouvé faveur chez
    certains peuples non-Occidentaux qui étaient opprimés par le
    colonialisme et le capitalisme moderne. Les Chinois sont un
    exemple d'une population non-Occidentale qui a adopté le
    « communisme » occidental comme défense contre le
    « capitalisme » occidental et le colonialisme. Il n’est pas
    nécessaire que le dit « communisme » soit autoritaire.
    Les « Thérapeutes » égyptiens, une secte de premiers chrétiens
    (avant Jésus), étaient des « communistes » en termes
    d'organisation économique de leurs communautés, mais ils étaient
    tout sauf autoritaire.
    Le monde occidental a très rarement été impliqué dans des
    conflits purement religieux ou dans des conflits p urement socio-
    économiques. Il y a généralement eu un élément de concurrence
    génétique derrière presque tous les déguisements culturels des
    confrontations, et les excuses pour celles-ci.
    Je pense qu'autre chose doit être au moins mentionné ici, même
    au risque de surcharger un épilogue déjà compliqué. Il y avait une
    composante génétique certaine à « la conquête » du Nouveau
    Monde et le subséquent trafic transatlantique d'esclaves africains
    noirs, bien qu’à l’époque la rationalisation pour les deux ait
    toujours été surtout « religieuse ».
    « La conquête » et le commerce transatlantique d'esclaves
    étaient tous deux essentiellement des manifestations à peine
    cachées de genocide intentionel. Les livres d'histoire
    « traditionnels » et aseptisés de notre temps accusent surtout les
    Conquistadors « Espagnols » et « Portugais » d’avoir été les
    principaux auteurs de ces crimes. Mais c'est seulement parce que
    l'Espagne et le Portugal ont peu d’influence intellectuelle dans le
    monde d'aujourd'hui et qu’elles ne peuvent donc pas contester
    efficacement une erreur judiciaire historique très réelle.
    Les sources historiques ibériennes et juives expliquent
    clairement qu’entre cinquante et soixante-quinze pour cent des
    « Conquistadors » ibériens du XVIe siècle étaient en fait des Juifs.
    Tous les Juifs avaient été expulsés d'Espagne le 3 août, 1492 – le
    même jour, d'ailleurs, où Christophe Colomb avait pris la mer
    pour son voyage épique de découverte.
    Beaucoup de surprises troublantes sont en réserve pour les gens
    qui sont assez curieux pour regarder au-delà des pages fades des
    livres scolaires d'histoire. Il est intéressant, par exemple, de passer
    au peigne fin les documents traitant des colonisations australienne
    et sud-africaine afin d'apprendre comment et pourquoi les
    aborigènes d'Australie et les Saan d'Afrique du Sud ont été
    quasiment exterminés. Il est bien plus fascinant de regarder les
    deux guerres mondiales du point de vue de l'ennemi, et non du
    seul point de vue du biais de notre propagande. Napoléon avait
    jadis caractérisé l'histoire conventionnelle comme étant « le
    mensonge généralement convenu ». Mais Henry Ford l'a exprimé
    plus succinctement : « L’histoire est de la foutaise ».

    (…)
    Comme les leaders et les défenseurs de droits civiques
    d’Amérique du Nord et d'Europe occidentale l’ont souligné
    pendant des années, les valeurs et les constitutions des démocraties
    occidentales modernes ne doivent absolument rien à la tradition de
    judéo-chrétienne – ou à toute autre perspective religieuse du
    Moyen-Orient. En fait, c’est plutôt l'inverse. La première et la plus
    cruciale victoire des démocraties occidentales modernes a été la
    séparation définitive de l'Église et de l'État.
    Et ce n’est qu’à cause d'une des plus incroyables ironies de
    l'histoire que l'ennemi que l’on pensait avoir défait, il y a si
    longtemps, à la bataille de Châlons en 451 apr. J.-C., a été
    accueilli au sein de la plupart des sociétés occidentales modernes.
    Cette influence des steppes du Caucase a-t-elle graduellement
    miné nos perspectives sociales, culturelles, de divertissement,
    religieuses, politiques, légales et financières traditionnelles
    d'Europe occidentale ? Cette circonstance ironique a-t-elle
    confondu et aggravé la réponse occidentale au monde islamique
    fort de 1,3 milliards d’humains ? L'Ouest aurait-il perçu le monde
    islamique comme un concurrent culturel, financier et religieux
    sérieux, peut-être (et pour cause) plutôt que comme un ennemi si
    cette influence ashkénaze n’avait pas infiltré le coeur même de
    l'Ouest ? Un accommodement plus humanitaire entre l'Ouest et le
    monde islamique pourrait-il possiblement avoir été atteint par la
    négociation paisible ?
    Pourtant, une guerre religieuse et génétique fait présentement
    rage au Moyen-Orient. Et, compte tenu de la révélation récente des
    armes nucléaires détenues par Israël, elle pourrait bientôt détruire
    le monde comme nous l'avons connu. Ceci est déjà arrivé
    auparavant, à la fin de la dernière période glaciaire et à la fin de
    « l’Atlantide ».
    Mais même Armagueddon ne dévastera supposément que la
    dite « terre Sainte ». Et la destruction de cette «terre Sainte »
    pourrait être la meilleure chose qui puisse arriver pour la plupart
    de l'humanité. Un grand nombre de combats pour la liberté,
    l'égalité et la fraternité auront encore à être menés partout où les
    hommes vaillants et les femmes courageuses continuent à être
    inspirés par le désir de vivre une vie saine sur terre plutôt que
    d’aspirer d’une éternité stérile dans le ciel.
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    Message  Auda 29/5/2010, 17:35

    Etude intéressante sur un sujet d'actualité anthropologique à partir du séquençage du génome de l'homme de Néanderthal, mais qui n'en reste pas moins une simple hypothèse tendant à rattacher certains descendants est-européens et asianiques, via les Khazars juifs, aux homo sapiens neanderthalensis comme on les dénommait encore jadis...

    Vaste hypothèse donc, à étudier la tête froide et sans a-priori dont la moindre faiblesse n'est pas de reposer sur une conception lourdement matérialiste de l'hérédité humaine, excluant tout facteur autre que physico-chimique, ce qui limite malheureusement la démonstration. Déjà Arthur de Gobineau* avait, en son temps, brossé un développement magistral de l'évolution humaine sur la seule anthropologie de l'époque, et qui m'avait, au premier abord fascinée. Œuvre géniale aux dires mêmes de Steiner, mais profondément pessimiste par suite de son optique strictement extérieure des choses excluant une claire vision du "noyau spirituel de l'homme révélé par l'investigation suprasensible**", compréhension qui seule lui aurait permis de compenser sa perception de l'inexorable dégénérescence raciale.

    L'auteur rejoint également les bizarres théories féministes de Marija Gimbutas sur la Déesse et le matriarcat originel qui la conduisit à devenir une des égéries de la wicca anglo-saxonne.

    * Essai sur l'Inégalité des races humaines.
    ** Conférence sur Darwin du 28 mars 1912.
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    Message  Druide 30/5/2010, 05:38

    Merci pour ces précisions Auda, ton apport est toujours apprécié et d'une grande valeur.


    Pour ceux qui ne connaissent pas le livre de Gobineau, il peut être lu ici:
    http://classiques.uqac.ca/classiques/gobineau/essai_inegalite_races/essai_inegalite_races.html


    ---



    www.michaelbradley.info

    J'ai omis de préciser que le premier ouvrage de Bradley sur le sujet, The Iceman Inheritance (L'héritage de l'homme des glaces), a été primé dès sa sortie, et très estimé par de nombreux chercheurs. Puis, il semble que quelques années plus tard, alors que le livre avait déjà été passablement distribué, les médias contrôlés auraient réalisé que son livre est une vraie bombe. Il a été censuré, le livre a été oblitéré, oublié, ignoré. L'auteur a reçu de nombreuses menaces et a même failli être assassiné sur scène par un fanatique de la Jewish Defense League (ligue de défense juive) alors qu'il donnait une allocution publique. La ligue anti-diffamation s'en est donné à coeur joie pour le diffamer sans répit.

    C'est pourquoi il semble qu'on ait de bonnes raisons de penser qu'il y a quelque élément dans son oeuvre qui, pour certains, ne devait pas être révélé. Mais quoi exactement?

    Son premier livre visait pas spécifiquement les juifs, mais globalement les peuples issus du Caucase, qu'il fait remonter à des descendants des néandertaliens, appelés "homes des cavernes". Dans son livre, attribuait aux blancs des troubles de développement psychosexuel et une propension à la violence, cela en se basant sur des recherches scientifiques très poussées, au niveau anthropologique et archéologique.

    Puis il a publié Chosen People From the Caucasus (Le peuple élu du Caucase), plus de 13 ans plus tard. Celui-ci vise expressément les Hébreux, qui auraient migré du Sud du Caucase vers la Palestine, et les Khazars, ces Huns-Mongols-Turcs qui auraient migré (poussés à fuir par les invasions barbares) vers l'ouest de l'Europe à partir du Nord du Caucase.

    Ensuite, Bradley s'est mis à s'intéresser au Graal, ce qui lui permettrait - croyait-il - de fuir un peu la polémique qui a mené à son divorce. Il ne soupçonnait pas qu'il deviendrait une cible de l'orthodoxie archéologique/anthropologique à cause de ses découvertes prouvant une présence européenne (incluant une présence templière) en Amérique du Nord bien avant Christophe Colomb, à une époque à laquelle l'archéologie politiquement correcte stipule qu'il n'y avait encore jamais eu de blancs européen sur le continent.

    Voici le drapeau du mouvement qu'il veut fonder:
    http://www.michaelbradley.info/images/naaassi.jpg
    "Alliance nouvel âge contre l'influence sémitique anti-humaine"


    La semaine dernière, Michael Collins Piper a invité Michael Bradley à son émission The Piper Report (anglais):
    25 mai: http://www.mediafire.com/download.php?mizvgdztu0g
    26 mai: http://www.mediafire.com/download.php?mmnnomztiza

    Piper a dirigé un numéro spécial sur le sujet pour The Barnes Review, un journal d'histoire révisionniste et d'histoire en général. Ingrid Rimland Zundel a dit de ce numéro spécial que c'est "le document le plus courageux qu'elle a jamais vu être publié aux USA".
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    Message  Druide 31/5/2010, 08:33

    Selon les dernières analyses, le néandertal aurait eu l'air de cela;

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Neanderthal-001

    Selon une vue spiritualiste du monde, ce ne sont pas les hommes qui descendent de l'animal, mais l'animal qui descend de l'Homme.

    De même, certains ont suggéré, même chez les scientifiques, que Néandertal serait pas un stade antérieur de l'humanité, mais une race dégénérée, régressive ou certains diraient involutive plutôt qu'évolutive.

    Pour Michael Bradley, il apparaît probablement que Néandertal provienne due sous-espèce d'homo habilis, et donc d'une branche complètement séparée de la nôtre (nous descendrions de l'homo sapiens sapiens).

    Mais ça c'est du point de vue de l'évolution darwinienne...
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    Message  Auda 31/5/2010, 17:28

    Et pour ceux qui ne situeraient pas l'ancienne Khazarie judaïque :

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Khazarie1

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    Message  b.h.j. 31/5/2010, 22:38

    Druide a écrit:
    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Neanderthal-001

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM 1e4ea7a20070514113355365

    Ouais, y'a un air Laughing
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    Message  nemandi 1/6/2010, 00:46

    @ b.j.h.

    c'est clair...

    lol!

    Laughing
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    Lovearth


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    Message  Lovearth 1/6/2010, 01:04

    Tout comme, on ne verra jamais un scientifique raconter que les noirs à force de trainer plein soleil deviennent forcément albinos ( la même érosion qu'une jungle transformée en désert ), qui dégénère en maures avec grains de beauté, qui mettent des vêtements pour se protéger du soleil, et ensuite tadam on obtient le format arabe. Sans oublier les nécropoles, qui ne devaient pas qu'être cimetière.........

    Les grains de beauté sont des constellations de la mort, mais le mensonge de cette appelation est trop sexy.

    On ne dira jamais que les blancs blond(e) aux yeux bleus sont d'un ADN ultra dégénérescent*, qui sont tout ce qui se rapproche le plus, du nécromancien. Plus je repense à la théorie de l'Aryen supérieur plus je ris, de cette Hérésie obscène. Le plus beau mensonge du 20ème siècle, sans aucun doute.

    Ou qu'une lignée évoluant dans des nécropoles engendre ce type de physiques Extra terrestre et non pas Intraterrestre, paradoxalement. La redondance de ce physique aliené, A-lié et non AL-lié, ne peut être une pure invention.

    ( Ceux qui comparent le sionniste obèse au néanderthal, veulent peut-être un rappel à l'ordre avec michelle obama ? Twisted Evil )


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    Message  Druide 1/6/2010, 01:28

    b.h.j. a écrit:
    Druide a écrit:
    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Neanderthal-001

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM 1e4ea7a20070514113355365

    Ouais, y'a un air Laughing

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Si_newhouse--300x300
    S.I. Newhouse (magnat des médias, surtout la presse écrite)

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Bronfman_edgar_warner_music
    Edgar Bronfman Jr. (magnat du divertissement, Warner Music Group, anciennement Universal, Seagram, etc., et leader de nombreuses organisations juives canadiennes et mondiales)

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Picture-comparing-cranium-of-a-modern-man-to-neanderthal-man


    Dernière édition par Druide le 1/6/2010, 13:59, édité 1 fois
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    Message  Druide 1/6/2010, 09:39

    http://www.tawataw.com/films/films-science-fiction/la-planete-des-singes-1-2-3-4-5-dvdrip-fr
    Pour ceux que ça intéresse...

    Moi j'aime pas, mais c'est une question de goûts.
    stg45
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    Message  stg45 2/6/2010, 01:04

    http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8338

    http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8263

    je ne suis pas d'accord avec plusieurs éléments, mais c'est quand même extremement interessant une fois qu'on a fait le tri.

    par exemple l'homme ne descend pas du singe, c'est le singe qui est un homme ayant dégénéré. darwin c'est juste un peu trompé.
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    Message  Druide 2/6/2010, 22:04

    Le losange toxique dont il est question dans le texte:

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Dia3
    stg45
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    Message  stg45 4/6/2010, 12:49

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    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Dassault

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Serge-dassault-credit-Photo-Senat

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM H-3-1278464-1244457896

    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Serge-dassault-speaks-to-the-press-at-the-elysee-palace-in-paris_435

    Shocked Shocked Shocked Shocked Shocked
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    Message  Druide 4/6/2010, 13:14

    Je crois que Dassault n'est pas son vrai nom...

    Lui en tout cas on peut pas nier qu'il exhibe un niveau d'agressivité qu'on voit rarement chez les personnalités publiques en son genre.

    L'équipe de Dassault agresse une journaliste trop perspicace et insistante.

    https://www.youtube.com/watch?v=2S_Wx8esoMo
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    Message  Auda 4/6/2010, 13:31

    Druide a écrit:Je crois que Dassault n'est pas son vrai nom...
    Serge Bloch, dit "Dassault" (pour l'agressivité sans doute...)
    stg45
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    Message  stg45 4/6/2010, 16:46

    https://www.dailymotion.com/video/x9ekc3_danger-imminent-dassault-en-vrai_news

    http://www.google.ru/search?hl=fr&newwindow=1&q=DANGER+IMMINENT++Dassault+en+Vrai+LLP&um=1&ie=UTF-8&tbo=u&tbs=vid:1&source=og&sa=N&tab=wv
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    Message  Druide 5/6/2010, 08:42

    Concernant le mythe du Juif Errant, qui renverrait à une réalité spirituelle (il serait l'entité spirituelle régissant le peuple juif après le Mystère du Golgotha):

    Désolé de charcuter et raccourcir ainsi le texte original des conférences de Steiner; désolé aussi aux anti-Steiner de les emmerder avec ça...

    Remarquez aussi que consciemment ou pas, Steiner "prédit" quasiment qu'il pourrait éventuellement être interdit de parler si jamais on se fâchait contre ce mythe...

    "Si quelqu’un se fâche à l’égard de ce mythe, il devrait aussi se fâcher du fait que nous nous sommes formé un langage par lequel nous désirons exprimer quelque chose de substantiel. Il devrait alors exiger que nous soyons muets – car s’il nous est défendu de composer un mythe, l’étape suivante serait de nous interdire de parler. Le processus de représentation en images est le même dans le langage ordinaire et dans l’imagination supérieure dans laquelle se présente, entre autres, Ahasvérus qui est un être spirituel qui passe à travers l’évolution terrestre. Il entrave continuellement le retour de l’être humain au monde spirituel, dont il est sorti lorsqu’il a perdu sa clairvoyance héréditaire, retour prévu par l’évolution grâce au Christ [...]
    Comme vous le savez la tradition chrétienne parle du Dieu devenu homme de façon légitime, du Christ Jésus. Par contraste avec le Christ Jésus, on parle d’Ahasvérus, l’homme devenu dieu de façon illégitime qui s’est dépouillé du caractère mortel de la nature humaine. Dans Ahasvérus nous avons donc l’opposé du Christ Jésus. Voilà la base, la signification profonde de la légende d’Ahasvérus qui parle de quelque chose dont il faut parler parce que c’est un fait. Elle parle d’un être qui erre sur la terre. Cette figure d’Ahasvérus existe. Elle erre sur la terre d’un peuple à l’autre, et elle empêche la croyance hébraïque de mourir. Cette figure existe : la figure d’Ahasvérus qui est devenu dieu de façon illégitime."

    (Rudolf Steiner, Mystère solaire, mystère de la mort, exotérisme et ésotérismes chrétiens, GA211, Genève, 2000, pp. 37 sqq.)

    « Aucune âme n’est condamnée à toujours vivre au sein d’une certaine race. (...)toutes les âmes qui sont actuellement incarnées dans les peuples civilisés ont vécu autrefois dans des corps atlantéens. Certaines d’entre elles se sont développées ; elles n’en sont pas restées au niveau correspondant à des corps atlantéens. Ayant évolué, elles ont pu habiter des organismes plus évolués eux aussi. Seules les âmes restées en arrière ont dû revêtir des corps restés à un niveau inférieur.(...) L’âme qui accomplit normalement sa mission terrestre s’incarne dans une race ; elle en acquiert les qualités, elle fait effort de manière à s’incarner la fois suivante dans une race plus évoluée. Seules les âmes qui s’enlisent dans leur race, qui ne font aucun effort pour s’élever au-dessus de la matérialité physique, y sont retenues, en quelque sorte par leur propre poids. Elles s’y incarnent une seconde fois, éventuellement une troisième fois dans une race analogue. De telles âmes exercent sur le corps de la race une influence retardatrice.(...)
    Supposons qu’un homme ait eu le grand bonheur de se trouver en présence d’un des grands Guides de l’humanité, du Christ Lui-même, par exemple, d’assister à tous Ses miracles, d’être témoin de Son action pour faire progresser le genre humain ; et que cet homme ait refusé ce progrès, repoussé ce Guide : Il sera condamné à rester dans sa race. A l’extrême, il devra y revenir sans cesse, et c’est ce que présente l’histoire d’Ahasverus, le Juif Errant, qui se réincarne toujours dans la même race parce qu’il a repoussé le Christ. Comme sur des tables d’airain, les grandes vérités de l’évolution humaine sont gravées dans ces légendes.»

    (Rudolf Steiner, L'Apocalypse de Jean (G.A.104), Paris, 1978, p.65 sqq.)
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    Message  stg45 8/6/2010, 00:14

    un égrégore ?
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    Message  Druide 8/6/2010, 03:11

    Plus qu'un égrégore, le Juif Errant est un être spirituel. Mais un être spirituel particulier... Qui se tient dans un rapport d'inversion et d'opposition vis-à-vis du Christ. (Lire la citation plus bas pour plus de détails).

    Je verrais plutôt l'égrégore comme un sous-produit d'une activité psychique partagée par une collectivité plus ou moins importante, qui peut même donner l'impression d'avoir une existence indépendante (et en effet, elle échappe relativement à notre contrôle, on ne tombe que trop facilement sous sa domination). Je vois l'égrégore un peu comme une ombre qui prend vie, mais c'est avant tout un être artificiel, un peu comme l'ombre dépend de l'objet éclairé qui la projette. Son âme et sa vitalité viennent de nous, nous lui insufflons cette substance astrale et éthérique (une substance plus basse car elle ne vient pas de l'activité des êtres spirituels, elle vient du commun des mortels). Nous produisons collectivement d'importantes quantités d'égrégores. Individuellement, nous produisons quantité d'être élémentaires artificiels, comme autant de sous-produits (j'oserais même parler de déjections) de nature astrale, éthérique. Ils acquièrent leur indépendance, ou plutôt un semblant de "je", bien malgré nous et bien que nous l'ignorons complètement. Nous traînons avec nous toutes sortes d'être de la nature. Par exemple, nous produisons des êtres astraux par notre activité émotionnelle lorsque celle-ci est assujettie aux passions non purifiées. (Il n'y a pas de Vie nouvelle (christique) dans ces sous-produits, tout cela appartient au monde "mort", tant que nous n'ouvrons pas notre âme au Christ et que nous ne le laissons pas agir à travers nous.)

    L'âme des peuples est plus qu'un égrégore, il est directement lié à un être spirituel qui a pris sur lui la charge très importante de veiller sur un peuple (c'est toute une besogne, car il faut veiller à leur développement tout en occupant plusieurs fonctions, qui parfois même débordent du seul rôle de gardien de l'âme d'un peuple.). Tel ou tel Archange (parfois des Anges comme Thor, parfois des Archées comme Michaël) veillera sur tel ou tel peuple à tel ou tel moment de l'évolution spirituelle de l'humanité. Ces hiérarchies angéliques évoluent elles aussi, elles ne restent pas fixes en occupant toujours la même fonction. Car l'évolution spirituelle doit avancer, on ne peut rester au même point sans prendre du retard sur le reste du monde...


    Le Juif Errant est le gardien du peuple juif après le Christ (après le Mystère du Golgotha). C'est plus proche de l'âme d'un peuple. L'égrégore, je le verrais plutôt dans l'ombre d'un peuple.

    « Le Dieu qui a appris ce que, à part Lui, les dieux ne connaissent pas, qui a connu la mort, qui s’est incorporé les faits de la mort, c’est le Christ. Son entrée dans le monde où existent la naissance et la mort, sa descente dans la nature humaine, ont été des processus réels. Dieu devint un être humain. C’est la formule qui exprime ce que le Christ est devenu pour la Terre : le modèle originel de l’humanité, ce qui donne un sens à l’humanité.

    Mais supposons que le processus inverse se soit aussi déroulé. Supposons qu’en même temps que le Dieu devint homme, un homme ait été poussé à devenir dieu, c’est-à-dire à ne plus mourir, à ne plus être soumis aux lois de la vie terrestre. Cet homme serait devenu le dieu le plus misérable, tandis qu’en descendant ici-bas, le Dieu devint l’homme le plus parfait. Voilà l’opposition que vous avez ; ce n’est pas en vain qu’à côté du Christ qui monte au Golgotha on trouve Ahasvérus, l’homme qui devint dieu. Mais c’est un dieu tronqué, qui ne peut plus mourir, qui erre dans le monde, qui reste sur le plan physique en y développant les qualités qui ne devraient être développées qu’au pays du rêve.

    C’est un fait prodigieux, spirituel, qui est placé devant notre âme. Au Dieu il est adjoint l’homme qui est devenu dieu, mais d’une façon qui le rend misérable. L’homme qui est devenu dieu manifeste, dans le cours de l’évolution terrestre, le principe qui dit que la divinité ne doit pas descendre sur le plan physique : c’est le judaïsme, la conception du monde de l’Ancien Testament.

    Ce fait est un mystère. Si on connaît ces choses on sait qu’Ahasvérus est un être réel. Les légendes d’Ahasvérus sont basées sur des impressions réelles données par la perception d’Ahasvérus qui se trouvait à un endroit ou à un autre. Car Ahasvérus existe : il est le gardien du judaïsme depuis que le mystère du Golgotha a eu lieu. Nous devons bien voir que nous n’arriverons à une connaissance complète de l’histoire que si le spirituel y est inclus.

    Nous voyons donc, d’une part Dieu devenu homme dans l’événement du Golgotha, et d’autre part l’homme devenu dieu dans Ahasvérus. L’initié sait qu’Ahasvérus erre réellement sur la terre. Naturellement on ne le voit pas sous la forme humaine. Il est devenu un dieu, mais erre sur la terre. Il est présent dans l’existence terrestre. Pour couvrir toute la réalité, les descriptions historiques doivent tenir compte de la réalité spirituelle qui court à travers le devenir historique de l’évolution humaine.
    http://spfc441.blogspot.com/2009/02/le-juif-errant.html
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    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Empty Anthropomorphe (pré-damique) ou adamique

    Message  Trimon 8/6/2010, 11:42

    Extrait de Gnosis de Mouravieff :

    "Cet exposé répond intégralement au récit biblique de la Genèse, selon lequel la création del'homme a eu lieu en deux étapes distinctes : la première humanité, pré-adamique, hommes
    et femmes, fut créée à l'image et à la ressemblance du Créateur; puis vient la créationd'Adam suivie de celle d'Eve, os de ses os et chair de sa chair.
    C'est depuis Adam que l'homme a reçu la faculté de passer, dans son évolution, de la croissance au développement et c'est seulement une partie de l'humanité d'alors qui a reçu ce don. La bible nous parle d'une longue période de coexistence de la première humanité aux
    côtés de l'humanité adamique. Elle se réfère ensuite à un processus de récession de cette dernière à la suite d'accouplements mixtes, considérés par Dieu comme le témoignage d'une
    grande perversité qui devait conduire cette humanité mixte vers la catastrophe du Déluge.
    Il est à remarquer que la première humanité, parvenue au terme de sa croissance, conservait encore à l'époque des caractéristiques de la bestialité : elle ne possédait pas la parole. La Genèse y fait allusion en indiquant que c'est près d'Adam, et non près de l'homme
    préadamique, que Dieu conduisit toutes les espèces de la faune afin qu'il leur donnât un nom. Et, poursuit le récit, Adam en effet donna un nom à toutes les bêtes, aux oiseaux du
    ciel et à tous les animaux des champs."


    Cela correspond assez bien avec le sujet .
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    Message  Druide 8/6/2010, 12:08

    Peut-être aussi Enkidu / Gilgamesh?
    Et Esaü / Jacob?
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    Message  Druide 14/6/2010, 06:31

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    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Barnes_2010-05-06_p.25_Meyer_Rothschild_and_vultures

    Les deux dernières images viennent du numéro spécial de The Barnes Review. Il contient beaucoup d'images, dont de très rares caricatures:
    https://www.amfirstbooks.com/IntroPages/ToolBarTopics/Articles/Featured_Authors/Carto,_Willis/Barnes_2006-2010/Willis_A._Carto_2010_05-06_TBR;_Revenge_of_the_Neanderthal.html

    Le dernier article m'a surpris:

    EUSTACE MULLINS
    NUCLEAR WEAPONS: The Neanderthal Gift to Modern Civilizations?
    https://www.amfirstbooks.com/IntroPages/ToolBarTopics/Articles/Featured_Authors/Carto,_Willis/Barnes_2006-2010/Willis_A._Carto_2010_05-06_TBR;_Introduction;_Nuclear_Weapons;_The_Neanderthal_Gift_to_Modern_Civilization.html
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    Message  Bardamu 14/6/2010, 08:46

    Druide, ces deux liens me renvoient sur cette page :
    "Terre sainte" ou "Losange toxique"? Néandertal du Caucase au NOM Alertefirefox


    scratch


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    Message  Druide 14/6/2010, 11:36

    Une preuve que le site est sous attaque. C'est une fausse alerte, voulue par les contrôleurs. Est-ce que ça ne vous est jamais arrivé de tomber sur un site qui vous dit cela? Moi ça m'est arrivé des douzaines de fois. On n'a rien à craindre de amfirstbooks. D'ailleurs c'est pas la première fois que ce site-là est sous attaque... Et c'était toujours confirmé par la suite qu'il s'agissait d'une fausse alerte et d'une vraie arnaque. C'est le genre de choses qui est souvent arrivée à sott.net (en français: Signes des temps, cassiopaea.org, etc.)


    Voici la table des matières du numéro spécial de TBR comprenant tous les articles.
    http://www.amfirstbooks.com/IntroPages/Subscription_Preview/Barnes_Review/2010/TBR_2010_05-06_Issue_3_Contents.html

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