Très intéressant!
Rappelons que le concept de "théopolitique" vient du juif sioniste néocon Elliott Abrams, signataire du PNAC. Il est l'un des coupables de crimes de guerre pour la guerre en Irak (et le paquet de mensonges qui l'ont rendu possible).
Rappelons que le concept de "théopolitique" vient du juif sioniste néocon Elliott Abrams, signataire du PNAC. Il est l'un des coupables de crimes de guerre pour la guerre en Irak (et le paquet de mensonges qui l'ont rendu possible).
Sommet historique pour sceller l’Alliance des guerriers de Dieu
Posted by Équipe Futur Quantique on October 9, 2010
Réseau Voltaire, le 17 octobre 2003 (flashback)
L’image de la « Jérusalem Céleste » en présentation du Sommet de Jérusalem sur le site internet consacré à l’événement. Ce sommet historique des trois mouvements les plus bellicistes des États-Unis et d’Israël marque l’officialisation de la « théopolitique ».
Le Sommet de Jérusalem, qui s’est tenu du 12 au 14 octobre 2003 à l’hôtel King David de Jérusalem, a scellé l’alliance entre trois groupes bellicistes : les anciens de la Guerre froide à Washington, les fondamentalistes évangélistes et la mafia russe en Israël. Autour de Richard Perle et de ministres du gouvernement Sharon, ils ont célébré la « théopolitique » qui conduira à l’avènement de la « Jérusalem Céleste » après l’anéantissement de l’Islam. Réunis ensemble pour la première fois, ils ont fondé un organisme permanent pour coordonner leur politique commune.
« Israël est l’alternative morale au totalitarisme oriental et au relativisme moral occidental. Israël est le “Ground Zero” de la bataille centrale de notre civilisation pour sa survie. Israël peut être sauvé, et le reste de l’Occident avec lui. Il est temps de nous unir à Jérusalem. » Ainsi est rédigé l’appel du Sommet de Jérusalem, qui vient de se conclure à l’hôtel King David de Jérusalem.
L’alliance de trois fanatismes
Cette manifestation, réunissant les principaux leaders de l’extrême droite israélienne et des extrêmes droites religieuse et militaire états-uniennes, a permis de fonder un think tank international des amis d’Israël. Il sera composé de personnalités intellectuelles et de leaders spirituels capables d’opposer un discours enraciné dans des valeurs morales supérieures à celui des gouvernements représentant les masses sans conscience.
Il ne s’agit, ni plus ni moins, que d’unir enfin trois groupes différents :
Les « Guerriers froids » de Washington. Souvent formés au cabinet du sénateur démocrate Henry Scoop Jackson, ils ont appartenu au plus haut niveau à l’appareil d’État pendant la Guerre froide (CIA, état-major interarmes, Conseil national de sécurité). Ayant progressivement rejoint le Parti républicain et s’étant identifiés au lobby militaro-industriel, ils sont regroupés au sein du Center for Security Policy (voir notre enquête).
Les membres de « La Famille ». Un groupe de chrétiens fondamentalistes qui, pendant la Guerre froide, a fourni l’argumentaire idéologique contre le communisme athée, et dont les pasteurs Bill et Franklin Graham sont les porte-parole. Leur siège est situé dans la propriété des Cèdres à côté du Pentagone.
Le parti israélien d’Union nationale, composé du Ichud Leumi et du Yisrael Beiteinu, qui milite pour l’annexion des territoires occupés et la création du Grand Israël. Ce parti est financé par des « hommes d’affaires » d’origine russe.
Voici plusieurs années que ces trois groupes ont préconisé des politiques convergentes. Ils ont souvent collaboré par paires, mais c’est la première fois qu’ils travaillent tous les trois ensemble et se dotent des moyens nécessaires à la conduite d’une stratégie commune.
Sous le haut patronage de la mafia russe
Techniquement le sommet a été organisé par Dmitry Radyshevsky au nom de la Fondation Michael Cherney. M. Cherney est l’une des figures les plus controversées du monde des affaires. Parti de rien, il fit fortune en Russie sous l’ère Eltsine, « achetant » pour pas grand-chose les principaux combinats producteurs d’aluminium et créant le TransWorld Group. Rapidement considéré, à tort ou à raison, comme le « parrain des parrains de la mafia russe », Michael Cherney déplaça une partie de ses activités vers la Bulgarie où il devint le principal investisseur. Il développa la compagnie de téléphones cellulaires Mobiltel et sponsorisa la principale équipe de football bulgare. Cependant, en août 2000, il fut accusé de complot contre la sécurité de l’État et interdit de séjour en Bulgarie. Il se réfugia alors en Israël, où il avait déjà transféré une partie de sa subite fortune. Après avoir été poursuivi en justice pour son rôle supposé à la tête de la mafia russe, il fut brusquement réhabilité et devint le principal fournisseur de l’industrie d’armement israélienne.
Le Sommet de Jérusalem a été ouvert samedi 11 octobre 2003 par un dîner de gala présidé par Avigdor Lieberman, le ministre des transports du gouvernement Sharon et président du Yisrael Beiteinu. Ancien directeur de cabinet de Netanyahu, Lieberman fut le principal défenseur de Michael Cherney et de son ami Mark Rich, PDG de Glencore. Selon lui, les deux hommes d’affaires d’origine russe étaient « persécutés » par le directeur de la police judiciaire, le général Moshe Mizrachi, qui les accusait à tort d’être des patrons du crime organisé.
Sauver la civilisation face à la « faillite morale de l’ONU » et aux pacifistes « démoniaques »
Voici donc venu le temps de la « théopolitique », c’est-à-dire d’une politique prétendument d’inspiration divine, fondée sur une lecture fondamentaliste des « Écritures ». Elle n’est plus l’œuvre d’un clergé, mais d’un groupe de « sages » autoproclamés, les « néo-conservateurs », dans la ligne de leur maître à penser, le philosophe Leo Strauss.
Dimanche matin, une série d’orateurs a décrit la crise morale du monde moderne et préconisé de le régénérer en se tournant vers Israël. Outre trois ministres en exercice (Ehud Olmert, Benjamin Netanyahu, Uzi Landau), on a pu entendre les dirigeants des grandes organisations sionistes (Congrès juif mondial, Organisation sioniste américaine) et des sectes états-uniennes (Ambassade chrétienne internationale de Jérusalem, Centre d’éthique et de politique d’Elliot Abrams). Ils se sont appliqués à dénoncer la « faillite morale de l’ONU » et « l’entretien du problème des réfugiés » par l’Agence des Nations unies pour l’aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA).
L’après-midi a donné lieu à des débats hauts en couleurs sur l’immoralité de l’anti-sionisme, la haine du sionisme chez les musulmans, et le rôle « démoniaque » des pacifistes. La journée de lundi a été consacrée à démontrer que la menace pesant sur Israël est le paradigme du danger islamiste pesant sur le « monde libre ». Au cours des débats organisés par le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA), Yossef Bodansky (biographe de Ben Laden) et Daniel Pipes (le théoricien de l’islamophobie) ont apporté leur « expertise » en soutien aux analyses d’officiers supérieurs israéliens. Mardi, les congressistes ont étudié les moyens de placer les médias occidentaux « au service de la vérité ».
La nouvelle croisade : après l’URSS, l’Islam
C’est mercredi que se tenait le moment fort de ce sommet. On y a discuté de la paix. Frank J. Gaffney Jr., le coordinateur des faucons, avait fait le voyage de Washington pour dénoncer le péril islamique. Benny Elon, le ministre du Tourisme, est venu redire sa détermination à « effacer » Arafat. Advint alors le clou du spectacle avec standing ovation : la remise du Prix Henry Scoop Jackson à Richard Perle. Ce prix tient son nom de feu le sénateur démocrate Jackson (1912-1983), dont Perle fut l’assistant parlementaire. Il se rendit célèbre en cautionnant l’usage de la bombe atomique (dont le beau-père de Perle était le théoricien), en préconisant le premier le développement de la « guerre des étoiles », et en conditionnant les échanges agricoles avec l’URSS finissante au peuplement d’Israël par des juifs soviétiques.
Dans son allocution, M. Perle s’est longuement félicité de l’adoption par le gouvernement Sharon de la doctrine Bush de frappes préventives et de guerre contre les États qui soutiennent le terrorisme. Aussi a-t-il applaudi le raid israélien de la semaine dernière, présenté comme la destruction d’un camp terroriste en Syrie. Surtout, Richard Perle s’est employé à dénoncer l’Accord de Genève, conclu cette semaine entre l’OLP et un groupe de travaillistes réuni autour de Yossi Beilin avec le soutien de démocrates états-uniens et de travaillistes britanniques.
Il existe en effet une alternative à la théopolitique du Sommet de Jérusalem : la paix.
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Déclaration du sommet de Jérusalem (2003)
http://www.jerusalemsummit.org/eng/declaration_full.php
Traduction française de J.B.
Nous avons commencé cette conférence parce que nous réalisons que notre civilisation a atteint un tournant. Tandis que sa sécurité et ses valeurs humanistes fondamentales sont défiées par une nouvelle forme de totalitarisme appelée Islam radical, notre résolution à le combattre est simultanément sapée par la fausse philosophie du relativisme moral. Nous maintenons la lutte contre le totalitarisme, auparavant manifesté dans le communisme et le fascisme, ce qui constitue le plus grand test et défi de l’histoire contemporaine. L’islam radical est la troisième tentative en cent ans d’étrangler le monde libre, et les cyniques auteurs de ces tentatives exploitent la très grande ouverture des sociétés démocratiques pour tenter de les détruire. Nos opposants ont détourné des sujets, tels que les droits humains et le droit à l’autodétermination nationale, et les utilisent pour cacher la réelle idéologie du Jihad. Les organisations internationales existantes ne fournissent dans les faits aucune boussole morale. Nous devons trouver une nouvelle base pour unir les nations et l’utiliser pour développer une stratégie militaire, politique et une morale effective afin de défendre notre civilisation. Nous croyons que les principes dégagés dans cette déclaration aideront à définir cette stratégie et à servir d’appui pour toutes les forces unies dans la résistance contre le totalitarisme et la corrosion morale.
I. Le Conseil des Civilisations
L’Organisation des Nations Unies a trahi ses principes démocratiques, se transformant en une confédération tribale détournée par les dictateurs du tiers-monde, avides d’aider l’islam radical par tous les moyens. Alors que l’Occident est le fondateur et le principal soutien financier de l’ONU, cette organisation, dans sa présente forme, ne peut pas garantir la survie de notre civilisation. Des disparités radicales de maturité politique entre les pays membres a résulté un abus de la règle démocratique de la majorité simple. Depuis que l’impulsion jihadiste de l’islam radical a inévitablement mené au choc des civilisations, ce sont les principales civilisations – Europe, États-Unis, Amérique latine, etc. – qui devraient être représentées dans un nouveau type de conseil, dans lequel chaque groupe disposerait d’une voix. Cela faciliterait l’adoption de politiques communes contre l’islam radical qui ne bénéficierait pas d’une majorité comme c’est automatiquement le cas dans d’autres forums globaux. La principale mission de ce nouveau Conseil sera de trouver un accord sur des valeurs morales communes et d’y adhérer en promouvant la coexistence fraternelle des différentes nations de la Terre. Il soutiendra les lois internationales, favorisera la sécurité et défendra des politiques économiques et environnementales équitables. L’émergence du Conseil des Civilisations ne rendra pas l’ONU obsolète ; cette dernière peut toujours exécuter nombre de fonctions utiles, incluant les tâches humanitaires, bien que ce pouvoir ne doive pas être utilisé pour soutenir des régimes totalitaires dont l’existence est en contradiction avec la charte de l’ONU et les lois humanitaires.
II. Israël, clef de l’harmonie des civilisations
Des milliards d’individus pensent que l’importance spirituelle et historique a doté Israël d’une autorité spéciale pour devenir le centre de l’unité du monde. L’unique position historique et géographique qu’occupe Israël, au carrefour des civilisations, rend possible la résolution de leurs conflits. L’unique expérience spirituelle d’Israël permet de trouver le nombre d’or [1] entre les lignes de fracture divisant les civilisations : entre tradition et modernité, religion et science, autorité et démocratie. Nous appelons toutes les nations à choisir Jérusalem, l’éternelle et indivisible capitale d’Israël, comme centre d’une nouvelle unité à créer. Nous croyons que l’un des objectifs, divinement inspiré à Israël est d’en faire le centre de la nouvelle unité des nations, laquelle mènera à une ère de paix et de prospérité, prédite par les prophètes. La plupart des pays islamiques, c’est regrettable, ont juré de détruire Israël. Nous appelons tous les pays du monde libre à réaliser les choses suivantes : si le peuple d’Israël peut vivre en paix sur sa Terre promise, la paix aura une chance de régner dans le monde entier. Si l’Islam radical connaît le succès dans son entreprise de destruction d’Israël, il n’y aura jamais de paix, et la civilisation occidentale tombera également sous les coups du jihad. Pour le salut du monde, la terre d’Israël doit appartenir au peuple d’Israël.
III. Un État gouverné par l’OLP : une menace pour la paix
Soutenir la création d’un État gouverné par l’OLP en Judée et en Samarie est une injustice historique d’une dimension colossale. Une minuscule démocratie est pressée de concéder la seule chose dont elle manque, la terre, à des régimes totalitaires en échange de la promesse de la seule chose qu’ils ne peuvent pas fournir, la paix. En faisant pression pour atteindre cet accord suicidaire, le monde libre trahit les principes sur lesquels il est basé. Les attitudes anti-Israël et antisionistes, lesquelles cachent fondamentalement un antisémitisme, constituent une ère où l’hypocrisie en politique internationale est la plus visible. La genèse d’un État totalitaire gouverné par l’OLP représenterait une capitulation devant la fausse rhétorique de l’Islam radical et une capitulation face à la terreur. L’État totalitaire gouverné par l’OLP deviendrait un havre de sécurité pour le terrorisme international, un nouveau refuge talibanesque, déterminé à détruire à la fois Israël et l’Occident. Ainsi les générations futures du monde libre paieront-elles de leur sang l’aveuglement moral de leurs pères. Nous appelons le gouvernement d’Israël à fournir un leadership moral dans un monde en lutte contre la terreur à :
– cesser de négocier avec les terroristes et à continuer les libérations en masse de meurtriers capturés,
– éliminer les capacités de soutien au terrorisme de l’autorité palestinienne,
– libérer les Arabes vivant en Judée, Samarie et à Gaza de la machine de propagande jihadiste, laquelle les a transformés en individus moralement dépravés adorant le meurtre et la terreur,
– promouvoir une alternative humaniste viable afin d’instaurer une paix équitable et sécurisante au lieu de créer un État gouverné par l’OLP.
Nous appelons toutes les nations libres à :
– s’unir dans le but d’enlever les régimes islamiques despotiques du pouvoir et en vue de rééduquer une génération entière d’enfants musulmans pour embrasser les traditions démocratiques de l’Islam normatif,
– reconnaître l’OLP/autorité palestinienne comme l’organisation terroriste qu’elle est,
– cesser de forcer Israël à négocier avec des terroristes,
– encourager Israël à établir une pleine souveraineté sur la terre d’Israël.
IV. Les principes universels pour mener la guerre contre la terreur
Pour faire la guerre contre la terreur de manière cohérente et confidentielle, nous soulignons les aspects suivants :
A. Politique
Nous devons réaffirmer notre foi en nos valeurs et les vertus de notre cause. La civilisation occidentale doit assumer la responsabilité de millions d’individus qui vivent toujours sous des régimes despotiques et doit faire tout son possible pour les libérer. Les régimes qui refusent de combattre activement le terrorisme seront considérés comme terroristes et risqueront de faire l’expérience d’un changement de régime. Tous les cercles d’influence – gouvernement, clergé, média et les forces armées – seront tenus pour responsables des actes de terreur commis avec leur soutien. Le terrorisme devrait être considéré comme un crime contre l’humanité, et pas comme un phénomène criminel qui peut être résolu par des négociations politiques, des bénéfices sociaux ou des améliorations économiques. Finalement, l’idéologie du Jihad doit être déclarée comme une forme de racisme et de génocide.
B. Militaire
Nous devons rejeter la doctrine de réponse symétrique. La guerre contre le terrorisme doit être totale, l’objectif visé étant une complète élimination. Les régimes qui soutiennent les opérations de terreur et autorisent les terroristes à se cacher parmi les civils seront tenus pour responsables des dommages collatéraux provenant de représailles militaires ou d’opérations de liquidation de terroristes. Les terroristes ne devraient pas être soumis à des procédures judiciaires ordinaires. Leur cas requiert une législation d’urgence et un procès devant une cour militaire spéciale.
C. Économique
Toutes les nations devraient rejoindre les États-Unis pour mettre un frein aux opérations de charité qui servent de façade au terrorisme. Puisque les profits provenant du pétrole moyen-oriental sont devenus le moyen de soutenir le terrorisme, nous devons chercher à établir un trust international sur les réserves régionales de pétrole et à utiliser les bénéfices dégagés pour le bien-être et l’illumination des autochtones. Ces bénéfices devront également être utilisés pour démanteler les soi-disant camps de réfugiés, qui sont actuellement les foyers du terrorisme, et réimplanter leurs habitants. Les ressources d’énergie alternative doivent être encouragées et développées par, et pour, les nations démocratiques en tant que priorité urgente et globale.
D. Média
Nous sommes horrifiés par les tentatives médiatiques d’établir une équivalence morale entre le sang d’innocents assassinés par des terroristes et les blessés parmi les civils utilisés par les terroristes comme bouclier de protection. Nous devons tracer une ligne claire entre les actions terroristes et les mesures de contre-terrorisme. Nous devons démanteler l’habile machine de propagande jihadiste. Cela inclut le refus de publicité à l’égard des terroristes, et leurs apologistes, et la prise de sévères sanctions à l’égard des médias qui persistent à rationaliser la terreur. Nous devons trouver le moyen de dire, aux hommes et femmes décents du monde islamique, la vérité au sujet de l’état réel de corruption et de tyrannie au sein des pays islamiques et sous le régime de l’autorité palestinienne en particulier, les encourageant à renverser leur dictature autoritaire.
E. Académie
Nous devons rejeter le relativisme moral et le confronter à l’antisionisme rampant observé sur les campus occidentaux. Nous devons soutenir activement ceux qui souffrent des persécutions exercées par les régimes radicaux, en organisant des tournées sur les campus et des cours aux étudiants sur les réels objectifs de l’islam radical et les conséquences d’un échec à y résister.
Conclusion
La ligne de front dans la guerre que nous sommes en train de mener reste le lieu de naissance de la civilisation judéo-chrétienne. Les enjeux sont élevés : si Israël et Jérusalem sont fortifiés, ils deviendront le centre offrant à l’humanité l’entrée dans une ère de paix et de prospérité. Mais, à l’inverse, l’échec occidental à les sauver pourrait bien sceller le destin de la civilisation.
Comme dans le passé où le monde libre luttait face au communisme et au fascisme, aujourd’hui un troisième défi doit être relevé : combattre l’islam radical. Nous avons régné, et nous devons régner maintenant. Unis autour de Jérusalem et armés de nos valeurs éternelles, nous ne pouvons pas échouer.
[1]Le nombre d’or est une proportion géométrique, également appelée proportion divine ou dorée, couramment utilisée en peinture et en architecture pour ses qualités esthétiques. Ce nombre irrationnel est l’unique solution positive de l’équation x2 = x + 1. Il vaut exactement (1+ √5)/2 soit approximativement 1,618 033 989. Le nombre d’or correspond à une proportion selon laquelle le rapport existant entre la plus grande partie d’un segment coupé en deux et la plus petite de ces parties est équivalent à celui existant entre le segment entier et la plus grande des parties. On le calcule de la façon suivante : soit le segment AB, coupé de manière que le rapport entre AC et CB soit le même que celui existant entre AB et AC.