Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr
Selon Kathleen Sebelius, Secrétaire au Département des Etats-Unis pour la santé et les ressources humaines, vos enfants doivent être les premiers concernés par la vaccination de masse contre la grippe porcine dès la rentrée cet automne.
Voilà une supposition ridicule pour plusieurs raisons, sans parler du risque extrêmement élevé.
En Australie, où l´hiver a commencé, Nicola Roxon, ministre fédéral de la santé tente de rassurer les parents en expliquant que la grippe porcine n´est pas plus dangereuse que la grippe saisonnière habituelle. « La plupart des personnes, notamment les enfants, constateront des symptômes très bénins et guériront sans intervention médicale,” a-t-elle affirmé.
Robert Booy, expert en immunisation, prédit que, dans les années à venir, la grippe porcine pourrait tuer deux fois plus d´enfants que la grippe habituelle. Robert Booy estime que 10 à 12 enfants pourraient mourir d´ infection au virus H1N1, contre cinq ou six en moyenne par an, dus à la grippe habituelle, en Australie.
« Guérir la maladie, tuer le patient »
Chaque année aux Etats-Unis, moins de 100 enfants meurent d´une infection au virus de la grippe saisonnière. En utilisant la méthode de projection australienne, on pourrait estimer très approximativement que 100 autres enfants pourraient potentiellement mourir de la grippe porcine l´année prochaine aux Etats-Unis.
Si Sibelius déclare que les enfants constituent le premier groupe concerné, cela signifie que pour empêcher 100 décès, on est sur le point d´administrer, à environ 75 millions d´enfants, un vaccin ayant fait l´objet d´une procédure d´approbation accéléré et contenant de nouveaux adjuvants, y compris le dangereux scalène.
Je ne néglige pas le fait tragique que constitue la mort, même d´un seul enfant, causée par une maladie comme la grippe porcine due au virus H1N1. Mais il n´existe aucun argument pouvant convaincre de l´imprudence, du caractère dangereux de la campagne inutile de vaccination de masse organisée à l´intention des enfants auxquels on injecte un vaccin contenant un adjuvant dont on sait qu´il cause des tas de maladies auto-immunes.
Pourquoi les vaccinations sont-elles dangereuses ?
L´intention présumée d´une vaccination est de renforcer les capacités du système immunitaire afin qu´il puisse faire face aux microorganismes nuisibles qui peuvent provoquer des maladies et des infections. Toutefois, le système immunitaire de notre organisme est déjà conçu pour accomplir naturellement cette tâche en réaction aux microbes qui envahissent notre corps.
La plupart des microbes à l´origine des maladies qui pénètrent dans le corps à travers les membranes muqueuses du nez, de la bouche, du système pulmonaire ou du tube digestif, et non grâce à une injection.
Ces membranes muqueuses disposent de leur propre système immunitaire, appelé système immunitaire IgA. Il s´agit d´un système différent de celui qui est activé après l´injection d´un vaccin dans l´organisme.
Les IgA constituent la première ligne de défense de l´organisme. Leurs taches consistent à combattre les microbes envahisseurs dès leur point d´entrée dans l´organisme, à réduire ou même à éliminer le besoin d´activer le système immunitaire du corps.
Lorsque le virus est injecté dans l´organisme sous la forme d´un vaccin, et surtout lorsqu´il est combiné avec un adjuvant immunitaire comme le scalène, il contourne votre les IgA et le système immunitaire de l´organisme se met rapidement en branle pour éliminer le vaccin.
L´injection de micro-organismes dans le corps afin de provoquer une réaction immunitaire, est contraire à la nature et la vaccination comporte un risque énorme de nuire gravement à la santé.
Et si les vaccins n´étaient pas, en soi, si dangereux …
…imaginez qu´ils soient équipés d´un turbo.
La principale composante d´un vaccin est, soit un virus mort, soit un virus vivant qui a été atténué (affaibli et rendu inoffensif).
Le vaccin contre la grippe peut également contenir un certain nombre de toxines chimiques, notamment l´ éthylène glycol (substance contre la congélation), le formaldéhyde, le phénol (acide phénique) et même des antibiotiques comme le Néomycine et le streptomycine.
En plus des virus et d´autres additifs, la plupart des vaccins contiennent également un adjuvant tel que l´aluminium et le scalène.
Le but d´un adjuvant ajouté à un vaccin est de renforcer votre réponse immunitaire face au vaccin. Les adjuvants poussent le système immunitaire de l´organisme à réagir de façon excessive à l´introduction du germe de la maladie contre laquelle vous vous protégez.
Les adjuvants sont censés accélérer le processus d´immunisation (mais certainement pas avec plus de sécurité), ce qui réduit la quantité de vaccin requis par dose et le nombre de doses par individus.
Une moindre quantité de vaccin par personne, signifie plus de doses individuelles disponibles pour les campagnes de vaccination de masse. Par coïncidence, voilà exactement le but recherché par le gouvernement et les groupes pharmaceutiques qui ont des chances de récolter des millions de dollars de bénéfice grâce au vaccin qu´elles produisent.
Les vaccins contre la grippe porcine comporteront-t-ils des adjuvants immunitaires ?
Le gouvernement des Etats-Unis a signé des contrats avec plusieurs groupes pharmaceutiques afin de mettre au point et de produire des vaccins contre la grippe porcine. Au moins deux de ces sociétés, Novartis et GlaxoSmithKline, ajoute un adjuvant dans leur vaccin contre le virus H1N1.
L´adjuvant? Le scalène:
Selon Meryl Nass, M.D., spécialiste du vaccin contre le charbon,
« une particularité nouvelle des deux vaccins H1N1, actuellement mis au point par Novartis et GlaxoSmithKline, porte sur l´addition des adjuvants contenant du scalène dont le but est de renforcer l´immunogénicité et de réduire de façon considérable la quantité d´antigène viral nécessaire. Cette addition permet de produire beaucoup plus rapidement les quantités de vaccins que l´on désire. »
L´adjuvant utilisé par Novartis dans son vaccin H1N1 est le MF59. Celui de Glaxo est le ASO3. L´adjuvant MF59 n´est pas encore approuvé par le FDA(Federal Drug Administration. En France l’Afssaps et de la Direction Générale de la Santé) pour entrer dans la composition d´un vaccin produit aux Etats-Unis, malgré le fait que son utilisation est autorisée dans d´autre pays.
Selon le Dr Nass, il n´existe que trois vaccins pour lesquels l´utilisation du scalène est autorisée. L´utilisation de ceux-ci n´est pas autorisée aux Etats-Unis.
Quel est l´effet du scalène sur les rats ?
Il a été démontré que les adjuvants des vaccins faits à base d´huile, comme le scalène, provoque des réactions immunitaires concentrées permanentes sur de longues périodes.
Les résultats d´une étude publiée en 2000 dans l´ American Journal of Pathology ont montré qu´une seule injection de l´adjuvant scalène chez les rats provoquait « une inflammation spécifique et chronique des articulations » également connue sous le nom de polyarthrite rhumatoïde.
Les chercheurs ont conclu que cette étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques.
Quel est l´effet du scalène sur les hommes ?
Le système immunitaire reconnaît le scalène comme étant une molécule d´huile produite par notre propre corps. Elle se trouve partout dans le système nerveux et dans le cerveau. En réalité, il est possible de consommer du scalène dans de l´huile d´olive. Dans ce cas, non seulement notre système immunitaire va le reconnaître, mais aussi nous en tirerons profit de ses propriétés antioxydantes
La différence entre le « bon » et le « mauvais » scalène consiste dans la manière dont il est introduit dans l´organisme. L´injection est une voie d´entrée anormale qui incite le système immunitaire à s´attaquer à tous les scalènes présents dans l´organisme, et non pas seulement l´adjuvant du vaccin.
C´est ainsi que le système immunitaire de notre organisme tentera de détruire cette molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle s´est introduite naturellement et où elle est indispensable pour le système nerveux.
Les vétérans de la guerre du Golfe, qui souffrent du syndrome de la Guerre du Golfe (GWS), ont reçu des contre des vaccins contre le charbon qui contenaient du scalène. Le MF59, adjuvant scalène utilisé par Novartis, était une composante non autorisée du vaccin expérimental contre le charbon. Depuis, il a été associé aux maladies meurtrières dont souffrent d´innombrables soldats ayant participé à la guerre du Golfe.
Le Département de la défense a fait toutes les tentatives pour nier le fait que le scalène était en effet une composante du vaccin contre le charbon administré au personnel militaire, déployé ou non, ayant pris part à la guerre du Golfe, ainsi qu´aux participants du récent Anthrax Vaccine Immunization Program (AVIP, programme d´immunisation contre le charbon).
Toutefois, la Federal Drug Administration a découvert la présence du scalène dans certains lots du produit AVIP. Un test a été mis au point en vue de détecter la présence des anticorps anti-scalènes chez le patient du GWS. Il a montré qu´il existe un lien entre le produit contaminé et tous les malades du GWS qui ont reçu des doses du vaccin contenant du scalène.
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D, ancien « principle research scientist » auprès du gouvernement en Australie :
“… cet adjuvant (le scalène) a été à l´origine d´une cascade de réactions appelées « Syndrome de la Guerre du Golfe » observées chez les soldats impliqués dans la Guerre du Golfe.
Parmi les symptômes qu´ils ont développés, l´on peut retenir l´arthrite,la fibromyalgie, la lymphadenopathie, les éruptions cutanées, les éruptions photosensibles, les éruptions malaires en ailes de papillon, la fatigue chronique, les maux de tête chroniques, perte anormale de poils, les lésions cutanées incurables les ulcères aphteuses, les vertiges, l´asthénie, la perte de mémoire, les troubles neurologiques de la marche, les changements d´humeur, les problèmes neuropsychiatriques, les effets des anti-thyroïdiens, l´anémie, une vitesse de sédimentation globulaire (ESR) élevée, le lupus érythémateux systémique, la sclérose multiple, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjorgren, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes et les températures subfébriles. »
Il n´existe peut-être pas de suivi post-vaccinal
Aucune science ne peut pratiquement garantir, à long terme, la sécurité des injections de vaccins pour votre santé ou celle de vos enfants. Les études de suivi durent en moyenne environ deux semaines; elles recherchent seulement les cas de blessure flagrants et de maladies.
En raison du caractère vague des premiers symptômes, il faut attendre plusieurs années pour diagnostiquer les troubles auto-immunes, comme ceux rencontrés dans le cas du syndrome de la Guerre du Golfe. Les plaintes telles que les maux de tête, la fatigue et les douleurs et malaises chroniques sont des symptômes de plusieurs autres maladies.
Si vous attendez que les fournisseurs et les partisans du nouveau vaccin examinent sérieusement les conséquences à long terme sur la santé de leurs campagnes de vaccination, vous perdez votre temps.
Que pouvez-vous faire pour vous protéger, vous-même et votre famille?
Consultez le site du National Vaccination Information Center (NVIC) et rejoignez-nous dans la lutte contre l´organisation des campagnes de vaccinations obligatoires.
Informez-vous sur les souches du virus de la grippe, les risques liées aux vaccins, et sur la législation en matière de santé publique dans votre pays qui pourrait vous imposer une vaccination obligatoire ou une mise en quarantaine.
Prenez soin de votre santé afin de réduire ou d´éliminer les risques de contracter la grippe.
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