Salut tous,
En cette fin d’année j’aimerais apporter ma petite contribution personnelle. Rien d’extraordinaire, juste faire partager un extrait d’interview que je trouve intéressant et dans lequel on peut tous se reconnaître. Je tais le nom de l’artiste car il n’est pas associé à la lutte. J’ai choisi ce texte parce que je crois vraiment qu’il nous met tous d’accord là où les uns sont de fervents croyants, d’autres non, certains doutent encore, tandis que beaucoup sont laissés en bordure de route, sans aucunes valeurs traditionnelles sur lesquelles s’appuyer. Voilà, s’il devait y avoir une seule valeur que chacun peut comprendre d’où qu’il vienne, qui nous rassemble, et envers laquelle le combat à du sens, ce pourrait être celle-là, la virginité du cœur. A bon entendeur, à vous tous y compris ceux envers lesquels les échanges ont été, comment dire… tendus.
"J’aime qu’une chanson ait du relief, du fond, de la forme. La contestation, c’est de l’amour, de la tendresse, de la sensibilité qui n’a pas su s’armer contre la connerie ambiante, rien d’autre. C’est l’aspect le plus brut et le plus pur de l’être humain. C’est la virginité du cœur. Elle n’a jamais été autant indispensable qu’aujourd’hui, en ces temps de régression générale, ou l’on voudrait nous botter le cul chacun dans notre camp, dans notre communauté, pour mieux choisir son roi ou son dieu. Diviser pour mieux régner, c’est vieux comme le monde !
Je continuerais d’écrire des chansons humanistes avec ma plume libertaire tant que je pourrais penser, loin des clans, des partis et autres cages. La chanson c’est la solitude. C’est se foutre à poil tout seul sur une feuille blanche et suer sang et eau pour la noircir. C’est la magie de chanter en public, de balancer sa solitude à la gueule des gens, en les amenant à côtoyer la leur, à l’apprivoiser, à la rendre féconde. Quand chacun de nous aura rencontré sa solitude respective, peut-être alors qu’un projet commun sera possible. Pour l’instant, on en est loin"
En cette fin d’année j’aimerais apporter ma petite contribution personnelle. Rien d’extraordinaire, juste faire partager un extrait d’interview que je trouve intéressant et dans lequel on peut tous se reconnaître. Je tais le nom de l’artiste car il n’est pas associé à la lutte. J’ai choisi ce texte parce que je crois vraiment qu’il nous met tous d’accord là où les uns sont de fervents croyants, d’autres non, certains doutent encore, tandis que beaucoup sont laissés en bordure de route, sans aucunes valeurs traditionnelles sur lesquelles s’appuyer. Voilà, s’il devait y avoir une seule valeur que chacun peut comprendre d’où qu’il vienne, qui nous rassemble, et envers laquelle le combat à du sens, ce pourrait être celle-là, la virginité du cœur. A bon entendeur, à vous tous y compris ceux envers lesquels les échanges ont été, comment dire… tendus.
"J’aime qu’une chanson ait du relief, du fond, de la forme. La contestation, c’est de l’amour, de la tendresse, de la sensibilité qui n’a pas su s’armer contre la connerie ambiante, rien d’autre. C’est l’aspect le plus brut et le plus pur de l’être humain. C’est la virginité du cœur. Elle n’a jamais été autant indispensable qu’aujourd’hui, en ces temps de régression générale, ou l’on voudrait nous botter le cul chacun dans notre camp, dans notre communauté, pour mieux choisir son roi ou son dieu. Diviser pour mieux régner, c’est vieux comme le monde !
Je continuerais d’écrire des chansons humanistes avec ma plume libertaire tant que je pourrais penser, loin des clans, des partis et autres cages. La chanson c’est la solitude. C’est se foutre à poil tout seul sur une feuille blanche et suer sang et eau pour la noircir. C’est la magie de chanter en public, de balancer sa solitude à la gueule des gens, en les amenant à côtoyer la leur, à l’apprivoiser, à la rendre féconde. Quand chacun de nous aura rencontré sa solitude respective, peut-être alors qu’un projet commun sera possible. Pour l’instant, on en est loin"