Bob Marley, ou un évangile sioniste démasqué.
« Holly Mont Zion », « Exodus », « Jah», « I and I », « the lion of Judah », « Zion train »… autant d’expressions dans les chansons de Bob Marley qui n’ont jamais suscité chez l’auditeur de base des réflexions particulières… On se dit que Bob Marley est un mystique, que ses visions n’ont qu’un sens abstrait, que c’est un artiste drogué auquel il ne faudrait pas daigner consacrer une étude plus approfondie et surtout s’imaginer pouvoir trouver un sens caché dans ses textes… Pas si sûr…
Imaginons 5 minutes que tout l’enrobage, c'est-à-dire, les dread-locks, la défense du tiers monde et de la cause des noirs, la consommation de marijuana…ne soient qu’un écran de fumée, que ce sacré Bob, relayé par la maison de disque Island Records et une certaine presse mondiale ne soit qu’une mystification de plus organisée avec maestro ? Et si Bob Marley donnait l’image d’un type inoffensif et pacifiste, mais en réalité profondément, intensément, exclusivement sioniste de cœur et d’esprit ; une entité créée de toute pièces pour mieux dissimuler un second degré de lecture dans ses chansons et ainsi faire passer discrètement littéralement les messages suivants : « nous, peuple élu, nous sommes à la racine « roots » de la société humaine, restons unis tout en divisant et conquérant les nations chrétiennes, exploitons et avilissons en prônant l’usage d’une drogue qui soi-disant ouvre la porte vers une élévation de la conscience, tout en les vidant de leur âme et substance, les enfermant dans des illusions inextricables… ? »
Délire antisémite ? Bien sûr mon exposé dévie de la louange Wikipedia-sioniste, je cite : « Miroir de l'esprit rebelle des peuples opprimés, héros, exemple et modèle à la fois, Bob Marley est considéré par plusieurs générations déjà comme le porte-parole défunt mais privilégié des défavorisés »…Toutefois, une phrase, au passage, presque anodine pourrait susciter l’embryon d’un doute «Bob Marley se rapproche de l'organisation rasta des Douze Tribus d'Israël »… C’est quoi les douze tribus d’Israël ? Réponse : l’ensemble du peuple juif. Il n’y en a pas de treizième que je sache !Citons le témoignage d’un petit fils de parlementaire français, un des derniers résistants à la progression de l’empire dans nos hémicycles, quand il parle de Bob marley : « Ces tubes sont dans toutes les oreilles des jeunes israéliens portant dread locks, qui font leur voyage en Inde avant d’aller faire le chien de garde rasé pendant de longes années. A leur deuxième voyage les dreads repoussent, mais les hommes ont changé… Bob, soigné par l’empire britannique et les descendants de Mengele… Mort prématurément, et sans uniquement fumer la drogue de Mister Soros… L’empir « canonise » souvent ses icônes… « Diviser dans les rassemblement ». je prends le risque de finir à Gun Court. Tirez les premiers messieurs les anglais !!! ». Consultable sur http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/le-reggae-les-rastas-le-judaisme-60426#forum2205583.
J’aurais moi aussi quelque part préféré conserver le doux rêve d’un chanteur altruiste et zen, tout comme ma vision infantile d’hommes étant nés libres et égaux en droits... où certain ne veulent pas spécialement nuire ni exploiter les autres. Mais voilà, à mesure que le temps passe, que l’on constate que ce sont toujours les mêmes qui jouissent pendant que d’autres triment, on réfléchit, on évite la télé et consorts pro-sionistes, on s’informe vraiment, et le résultat est que le « One love, One heart » au sens de Marley, ne s’adresse qu’aux juifs, qu’on se le dise... « One heart », c’est un seul cœur qui résonne à l’unisson chez les sionistes, un immense amour des sionistes pour eux même, exclusivement pour eux-mêmes… Tout ça sous couverture de défendre les noirs. La machine infernale est en place, la mystification complète… Eh trois, et quatre… Le charmeur de serpent joue du pipo, tout le monde le suit dans une légère et insouciante transe…
Sans doute comme moi, avez-vous été charmé par le rock steady entraînant de la « Roots music », ce mix inédit du drum-kick et de la basse, tout en croyant à la mythologie du petit Bob, chanteur « self-made » du ghetto de Trenchtown en Jamaïque, plaidant pour la paix universelle, et défendant la cause des noirs et du tiers monde. Désolé, il n’en est rien. Bob Marley auquel je reconnais des qualités d’interprète indiscutables, constitue néanmoins un instrument de propagande ultra-sioniste où une certaine jeunesse juive a puisé et puise encore un véritable petit manuel de vie et applique bêtement à l’heure actuelle les préceptes du chanteur, sans broncher sur le côté profondément Talmudique et immonde de ce versant du judaïsme athée et conquérant. Bien sûr, il n’y a pas que dans la jeunesse israélienne que Bob Marley a fait des petits… Sans doute, en avez-vous connu, (pas forcément arborant dread locks), qui vous incite à fumer des pets… Ils sont la forme moderne des disciples de Marley, hantent les cours de récrés, les soirées entre « amis », toujours laminant du chrétien, toujours divisant, toujours régnant… Mais gare à la « parano » quand on fume de l’herbe… Tout n’est que dans notre tête ? Ou cette impression reflète -t-elle une vérité qui nous échappe, un lien invisible entre certaines personnes… Connait-on vraiment celui qui nous passe le joint roulé « kasher »? Avale-t-il la fumée sans l’inhaler tandis que nous, pauvre bille la faisons bien passer dans tes poumons, le THC dans le sang, et hop un milliard de neurones à la trappe... Telle est la véritable question... Telle est la véritable arme de destruction massive apparue dans les années 70, inoculée aux Beatles par Bob Dylan alias Mr Zimmerman de son vrai nom, telle est la version française contemporaine des vodkas « Ouzbèkes » utilisées en Russie aux XIXème et XXème pour anéantir le paysan… Demandez à Soljenitsyne qui donc distillait la Vodka dans les campagnes Russes, vous savez, cette tradition de jeter le verre en arrière, ce qui dispense de boire le poison qu’il y a dedans…du moins sauf quand on est le chrétien de service, de plus en plus décérébré, verre après verre là-bas, cône après cône ici… Après une telle vie, et ayant conservé leur « baby life », ils n’ont plus qu’à devenir chroniqueur à canal + à la Bruno Gacio, ou autre position, le sentiment du devoir juif accompli, alors que toi pauvre pomme reste embué dans tes rêves avant que la vie te donne le sentiment résigné d’être si dure pour toi « you think you’re in heaven but you’re living in hell, time alone,… oh, time will tell », chante Marley.
Pour vraiment percer le véritable sens des textes, cela implique quelques acrobaties intellectuelles, heurtant la logique instinctive d’un esprit formé dans la droiture universelle chrétienne, musulmane ou païenne, où « je » désigne le sujet, et « il » désigne une tierce personne. Dans l’œuvre de Marley, « nous » peut tantôt désigner « nous, les juifs » ou « nous, les chrétiens », c’est là toute la feinte...
Le « I and I », la « I-ration » (prononcé “aïe n aïe”, “aïe-réchione”)
Les rastas, à l’instar de Marley, utilisent « I and I » à la place de « I » pour se désigner. Cela ne relève pas d’un folklore ou d’un raffinement quelconque, encore moins d’une conscience supérieure de « l’Etre en tant qu’Etre »… « I AND I » se traduit par « ma façade ET le juif en moi ». L’identité de façade est donc factice, elle n’est qu’une invention qu’il faut faire au quotidien pour mieux dissimuler son unique raison d’être et seule véritable condition qui est d’être juif sioniste. Marley désigne par « I-ration » cette action de se créer aux yeux des chrétiens une identité passe partout et réaliste pour évoluer au milieu d’eux… Pour faire l’analogie avec le film « Matrix », la I-ration permet de passer inaperçu au quotidien dans la matrice concoctée pour les chrétiens et autres dévots de Jésus.
On retrouve ceci clairement explicité dans différentes chansons :
« Roots » (album Rebel Music 2001). A 2 min 20s : « Nothing they can do to separate (z)I(on) and I, from the love of our fathers ». (Remarquez comme il mange ses mots pour que « zion » soit à peine perceptible.) « Got to survive in this man maniac downpression, got to survive in I-ration. » ou comment la création d’une identité factice permet de vivre au sein de la “pression vers le bas” exercée sur les chrétiens. « Many are called, a few are chosen » référence biblique détournée pour rappeler l’élection d’un peuple, les juifs.
Comment introduit il ses live ? «Jah live children, ever fearful ! Ever sure ! », qui, pris au sens littéral veut dire « toujours apeuré, toujours sûr » ce qui n’a pas de sens. Sauf si l’on sait que cela fait écho au « I and I ». les « fearful » sont les chrétiens, les « sures » sont les juifs. Qui dans la foule, penserait à ça, à part les initiés juifs présents ?
Quand il chante « I and I » ou parfois « I n’ » (cf. « Rebel Music (3 O’Clock roadblock ) (album « Babylon By Bus » (1978) « and I’n say, ain’t got no birth certificate on me now », il parle de lui en tant que façade mais aussi en tant que juif. (exemple « I n I are the roots » « Roots » (album Rebel Music 2001). Quand Marley chante « I » =« je », il ne parle pas forcément de lui. Soit il parle de la position des juifs par rapport à un sujet, une attitude, une direction à suivre soit il parle des chrétiens (de ce qu’ils subissent, de ce qu’il faut leur faire subir). L’attribution du « nous» aux chrétiens ou aux juif est à trouver en fonction du contexte, parfois dans la manière de faire résonner la note chantée sur deux harmoniques (diphonie) qui fait écho au « I and I », qui désigne donc la partie double juive du propos. Il faut remarquer qu’une œuvre aussi prosélyte possédant deux niveaux de lecture, laisse présager de l’aisance des juifs à comprendre particulièrement ce genre de langage à demi voilé, nécessitant une initiation dans l’alcôve de la transmission maternelle. Cela donne le vertige si, comme moi, ou Louis Ferdinand Céline avez pu évoluer en sous marin dans des milieux exclusivement juifs (Cf. « Bagatelles pour un massacre » où il dit voir défiler les « Ras Tafari »ed. Denoël p.65), vous avez remarqué qu’il s’agit là d’un véritable mode de communication. Quoi qu’il en soit l’œuvre retentit de A à Z de cette sempiternelle distinction nécessaire à toute peuplade ne se définissant que par rapport à un ennemi faute de substance propre, travers intrinsèque aux juifs sionistes : « eux » et « nous » (cf . « We and Dem » (Uprising – 1980)). Pas convaincu ? Cette lecture entre les lignes s’éclairera sans doute à la lumière de ce petit glossaire que je vais étayer d’exemples tirés des chansons, cela requiert un niveau d’anglais minimum:
« 3’O Clock Roadblock », « curfew »
C’est le titre d’une chanson intitulée plus précisément « Rebel Music (3 O’Clock roadblock ) (album Natty Dread 1974) ou en live sur « Babylon By Bus » (1978). Que nous dit cette chanson ? « 3’O Clock Roadblock » doit être conceptualisé de façon visuelle. A 3 heures l’aiguille des heures est horizontale. Qu’est ce qu’un « Roadblock », c’est une intersection ou un carrefour (stipulé par un signe en forme de X au Etats Unis et d’autres pays). Prolongez la petite aiguille des heures avec un signe croix, vous obtenez… Un crucifix renversé, symbole de l’attitude sioniste envers les chrétiens, renverser les nations chrétiennes. Cette thématique du « curfew » se retrouve dans de nombreuses chansons : « Burning and Looting » album Burnin’ (1973). Cette chanson commence ainsi : « This morning I woke up in a curfew…oh Lord I was a prisoner too » (Ce matin je me suis réveillé dans la condition de chrétien(sous un couvre-freu), mon Dieu, j’étais aussi un prisonier) Encore pas convaincu ? Revenons en arrière sur les paroles précédent le « 3 O’Clock Road Block » : « Why can’t we roam this open country ? Oh why can’t we be what we want to be ? » Dans ce vers “we” désigne les chrétiens, traduction: “Pourquoi ne pouvons nous pas évoluer dans ce pays ouverts (à la conquête sioniste), pourquoi nous ne pouvons pas devenir ce à quoi nous aspirons ».
La chanson se poursuit ainsi : « take my soul (oh oh oh oh) and suss me out » que l’on peut traduire par « prends mon âme et vampirise moi », bien sûr le moi concerne les chrétiens. Remarquez les chœurs chantés sur une note aigüe. La phrase suivante « take my life oh oh oh oh oh, if i’m in doubt ». Le « take » est ambigu, il fait croire qu’il dit check , pour atténuer le fait qu’il exhorte ni plus ni moins à tuer toute personne qui aurait un doute sur l’ensemble de la supercherie juive (et qui ne déciderait pas de devenir une fiote de franc maçon au passage). Remarquez à ce propos comme les chœurs deviennent graves et solennels. On parle bien de meurtre ! (empoisonnement, accident, je renvoie à « L’ histoire secrète du Mossad » pour de plus amples informations sur les techniques employables...)
L’introduction à la chanson « Rebel Music (3 O’Clock roadblock ) (album « Babylon By Bus » (1978) est aussi édifiante: “you gonna get caught in a roadblock and tell the mister Policeman that you ain’t got no birth certificate right here”. En gros si un juif se fait coincer par un flic (qui sont goys, les juifs sont plus haut placé cf. « I shot the sheriff but I did not shoot the deputee », il doit cacher à tout prix qu’il est juif « ain’t got no birth certificate »…Encore une fois, écouter avec attention le ton avec lequel il dit ces paroles…
« Zion »
Audible dans « Iron Lion Zion » (album Natural Mystic 1995), où il exhorte les juifs « on the run » « I had to run like a fugitive » (référence à l’exode d’Egypte), où les chrétiens «you see they want to be a star », donc ils se font la guerre entre eux « so they’re fighting tribal wars » on peut y voir une référence à la première guerre mondiale ou simplement à la division des chrétiens au quotidien… tandis que le juif sera « Iron » de fer comme un « Lion » dans le sionisme « in zion »…CQFD.
« Zion train » (album Uprising 1980). Que dire ? Tout est dans le texte: “Zion train is coming our way”. « Oh people, get on board ! ». Il semble que les wagons soient réservés au « peuple », pas de place pour les chrétiens… Faut-il y voir que le triomphe sioniste sur la planète sera bientôt total à epsilon près (epsilon s’appelant Poutine, Chavez, Armadinedjad)
« Jamming » (Exodus 1977) “we all defend the right jah jah children must unite” “Holy Mont zion” “Jah seated in mont Zion and rules all creation”…We’re jamming= we’re jah Men…”InI will see you through”… Je te connais de part en part…
A noter aussi que Candella Marley Booker, la mère de Bob Marley a sorti un album intitulé « Awake Zion » (réveiller Sion…)
« Babylon »
« Babylon » désigne la diversité des nations originelles (mythe de la tour de Babel et de l’incompréhension, l’incapacité de construire ensemble et la division entre les différents peuples) par opposition à l’union universelle sioniste de « Mont Zion ». « Babylon civilisation » représente tout ce qui n’est pas organisé par « Zion ».
Dans « Rastaman Chant » (album Burnin’ 1973), Marley chante « Babylon your thrown gone down » que l’on peut traduire par « le règne des nations éparses est terminé »…Un seul peuple occupe désormais le trône…“Jah seateth in mont Zion and rules all creation » dans Jammin’ (Exodus 1977) (Jah= Javéh s’assit sur le sionisme pour piloter toute la création). « Rastaman Chant » (album Burnin’ 1973), se finit par « Fly away home to Zion, fly away home, one bright morning when my work is over I will fly away home ». Bob Marley compte-t-il s’installer en Israël une fois la bonne parole délivrée? De là à s’imaginer que sa mort serait une mise en scène…On sait jamais. On n’est plus à une mystification près… Et puis un cancer si jeune quand on ne fume pas et mange végétalien, ça me parait suspect…mais c’est du domaine de la polémique, enfin sait-on jamais, si vous croisez un rasta en Israël… « Chant down Babylon » (confrontation 1983). C’est assez explicite comme titre…
« herb »
La première latte que j’ai tiré dans ma vie m’a rendu hilare pendant une bonne heure. Puis de cultures en abus, l’effet s’est progressivement mû en un avachissement et une décérébration générale savamment encouragée par le rasta du coin, qui m’a donné un beau spécimen sioniste à étudier in situ, ce qui me permet d’écrire cet article.
« Ah yes, I’ve got to throw away, my little herb stalk » (Roots , album Rebel Music 2001). Remarquer la diphonie sur away qui marque que le away s’adresse au “I and I”, donc qu’il est préconisé pour les juifs de répandre leur petite tête d’herbe. Peut-on croire 5 minutes au sens littéral qui serait « attention d’enlever la tige (stalk) de bois au milieu de ta tête d’herbe quand tu roules un splif »…J’en doute. Il s’agit de faire fumer un max au goy pour le tasser…
« Get up and turn “ I” loose cause the rain is falling ». Rain=water=baptême=chrétien qui chute. « turn « I » loose » et non « turn me » or « turn myself » qui seraient gramaticalement corrects: fais fumer « I », le goy.
« Fire »
« Fire », « wood », « burning » cette thématique concerne la « combustion » du goy au travail, dans la vie en générale, où il n’est que là pour servir. « catch a fire, slave driver » sorte d’exhortation à se servir du goy.
“Ride Natty ride” (survival 1979) “We’ve got something that they can never take away…it’s the fire, that’s burning down everyday…Feel the FIRE! Only the birds have their wings…” le feu représente les chrétiens privés de leur vie en bas de la pyramide à trimer laborieusement, les juifs sont des oiseaux qui survolent tout ça “only the birds have their wings”…
“everywhere the fire is burning, destroying and melting their goals, destroying and wasting their souls”… le feu détruit nos buts, gâche nos âmes… A bon entendeur…
“The stone that the builder refuse shall always be the head cornerstone…” la pierre refusée par the builder (le créteur) sera la base de la tête. Le goy est soi-disant refusé par Dieu et sert de base (cornerstone) à celui qui est élu de dieu et occupe la tête…
“Slave driver” ( Catch a fire 1973): « catch your fire, so you can get burn ». Utilise un goy, deviens un « slave driver »… “the table is turn” réference à la période d’esclavage en Egypte des juifs avant l’exode, la situation a changé diamétralement (« the table is turn »).
« Burning and Looting » album Burnin’ (1973) : cette chanson est un véritable cri de guerre, un hymne fédérateur que j’ai entendu reprendre en choeur par tout un bar dans un fief juif, j’en ai encore des frissons. Il s’agit de laminer du goy en soirée. Le goy est relégué à l’état de « pollution » encastré dans ses illusions inextricables « burnin’on pollution tonight »... « burnin’on illusion tonight ».
« Roots», album Rebel Music (2001) « some are leave some are branches, I and I are the roots, some are dry wood for the fire », Le juif est à la racine, le goy n’est que du bois sec pour le feu.
“Stir it up”, (catch a fire 1973) “I’ll push the wood” j’ écarterai les goys.
« Jammin’ » (Exodus 1977) « no wood can stop us now… », les autres (le bois) ne peuvent plus nous arrêter maintenant. Ça fout les miquettes un peu… Et ça date de 1977…
“water”:
L’eau est une autre manière de designer les chrétiens par l’image du baptême par rapport à la filiation juive par le sang (cf. Roots , album Rebel Music 2001 « you see blood is thicker than water » Tu vois, le sang est plus épais que l’eau, les liens du sang sont plus fort qu’un simple baptême) Ainsi les nations chrétiennes sont des rivières (cf. Burnin’and lootin’ « How many rivers do we have to cross, before we can talk to the boss ? » Combien de nations à contrôler chrétiennes avant que le peuple élu soit redevable à Dieu pour avoir accompli sa prophétie de domination totale du monde (Ezechiel, Talmud…)?)
“Ride Natty ride” (survival 1979) “No water could put out this fire”, les chrétiens ne mettront jamais fin à leur propre esclavage…
Kaya (Kaya 1978) “Ifeel so high… above the falling rain…For the rain is Falling » je suis high, au dessus des Chrétiens qui tombent tels des gouttes de pluie.
“Rat race“ (Rastaman vibration 1976) Cette chanson joue sur l’ambivalence du mot “race” entendu comme une « course de rat » mais surtout une « race de rats ». « In the abundance of water, the fool is thirsty” consommation du goy version aquatique et non plus par la combustion par le feu.
Autre exemple où il reprend en live « Rebel Music (3 O’Clock roadblock ) (album « Babylon By Bus » (1978).où à la place de dire « 3 O’clock road block » dont on a vu la signification plus haut, il précise « 3 O’clock in the rain, road block »…
Les déformations de mots (ajout de J comme « Jude ») :
Bad Card- Uprising 1980: bad card est prononcé Bad cJard, qui donne tout son sens à la chanson.
Rat race“ (Rastaman vibration 1976) “When the cjats away, the mice will play”
Them belly full (natty Dread 1974) “a pot a cook, but the jud know nof” déformé en “a Jot a joot, but the food no nof” le juif sait qu’il ne faut pas cuire les aliments. Préservation des propriétés, le manger “I-tal”. Le goy est bon a avoir le ventre gavé de merde (the belly full). Regardez autour de vous…Les Zemmour, Kouchner, Reichman, Dechavannes, BHL, Nagui, E. Levy, D. Pujadas, sont quand même bien conservés les mecs…bien sec comme il faut.
Je laisse à votre perspicacité découvrir d’autres sens mais soyez sûr que « there’s a natural mystic, blowing through the air », comme un parfum de mystère flottant dans l’air… (Natural Mystic –Exodus 1977)
Bien sûr si une majorité des chansons ne sont exclusivement que des parfaits petits manuels de vie à l’attention de l’apprenti sioniste qui souhaite, pour reprendre l’ aveu de Simone Veil-Jacob «ce petit peuple de déracinés qui a déraciné toute l’humanité », pour apporter sa petite pierre à la concrétisation de la domination juive totale du globe et de l’avachissement proportionnel des autres races (l’album Uprising 1980 est un bon exemple où chaque chanson porte un sens caché ), mais il subsiste quelques chansons qui font diversion, sans avoir une signification double, ou alors elle m’a échappée. Le pire est que la jeunesse juive doit plus ou moins appliquer ces préceptes avec plus ou moins de dilettante selon les individus, tout en ce disant que c’est là l’ordre naturel des choses, que ce n’est pas si grave.
Remarque sur la tentative d’assassinat dont il fut victime :
il serait quand même bizarre qu’un militant d’extrême droite lui tire 6 balles dans la carcasse juste parce que Marley défendait la cause des noirs… Je ne justifie pas cet act mais il est clair dans mon esprit que les instigateurs de cette tentative d’assassinat avaient su lire entre les lignes de la manière qui est exposée ici. Après tout Marley invite au meurtre de son côté : « take my life if i’m in doubt »( « Rebel Music (3 O’Clock roadblock ) (album Natty Dread 1974)), c’est bien là l’impasse sioniste, tenter de justifier ce qui ne l’est pas, ce qui mène tant de fois au grotesque, Dieudonné sait ce qu’il en coûte de dire la simple vérité ici bas.
Bien-sûr comme tout article divulguant des informations sur la manière immonde d’agir des sionistes, il s’expose à la rhétorique classique du style « c’est grotesque… ». Cependant, quiconque prendra le temps de vérifier les exemples cités, pourra juger de lui-même et arriver à la même conclusion claire et indiscutable que Bob Marley constitue en soi une arme de destruction massive et en tirer les conclusions au quotidien qui s’imposent.
Comment les sionistes se sont permis un tel risque ? Je me le demanderai toujours, il n’empêche que « la matrice Bob Marley », pour moi et j’espère pour vous bientôt, est officiellement décodée, apportant une mine d’information sur la manière d’agir ou de penser de ces loups qui partagent notre vie de tous les jours, que le roi Charles VI avait chassé du pays par décret en 1394 et exempté la France pour environ 400 ans, jusqu’à la recolonisation progressive jusqu’à la révolution et l’instauration progressive de la république judéo-maçonnique dans laquelle nous vivons avec une omerta totale sur la question sioniste… Tout comme les matrices « 11 septembre », « Irak », « Iran », « assassinat de Kennedy », « guerre de 14 », « Staline »…ça fait beaucoup non ? La prochaine fois, fournissez de la vaseline, les mecs, soyez sportifs, nous dirait Dieudonné… Il ne reste plus qu’un travail d’information du chrétien ou post chrétien de base sur le monde factice dans lequel il vit, s’il veut un jour retrouver sa condition d’homme debout, et non à la botte d’une minorité belliqueuse et immonde.
Pour détendre l’atmosphère, imaginez comment les vrais rastas juifs doivent se foutre de la gueule des pseudos aspirants rasta qui ne pourront jamais en être à moins de devenir juif sioniste… Parce qu’un sioniste, ça se marre bien, faut pas croire… « The rastaman vibration is positive » (Positive vibration (album Babylon By Bus (1978))”. Pourquoi cette positivité ne serait-elle pas générale ? Je sais ce que tu vas me dire, le dernier qui leur ait suggéré cette idée, il a fini cloué sur une croix…2000 ans après, ils s’en félicitent toujours. Faut-il décomplexer la haine envers certaines gens, pour vivre heureux ? C’est leur thèse. A chacun de se faire un avis là-dessus. Mon humble conseil : ne touche pas aux drogues, creuse dans ta mémoire, identifie qui a le profil (c’est très facile avec l’habitude, ils n’ont pas de réelle personnalité, ils se copient tous les uns les autres, ils fument soi disant des pétards en étant bizarrement toujours très vifs et au courant de tout), fais toi violence pour décrasser tes illusions. Une fois un doute sur quelqu’un garde bien ça pour toi, joue à t’inventer un double passe partout, (pourquoi pas militant NPA !), cache ton affiliation à ER, tourne ta langue dans ta bouche avant de faire des confidences à quelqu’un, prends les à leur propre jeux, une fois leur grand secret découverts, ils sont à poil, tu te rends compte à quel point ils sont intellectuellement misérables pris individuellement. Mais aime et aide vraiment ceux qui le méritent, c’est dans ce sens que va ma contribution, même si je ne doute pas qu’il y ait deux trois rats ou plutôt des « wolf in sheep clothing » qui traînent sur ce forum, qui doivent en couler une bielle et ça me réjouit… c’est le jeu que nous n’avons pas choisi mais auquel nous devons jouer pour survivre, dont vous et moi commencent à connaître les règles. Le problème c’est qu’ils s’entraînent depuis leur naissance… Mais à être élevé dans le « nous, peuple élu » et « eux, sales goys », ils ont hérité d’un demi cerveau impersonnel et tout aigri, enfermé dans une fuite en avant absurde qui risque de transformer cette belle planète en un désert…
PS : l’empire, qui veut toujours avoir un coup d’avance, diffuse des vidéos bidons sur le lien rastafarisme/Judaïsme. Forcément, ce sont des fausses pistes, jamais, le détail des paroles de Marley ne sera présenté ainsi, à moins qu’un de vous se chauffe à faire une belle vidéo explicitant ces faits.
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