Nouvel appel à une marche pour le 19 Février Réunion du CNCD
(Messages en Arabe et en Français)
Le problème de ce collectif, c'est qu'il n'a strictement aucune emprise ni relais dans la rue, personne ne le suit si ce n'est les caméras de télévision, et, comme rapporté par Ratman plus haut, au vue des fréquentations de certains leader de ce comité, on peux craindre le pire sur leurs intentions réelles. Mais, quelles que soient les intentions de ces gens, le fait est qu'ils restent largement minoritaires et comme vous le savez tous, si vous n'avez pas la rue, le peuple avec vous, vous pouvez tenir toutes les réunions, faire toutes les déclarations et lancer tous les appels aux marches que vous voudrez, ça ne servira à rien (surtout si vous vous adressez au peuple en lui demandant de faire la révolution dans une autre langue que celle du pays en question...).
Je peux vous assurer pour avoir fais des recherches sérieuses auprès de personnes sur le terrain, que pour le moment ils sont vu au mieux comme des originaux, au pire comme des opportunistes voire des traitres. Beaucoup leur reprochent en effet de ne pas avoir donné de la voix lors des émeutes de fin décembre/début janvier à Alger (qui avaient débutées avec les émeutes de Tunisie). D'autres encore disent et pensent qu'il n'ont aucune légitimité, qu'ils représentent directement ou indirectement la main de la France (France-Afrique), qu'ils seraient en fait des sorte de laïcards, islamophobes, arabophobes, alliés à des Berbéristes opportunistes et tout un tas d'autres groupements et intérêts divers et qui tentent de récupérer, de surfer sur la vague qui semble déferler en ce moment dans le Maghreb, bref, pour toutes ces raisons, le peuple est très réservé (pour ne pas dire indifférent) à ce comité et reste pour le moment spectateur de ce qui est en train de se produire ces jours-ci en Algérie et dans le reste du monde arabe.
Est-ce à tort ou, est-ce à raison, le temps nous le dira. Peut-être le 19 février marquera un tournant dans cette histoire, ou pas.
D'accord avec toi Ratman, je suis allé en Algérie, c'est vrai que le peuple souffre mais moins depuis que Bouteflika est au pouvoir. Et du point de vue des Algériens, c'est surtout lui qui est parvenu a arréter la guerre civile.
Je confirme aussi ce que tu dit à propos de certains Kabyles manipulés par les sionistes. J'ai même vu sur TVJ (telévison juive) une kabyle invité à une reception chez les sionistes affirmer qu'elle était juive, il y a beaucoup d'autres kabyles qui n'ont pas honte de s'afficher chez les sionistes et pour cause, leur derniére reine, la Kahina était elle même juive !
PS: Si quelqu'un reçoit TVJ je lui conseille de tout enregistrer, on y entend souvent des choses énormes !!.
_________________ "si vous n'etes pas prets à mourir pour cela retirez le mot "liberté" de votre vocabulaire." Malcolm X.
Boutéflika (la marionnette en fin de vie, quand je le voie il me rappel presque jean paul 2 juste avant de mourir) et toute sa clic sont des incompétents se prostituant au américano-sioniste
Non content de se mettre l'argent d'un des pétroles les plus chers au monde de part sa qualité, ils en profitent pour en plus dépenser le reste n'importe comment.
Au lieux d'investir sur la formation professionnelle et l'éducation de qualité ciblé sur les besoins du pays, ils font travailler les chinois pour un salaire 4 fois supérieur au smic algériens, ces même chinois ne dépensent pas d'argent sur place, donc c'est la fuite des fonds algérien vers l’extérieure ou comment contribuer a faire (hors pétrole) une économie déficitaire Et le peuple aujourd'hui complètement désillusionné a besoin plus que d'une formation il a besoin d’actions concrètes et rapide et qu'on lui rende son espoir d'un lendemain meilleur
En ce qui concerne le commerce international, celui ci est presque complètement bloquer par la main mise de la mafia militaire, de leur famille ainsi que d'amis proches, pas la peine de vous faire un dessin. Le pétrole algérien comme celui des autre pays producteur de pétrole n'étant pas éternel, c'est pour cela qu'il ne lâche rien, leur reconversion à commencer il y a bien longtemps
Aujourd'hui vous faite une recherche d’emplois pour l’Algérie sur internet, les grosses entreprises local et international recrute a l'étranger et laisse le peuple se démerder
Et le comble c'est que tous ces voleurs ce demande pourquoi la diaspora algérienne ne rapatrie pas une partie de ses économies en Algérie
Ca c'est ce que moi j'ai vu en Algérie,
Alors remboursé la dette d'un pays, lancé des projets pharaoniques, et installer des stations de désalinisation quand l'argent sort de terre et que le prix du baril pétrole est multiplier par 3 n'importe quel algérien du peuple sorti d'une école secondaire saurai le faire
Donc Boutéflika au service des hypocris_maçons faisant semblant d'être pour la cause palestinienne pour plaire a son peuple et dans le même temps laisse les renseignements américains sur ses frontières sous prétexte d’arrêter Al-Qaïda au Maghreb islamique c'est vraiment se foutre de la gueule du monde et les algériens n'y peuvent rien quand ont dit la bas que les gens les plus riches c'est les militaire, les politiciens, les douaniers et la police c'est pas pour rien Tous ça pour dire en fin de compte que dans l'état actuel des choses et c'est pareil pour toutes révolutions, soit les sauveurs d'aujourd'hui sont les dictateurs de demain, soit les sauveurs d'aujourd'hui dans leurs extrême bonté donne le pouvoir au dictateurs de demain Boutéflika n'est qu'une marionnette il n'a rien a faire là ni les généraux qui se cache derrière lui d'ailleurs, si Moubarak possède 70 milliard de dollars j'ose même pas imaginé le montant totale de l'argent détourner en Algérie
_________________ Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
Une nouvelle marche en ce samedi 19 Février à Alger ( qui semble avoir rassemblé encore moins de monde que la semaine dernière)
10h10 : Un premier groupe de marcheurs a commencé à se regrouper à la place du 1er Mai, mais il a vite été repoussé vers Belouizdad. Les policiers quadrillent toute la place, interdisant aux passants de circuler librement. Aucune halte n'est persmise pour les simples citoyens, au risque de recevoir un coup de matraque. Le dispositif de ce 19 Février est plus hermetique, plus dur que celui du 12 février dernier. Les journalistes sont empêchés de travailler, puisque les policiers les chassent d'un endroit à un autre.
10h20 : Ali Yahia Abdenour et une dizaine de militants se sont rassemblés du coté de la banque société générale à Belcourt, à quelque mètres de la place du 1er mai . Ils sont rejoints par d'autres manifestants, portants des pancartes "Bouteflika Dégage". Ils sont pls d'une centaine et ils se positionnent sur le boulevard belouizdad.
Le groupe grossit et les policiers tentent de le contenir, au niveau des arcades face au ministère de la jeunesse et des sports. Selon nos journalistes sur place, les manifestants sont près de 400.
10h35 : La police fonce sur les marcheurs et réprime les manifestants. Les coups de matraque n'épargnent personne. Les premiers blessés sont enregistrés.
Les manifesants improvisent une marche dans l'autre sens, vers Belcourt.
10h50 : Bouchachi, Ali Yahia Abdenour et des dizaines de manifestants sont bloqués sur le boulevard belouizdad, à quelques pas du ministère. Dès que les marcheurs tentent une incursion vers la place du 1er, ils sont violemment repoussés.
Ils scandent des slogans contre le pouvoir, contre Bouteflika.
Belaid Abrika a failli être lyncher par des jeunes. Il a été sauvé par des policiers.
11h00 : Rachid Malaoui, du SNAPAP a été bléssé et évacué vers l'hopital Mustapha. Les premières arrestations sont effectués par la police.
Des jeunes adolscents sont placés sur les trottoirs avec des portraits de Bouteflika, pour provoquer les manifestants. des provocations qui risquent de déraper à tout moment.
11h25 : Le face à face, policiers manifestants continuent à Belouizdad, Alger. Environ 300 marcheurs sont encerclés par des centaines de policiers au niveau des arcades du boulevard Belouizdad, un peu plus loin que le ministère de la jeunesse. Toute tentative des marcheurs de rejoindre la place du 1er mai est réprimée brutalement.
11h30 : Affrontements directs entre les manifestants et les jeunes "pro Bouteflika", mobilisés pour provoquer les marcheurs.
De l'autre coté, des jeunes venus de Belcourt scandant "Ouyahia Serak" rejoignent la marche.
11h40 : Le nombre de manifestants a sensiblement augmenté avec l'arrivée de dizianes de jeunes de belcourt au cris de "Belcourt Echouhada" (belcourt martyr). Ils sont plus d'un millier à manifester devant des policiers chargés de bloquer toutes les issues vers la place du 1er Mai.
12h05 : La police encercle des groupes de manifestants et les redirigent en dehors de la place du 1er mai. Un groupe a été orienté vers la maison de la presse, sous escorte policière. Ils sont menés vers les ateliers de l'ETUSA.
Au niveau des arcades du boulevard belouizdad, des escarmouches sont signalés de temps en temps entre marcheurs et policiers ou entre marcheurs et les jeunes "pro Bouetflika".
12h30 : La manifestation de la CNCD est quasiment terminé. Les marcheurs rassemblés sur le boulevard belouzdad se sont dispersés et la situiation est redevenue normal à la place du 1er mai. La police occupe toutes les ruelles autour de la place du 1er Mai. l'helicoptère de la police continue à tournoyer dans le ciel d'Alger.
Un groupe d'islamistes a tenté de se rassembler à la station de bus de l'ETUSA, mais ils sont rapidement encerclés par la police qui les disperse.
12h40 : Des jeunes de belcourt tentent de se rassembler à la station de bus, mais ils sont vite pris en tenaille par les policiers, qui les dispersent.
13 h 39 : Le député RCD Tahar Besbes a été tabassé par la Police et se trouve actuellement aux urgences de l'hôpital Mustapha Bacha. Selon le RCD, Tahar Besbes aurai eu un traumatisme cranien, suite à une chute provoquée par des coups portés par des policiers. En tombant, sa tête a heurté le bord du trottoir. Il est actuellement dans un état jugé assez grave à Mustapha.
Merci à tous pour avoir augmenter le sujet, esperons que si celà chauffe nous pourrons avoir assez de courage pour recommancer la banque d'information comme pour l'Egypte, c'est important d'avoir des sources dans ces periodes
Je reposte ici l'allocution assez, si elle s'avère juste, effrayante du Sheikh Imran Hosein...comme d'autre le fessait remarquer, c'est clairevoyant!
Sheikh Imran Hosein - Israël passera à l'attaque...
Sheikh Imran Hosein en 2003 aux cours de sa conférence après les attentats du 11 septembre 2001 explique les évènements des révoltes des pays arabes face aux tyrans.
Source :
https://www.youtube.com/watch?v=YUWN_lb-qPY
Dernière édition par lorelianeGTQ le 5/2/2012, 21:57, édité 1 fois
ITW du ministre de l'intérieur Algérien à propos des appels aux marches, des révolutions qui secouent le monde arabe ainsi que de la lutte contre Al Qaida et la présence de troupes étrangères dans les pays d'Afrique du nord et du Sahel.
Moi je trouve qu'il y a pas mal de points dans son argumentaire qui tiennent la route quand même.
La phrase qui m'a le plus frappé c'est quand il dit à propos des révolutions dans le monde arabe actuellement et l'éventualité d'une reprise en main de qui vous savez: "Les peuples ont peut-être gagné en liberté mais ils ont perdu en souveraineté". Je trouve que cette phrase assez profonde sur l'analyse de l'évolution de ces révolutions arabes ou du moins, qu'elle mérite débat.
Algérie : la CIA finance 4 associations "des droits de l’Homme"
IRIB- La secrétaire générale du parti des travailleurs algérien, Louisa Hanoune, a accusé l’agence des renseignements américains CIA de financer quatre associations des droits de l’Homme.
Selon le site en ligne du quotidien arabophone londonien «al-Quds al-Arabi», Hanoune a affirmé détenir des documents qui attestent ses accusations, nommant, parmi ces quatre organisations, «l’Association Nationale pour la Défense des Droits de l’Homme» et «SOS disparus».
Elle en a appelé à couper la voie aux tentatives d’Etats et d’organisations étrangères, pour financer les campagnes de candidats aux élections, qui devraient être organisées, le mois de mai prochain.
«Ceci aboutira à servir des intérêts et des enjeux étrangers, dans une tentative d’assimiler la situation, en Algérie, à celle de la Tunisie et de l’Egypte», explique-t-elle. Et d’ajouter que certaines administrations «l’ont contactée, lui demandant d’envoyer des députés et des élus de son parti, en Amérique, pour prendre des leçons, entre autre, sur les facultés d’orateurs et la façon de s’adresser au public». Mais elle a dit constater «que le responsable d’un parti politique, en Algérie, est rentré des Etats-Unis, avec un discours totalement différent de ce qu’il était».
Le mois de décembre denier, cette dirigeante syndicaliste avait dévoilé que Washington a préparé un Conseil transitoire, pour l’Algérie, avec la complicité de parties intérieures, précisant avoir recueilli ses informations du dirigeant de l’Union syndicale des travailleurs, aux Etats-Unis, Alain Benjamin. Elle en a appelé à l’introduction de véritables réformes, "afin de ne pas donner l’occasion aux puissances occidentales de venir, prétextant le rendez-vous des élections législatives prochaines, s’ingérer dans nos affaires internes". Hanoune suspecte le "CNT" libyen d’être de mèche avec les Américains.
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Hollande en Algérie : "Il faut faire la lumière sur notre passé" http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121218.OBS2906/hollande-en-algerie-il-faut-faire-la-lumiere-sur-notre-passe.html
"La lumièèèère..., parce qu'avant y'avait pas de lumière...." Dieudonné
Quand le stay-behind portait De Gaulle au pouvoir par Thierry Meyssan http://www.voltairenet.org/article8694.html http://www.voltairenet.org/article8701.html
OPINION : La CIA à l'origine de la dictature en Algérie http://www.lematindz.net/news/3560-opinion-la-cia-a-lorigine-de-la-dictature-en-algerie.html
Je ne connais pas bien le dossier Algérie (après que De Gaulle est lâché ce pays, en apparance comme on le sait avec les réseau Foccart.) dite moi si vous avez des livres à conseiller. Merci.
Dans un commentaire glissé tout en bas du câble, le diplomate américain dit que «beaucoup d'ambassades pensent que le Président Bouteflika, lui-même, n'est pas particulièrement corrompu, mais pointent aisément du doigt les deux Frères, Saïd et Abdallah, comme étant particulièrement rapaces».
La corruption au sein de l'institution militaire n'échappe pas non plus au regard des Américains. Dans le même câble, M. Ford indique que «l'armée algérienne a effectivement lancé un ambitieux programme anti-corruption, mais que ce dernier n'a pas inquiété la haute hiérarchie». Précédemment, M. Ford fait état d'un aveu que lui aurait fait Abdallah Djaballah sur la généralisation de la corruption au sommet de l'Etat. Ahmed Gaïd-Salah est cité comme étant le fonctionnaire le plus corrompu de l'armée
L'Algérie Face À La Désinformation. Les Charognards Des Média Paniquent. Pour compléter l'analyse de l'article précédent , nous allons tenter d'examiner la déferlante d'écrits virulents qui submergent la presse écrite et le web depuis le retour de Bouteflika et son miraculeux rétablissement. Le Lion et Les Charognards Le lion absent, les hyènes et les chacals étaient accourus pensant pouvoir enfin conquérir la savane. Bien mal leur en a pris d'avoir vendu la peau du lion avant que le destin n'ait décrété sa fin. Dans la panique et le désordre ils tentent maintenant d'échapper à ses crocs dont la puissance briserait leurs os. Pour dissimuler leur effroi elles n'ont que les ricanements stridents et des aboiements lugubres pour couvrir leur fuite. Malgré le vacarme des charognards, le lion a commencé à remettre de l'ordre dans son royaume, les bêtes impudentes sont exécutées ! Le champ médiatique est aujourd'hui livré à des mercenaires au service d'objectifs occultes fixés par un pouvoir de l'ombre. L'information n'informe plus mais sert à manipuler, à façonner, et surtout à désorienter l'opinion. Le combat mené au nom de la défense de la liberté d'expression n'avait pour fin que l'instauration d'un monopole de l'information aux mains d'une nébuleuse subversive dont les ramifications s'étendent jusqu'au cartel des média talmude. En étroite coordination avec le pouvoir juif, ces média, majoritairement "indépendants", œuvrent à faciliter et à cautionner toutes les incursions locales du Nouvel Ordre Mondial Juif canalisées dans : - le "diviser pour régner", par la promotion de la gabegie du renouveau judaïque amazigh aux intonations sionistes ou des groupes marginaux laïcs/athées légués par le colonisateur français, - le féminisme décousu qui mène à la détresse de la femme dû au déséquilibre psychique du célibat, à la frustration de ne pouvoir remplir son rôle hautement gratifiant de mère, et en la transformant en un simple rouage/esclave du progrès matériel; ce qui disloque la cellule familiale et enfante un antagonisme factice entre hommes et femmes; - l’accommodation du redéploiement des banques juives dans le système financier et économique du pays sous le camouflage du néo-libéralisme chimérique, avec la tentative de généralisation de la pratique de l'usure maudite par Dieu et ses Prophètes; (Suite de l'article) : "Reflexionsetcommentaires.blogspot com"
Rapportées déjà plusieurs fois les remarques suivantes méritent d'être répétées pour rafraîchir la mémoire de ceux qui ont tendance à oublier ou à renier le sacrifice et la clémence d'autrui, ainsi que les faveurs d'Allah. Souvenons-nous de 1999 et de l'état pitoyable de la nation ! Et constatons dans tous les secteurs activité, les changements positifs souvent prodigieux, qu'a enregistrés le pays. Toutes les promesses annoncées en 1999 ont été tenues, et ce qui était inespéré alors a été entrepris et réalisé. La rente pétrolière n'ait pas la seule cause comme l'insinuent les mauvaises langues; elle est d'ailleurs elle même le résultat d'actions et de décisions opportunes, dont les démarches engagées par le Président au près des autres pays producteurs pour le rétablissement de la concertation au sein de l'OPEC débouchant sur un meilleur contrôle de l'offre (quotas), et donc des cours. Un travail colossal a été réalisé grâce à la réparation et reconstruction des infrastructures à l'échelle nationale; la réconciliation des Algériens entre eux; le recouvrement de l'indépendance financière et du pouvoir de décision; la relance de plans de développement fondés sur nos capacités internes de financement et un partenariat librement choisi. Les stats sont disponibles et illustrent le saut quantitatif géant enregistré, bilan confirmé par l'examen des déclarations officielles d'organisations internationales (par principe opposées à la liquidation de la dette) ainsi que les opinions recueillies à travers des sondages d'experts neutres qui attestent indéniablement de ce fait. Les promesses du programme du candidat à la présidence faites en 1999 ONT TOUTES ÉTÉ TENUES ! À ceux qui nient ces faits et qui dénigrent malicieusement cette vérité aveuglante, je lance le défi de citer un seul président dans l'histoire de ce pays ou d'ailleurs qui a "tenu parole" et atteint un "indice de loyauté" égal à celui de Bouteflika. 100% de ses objectifs ont été atteints, sinon 200% pour ceux non annoncés qui furent greffés au fur et mesure que la position de l'Algérie financière grimpait dans les hit-parades et bilans des organisations internationales spécialisées ! Citons quelques performances du programme : - rétablissement de la sécurité et de la paix, éradication du terrorisme et suppression des conflits internes, (mesures accompagnées par la modernisation/professionnalisation de l'ANP) - recouvrement de l'indépendance nationale (financière et politique) après liquidation irréversible de la dette auprès des banques shylocks (qui saignent les peuples de la planète et leur imposent des conditions de ré-échellonement impitoyables), - renforcement et réorganisation de l'OPEP résultant en l'instauration du système de quota, et la revalorisation du prix des hydrocarbures engendrant un cumul de réserves monétaires (le FMI frappant à nos portes pour une aide !) - reconstruction des infrastructures détruites par les terroristes (écoles, ponts, voies ferroviaires, usines, etc..) - lancement de plans de développement colossaux visant la modernisation de l'agriculture, des infrastructures, de la santé, de l'éducation, de l'habitat, du transport, etc... -soutien et encouragement concrets aux jeunes pour leur intégration dans la vie économique et la lutte contre le chômage (grâce à des mesures sociales et financières uniques et innovatrices, qu'aucun autre pays ne pourrait entreprendre dans la conjoncture actuelle), - soutien indéfectible aux prix des produits alimentaires de base malgré la pression des FMI/BM/OMC (lors négociations d'adhésion à l'OMC), - maintien et préservation de la paix et de la stabilité dans un environnement mondial chaotique, grâce à une diplomatie intelligente et à des mesures préventives (sécurisation avancée de nos frontières). La corruption ternit l'image du Président, mais personne n'ose l'accuser d'en être complice car aucune preuve n'a jamais été citée même si les services bancaires sionistes se feraient un plaisir de la rendre publique. Car la corruption est l'œuvre des réseaux d'éternels plaintifs qui mobilisent leurs rédactions pour en reporter le blâme sur des lobbies fictifs légendaires : "Clan Bouteflika", DRS, Hizb França, les généraux, etc... La réalité est que le pouvoir de l'ombre est un réseau qui étend ses ramifications dans tous les cercles occultes ou visibles, nés et consolidés sous l'ère Boukharouba et sa tartuferie socialiste (idéologie reflétant les enseignements talmudiques !).
Cheb Khaled soutient Bouteflika parce que grâce à lui il peut inviter ses petits copains dégénérés européens dans de grands hôtels luxueux (made in China/bouygues), leur offrir de l'alcool (made in e.u) et accessoirement leur proposer de goûter à la chair fraîche locale (made in Algérie).
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«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte de leurs propres âmes et celles de leurs familles». C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
Lorsque le pouvoir algérien utilise l'argent du peuple pour acheter les concepts débilisants occidentaux...
La campagne électorale est close depuis hier et désormais trois jours seulement nous séparent du scrutin. Hélas, l’escalade de la violence se poursuit puisque de verbale, elle a cédé le pas à la violence physique et au meurtre. Le dernier jour a été marqué par la mort violente d’un jeune citoyen de 24 ans, froidement poignardé à Zéralda par un supporter du clan Bouteflika, « importé » d’une autre localité avec d’autres jeunes désœuvrés pour « peupler » un meeting, moyennant un billet et un sandwich au cachir. Jamais l’Algérie n’a eu à connaître de tels événements. Le clan présidentiel a usé et abusé des moyens colossaux de l’État, en violation de la loi électorale. En plus des sommes gigantesques englouties dans une campagne fade, le staff du président-candidat a eu recours à des ministres en exercice qui, au lieu d’afficher une neutralité ou tout au moins une certaine réserve tout en s’appliquant à leur véritable travail pour lequel ils sont grassement payés, se sont employés à sillonner les grandes villes d’Algérie, de France et de Navarre pour porter la bonne parole du candidat-absent et promettre monts et merveilles pour les cinq prochaines années alors qu’ayant bénéficié de trois fois plus de temps, les résultats obtenus sont loin de refléter les sommes astronomiques qui ont été dilapidées. On parle de 750 milliards de dollars pour les trois mandats précédents.On ne lésine devant rien pour promouvoir l’image d’un candidat gravement diminué depuis son ictus cérébral et dont l’image a été irrémédiablement ternie par les scandales financiers de son entourage immédiat et de son premier cercle, ainsi que par l’étendue de la corruption qui a atteint toutes les strates de l’administration. Les médias lourds ont été mis à large contribution et l’Administration n’a pas été en reste. Un clip, véritable produit marketing électoral au profit du candidat-absent, a été conçu avec le concours de nombreux artistes dont certains ont été abusés, n’ayant pas estimé à leur juste valeur les répercussions politiques. C’est ainsi que le chanteur Khaled, qui a nié avoir reçu des prébendes pour sa prestation, a effectivement perçu la somme de 40.000 €, selon l’aveu même du producteur du clip devant l’animateur de l’émission « Controverse » de Dzair WebTV. Smaïn qui a lui aussi participé à ce clip s’est réfugié derrière l’excuse de sa bonne foi. Il en a été de même pour Kenza Farah, cependant que Safy Boutella a catégoriquement et courageusement refusé de participer à cette mascarade. Il est intéressant de noter que ce clip diffusé sur la Toile a recueilli en quelques heures plus de 10000 mentions « unlike », ce qui renseigne avec bonheur sur la maturité des internautes qui ne se laissent plus conter. Il est évident que le clan Bouteflika panique actuellement devant la large adhésion populaire au programme de Ali Benflis de même que devant l’ampleur du mouvement du boycott et qu’il ne sait plus comment réagir devant ce raz-de-marée. La preuve en est qu’une chaîne de télé privé, Ennahar TV, totalement inféodée au cercle de Saïd Bouteflika le conseiller très spécial de son frère, verse actuellement dans la diffamation et la calomnie, accusant le clan Benflis de recourir à la violence, alors que le premier mort de cette campagne a été le fait du clan Bouteflika. À cette allure, la situation peut gravement dégénérer et comme il a été dit dans la chronique d’hier, le pire est à craindre.
On remarque la très mauvaise qualité de ce montage ridicule façon We are the… worst à la yankee. Le chant a été exécuté par des chorales professionnelles puis on incruste des images de stars connues afin de créer et susciter un capital sympathie très très grossier. On a droit à la connasse qui gueule, une autre en fausse blonde et pantalon cuir, un rasta et un rapeur… toute une suite de clichés transmis par l’Occident américanisé et transposés tel quel à l’Algérie ! Tellement grossier et vulgaire qu’ils essaient encore de faire pleurer le peuple avec le 1.5 million de martyrs de la révolution, 52 ans après !!! Ces martyrs dont la mémoire est piétinée chaque jour dans ce pays meurtri par la corruption, le vol endémique, la prostitution, la drogue et l’alcoolisation des masses… Fort heureusement (ou malheureusement), la honte et le ridicule ne tuent plus mais ils ont le malencontreux effet de graver l’histoire et les mémoires des hommes. On s’en souviendra le moment venu, soyez-en certains...
«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte de leurs propres âmes et celles de leurs familles». C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
Algérie : Bouteflika officiellement réélu avec 81,53% des voix
Abdelaziz Bouteflika a été réélu président de l'Algérie dès le premier tour de l'élection présidentielle jeudi avec 81,53% des voix, selon les résultats officiels annoncés vendredi. Son principal rival, Ali Benflis, a recueilli 12,18 % des suffrages, a déclaré le ministre. Le taux de participation a été de 51,7 %.
Cette victoire était attendue pour le chef de l'Etat, qui va ainsi accomplir un quatrième mandat.
Le peuple a choisi en liberté dans un climat de transparence et de neutralité», a assuré Belaïz, alors que Benflis a dénoncé dès la fermeture des bureaux de vote une «fraude à grande échelle» et a déclaré qu’il ne reconnaîtrait pas les résultats.
Le plus jeune candidat, Abdelaziz Belaïd, est arrivé en troisième position avec 3,03% des voix, suivi de la députée trotskyste Louisa Hanoune avec 1,37% des voix, puis de Ali Fawzi REbaïne avec 0,99 % et Moussa Touati avec 0,56%.
Le score de Bouteflika, âgé de 77 ans et souffrant de séquelles d’un AVC l’année dernière, est en recul par rapport aux résultats de 2009 et 2004 avec 90% et 85% des voix. En 1999, il avait conquis son premier mandat avec 75% des suffrages.
L'opposition avait soit appelé au boycottage du scrutin soit dénoncé par avance des fraudes
Salmi Yasser, jeune Algérien, sans domicile fixe, vivant à Bechloul, dans la région de Bouira, est membre du comité de soutien du candidat Ali Benflis à Bechloul, commune située à 18 km à l’Est de Bouira. Il a été désigné observateur de l’élection présidentielle du 17 avril 2014, comme les 60 000 autres répartis sur le territoire national et désignés par Ali Benflis pour signaler tout cas de fraude à son QG de campagne sis à Ben-Aknoun (Alger). Il s’est confié dans une vidéo postée le 16 Avril 2014, dans laquelle il met à nu les pratiques mafieuses pratiquées par le clan Bouteflika. Il est intéressant de signaler qu’en 48 heures à peine, cette vidéo a été vue 89 000 fois.
Cédons-lui la parole :
« Chérif Ould-Hocine, directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika à Bouira, membre du Comité central du FLN et député au Parlement, est venu me rendre visite au bureau de campagne du candidat Ali Benflis à Bechloul et m’a demandé de lui faciliter la fraude électorale en échange de 20 millions de centimes et 7000 DA pour chacun des membres de mon équipe. Il me disait, qu’en soutenant Ali Benflis je n’aurai rien à gagner. J’ai rejeté son offre et c’est alors qu’il s’est mis à m’insulter. Il a insulté ma mère, que Dieu ait son âme, puis il a sorti une espèce de gourdin de sa voiture avec lequel il m’a frappé à la main et au visage. J’en garde encore les traces que voici. Après quoi, j’ai déposé plainte contre lui au Commissariat de police.Quelque temps après, j’ai reçu la visite d’un groupe de personnes, qui m’ont mis en garde contre les risques auxquels je m’exposais en persistant dans mes accusations. Ils insistaient sur le fait que Chérif Ould-Hocine n’était pas prêt à me pardonner. Parmi eux, se trouvaient le fils de Cheikh Lamouri de la Zaouïa de Sidi-Aissa, qui travaille à la Présidence de la République en qualité de Conseiller du président Abdelaziz Bouteflika, le Colonel Smaïn, membre du Parti RND, Ahmed Slimani, membre de l’Assemblée populaire de la Wilaya de Bouira et membre du parti NPA du ministre Amara Benyounès et Mahmoud Harbi, membre du Parti FLN et président de la cellule du Parti au niveau de la commune de Bechloul. Ils m’ont proposé de trouver un compromis, un arrangement amiable entre nous deux, en m’intimidant et me faisant comprendre que Chérif Ould-Hocine bénéficiait de l’immunité parlementaire et qu’en plus il allait être nommé ministre dans le nouveau gouvernement d’Abdelaziz Bouteflika après sa réélection pour le 4° mandat et que si je refusais de coopérer, j’allais moisir en prison.J’ai pris alors conseil auprès de mes amis, qui m’ont reproché d’être très naïf, du fait qu’à chaque fois je soutenais un candidat quelconque pour son élection, il m’oubliait aussitôt élu, et ma situation des plus précaires restait inchangée. Cette fois-ci, tu risques la prison, profite qu’il y ait des gens qui t’ouvrent une porte de sortie et de toutes façons, tu n’as d’autre choix que d’accepter et de te taire. C’est alors que j’ai accepté à la condition qu’on me garantisse que Cherif Ould-Hocine ne me batte plus. Ils m’ont donné leur parole ; puis m’ont conduit à sa rencontre. Dès qu’il m’a vu, il m’a assailli de questions : pourquoi es-tu allé te plaindre contre moi ? Qui t’a poussé à le faire ? Tu sais très bien que je jouis de l’immunité parlementaire et que tu ne pourras rien contre moi ! Et je dois te préciser que vous le vouliez ou non, Abdelaziz Bouteflika sera réélu et personne ne pourra s’opposer à sa réélection et moi je serai nommé ministre dans le nouveau gouvernement. Je dois te prévenir que si je le veux, en deux minutes…, estime-toi heureux que je t’ignore grâce à l’intercession de ces hommes en ta faveur. D’ailleurs pour moi tu ne représentes rien, tu n’es qu’une insignifiante fourmi. Je te donne 24 heures pour aller annuler ton procès-verbal, sinon je vais t’envoyer en prison à vie, sans même être obligé de passer devant un tribunal. J’ai pris peur et j’ai accepté sans réfléchir un instant. Il a ajouté que je devais me rendre au Commissariat accompagné de Ahmed Slimani. J’ai dû m’exécuter et le lendemain je me suis présenté au commissariat en compagnie d’Ahmed Slimani. Il est rentré seul, pendant que j’attendais dans la voiture pendant près d’une heure avec Mahmoud Harbi. Ensuite nous nous présentâmes ensemble devant le commissaire et je lui fis savoir que je souhaitais annuler ma plainte. J’ai aussitôt signé mon désistement, après quoi il m’expliqua qu’il était obligé de conduire une enquête qui nécessitait le relevé de mes empreintes digitales. Il me présenta alors une feuille blanche au bas de laquelle il me demanda d’apposer ma signature. Après avoir demandé les raisons de cette formalité, il m’expliqua qu’il devait envoyer ce spécimen de signature à la police scientifique pour confirmer si j’avais signé la plainte de mon plein gré ou si l’on m’y avait contraint. J’ai alors accepté et j’ai signé la feuille blanche qu’il m’a présentée et je suis parti. Trois jours après, comme à l’accoutumée, je suis rentré le soir à la gare de Bechloul, pour dormir sur un banc, à ma place habituelle. Vers minuit, j’ai reçu la visite d’Ahmed Slimani, qui m’a demandé si j’avais mangé. Puis, il m’a dit d’attendre qu’il revienne avec quelque chose à manger. Un quart d’heure plus tard, il est revenu accompagné de trois autres personnes, parmi lesquelles Ahmed Slimani. Ils m’ont emmené ensuite au QG de campagne d’Abdelaziz Bouteflika. Quand je suis rentré, j’ai été accueilli par Chérif Ould-Hocine, qui m’invectiva en me disant : « Alors, c’est comme ça, tu as repris tes activités de soutien à Ali Benflis ! Tu es encore avec eux ! » J’ai répondu oui, je suis encore avec eux. Il a alors brandi une feuille qu’il approcha de mes yeux en me demandant de la lire. Il s’agissait d’un procès-verbal, dans lequel j’étais accusé de violences contre sa personne, de manque de respect envers son épouse, de tentative de viol contre sa fille et de constitution d’un groupe de malfaiteurs en vue de violer son domicile, en somme, de quoi m’inculper pour de très graves délits. Il m’a précisé qu’il était prêt à mettre à exécution ce procès-verbal de suite, par l’intermédiaire d’une personne présente avec nous, dont il a nommé le service auquel il appartenait et dont le nom m’échappe. Il a rajouté que pour de tels aveux, je devais écoper d’au moins huit ans d’emprisonnement ferme et qu’aucun avocat ne pourrait obtenir la réduction de cette peine. Je lui ai alors dit qu’elle était la solution. Il me répondit qu’il disposait de preuves trouvées sur facebook confirmant que je soutenais le mouvement Barakat et que celui-ci était donc lié à Ali Benflis ; ce qui permettait d’affirmer selon lui que le mouvement Barakat fait partie du clan Benflis ! Ensuite il se retourna vers Mahmoud Harbi et lui demanda d’écrire sur une feuille ce que je devais dire. Alors Mahmoud Harbi a commencé à me citer des noms, que je ne connaissais pas. Il y avait deux personnes debout au-dessus de moi qui me surveillaient pour que je ne bouge pas du bureau. A ce moment-là, des journalistes de la télévision privée, Ennahar TV arrivèrent pour enregistrer mes déclarations, que je devais lire sur la feuille que m’avait préparée peu avant Mahmoud Harbi. Il s’agissait pour moi de reconnaître que Hafnaoui Ghoul (Membre du mouvement Barakat) et Bernard Henri Lévy m’ont remis un faux passeport à l’aéroport Houari Boumediène à Alger. Je devais dire que j’étais parti avec eux au Maroc en compagnie d’Amira Bouraoui (Membre fondatrice du mouvement Barakat) et que nous avions été reçus par le Roi Mohamed VI dans son Palais, où était présent sur place le chanteur Enrico Macias. L’enregistrement dura quatre heures et demie, car je ne savais pas prononcer les noms en français et à chaque fois que je prononçais mal, ils étaient obligés de couper et cela les faisait rire. Une fois l’enregistrement terminé, Chérif Ould-Hocine déchira le procès-verbal devant moi et me dit qu’à présent on était quitte. Il ajouta : « attention, je te préviens que si tu révèles quoi que ce soit de tout cela, tu auras encore une fois affaire à moi. Je dois dire, que j’ai été soumis à de fortes pressions et que j’ai traversé de dures épreuves ; j’ai eu très peur pour moi, d’autant que je me sentais seul et j’avais aussi très peur d’aller en prison. A présent je suis fatigué, j’en ai marre et je m’en fous de ce qui peut m’arriver. En cas de la survenue d’un malheur, il serait le fait de Chérif Ould-Hocine. Je dois demander pardon à toutes les personnes que j’ai accusées à tort dans mes fausses déclarations sur la chaîne de télévision Ennahar TV. Je dois avouer qu’après l’enregistrement de ce faux témoignage contre le candidat Ali Benflis, contre le Mouvement Barakat et contre les personnes que j’ai citées, Chérif Ould-Hocine m’a promis un appartement et m’a assuré que le Wali de Bouira était au courant et qu’il approuvait ce marché. Je demande encore une fois pardon à toutes les personnes que j’ai accusées injustement et je dois dire que Hafnaoui Ghoul connaît parfaitement mon histoire personnelle et mon parcours de vie.
Cédons-lui la parole :
« Chérif Ould-Hocine, directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika à Bouira, membre du Comité central du FLN et député au Parlement, est venu me rendre visite au bureau de campagne du candidat Ali Benflis à Bechloul et m’a demandé de lui faciliter la fraude électorale en échange de 20 millions de centimes et 7000 DA pour chacun des membres de mon équipe. Il me disait, qu’en soutenant Ali Benflis je n’aurai rien à gagner. J’ai rejeté son offre et c’est alors qu’il s’est mis à m’insulter. Il a insulté ma mère, que Dieu ait son âme, puis il a sorti une espèce de gourdin de sa voiture avec lequel il m’a frappé à la main et au visage. J’en garde encore les traces que voici. Après quoi, j’ai déposé plainte contre lui au Commissariat de police.Quelque temps après, j’ai reçu la visite d’un groupe de personnes, qui m’ont mis en garde contre les risques auxquels je m’exposais en persistant dans mes accusations. Ils insistaient sur le fait que Chérif Ould-Hocine n’était pas prêt à me pardonner. Parmi eux, se trouvaient le fils de Cheikh Lamouri de la Zaouïa de Sidi-Aissa, qui travaille à la Présidence de la République en qualité de Conseiller du président Abdelaziz Bouteflika, le Colonel Smaïn, membre du Parti RND, Ahmed Slimani, membre de l’Assemblée populaire de la Wilaya de Bouira et membre du parti NPA du ministre Amara Benyounès et Mahmoud Harbi, membre du Parti FLN et président de la cellule du Parti au niveau de la commune de Bechloul. Ils m’ont proposé de trouver un compromis, un arrangement amiable entre nous deux, en m’intimidant et me faisant comprendre que Chérif Ould-Hocine bénéficiait de l’immunité parlementaire et qu’en plus il allait être nommé ministre dans le nouveau gouvernement d’Abdelaziz Bouteflika après sa réélection pour le 4° mandat et que si je refusais de coopérer, j’allais moisir en prison.J’ai pris alors conseil auprès de mes amis, qui m’ont reproché d’être très naïf, du fait qu’à chaque fois je soutenais un candidat quelconque pour son élection, il m’oubliait aussitôt élu, et ma situation des plus précaires restait inchangée. Cette fois-ci, tu risques la prison, profite qu’il y ait des gens qui t’ouvrent une porte de sortie et de toutes façons, tu n’as d’autre choix que d’accepter et de te taire. C’est alors que j’ai accepté à la condition qu’on me garantisse que Cherif Ould-Hocine ne me batte plus. Ils m’ont donné leur parole ; puis m’ont conduit à sa rencontre. Dès qu’il m’a vu, il m’a assailli de questions : pourquoi es-tu allé te plaindre contre moi ? Qui t’a poussé à le faire ? Tu sais très bien que je jouis de l’immunité parlementaire et que tu ne pourras rien contre moi ! Et je dois te préciser que vous le vouliez ou non, Abdelaziz Bouteflika sera réélu et personne ne pourra s’opposer à sa réélection et moi je serai nommé ministre dans le nouveau gouvernement. Je dois te prévenir que si je le veux, en deux minutes…, estime-toi heureux que je t’ignore grâce à l’intercession de ces hommes en ta faveur. D’ailleurs pour moi tu ne représentes rien, tu n’es qu’une insignifiante fourmi. Je te donne 24 heures pour aller annuler ton procès-verbal, sinon je vais t’envoyer en prison à vie, sans même être obligé de passer devant un tribunal. J’ai pris peur et j’ai accepté sans réfléchir un instant. Il a ajouté que je devais me rendre au Commissariat accompagné de Ahmed Slimani. J’ai dû m’exécuter et le lendemain je me suis présenté au commissariat en compagnie d’Ahmed Slimani. Il est rentré seul, pendant que j’attendais dans la voiture pendant près d’une heure avec Mahmoud Harbi. Ensuite nous nous présentâmes ensemble devant le commissaire et je lui fis savoir que je souhaitais annuler ma plainte. J’ai aussitôt signé mon désistement, après quoi il m’expliqua qu’il était obligé de conduire une enquête qui nécessitait le relevé de mes empreintes digitales. Il me présenta alors une feuille blanche au bas de laquelle il me demanda d’apposer ma signature. Après avoir demandé les raisons de cette formalité, il m’expliqua qu’il devait envoyer ce spécimen de signature à la police scientifique pour confirmer si j’avais signé la plainte de mon plein gré ou si l’on m’y avait contraint. J’ai alors accepté et j’ai signé la feuille blanche qu’il m’a présentée et je suis parti. Trois jours après, comme à l’accoutumée, je suis rentré le soir à la gare de Bechloul, pour dormir sur un banc, à ma place habituelle. Vers minuit, j’ai reçu la visite d’Ahmed Slimani, qui m’a demandé si j’avais mangé. Puis, il m’a dit d’attendre qu’il revienne avec quelque chose à manger. Un quart d’heure plus tard, il est revenu accompagné de trois autres personnes, parmi lesquelles Ahmed Slimani. Ils m’ont emmené ensuite au QG de campagne d’Abdelaziz Bouteflika. Quand je suis rentré, j’ai été accueilli par Chérif Ould-Hocine, qui m’invectiva en me disant : « Alors, c’est comme ça, tu as repris tes activités de soutien à Ali Benflis ! Tu es encore avec eux ! » J’ai répondu oui, je suis encore avec eux. Il a alors brandi une feuille qu’il approcha de mes yeux en me demandant de la lire. Il s’agissait d’un procès-verbal, dans lequel j’étais accusé de violences contre sa personne, de manque de respect envers son épouse, de tentative de viol contre sa fille et de constitution d’un groupe de malfaiteurs en vue de violer son domicile, en somme, de quoi m’inculper pour de très graves délits. Il m’a précisé qu’il était prêt à mettre à exécution ce procès-verbal de suite, par l’intermédiaire d’une personne présente avec nous, dont il a nommé le service auquel il appartenait et dont le nom m’échappe. Il a rajouté que pour de tels aveux, je devais écoper d’au moins huit ans d’emprisonnement ferme et qu’aucun avocat ne pourrait obtenir la réduction de cette peine. Je lui ai alors dit qu’elle était la solution. Il me répondit qu’il disposait de preuves trouvées sur facebook confirmant que je soutenais le mouvement Barakat et que celui-ci était donc lié à Ali Benflis ; ce qui permettait d’affirmer selon lui que le mouvement Barakat fait partie du clan Benflis ! Ensuite il se retourna vers Mahmoud Harbi et lui demanda d’écrire sur une feuille ce que je devais dire. Alors Mahmoud Harbi a commencé à me citer des noms, que je ne connaissais pas. Il y avait deux personnes debout au-dessus de moi qui me surveillaient pour que je ne bouge pas du bureau. A ce moment-là, des journalistes de la télévision privée, Ennahar TV arrivèrent pour enregistrer mes déclarations, que je devais lire sur la feuille que m’avait préparée peu avant Mahmoud Harbi. Il s’agissait pour moi de reconnaître que Hafnaoui Ghoul (Membre du mouvement Barakat) et Bernard Henri Lévy m’ont remis un faux passeport à l’aéroport Houari Boumediène à Alger. Je devais dire que j’étais parti avec eux au Maroc en compagnie d’Amira Bouraoui (Membre fondatrice du mouvement Barakat) et que nous avions été reçus par le Roi Mohamed VI dans son Palais, où était présent sur place le chanteur Enrico Macias. L’enregistrement dura quatre heures et demie, car je ne savais pas prononcer les noms en français et à chaque fois que je prononçais mal, ils étaient obligés de couper et cela les faisait rire. Une fois l’enregistrement terminé, Chérif Ould-Hocine déchira le procès-verbal devant moi et me dit qu’à présent on était quitte. Il ajouta : « attention, je te préviens que si tu révèles quoi que ce soit de tout cela, tu auras encore une fois affaire à moi. Je dois dire, que j’ai été soumis à de fortes pressions et que j’ai traversé de dures épreuves ; j’ai eu très peur pour moi, d’autant que je me sentais seul et j’avais aussi très peur d’aller en prison. A présent je suis fatigué, j’en ai marre et je m’en fous de ce qui peut m’arriver. En cas de la survenue d’un malheur, il serait le fait de Chérif Ould-Hocine. Je dois demander pardon à toutes les personnes que j’ai accusées à tort dans mes fausses déclarations sur la chaîne de télévision Ennahar TV. Je dois avouer qu’après l’enregistrement de ce faux témoignage contre le candidat Ali Benflis, contre le Mouvement Barakat et contre les personnes que j’ai citées, Chérif Ould-Hocine m’a promis un appartement et m’a assuré que le Wali de Bouira était au courant et qu’il approuvait ce marché. Je demande encore une fois pardon à toutes les personnes que j’ai accusées injustement et je dois dire que Hafnaoui Ghoul connaît parfaitement mon histoire personnelle et mon parcours de vie.
«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte de leurs propres âmes et celles de leurs familles». C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
L'Algérie, qui compte une petite communauté juive discrète, est disposée à ouvrir les synagogues fermées dans les années 90 pour des raisons de sécurité, a assuré le ministre des Affaires Religieuses Mohamed Aïssa, cité jeudi par la presse.
"Il y a une communauté juive dans notre pays bien acceptée dans nos quartiers. Elle a le droit d'exister. Son représentant, qui est un patriote, est en contact permanent avec le ministère", a souligné le ministre lors d'un forum organisé par le quotidien Liberté.
Interrogé sur la réouverture des lieux de culte juifs, il a répondu que l'Algérie y était disposée, mais a toutefois ajouté que "l'Etat n'envisage pas de les rouvrir dans l'immédiat" car "il faut d'abord sécuriser un lieu de culte avant de le livrer aux fidèles".
Les Juifs ont été souvent la cible de discours haineux des intégristes dans les années 90 et deux figures de cette communauté avaient été assassinées à Alger.
Voilà comment s’insinue et s’infiltre la secte maçonnique en terre d’islam : en créant de fausses organisations et autres associations bidons sous couvert d’humanisme afin d’influencer les élites (souvent décadentes et occidentalisées). Malheureusement, ces élites perdues dans l’idéologie progressiste mortifère croient atteindre le sommet de l’échelle sociale en adhérant à ces simulacres de charité (pourquoi l’être humain a toujours été attiré par ces breloques et dorures ?!), la preuve : la photo ci-dessous a été prise en marge d’une réunion de ce club. Il s’agit de la Conférence internationale sur le Leadership tenue à l’hôtel Aurassi d’Alger le 22 février 2014, précédée d’une soirée de gala avec, la participation de l’orchestre de jazz-blues « Cotton Club ». Frais de participation : 5000 DA, ce qui représente une somme énorme pour le quidam. Ce qui en dit long sur les objectifs subversifs de ces chevaux de Troie que représentent le Lions et le Rotary (souvent utilisés dans l’histoire pour l’espionnage). Si seulement le peuple algérien savait que ces structures crypto-maçonniques étaient totalement vouées à la lutte contre l’islam (le Rotary a déjà été dénoncé et condamné par des fatwas claires à l’instar de la secte maçonnique) ; totalement liés au sionisme, je ne donnerais pas 24 heures à ces pitres pour leur signifier de quitter le pays… http://www.lelibrepenseur.org/2014/07/07/rotary-et-secte-maconnique-en-algerie/
LE PRESIDENT INTERNATIONAL DE ROTARY, KALYAN BANERJEE 'Je suis à Alger pour remettre les pendules à l'heure'
Le président de l'Association nationale de Rotary Club d'Algérie présidera, à partir du mois de juillet prochain et pour la période 2012-2013, le District 9010, composé de l'Algérie, du Maroc, de la Tunisie et de la Mauritanie. 'Je suis venu en Algérie pour remettre les pendules à l'heure. L'objectif de ma visite, comme toutes les visites que j'effectue dans le monde, s'inscrit dans un cadre apolitique. Il faut savoir que c'est la première fois qu'un président international de Rotary visite l'Algérie et rencontre ses vis-à-vis pour évoquer les objectifs à tracer ensemble'. C'est ce qu'a déclaré, hier, le président international de Rotary, Kalyan Banerjee, lors d'une conférence de presse organisée à l'hôtel El-Aurassi (Alger). Devant le gouverneur du District 9010 pour 2011-2012 (Algérie, Maroc, Tunisie et Mauritanie), Ahmed Mikou (Marocain), et le futur gouverneur pour la même région (2012-2013), Abderrahmane Ali Khodja (Algérien), M. Banerjee a développé les actions majeures que mène son organisation à travers le monde, sans pour autant aller dans le détail du programme de sa visite. 'Vous serez informés en temps opportun par le président de l'Association nationale de Rotary Club d'Algérie sur tous mes contacts et mon programme de rencontres'. En ce sens, M. Ali Khodja affirmera que M. Banerjee devra rencontrer le président du Conseil économique et social (Cnes), M. Babès sans plus. 'Il est vrai que l'Algérie est en pleine campagne électorale. Il faut savoir que notre organisation est apolitique et que le président international n'a aucun contact ni avec des responsables de l'Etat, ni avec les responsables des partis politiques. Il a un agenda assez chargé pour cette courte visite et devra rencontrer des responsables d'association en fonction de leur disponibilité', développera encore M. Ali Khodja. D'ailleurs, le conférencier précisera que c'est le gouverneur qui définit les priorités, chaque année, des actions à mener dans chaque pays où Rotary est implanté. Par ailleurs, M. Banerjee a longuement évoqué les actions principales de son organisation dans le monde, notamment l'éradication de la poliomyélite en Afghanistan, au Pakistan et au Nigeria, l'octroi annuel de bourses à 60 étudiants répartis dans les universités pour faire la promotion de la paix dans des organisations internationales, comme l'ONU, les échanges entre jeunes (8 000 chaque année) et la prise en charge par les Rotariens pour élargir la culture de compréhension, de dialogue et de tolérance et, enfin, tisser de nouveaux canaux d'expression entre Rotariens et les organisations de bénévoles dans le monde. Composée de 34 000 clubs et de 1 300 000 Rotariens, cette organisation a vu la récente naissance de 15 nouveaux clubs et de 400 nouvelles adhésions. Mieux, dira le 101e président international, Rotary, qui tisse l'amitié entre les peuples, est composé de femmes et d'hommes d'affaires, tous des bénévoles, au service de l'humanité.
«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte de leurs propres âmes et celles de leurs familles». C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]