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    Système solaire- INFLUENCES INTERSTELLAIRES

    Samchris
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    Message  Samchris 21/2/2011, 21:04

    Vous devez savoir que nous sommes entrés dans un nuage interstellaire:
    Le Local Fluff.

    Le Fluff est fortement magnétisé, celui-ci développe une énergie qui excite l'atmosphère de notre planète et surtout de notre soleil, et ce pourrait être les ingrédients d'une catastrophe interstellaire!

    Système solaire- INFLUENCES INTERSTELLAIRES LIC.Mic.G.

    Lisez ce qu'en pense la NASA au centre héliophysique des chercheurs invités à l'Université George Mason:
    Ce nuage d'énergie est d'au moins deux fois plus fort comme il avait été prévu et que le système solaire a commencé à passer en elle, ajoutant que ce domaine est turbulent ou a une distorsion dans le voisinage solaire.

    Il ne fait aucun doute que le gouvernement américain ne rendra pas publique cette découverte.

    D'aprés le docteur Alexei Dmitriev, un physicien russe, nous sommes bien entrés dans ce nuage
    A savoir, un nuage interstellaire qui l'énergie du bord d'attaque du système solaire est maintenant entré.
    Il fait observer que:
    Le passage dans ce nuage interstellaire a déjà commencé à perturber le Soleil, causant des explosions solaires qui mènent à des ouragans, des tremblements de terre et des volcans d'une férocité sans précédent ici sur Terre.
    L'article termine par:
    Préparer et des stocks de nourriture qui allait durer pendant au moins 2 ans.
    En plus de ces avertissements, nous avons la crise alimentaire mondiale, l'inflation alimentaire, l'augmentation des coûts de l'énergie, nous devons nous préparer pour l'avenir et nos familles.
    SOURCE
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    Message  Samchris 21/2/2011, 22:18

    Voici une carte moins compliquée:
    Nous étions dans le "Local Cloud"
    Et nous sommes entrés dans le "G Clouds" (ou Local Fluff)
    C'est un nuage plus FROID et plus DENSE

    Système solaire- INFLUENCES INTERSTELLAIRES 04Cloud3_color_PCL_lg

    D'aprés les chercheurs, il faut s'attendre à un effet d'excitation ou de distorsion dans les champs magnétiques
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    Message  Bardamu 16/5/2012, 09:51

    Un documentaire "catastrophiste" sur les tempêtes solaires et l'apocalypse que potentiellement elles pourraient provoquer, suivi par la bande annonce d'une nouvelle série pondue par la communauté organisée... Les élus savent-ils quelque chose que nous devons ignorer jusqu'à ce que cela arrive ou s'agit-il simplement de davantage nous enfermer dans des peurs irrationnelles ?



    USM épisode No 58 (TEMPETES MAGNETIQUES)







    Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven



    Revolution : les premières images de la nouvelle série de JJ Abrams

    JJ Abrams (Lost, Fringe) se console de l'annulation d'Alcatraz, avec sa nouvelle série : Revolution. La série sera lancée à la rentrée de septembre sur NBC et des premières images viennent tout juste de sortir.

    De quoi ça parle ?
    Sans prévenir, un blackout plonge le monde entier dans l'obscurité... L'intrigue suit donc un groupe de survivants, quinze ans après les faits. La civilisation tente de survivre sans électricité alors que des milices dictatoriales ont pris le pouvoir. Après la mort de son père (qui apparemment, savait que le blackout allait se produire), une jeune fille part à la recherche de son oncle...

    Je pense qu'il faut s'attendre à ce que toute l'intrigue de la série soit tournée autour d'une unique question : que s'est-il passé ? Mais globalement, le trailer donne envie et la série pourrait bien être le prochain hit de JJ Abrams !

    Au casting on retrouve Tim Guinee (The Good Wife), Giancarlo Esposito (Once Upon A Time, Breaking Bad), Billy Burke (Twilight) et Andrea Roth (Ringer, Rescue Me).


    Revolution - Bande Annonce




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    Message  c.isme 17/5/2012, 22:38


    J'ai bien essayé de regarder le USM épisode No 58 (TEMPETES MAGNETIQUES) mais j'ai stoppé à "équivalent de 100 000 portes avions se déplaçant à plusieurs millions de kilomètres heure vers la terre" pour une CME de combien ?

    lol! déjà le coup des voitures et du ventilateur j'étais plié en me tapant la tête contre mon bureau (je touche du bois). 100 000 portes avions ha ces zuniens pourquoi pas 10 milliards de frigo classe A ou 700 millions de fast food mcdonalds (vous imaginez le nombres de frites ?). Mozinor devrait se faire un détournement de ces reportages.

    De plus à qui ça donne plus à visualiser une flotte de 100 000 portes avions c'est un truc de jedy on est dans star trek !

    Ha merci Barbamu ça fait du bien de rigoler un bon coup je vais bien dormir ce soir.

    Sleep faite de beaux rêves.
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    Message  c.isme 18/5/2012, 10:37

    Pour les sources du premier billet de Samchris je vous mets cela:


    Donc on a des trucs inconnus mais dont apparemment on connait parfaitement les effets sur un astre dont on peine à modéliser l'activité. Wow, je savais que la "Science" c'était fort, mais à ce point...

    Alors pour info, l'activité solaire en hausse, c'est juste parce que le cycle solaire de 11-14 ans a enfin redémarré. Rien à voir avec un "nuage extraterrestre inconnu de photons". Rien que ça! Mais lol, quoi...
    Les deux sondes Voyager rapportent que tout le système solaire est en danger? Merde alors, quand je pense qu'elles étaient à l'héliopause il n'y a encore pas si longtemps, les voilà déjà de retour!

    C'est juste un article pour faire peur, ça n'a rien de cohérent ni de scientifique.


    Merav Opher, par exemple, n'a jamais parlé d'un nuage interstellaire instable et violent. Elle a parlé du chaos qui règne dans le milieu interstellaire, aux confins de notre système, tel que mis en évidence par les récentes données de Voyager I et II.
    Sa page web: http://physics.gmu.edu/~mopher/

    Et il a été question de cette découverte ici:
    http://www.planete-revelations.com/t6785-une-enorme-surprise-aux-confins-du-systeme-solaire


    Alexey Dmitriev?
    http://tmgnow.com/repository/global/planetophysical.html
    Il a écrit son article en 1997. De toute première fraîcheur, donc, l'alerte lancée par Realnewsreporter!
    Ses rares publications en astrophysique sont chez le Millenium Group, spécialisé dans les publications border-line et parfois pseudo-scientifiques.
    Toutes les autres concernent les supraconducteurs.
    http://lizard.phys.msu.su/home/science/science.html



    A part nous sortir du vieux réchauffé pour 2012-2014 (déjà annoncé il y a 14 ans, mais pour l'an 2000...), je ne vois pas bien à quoi sert cet article du RNR..

    http://www.planete-revelations.com/t7921-la-nasa-cache-lapproche-dun-evenement-spatial-catastrophique

    Ce n'est que la première page et il y en a 10 autres, je verrais tout ça plus tard mais je vous mets les liens au cas où ce site disparaisse un jour et je vous mets un autre article en plus.

    Lien 1 http://www.realnewsreporter.com/?p=7056
    Lien 2 http://science.nasa.gov/science-news/science-at-nasa/2009/23dec_voyager

    Rayons cosmiques et climat
    http://www.skyfall.fr/?p=265
    http://virtedit.free.fr/article6.html
    Trouvé chez : http://www.onnouscachetout.com/forum/topic/17139-les-rayons-cosmiques-sont-de-plus-en-plus-puissants
    (Dernier post sur AL Tchijevsky assez intéressant...)
    Bien entendu cette recherche sur les rayons cosmiques est régulièrement mise à jour sur pensee-unique, vous avez des articles plus récents.




    L'article en bonobonus.

    Le milieu interstellaire
    Lundi 22 Mars 2010



    Système solaire- INFLUENCES INTERSTELLAIRES 1958126-2695281
    Interprétation artistique de l’héliogaine.
    Crédit : NASA/JPL/Caltech.

    Thunderbolts, Stephen Smith, 11 janvier 2010

    Un nuage de gaz ténu entoure le Système Solaire. Qu’est-ce qui maintient sa cohésion ?

    On dit souvent que l'espace est vide. Il est vrai que la densité de la matière dans l'espace est bien plus faible que tout vide pouvant être réalisé sur Terre, mais il existe de la matière dans l’espace interstellaire et intergalactique. Sur Terre, les plus grands vides créés arrivent normalement à produire un espacement de 0,1 millimètre entre les atomes du gaz résiduel.

    Il y a un atome au centimètre cube entre les étoiles, alors que dans le halo galactique de la Voie Lactée ils sont estimés être séparés de dix centimètres. Les régions de plus faible densité se trouvent dans le vide intergalactique, où l’on pense qu'il n’existe qu’un seul atome au décamètre cube [les atomes sont séparés de 10 mètres, ndt].

    Le milieu interstellaire, à travers lequel se déplacent le Système Solaire et toutes les autres étoiles, consiste en une imbrication de gaz et de poussière, faite essentiellement d'hydrogène et d'hélium mélangés à des grains des poussières de moins d'un dixième de micron. Un micron étant égal à un millionième de mètre, la poussière est donc presque aussi petite que la longueur d’onde de la lumière bleue (0,450 microns).

    La taille des particules de poussière implique la dispersion de la lumière bleue traversant le milieu interstellaire. C’est pourquoi la lumière qui atteint la Terre est plus rouge que ce ne serait le cas sans la poussière. Ce phénomène est appelé « rougissement interstellaire, » et c’est le même phénomène qui provoque la rougeur au lever et au coucher du Soleil. Par ailleurs, les nuages de poussière éclairés de côté par la lumière stellaire semblent bleus pour la même raison que le ciel de la Terre est bleu : la lumière bleue est diffusée par l'atmosphère terrestre.

    On ne sait pas ce qu’est la poussière, ni d’où elle vient, mais les astrophysiciens spéculent qu'elle est éjectée par les étoiles. Des étoiles supergéantes sont souvent vues entourées d'immenses nuages de poussière. Néanmoins, des photos de l'espace lointain révèlent aussi des bandes de poussière de milliers d'années-lumière de circonférence enroulées autour de nombreuses galaxies.

    Caractéristique importante du milieu interstellaire, il contient des particules ionisées ainsi que des molécules neutres. Ce sont les électrons et les ions positifs qui sont essentiels à la compréhension du comportement du milieu interstellaire et de son interaction avec le Système Solaire.

    Bien que le milieu interstellaire soit extrêmement ténu, s’il survient une séparation de charge dans différentes régions, un faible champ électrique se manifestera. Tout champ électrique, même insignifiant, sera l’initiateur d’un courant électrique.

    D’après un communiqué de presse récent (Lien 2 donné plus haut), un nuage inattendu de gaz et de poussières englobe l’héliogaine. Avant sa découverte, la compréhension conventionnelle ne permettait pas de prédire qu’il serait là, car « la forte pression des ondes de choc des supernovae aurait dû l’emporter. »

    Pourtant, selon Merav Opher de l’université George Mason : « Grâce aux données de Voyager nous avons découvert un fort champ magnétique à l'extérieur du Système Solaire. Ce champ magnétique maintient la cohésion du nuage interstellaire et résout l’énigme de sa présence là. »

    Le 20 août 1977, la NASA a lancé la mission Voyager 2 pour un périple de plusieurs années à l’extérieur du Système Solaire. Voyager 1 a été lancé sur une trajectoire plus rapide et de plus courte portée, le 5 septembre 1977. Voyager 1 a traversé le front terminal [*] du Soleil en décembre 2004. Naviguant sur un chemin différent, Voyager 2 a fait de même en août 2007. Ce sont les données de ces « vieux briscards » qui ont fourni les informations de Merav Opher pour son appréciation sur le milieu interstellaire. [* Ndt : termination shock dans le texte : limite du Système Solaire ; lieu où s’équilibrent le « vent » solaire et le milieu interstellaire.]

    Qu’est-ce que l'héliogaine ? Voyager 1 a subi des forces « inhabituelles, » au moment où il s'approchait de la limite entre le Soleil et l'espace interstellaire. Wal Thornhill, le défenseur de l’Univers électrique, a expliqué que l’engin spatial était entré dans la « double couche, » ou gaine de plasma de Langmuir, entre le plasma solaire et le plasma du milieu interstellaire.

    C'est un principe bien connu que les courants électriques génèrent des champs magnétiques. Puisque l’équipe de recherche de Merav Opher a trouvé des champs magnétiques assez forts pour maintenir la cohésion des nuages ténus de gaz et de poussière contre l'influence des hypothétiques explosions de supernovae, des courants électriques doivent circuler dans le milieu interstellaire pour créer ces champs.

    Chaque fois qu’une décharge électrique se produit dans le plasma, le flux de courant est pincé vers l'intérieur du fait des champs magnétiques induits [par le courant lui-même, ndt]. Cet effet est connu sous le nom de « z-pinch » [ou striction longitudinale, ndt], et c’est un principe fondateur de la théorie de l’Univers électrique. Cette constriction peut être si intense que le plasma est comprimé en particules solides. D’ailleurs, les étoiles et les galaxies sont considérées devoir leur existence à des strictions longitudinales cosmiques, créées par d’énormes courants électriques dans les immenses nuages de plasma qui représentent 99% de l'Univers.

    En conclusion, la poussière ultrafine, les champs magnétiques, les influences sur les engins spatiaux et l'héliogaine elle-même, sont autant de manifestations de la force électrique. L’électricité finira par supplanter la théorie gravitationnelle en tant que Primum Mobile [principe moteur originel, ndt] de l'existence. En attendant, de patientes observations continuent à étayer les concepts de l’Univers électrique.


    Original : thunderbolts.info/tpod/2010/arch10/100111medium.htm
    Traduction copyleft de Pétrus Lombard


    Notes du traducteur

    Les théories de la Cosmologie du plasma et de l’Univers électrique sont l’œuvre de scientifiques de diverses spécialités et d’ingénieurs de l’IEEE.

    Leur but est d’expliquer l’Univers de manière intelligible pour tout un chacun, c’est-à-dire, par un exposé cohérent, avec des phénomènes physiques connus et reproductibles en laboratoire. Cette démarche est à l’opposé de celle de l’astronomie officielle qui, depuis des lustres, rend les choses mystérieuses en s’obstinant à vouloir tout justifier uniquement par la force de gravité dans le cadre d’un hypothétique Big Bang, et surtout en ne prononçant jamais le mot électricité.

    Les astrophysiciens, en effet, quand une nouvelle découverte « étonnante » (quasiment tout rapport astronomique de l’ère spatiale sidère les astronomes !) discrédite leurs postulats, incroyablement, au lieu de renoncer à eux comme l’impose la rigueur scientifique, soit intègrent en force les faits nouveaux dans leurs théories, en imaginant pour cela de nouveaux concepts du style étoile à neutrons, trou noir, matière et énergie mystérieuses, etc, soit ignorent tout bonnement ce qui démolit inexorablement la théorie du Big Bang, tel que ce fut le cas avec la découverte faite par Halton Arp du redshift intrinsèque des objets célestes, qui, en infirmant toute relation entre le redshift d’un astre et sa distance, démolit complètement l’hypothèse de l’expansion de l’Univers.

    Truffée d’omissions et d’invérifiables rustines inconcevables physiquement, objectivement, l’astrophysique officielle ne fait plus figure de science mais plutôt d’agréable passe-temps de science-fiction, financé par le contribuable, pour forts en maths férus d’usines à gaz.

    Pourtant, le principe des phénomènes cosmiques les plus « étonnants » s’explique très simplement par des forces électriques et magnétiques à l’œuvre au sein du plasma.

    Sachant : 1) que le plasma constitue plus de 99% de l’Univers visible ; 2) qu’il a des propriétés électriques et magnétiques ; 3) que les forces électromotrices ont une portée incomparablement plus grande que la gravité ; 4) que la manifestation de la décharge électrique est identique à toutes les échelles connues ; 5) et que partout dans le cosmos des champs magnétiques, des rayonnements radio, X et gamma, sont détectés ; il faut, même avec des œillères, une fermeture d’esprit astronomique pour ne pas voir que l’électricité joue le tout premier rôle dans l’Univers.

    Les théories de l’Univers électrique, par ailleurs, en intégrant plusieurs disciplines, proposent une synthèse scientifique cohérente. Toutes ces idées de haute valeur scientifique font l’objet d’articles en anglais sur des sites Internet comme, http://www.holoscience.com/news.php
    http://members.cox.net/dascott3/index.htm (lien mort)
    http://plasmascience.net/tpu/TheUniverse.html
    http://www.thunderbolts.info/wp
    qui propose aussi tout un choix de livres.

    http://www.alterinfo.net/Le-milieu-interstellaire_a44120.html?print=1

    Liste du super travail de Pétrus Lombard

    Exemple: http://www.alterinfo.net/L-electromagnetisme-galactique_a44804.html?print=1

    ----


    J'allais oublié je suis de l'avis de Roger Robert concernant le plasma (détail oui mais important) mais qui n'est pas un état de la matière à proprement parlé.
    Difficile et toujours approximatif mais je pense qu'une bonne comparaison pourrait être le mot mâchefer
    Car c'est un mot de la même classe car dans un plasma vous pouvez avoir toute sorte d'éléments atomiques différenciés mais subissant la même force et formant une même "soupe".
    c.isme
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    Message  c.isme 21/7/2012, 02:47

    Traduction à compléter, je préfère laisser les passages en anglais quand je ne suis pas sur de la bonne formulation. Vérifiez la traduction si jamais j'ai loupé un truc. Merci

    "Unexpectedly slow motions below the Sun's surface"
    Des mouvements d'une lenteur inattendue sous la surface du soleil
    20 juillet 2012


    Phys.org) -- Les mouvements intérieurs du Soleil sont beaucoup plus lents que prédit. Plutôt que de bouger à la vitesse d'un jet (comme auparavant compris) le plasma coule à un pas marchant. Le résultat de cette nouvelle étude, dont le premier auteur est de l'Institut de Max Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, sera publié dans une édition prochaine de Procédures de l'Académie nationale de Sciences (PNAS). Les scientifiques utilisent des observations d'oscillations solaires de l'Observatoire de Dynamique Solaire de la NASA (SDO) pour voir à l'intérieur du Soleil.
    Laurent Gizon et Aaron C. Birch de l'Institut Max Planck au Solar System Research dans la même édition du PNAS, ces nouvelles observations démontrent les capacités uniques de l'héliosismologie avec le SDO pour sonder les mystères de l'intérieur solaire profond.


    Dans son tiers le plus écarté « In its outermost third », le Soleil se comporte comme un pot cuisant à petit feu d'eau : la chaleur du dessous permet au plasma de monter à la surface où il est rafraîchi et redescend à l'intérieur. Ce mécanisme, appelé la convection, transporte l'énergie « outward » et contrôle la structure, l'évolution, du Soleil.

    Les scientifiques, menés par Shravan Hanasoge de l'Institut Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, étaient maintenant pour la première fois capables de « constrain » les écoulements profonds dans la couche de convection avec des observations directes de la surface du Soleil grâce à l'aide de l'héliosismologie.
    L'héliosismologie est semblable à la sismologie de Terre. “Nous observons des oscillations de la surface solaire et les utilisons pour déduire des propriétés, comme les écoulements, dans l'intérieur solaire”, explique Laurent Gizon, le directeur du Département “ Physique interne du Soleil et des Étoiles semblables au Soleil” à l'Institut Planck pour la Recherche de Système Solaire et le Professeur de l'Institut pour l'Astrophysique à l'Université de Göttingen.

    Des écoulements de plasma de moins d'un mètre par seconde

    L'équipe de scientifiques de l'Institut Planck pour la Recherche de Système Solaire, l'Université de Princeton, du NASA’s Goddard Flight Center et l'Université de New York ont été en mesure de déterminer les vitesses d'écoulement à une profondeur de 55 000 kilomètres, qui est de 8% du rayon solaire. Étonnamment, les vitesses d'écoulement du plasma qui ont été trouvées sont moins que de quelques mètres par seconde. Gizon le met dans la perspective en disant que "c'est cent fois moins que prédites par les modèles numériques de convection solaire”.

    La clé de ces nouveaux résultats était des données du SDO la sonde de la NASA, qui a observé la surface du Soleil depuis début 2010. Les scientifiques ont analysé des données de l'Helioseismic and Magnetic Imager (HMI) du SDO. L'analyse était seulement possible en raison de la combinaison de haute définition et de couverture spatiale complète des observations. L'énorme quantité de données recueillie par HMI - des milliers d'images à haute résolution du Soleil entier par jour - sont archivées et traitées dans le Centre de Données allemand pour le SDO accueilli à l'Institut Planck pour la Recherche sur le Système Solaire, une facilité unique en Europe.

    Les signaux acoustiques révèlent la vitesse des courants de convection du soleil

    La HMI mesure la vitesse de la surface du Soleil. Quand un signe acoustique solaire piégé dans le Soleil atteint la surface, il fait bouger la surface – et peut ainsi être découvert par la HMI. De cette manière, les scientifiques ont été capable de mesurer le temps que prennent les signaux acoustiques solaires pour voyager d'un point sur la surface solaire par l'intérieur à un autre point sur la surface. Les écoulements de convection affectent la vitesse de propagation des signaux. Dorénavant, il est possible d'apprendre, les vitesses des écoulements de convection à l'intérieur du soleil, les mesures de temps de voyage de ces signaux.
    Modéliser l'interaction des signaux acoustiques solaires avec la convection est un thème de recherche actuelle, entreprise par la German Research Foundation’s Collaborative Research Center “Astrophysical flow instabilities and Turbulence” à l'Institut Planck de Göttingen.

    Gizon dit que “The unexpectedly small velocities measured using helioseismology are the most noteworthy helioseismology result since the launch of HMI”. Birch ajoute, “Il n'y a aucune façon claire de réconcilier les observations et la théorie”. Gizon conclut alors que "Ce résultat répand non seulement une nouvelle lumière sur le Soleil – mais aussi sur notre incapacité actuelle de comprendre un des processus physiques les plus fondamentaux du soleil et des étoiles : la convection”.

    More information: Shravan M. Hanasoge, et al., Anomalously weak solar convection, Proceedings of the National Academy of Sciences, July 24 2012, 109, 30 (published online ahead of print June 4) doi:10.1073/pnas.1206570109

    Laurent Gizon and Aaron C. Birch, Helioseismology challenges models of solar convection, Proceedings of the National Academy of Sciences, July 24 2012, 109, 30

    Liens actifs sur la source
    http://phys.org/news/2012-07-unexpectedly-motions-sun-surface.html
    http://www.thunderbolts.info/forum/phpBB3/viewtopic.php?f=3&t=6402

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