Quand la télé ose parler religion
Giesbert Vs Polony & Pulvar Religion [Litte]... par peanutsie
Alliance spirituelle contre la subversion mondialiste. Forum d'éveil des consciences par le partage des connaissances et l'esprit de solidarité.
AldousOrwell a écrit:
C’est une décision totalement scandaleuse aux yeux des personnes handicapées qui habitent en Grèce : la pédophilie, la cleptomanie, et l’exhibitionnisme sont reconnus officiellement comme un handicap par le gouvernement. Le véritable scandale provient surtout du fait que ces ajouts vont permettre d’ouvrir la porte aux réductions ou à la suppression d’avantages financiers que perçoivent les personnes handicapées.
Explication… On est en droit ici de se poser la question quant à savoir si ces déviances psychologiques sont bien des « handicaps » au sens strict du terme. En plus, l’élargissement de la liste des catégories d’invalidité a pour effet direct de revoir l’ensemble des quotients d’invalidité au détriment de beaucoup de personnes handicapées en Grèce.
Par exemple, la nouvelle liste officielle des handicaps reconnus officiellement en Grèce applique un taux d’invalidité de 35 % aux pyromanes et aux pédophiles comparativement à 80 % pour les greffés du coeur.
Plus dramatique, un taux de 20 à 30 % d’invalidité est reconnu aux voyeurs comparativement à 10 % pour les diabétiques qui doivent subir des injections d’insuline quatre ou cinq fois par jour.
Ce qui ulcère les moins-valides Grecs est que le fait de voir ces déviances (qui étaient du ressort unique des tribunaux et de la justice) devenir un handicap légal reconnu officiellement ouvre la porte à une possibilité d’indemnisation financière .
Payer une allocation handicap à un pédophile ou un exhibitionniste, voila qui rend la situation surréaliste.
De son coté, le ministère du Travail a simplement déclaré que l’élargissement des catégories qui comprend donc également maintenant les pyromanes, les joueurs compulsifs, les fétichistes et sadomasochistes a été effectué à des fins d’évaluation médicale et utilisé comme une jauge d’octroi d’aide financière.
Le fait d’augmenter le nombre de bénéficiaires à charge du budget handicap devrait signifier d’augmenter la masse budgétaire accordée à ce secteur, ce qui semble manifestement irréaliste vu le contexte de crise économique dramatique que doit traverser le pays actuellement. La Confédération nationale des personnes handicapées ne voit donc que l’autre solution disponible : diminuer les aides financières accordées à d’autres catégories de personnes handicapées.
Yannis Vardakastanis, responsable du CNDP, qui est aveugle, a averti que cette nouvelle liste pourrait créer de nouvelles difficultés pour les handicapés Grecs qui font déjà face à des réductions des prestations dues à la crise financière. Mais en plus de ce qui constitue manifestement un scandale au « handicap » , c’est toute la définition du critère de handicap qui est ici en jeu. Ne risque t on pas d’indemniser des faits simplement et majoritairement répréhensibles et délictueux pénalement ? N’est ce pas une manière de permettre à ces personnes d’échapper légalement à la justice ? Considérer la pédophilie comme un handicap n’est-ce pas reconnaitre que la personne qui commet ces actes odieux est simplement irresponsable de ceux-ci…
La Grèce à ouvert ici des portes que l’on aurait sans doute préférée voir fermées.
Aurelien a écrit:C'est tellement énorme que certains pensent à un Hoax :
En Gréce, les pervers notament pedophiles béneficierons des avantages sociaux réservés aux handicapés
Le 23 janvier 2012, Handimobility relayait une information très surprenante dans un article intitulé Scandale Grec : Pédophilie, cleptomanie, exhibitionnisme reconnu comme handicap .. indemnisable ???.cette information est loin d’être passée inaperçue et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a semé un véritable trouble au point tel que son fondement et sa véracité même ont été remis en question ». Plusieurs blogs et communiqués s’inquiétaient du fait que la pédophilie, la cleptomanie, et l’exhibitionnisme étaient reconnus officiellement comme un handicap par le gouvernement.
Qui dit handicap, dit compensations financières possibles. Cette décision aurait provoqué une révision des pourcentages barémiques des différents types de handicaps qui pourrait entrainer une diminution des allocations attribuées aux différents types de handicaps.
Bien évidemment, cette information est loin d’être passée inaperçue et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a semé un véritable trouble au point tel que son fondement et sa véracité même ont été remis en question.
L’information a même eu son « heure de gloire » en étant reprise sur le site Hoaxbuster qui débusque les fausses informations qui sont diffusées en masse par le biais d’internet.
Alors ou en est-on ? Cette information est-elle vraie ou fausse ?
Il semble bel et bien que la réponse n’est pas si évidente. Une partie semblerait bel et bien vérifiée quant à l’aspect indemnisation, elle fait débat. La tendance actuelle voudrait que l’indemnisation ne soit absolument pas prévue mais il est dommage à ce titre qu’il ne soit pas possible de se baser sur une version d’une institution officielle du Pays.
La meilleure analyse à ce jour semble bel et bien celle de « Frène » sur Hoaxbuster que je vais me permettre de reprendre in-extenso ci-dessous :
S’il faut quelqu’un qui parle le Grec, je peux trouver ça… Mais ce n’est peut-être pas la peine, vu qu’il y a des sites sérieux qui ont évoqué l’histoire en Anglais :
http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-16486416
http://www.guardian.co.uk/world/feedarticle/10035030
http://www.guardian.co.uk/world/feedarticle/10032325
D’après ces site, ce qui fait débat (y compris en Grèce) c’est un plan qui vise essentiellement à simplifier la définition du handicap en le ramenant à une définition médicale (dans l’espoir bien sûr de faire des économies sur les aides).
La redéfinition du handicap telle qu’elle est prévue par ce plan implique de considérer comme tels les pédophiles, les pyromanes, les fétichistes, les exhibitionnistes, les sado-masochistes, les joueurs compulsifs (ben oui, médicalement parlant, tous ces gens sont tenus pour des malades, pas pour des monstres à éradiquer).
En revanche, ce nouveau statut ne signifie pas, comme on a pu le lire ici ou là, que ces personnes bénéficieront d’une pension d’invalidité, ni de quelconque prestation que ce soit – comme une agence de presse l’avait annoncé par erreur :
http://www.guardian.co.uk/world/feedarticle/10033930
Enfin, rien ne dit que ce plan sera maintenu, vu l’hostilité qu’il suscite chez les associations d’handicapés (ce qui peut se comprendre).
Pour résumer : la partie « handicap » de l’histoire est à peu près VRAIE, la partie « allocations » est FAUSSE.
Dommage que nous ne puissions obtenir une version officielle des autorités Grecques car il reste encore bien des doutes et supputations sur la capacité de dédommagement. Il semblerait qu’une clarification officielle soit ici plus qu’ailleurs vraiment importante.
Bien sur si l’actualité évolue en faveur d’une nouvelle information au sujet de cet élargissement du handicap à ces pratiques reconnues comme matières pénales dans bon nombre de pays, Handimobility ne manquera pas de vous en faire part.
Bon à savoir
http://www.handimobility.org/blog/?p=15862
"On devrait pouvoir tuer un bébé comme on avorte d'un foetus"
Par: Déborah Laurent
1/03/12 - 10h06
Francesca Minerva est philosophe et médecin de l'éthique à Oxford. Elle soutient que vu que les bébés ne sont pas de "vraies personnes", on peut les tuer. Pour elle, avorter d'un foetus ou tuer un nouveau-né parce qu'on se rend compte qu'on ne peut pas s'occuper de lui, c'est pareil. Ses propos font évidemment polémiques.
Dans un article publié par le British Medical Journal, elle déclare que les médecins devraient avoir le droit de mettre fin aux jours d'un bébé parce qu'il est handicapé, qu'il coûte trop cher à ses parents ou simplement parce qu'il n'était pas désiré. Pour Francesca, un nouveau-né n'a pas encore d'espoir, d'objectifs, de rêves, il n'est donc pas encore une personne et il n'a donc pas encore de droit moral de vie.
Elle soutient que si une femme qui tombe enceinte voit sa vie changer (elle se retrouve seule, par exemple, au cours de sa grossesse), et qu'elle n'a tout à coup plus le temps, l'argent ou l'énergie nécessaires pour prendre soin de son bébé, elle devrait pouvoir le faire tuer. Cet argumentaire pour l"infanticide légal" fait évidemment froid dans le dos.
Source
Panisse a écrit:
"On devrait pouvoir tuer un bébé comme on avorte d'un foetus"
Par: Déborah Laurent
1/03/12 - 10h06
Francesca Minerva est philosophe et médecin de l'éthique à Oxford. Elle soutient que vu que les bébés ne sont pas de "vraies personnes", on peut les tuer. Pour elle, avorter d'un foetus ou tuer un nouveau-né parce qu'on se rend compte qu'on ne peut pas s'occuper de lui, c'est pareil. Ses propos font évidemment polémiques.
Dans un article publié par le British Medical Journal, elle déclare que les médecins devraient avoir le droit de mettre fin aux jours d'un bébé parce qu'il est handicapé, qu'il coûte trop cher à ses parents ou simplement parce qu'il n'était pas désiré. Pour Francesca, un nouveau-né n'a pas encore d'espoir, d'objectifs, de rêves, il n'est donc pas encore une personne et il n'a donc pas encore de droit moral de vie.
Elle soutient que si une femme qui tombe enceinte voit sa vie changer (elle se retrouve seule, par exemple, au cours de sa grossesse), et qu'elle n'a tout à coup plus le temps, l'argent ou l'énergie nécessaires pour prendre soin de son bébé, elle devrait pouvoir le faire tuer. Cet argumentaire pour l"infanticide légal" fait évidemment froid dans le dos.
Source
Francesca Minerva ne pensait pas que sa suggestion provoquerait un tel débat. C'est elle qui a déclaré qu'on devrait pouvoir tuer un bébé comme on avorte d'un foetus si on se rend compte qu'on n'arrive pas à s'en occuper convenablement. Selon elle, les bébés "ne sont pas de vraies personnes", donc ils n'ont pas encore "de droit moral à la vie".
Francesca Minerva a réagi aux critiques qui ont suivi la publication de son article dans le British Medical Journal. "Les jours qui ont suivi cette publication ont été les pires de ma vie", a-t-elle confié. Elle a reçu des menaces de mort et des messages du genre: "Tu brûleras en enfer."
Elle demande aujourd'hui aux gens de comprendre la perspective de son travail. "Ce n'est pas un document politique, ce n'est pas une proposition de loi. c'est purement académique, la discussion est théorique." Elle ne s'attendait évidemment pas à une telle réaction. Elle pense que son argumentaire a été sorti de son contexte académique et théorique. "Je voudrais dire aux gens que ce n'est pas une politique, je ne souhaite pas que cela arrive et je n'encourage pas ce que j'ai expliqué."
Julian Savlusecu, rédacteur en chef du journal dans lequel l'article a été publié, a précisé qu'il ne défendait pas l'infanticide mais bien "la liberté académique et intellectuelle."
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1523/Famille/article/detail/1402845/2012/03/02/Tuer-un-bebe-comme-on-avorte-la-philosophe-menacee-de-mort-se-defend.dhtml
fleurdesprés a écrit:
Le procédé dit de "la vaccine":
on distille les idées pourries petit à petit , sournoisement, au début çà révolte, puis de moins en moins, cinq ans après on consent tacitement, et encore cinq ans après, on accepte et on approuve.
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