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Le président de l'OPEP voit le prix du baril atteindre 150 à 170 dollars cet été.
"Je prévois probablement des prix [du pétrole] compris entre 150 et 170 dollars durant cet été", a déclaré, jeudi 26 juin, Chakib Khelil, le président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), dans un entretien accordé à la chaîne de télévision France 24."Cela va peut-être décliner un peu vers la fin de l'année", a-t-il ajouté. A 8 heures à New York (14 heures à Paris), le prix du baril de pétrole était à 135,98 dollars.
Interrogé pour savoir si les prix pouvaient monter à 200 dollars, M. Khelil a répondu : "Je ne pense pas", sauf en cas de grave crise sur les marchés pétroliers, tel qu'un arrêt de la production en Iran. Dans ce cas, il juge "possible" que les prix puissent grimper "jusqu'à 200, 300 ou 400 dollars". Selon lui, l'OPEP n'a pas la capacité "de remplacer plus de 3 millions de barils au plus", alors que l'Iran en produit 4 millions. Mais "dans tous les cas de figure, il n'y a pas de problème d'offre sur le marché pétrolier", réaffirme-t-il, considérant qu'"il y a suffisamment de pétrole [dans le monde] pour les cinquante prochaines années".
Bon bien moi qui est 2 CHEVROLET une de 1979 et une de 1954 (conso 18/l au 100).
je vais me faire, cet été, un dernier "baroud d'honneur" avant de les mettres au garage.
mais je l'ai vendraient jamais !!! ou je prefere les donnaient a un musée.
sinon, VIVE LA MOB !
pour rire et reflechir a des solutions futur de déplacement un grand classique :
https://www.dailymotion.com/video/x1255y_la-mobylette-electrique_fun
"Je prévois probablement des prix [du pétrole] compris entre 150 et 170 dollars durant cet été", a déclaré, jeudi 26 juin, Chakib Khelil, le président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), dans un entretien accordé à la chaîne de télévision France 24."Cela va peut-être décliner un peu vers la fin de l'année", a-t-il ajouté. A 8 heures à New York (14 heures à Paris), le prix du baril de pétrole était à 135,98 dollars.
Interrogé pour savoir si les prix pouvaient monter à 200 dollars, M. Khelil a répondu : "Je ne pense pas", sauf en cas de grave crise sur les marchés pétroliers, tel qu'un arrêt de la production en Iran. Dans ce cas, il juge "possible" que les prix puissent grimper "jusqu'à 200, 300 ou 400 dollars". Selon lui, l'OPEP n'a pas la capacité "de remplacer plus de 3 millions de barils au plus", alors que l'Iran en produit 4 millions. Mais "dans tous les cas de figure, il n'y a pas de problème d'offre sur le marché pétrolier", réaffirme-t-il, considérant qu'"il y a suffisamment de pétrole [dans le monde] pour les cinquante prochaines années".
Bon bien moi qui est 2 CHEVROLET une de 1979 et une de 1954 (conso 18/l au 100).
je vais me faire, cet été, un dernier "baroud d'honneur" avant de les mettres au garage.
mais je l'ai vendraient jamais !!! ou je prefere les donnaient a un musée.
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