Anti Nouvel Ordre Mondial

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2 participants

    l'histoire de l'église catholique

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    ratman


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    Message  ratman 2/8/2011, 17:27

    *http://dl.free.fr/fbOU0rMJQ
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    Message  ziril 2/8/2011, 18:01

    Un peu plus d'infos pour ceux qui le souhaite avant de télécharger:

    MARY BALL MARTINEZ
    LA SAPE DE L'EGLISE CATHOLIQUE

    Si les stupéfiants changements qui ont marqué l'histoire de la sape de l'Eglise sont clairement visibles à tous depuis longtemps,
    l'auteur, Mary Ball Martinez, insiste sur le fait que jusqu'à la synthèse des évènements à laquelle elle s'est livrée dans cet ouvrage,
    personne n'avait relié ces évènements en une séquence significative, comme elle l'a fait ici, s'écartant de tous les mythes, pieux ou
    non, qui avaient cours jusque-là.
    C'est pourquoi ce livre, fruit de quinze annnées de journalisme d'investigation au Vatican où l'auteur était correspondante pour The
    Wanderer, National Review et The American Spectator, apporte une contribution originale et un témoignage capital.

    POSTFACE DU TRADUCTEUR

    Cette version française du livre de Madame Martinez a été tirée de l'anglais. Elle a été faite pour l'information très sélective de
    chercheurs et historiens catholiques avertis, mais le traducteur s'oppose formellement à toute édition. L'ouvrage n'est pas sans intérêt
    mais est globalement faux et dangereux. Son intérêt est de présenter un certain nombre de faits et témoignages montrant que la révolution
    dans l'Eglise a été préparée en sous mains de longue date, et non pas spontanément en l'espace de Vatican II. Mais Madame
    Martinez va beaucoup plus loin. Elle insinue ici que cette révolution était virtuellement accomplie au sommet de l'Eglise avant Vatican
    II, sous et par Pie XII, interprétation tendancieuse, qui dénote que l'auteur s'est laissée influencer par des agents de l'adversaire, des
    maîtres de l'intox, visant à accréditer que les modernistes qui s'étaient emparés du pouvoir des clés, à la mort du dernier vrai pape, Pie
    XII précisément, étaient de vrais et légitimes successeurs !
    S'il y a bien eu complot, comment un catholique pourrait-il admetre que les chefs ou principaux artisans du complot se soient trouvés
    des papes ! Ceux-ci furent plutôt des pontifes déjà impuissants (ce qu'avait déjà signalé saint Pie X), face à un haut clergé profondément
    divisé et intellectuellement contaminé par le Kantisme et le sillonnisme, pour certains spirituellement défaillant, des pontifes
    soucieux de maintenir l'unité d'un haut clergé, entre ceux fidèles à l'esprit du Syllabus et ceux déjà empoisonnés par les illusions condamnées
    par Pie IX et saint Pie X .
    Pie XII comme aussi ses prédécesseurs ne peut être accusé de libéralisme dans sa dogmatique. La rebellion des esprits dans la
    société civile et religieuse le conduisit éventuellement à être semi-libéral dans certains de ses actes et à ne pas sévir assez sévèrement
    contre les clercs déviants. N'oublions pas qu'il a du gouverner l'Eglise au milieu des écueils majeurs qu'étaient la Maçonnerie, le
    communisme et le nietschhéisme des autorités civiles des Etats, et au milieu d'une guerre mondiale.
    Pie XII, en tant que Pape, n'a pas accompli le pas fatal que Jean XXIII accomplira en convoquant le concile et en épaulant frauduleusement
    le clan moderniste. Mais Pie XII eut peut-être une inclination "sillonniste" dans ses premières années. Nous laissons à ses
    futurs biographes le soin de le déterminer plus précisément. Dès lors qu'il eut le pouvoir des clés, il semble avoir finalement mis un
    frein aux projets de concile et de réforme, même s'il eut la faiblesse de permettre des études de réforme liturgique par telle ou telle
    commission (!), mais les modernistes qui voyaient le but de leurs efforts à leur portée n'en eurent que plus d'ardeur pour atteindre l'objectif
    à sa mort, avec la complicité d'un Roncalli, peu porté à la rigueur dogmatique et mystique.
    L'auteur indique avoir délibérément omis toute référence au déroulement de Vatican II. Ce faisant, omettre, "pour la clarté de sa
    thèse" (?) des faits aussi décisifs que les coups de force perpétrés par la minorité activiste lors du déroulement de Vatican II montre
    que l'auteur est plus journaliste à sensation que journaliste d'investigation rigoureuse ou historienne. Elle omet aussi tous les actes de
    Pie XII qui ne s'inscrivent pas dans l'esprit de sa thèse, comme par exemple la proclamation du dogme de l'Assomption qui fit grincer
    les dents des partisans du rapprochement avec les protestants, et la mise de saint Pie X sur les autels.
    L'apriorisme de l'auteur biaise l'éclairage de la genèse de la crise, et suggère donc faussement que les papes du XXe siècle, saint
    Pie X excepté, ont été les agents complices indirects, et pour Pie XII direct, de la subversion(!). Une telle thèse est contraire à la promesse
    du Christ et elle n'en apporte aucune preuve !
    Si la subversion demanda une longue préparation, les preuves existent de l'instant décisif où s'opéra un véritable coup de force,
    par un noyau de prélats ayant lors de Vatican II leur complice au Vatican même en la personne de Jean XXIII, coup de force d'un certain
    nombre de cardinaux et de mauvais évêques, nommés certes par Pie XII ou par Pie XI ; mais leur cas fut celui de tous les
    évêques hérétiques au cours des âges aussi nommés par des pâpes, seules les circon-stances furent différentes.
    Avant le pontificat de Jean XXIII, s'il y a eu irénisme de la part de tel ou tel Pape et infiltrations ennemies dans le haut clergé, reste
    que les encycliques et enseignements dogmatiques, jusqu'à Pie XII compris, demeurèrent essentiel-lement compatibles avec le magistère
    antérieur, Mystici Corporis inclus, quoique Madame Martinez en veuille insinuer, et ce, contrairement aux documents magistériels
    ultérieurs. De même les normes officielles de la catéchèse, les règles de piété et l'essentiel de la liturgie demeurèrent stable pour le
    principal jusqu'à la fin du règne de Pie XII, et furent bouleversés ensuite.
    Reprochant à Pie XII de n'avoir pas soutenu le combat de l'Allemagne National-Socialiste contre le com-munisme soviétique, l'auteur
    a-t-elle pensé qu'elle se fait ainsi complice de la stratégie actuelle du judaïsme, qui veut à toute force lier catholicisme et nazisme
    ? !
    On doit aussi relever de graves erreurs, comme l'affirmation répétée par l'auteur de l'appartenance à la ma-çonnerie de l'abbé Mastaï
    Ferretti qui deviendra Pie IX, affirmation reprise de calomnies de la maçonnerie et que celle -ci dut finalement démentir, comme en
    témoigne : "l'Histoire de Pie IX " par le comte de Saint Albin.
    Des faits sont omis : ainsi à propos des hypothèses susceptibles d'expliquer le renvoi de Mgr Montini de la Secrétairie d'Etat l'auteur
    ne mentionne pas l'affaire Tondi.
    A d'autres endroits l'auteur s'appuie sur des témoignages sujets à caution ou contradictoires dont elle ne retient jamais qu'une interprétation
    univoque. Ainsi de la déclaration citée d'un Mgr P. Molinari, p. 72 de la version anglaise, (qui d'ailleurs se contredit !). Rien
    non plus des propos rapportés de Marcel Clément n'est très probant, car les réformes évoquées, que PIE XII autorisa, restèrent ce2
    pendant limitées et catholiques dans leur forme et leur esprit sous son règne, même si certaines s'avérèrent regrettables. Or on doit
    demeurer très prudents à propos de certains témoignages, ne serait ce que parce que les auteurs de la subversion de l'Eglise avaient
    justement besoin de se réclamer entièrement de la caution de Pie XII pour authentifier leur action, et M Clément est précisément l'un
    de ceux qui ont fait allégeance aux néo-pontifes modernistes et ont donc besoin de cette caution !
    L'auteur le dit elle même : ce qu'elle expose ici, c'est la thèse de Jean Guitton et celle du chroniqueur religieux du quotidien romain
    "Il Tempo", le jésuite Rotonduni ; c'est quelque peu et sans doute à l'insu même de l'auteur une certaine justification de la légitimité de
    la révolution dans l'Eglise par sa continuité magistérielle. Et cette thèse pourrait alors servir à la justification théologique de la légitimité
    des "papes néo-modernistes" et au bien fondé des prélats qui "firent "de Vatican II un concile moderniste !
    Finalement on peut se demander si la bonne foi de l'auteur n'a pas été surprise par un informateur ayant pris le masque d'un "ultratraditionnaliste
    réactionnaire" (!), qui lui aurait glissé jusqu'à l'idée que la cause de la révolution dans l'Eglise… c'est Vatican I et la proclamation
    de l'infaillibilité pontificale, comme on est surpris de le lire (chapitre sur la Situation au début de la décennie 90) : un informateur
    ultra, qui rejoindrait curieusement la position de Mgr Dupanloup !
    Pie XII dut gouverner une Eglise ingouvernable, déjà semi-anarchique... qu'à sa mort le clan moderniste poussé par les vainqueurs
    de 45 prit en mains !
    Il faut souhaiter que ce petit ouvrage incite les historiens à prendre le relais des journalistes pour mieux éclairer cette phase cruciale
    de l'histoire de l'Eglise. Mais l'on comprend mieux ainsi pourquoi tout un clergé traditionnaliste mais foncièrement libéral et semimoderniste
    d'esprit se réclame si fort de Pie XII, ce qui permet de se parer de la Tradition et de saint Pie X sans trop s'opposer "aux
    dogmes du Monde moderne", car dans l'Eglise de Pie XII, les deux camps coexistaient !

    SOMMAIRE

    I LA METAMORPHOSE
    II CHRONIQUE DE LA PERIODE 1903-1963
    Faire alliance
    Un sérieux contretemps
    Un nouveau départ
    Les Français domptés
    L'étouffement des Mexicains
    Vers la guerre mondiale
    L'approfondissement de la sape
    Les marxistes protégés
    L'empoisonnement des esprits
    Le saccage de la Tradition
    La préparation de l'assaut
    La recueil des signatures
    III LES HOMMES AU SOMMET
    Jean
    Pie
    Paul
    Jean-Paul I
    Jean-Paul II
    IV LA SITUATION AU DEBUT DES ANNEES 90
    Vérification de la thèse
    Anathème
    Diaspora
    Néo-catholiques et catholiques ancienne manière



    PS: Je n'ai pas lu, c'est juste a titre indicatif.
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    Message  Invité 3/8/2011, 18:50

    La vérité c'est que l’Église Catholique a été Éclipsée par la secte conciliaire issue de Vatican II.

    Rome a perdue la foi ,l’Église est Éclipsée est le monde est dans la consternation comme nous l'avait prédit Notre Dame a La Salette:

    https://novusordoseclorum.1fr1.net/t5168-notre-dame-de-la-salette?highlight=salette

    Prophéties de la situation actuelle de l'Eglise:

    http://www.catholique-sedevacantiste.com/categorie-10478513.html

    Le Vatican est devenue le siège de l’antéchrist (collectif) ouvrant la voie a l’antéchrist individuel.

    Seul Notre Seigneur Jesus Christ pourrat mettre un terme au court règne du démon sur terre et restaurer son regne divin a travers son Eglise.
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    Message  Invité 3/8/2011, 19:44

    Saint Grégoire le Grand, Homélie X, 6 sur les péricopes évangéliques :

    “Il y a des hérétiques qui nient la divinité de Notre Seigneur, d’autres qui nient l’humanité de Notre Seigneur, et d’autres encore qui nient la royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ.”

    Les apostats conciliaires, antipapes en tête, nient et combattent le Dogme de la royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ (encyclique Quas Primas)

    http://www.gloria.tv/?media=107716

    Ces antichrists mettent en place la secte syncrétique de l'Antéchrist

    http://www.gloria.tv/?media=108058

    La pseudo restauration actuelle est une arnaque destinée à rallier les "tradis" (derniers fidèles catholiques)

    http://www.gloria.tv/?media=107719

    Hors de l'Eglise, point de salut.

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