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l'histoire de l'église catholique
ratman- Nombre de messages : 1460
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- Message n°1
l'histoire de l'église catholique
ziril- Nombre de messages : 3702
Age : 45
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Date d'inscription : 20/01/2008
- Message n°2
Re: l'histoire de l'église catholique
Un peu plus d'infos pour ceux qui le souhaite avant de télécharger:
Si les stupéfiants changements qui ont marqué l'histoire de la sape de l'Eglise sont clairement visibles à tous depuis longtemps,
l'auteur, Mary Ball Martinez, insiste sur le fait que jusqu'à la synthèse des évènements à laquelle elle s'est livrée dans cet ouvrage,
personne n'avait relié ces évènements en une séquence significative, comme elle l'a fait ici, s'écartant de tous les mythes, pieux ou
non, qui avaient cours jusque-là.
C'est pourquoi ce livre, fruit de quinze annnées de journalisme d'investigation au Vatican où l'auteur était correspondante pour The
Wanderer, National Review et The American Spectator, apporte une contribution originale et un témoignage capital.
POSTFACE DU TRADUCTEUR
Cette version française du livre de Madame Martinez a été tirée de l'anglais. Elle a été faite pour l'information très sélective de
chercheurs et historiens catholiques avertis, mais le traducteur s'oppose formellement à toute édition. L'ouvrage n'est pas sans intérêt
mais est globalement faux et dangereux. Son intérêt est de présenter un certain nombre de faits et témoignages montrant que la révolution
dans l'Eglise a été préparée en sous mains de longue date, et non pas spontanément en l'espace de Vatican II. Mais Madame
Martinez va beaucoup plus loin. Elle insinue ici que cette révolution était virtuellement accomplie au sommet de l'Eglise avant Vatican
II, sous et par Pie XII, interprétation tendancieuse, qui dénote que l'auteur s'est laissée influencer par des agents de l'adversaire, des
maîtres de l'intox, visant à accréditer que les modernistes qui s'étaient emparés du pouvoir des clés, à la mort du dernier vrai pape, Pie
XII précisément, étaient de vrais et légitimes successeurs !
S'il y a bien eu complot, comment un catholique pourrait-il admetre que les chefs ou principaux artisans du complot se soient trouvés
des papes ! Ceux-ci furent plutôt des pontifes déjà impuissants (ce qu'avait déjà signalé saint Pie X), face à un haut clergé profondément
divisé et intellectuellement contaminé par le Kantisme et le sillonnisme, pour certains spirituellement défaillant, des pontifes
soucieux de maintenir l'unité d'un haut clergé, entre ceux fidèles à l'esprit du Syllabus et ceux déjà empoisonnés par les illusions condamnées
par Pie IX et saint Pie X .
Pie XII comme aussi ses prédécesseurs ne peut être accusé de libéralisme dans sa dogmatique. La rebellion des esprits dans la
société civile et religieuse le conduisit éventuellement à être semi-libéral dans certains de ses actes et à ne pas sévir assez sévèrement
contre les clercs déviants. N'oublions pas qu'il a du gouverner l'Eglise au milieu des écueils majeurs qu'étaient la Maçonnerie, le
communisme et le nietschhéisme des autorités civiles des Etats, et au milieu d'une guerre mondiale.
Pie XII, en tant que Pape, n'a pas accompli le pas fatal que Jean XXIII accomplira en convoquant le concile et en épaulant frauduleusement
le clan moderniste. Mais Pie XII eut peut-être une inclination "sillonniste" dans ses premières années. Nous laissons à ses
futurs biographes le soin de le déterminer plus précisément. Dès lors qu'il eut le pouvoir des clés, il semble avoir finalement mis un
frein aux projets de concile et de réforme, même s'il eut la faiblesse de permettre des études de réforme liturgique par telle ou telle
commission (!), mais les modernistes qui voyaient le but de leurs efforts à leur portée n'en eurent que plus d'ardeur pour atteindre l'objectif
à sa mort, avec la complicité d'un Roncalli, peu porté à la rigueur dogmatique et mystique.
L'auteur indique avoir délibérément omis toute référence au déroulement de Vatican II. Ce faisant, omettre, "pour la clarté de sa
thèse" (?) des faits aussi décisifs que les coups de force perpétrés par la minorité activiste lors du déroulement de Vatican II montre
que l'auteur est plus journaliste à sensation que journaliste d'investigation rigoureuse ou historienne. Elle omet aussi tous les actes de
Pie XII qui ne s'inscrivent pas dans l'esprit de sa thèse, comme par exemple la proclamation du dogme de l'Assomption qui fit grincer
les dents des partisans du rapprochement avec les protestants, et la mise de saint Pie X sur les autels.
L'apriorisme de l'auteur biaise l'éclairage de la genèse de la crise, et suggère donc faussement que les papes du XXe siècle, saint
Pie X excepté, ont été les agents complices indirects, et pour Pie XII direct, de la subversion(!). Une telle thèse est contraire à la promesse
du Christ et elle n'en apporte aucune preuve !
Si la subversion demanda une longue préparation, les preuves existent de l'instant décisif où s'opéra un véritable coup de force,
par un noyau de prélats ayant lors de Vatican II leur complice au Vatican même en la personne de Jean XXIII, coup de force d'un certain
nombre de cardinaux et de mauvais évêques, nommés certes par Pie XII ou par Pie XI ; mais leur cas fut celui de tous les
évêques hérétiques au cours des âges aussi nommés par des pâpes, seules les circon-stances furent différentes.
Avant le pontificat de Jean XXIII, s'il y a eu irénisme de la part de tel ou tel Pape et infiltrations ennemies dans le haut clergé, reste
que les encycliques et enseignements dogmatiques, jusqu'à Pie XII compris, demeurèrent essentiel-lement compatibles avec le magistère
antérieur, Mystici Corporis inclus, quoique Madame Martinez en veuille insinuer, et ce, contrairement aux documents magistériels
ultérieurs. De même les normes officielles de la catéchèse, les règles de piété et l'essentiel de la liturgie demeurèrent stable pour le
principal jusqu'à la fin du règne de Pie XII, et furent bouleversés ensuite.
Reprochant à Pie XII de n'avoir pas soutenu le combat de l'Allemagne National-Socialiste contre le com-munisme soviétique, l'auteur
a-t-elle pensé qu'elle se fait ainsi complice de la stratégie actuelle du judaïsme, qui veut à toute force lier catholicisme et nazisme
? !
On doit aussi relever de graves erreurs, comme l'affirmation répétée par l'auteur de l'appartenance à la ma-çonnerie de l'abbé Mastaï
Ferretti qui deviendra Pie IX, affirmation reprise de calomnies de la maçonnerie et que celle -ci dut finalement démentir, comme en
témoigne : "l'Histoire de Pie IX " par le comte de Saint Albin.
Des faits sont omis : ainsi à propos des hypothèses susceptibles d'expliquer le renvoi de Mgr Montini de la Secrétairie d'Etat l'auteur
ne mentionne pas l'affaire Tondi.
A d'autres endroits l'auteur s'appuie sur des témoignages sujets à caution ou contradictoires dont elle ne retient jamais qu'une interprétation
univoque. Ainsi de la déclaration citée d'un Mgr P. Molinari, p. 72 de la version anglaise, (qui d'ailleurs se contredit !). Rien
non plus des propos rapportés de Marcel Clément n'est très probant, car les réformes évoquées, que PIE XII autorisa, restèrent ce2
pendant limitées et catholiques dans leur forme et leur esprit sous son règne, même si certaines s'avérèrent regrettables. Or on doit
demeurer très prudents à propos de certains témoignages, ne serait ce que parce que les auteurs de la subversion de l'Eglise avaient
justement besoin de se réclamer entièrement de la caution de Pie XII pour authentifier leur action, et M Clément est précisément l'un
de ceux qui ont fait allégeance aux néo-pontifes modernistes et ont donc besoin de cette caution !
L'auteur le dit elle même : ce qu'elle expose ici, c'est la thèse de Jean Guitton et celle du chroniqueur religieux du quotidien romain
"Il Tempo", le jésuite Rotonduni ; c'est quelque peu et sans doute à l'insu même de l'auteur une certaine justification de la légitimité de
la révolution dans l'Eglise par sa continuité magistérielle. Et cette thèse pourrait alors servir à la justification théologique de la légitimité
des "papes néo-modernistes" et au bien fondé des prélats qui "firent "de Vatican II un concile moderniste !
Finalement on peut se demander si la bonne foi de l'auteur n'a pas été surprise par un informateur ayant pris le masque d'un "ultratraditionnaliste
réactionnaire" (!), qui lui aurait glissé jusqu'à l'idée que la cause de la révolution dans l'Eglise… c'est Vatican I et la proclamation
de l'infaillibilité pontificale, comme on est surpris de le lire (chapitre sur la Situation au début de la décennie 90) : un informateur
ultra, qui rejoindrait curieusement la position de Mgr Dupanloup !
Pie XII dut gouverner une Eglise ingouvernable, déjà semi-anarchique... qu'à sa mort le clan moderniste poussé par les vainqueurs
de 45 prit en mains !
Il faut souhaiter que ce petit ouvrage incite les historiens à prendre le relais des journalistes pour mieux éclairer cette phase cruciale
de l'histoire de l'Eglise. Mais l'on comprend mieux ainsi pourquoi tout un clergé traditionnaliste mais foncièrement libéral et semimoderniste
d'esprit se réclame si fort de Pie XII, ce qui permet de se parer de la Tradition et de saint Pie X sans trop s'opposer "aux
dogmes du Monde moderne", car dans l'Eglise de Pie XII, les deux camps coexistaient !
SOMMAIRE
I LA METAMORPHOSE
II CHRONIQUE DE LA PERIODE 1903-1963
Faire alliance
Un sérieux contretemps
Un nouveau départ
Les Français domptés
L'étouffement des Mexicains
Vers la guerre mondiale
L'approfondissement de la sape
Les marxistes protégés
L'empoisonnement des esprits
Le saccage de la Tradition
La préparation de l'assaut
La recueil des signatures
III LES HOMMES AU SOMMET
Jean
Pie
Paul
Jean-Paul I
Jean-Paul II
IV LA SITUATION AU DEBUT DES ANNEES 90
Vérification de la thèse
Anathème
Diaspora
Néo-catholiques et catholiques ancienne manière
PS: Je n'ai pas lu, c'est juste a titre indicatif.
MARY BALL MARTINEZ
LA SAPE DE L'EGLISE CATHOLIQUE
LA SAPE DE L'EGLISE CATHOLIQUE
Si les stupéfiants changements qui ont marqué l'histoire de la sape de l'Eglise sont clairement visibles à tous depuis longtemps,
l'auteur, Mary Ball Martinez, insiste sur le fait que jusqu'à la synthèse des évènements à laquelle elle s'est livrée dans cet ouvrage,
personne n'avait relié ces évènements en une séquence significative, comme elle l'a fait ici, s'écartant de tous les mythes, pieux ou
non, qui avaient cours jusque-là.
C'est pourquoi ce livre, fruit de quinze annnées de journalisme d'investigation au Vatican où l'auteur était correspondante pour The
Wanderer, National Review et The American Spectator, apporte une contribution originale et un témoignage capital.
POSTFACE DU TRADUCTEUR
Cette version française du livre de Madame Martinez a été tirée de l'anglais. Elle a été faite pour l'information très sélective de
chercheurs et historiens catholiques avertis, mais le traducteur s'oppose formellement à toute édition. L'ouvrage n'est pas sans intérêt
mais est globalement faux et dangereux. Son intérêt est de présenter un certain nombre de faits et témoignages montrant que la révolution
dans l'Eglise a été préparée en sous mains de longue date, et non pas spontanément en l'espace de Vatican II. Mais Madame
Martinez va beaucoup plus loin. Elle insinue ici que cette révolution était virtuellement accomplie au sommet de l'Eglise avant Vatican
II, sous et par Pie XII, interprétation tendancieuse, qui dénote que l'auteur s'est laissée influencer par des agents de l'adversaire, des
maîtres de l'intox, visant à accréditer que les modernistes qui s'étaient emparés du pouvoir des clés, à la mort du dernier vrai pape, Pie
XII précisément, étaient de vrais et légitimes successeurs !
S'il y a bien eu complot, comment un catholique pourrait-il admetre que les chefs ou principaux artisans du complot se soient trouvés
des papes ! Ceux-ci furent plutôt des pontifes déjà impuissants (ce qu'avait déjà signalé saint Pie X), face à un haut clergé profondément
divisé et intellectuellement contaminé par le Kantisme et le sillonnisme, pour certains spirituellement défaillant, des pontifes
soucieux de maintenir l'unité d'un haut clergé, entre ceux fidèles à l'esprit du Syllabus et ceux déjà empoisonnés par les illusions condamnées
par Pie IX et saint Pie X .
Pie XII comme aussi ses prédécesseurs ne peut être accusé de libéralisme dans sa dogmatique. La rebellion des esprits dans la
société civile et religieuse le conduisit éventuellement à être semi-libéral dans certains de ses actes et à ne pas sévir assez sévèrement
contre les clercs déviants. N'oublions pas qu'il a du gouverner l'Eglise au milieu des écueils majeurs qu'étaient la Maçonnerie, le
communisme et le nietschhéisme des autorités civiles des Etats, et au milieu d'une guerre mondiale.
Pie XII, en tant que Pape, n'a pas accompli le pas fatal que Jean XXIII accomplira en convoquant le concile et en épaulant frauduleusement
le clan moderniste. Mais Pie XII eut peut-être une inclination "sillonniste" dans ses premières années. Nous laissons à ses
futurs biographes le soin de le déterminer plus précisément. Dès lors qu'il eut le pouvoir des clés, il semble avoir finalement mis un
frein aux projets de concile et de réforme, même s'il eut la faiblesse de permettre des études de réforme liturgique par telle ou telle
commission (!), mais les modernistes qui voyaient le but de leurs efforts à leur portée n'en eurent que plus d'ardeur pour atteindre l'objectif
à sa mort, avec la complicité d'un Roncalli, peu porté à la rigueur dogmatique et mystique.
L'auteur indique avoir délibérément omis toute référence au déroulement de Vatican II. Ce faisant, omettre, "pour la clarté de sa
thèse" (?) des faits aussi décisifs que les coups de force perpétrés par la minorité activiste lors du déroulement de Vatican II montre
que l'auteur est plus journaliste à sensation que journaliste d'investigation rigoureuse ou historienne. Elle omet aussi tous les actes de
Pie XII qui ne s'inscrivent pas dans l'esprit de sa thèse, comme par exemple la proclamation du dogme de l'Assomption qui fit grincer
les dents des partisans du rapprochement avec les protestants, et la mise de saint Pie X sur les autels.
L'apriorisme de l'auteur biaise l'éclairage de la genèse de la crise, et suggère donc faussement que les papes du XXe siècle, saint
Pie X excepté, ont été les agents complices indirects, et pour Pie XII direct, de la subversion(!). Une telle thèse est contraire à la promesse
du Christ et elle n'en apporte aucune preuve !
Si la subversion demanda une longue préparation, les preuves existent de l'instant décisif où s'opéra un véritable coup de force,
par un noyau de prélats ayant lors de Vatican II leur complice au Vatican même en la personne de Jean XXIII, coup de force d'un certain
nombre de cardinaux et de mauvais évêques, nommés certes par Pie XII ou par Pie XI ; mais leur cas fut celui de tous les
évêques hérétiques au cours des âges aussi nommés par des pâpes, seules les circon-stances furent différentes.
Avant le pontificat de Jean XXIII, s'il y a eu irénisme de la part de tel ou tel Pape et infiltrations ennemies dans le haut clergé, reste
que les encycliques et enseignements dogmatiques, jusqu'à Pie XII compris, demeurèrent essentiel-lement compatibles avec le magistère
antérieur, Mystici Corporis inclus, quoique Madame Martinez en veuille insinuer, et ce, contrairement aux documents magistériels
ultérieurs. De même les normes officielles de la catéchèse, les règles de piété et l'essentiel de la liturgie demeurèrent stable pour le
principal jusqu'à la fin du règne de Pie XII, et furent bouleversés ensuite.
Reprochant à Pie XII de n'avoir pas soutenu le combat de l'Allemagne National-Socialiste contre le com-munisme soviétique, l'auteur
a-t-elle pensé qu'elle se fait ainsi complice de la stratégie actuelle du judaïsme, qui veut à toute force lier catholicisme et nazisme
? !
On doit aussi relever de graves erreurs, comme l'affirmation répétée par l'auteur de l'appartenance à la ma-çonnerie de l'abbé Mastaï
Ferretti qui deviendra Pie IX, affirmation reprise de calomnies de la maçonnerie et que celle -ci dut finalement démentir, comme en
témoigne : "l'Histoire de Pie IX " par le comte de Saint Albin.
Des faits sont omis : ainsi à propos des hypothèses susceptibles d'expliquer le renvoi de Mgr Montini de la Secrétairie d'Etat l'auteur
ne mentionne pas l'affaire Tondi.
A d'autres endroits l'auteur s'appuie sur des témoignages sujets à caution ou contradictoires dont elle ne retient jamais qu'une interprétation
univoque. Ainsi de la déclaration citée d'un Mgr P. Molinari, p. 72 de la version anglaise, (qui d'ailleurs se contredit !). Rien
non plus des propos rapportés de Marcel Clément n'est très probant, car les réformes évoquées, que PIE XII autorisa, restèrent ce2
pendant limitées et catholiques dans leur forme et leur esprit sous son règne, même si certaines s'avérèrent regrettables. Or on doit
demeurer très prudents à propos de certains témoignages, ne serait ce que parce que les auteurs de la subversion de l'Eglise avaient
justement besoin de se réclamer entièrement de la caution de Pie XII pour authentifier leur action, et M Clément est précisément l'un
de ceux qui ont fait allégeance aux néo-pontifes modernistes et ont donc besoin de cette caution !
L'auteur le dit elle même : ce qu'elle expose ici, c'est la thèse de Jean Guitton et celle du chroniqueur religieux du quotidien romain
"Il Tempo", le jésuite Rotonduni ; c'est quelque peu et sans doute à l'insu même de l'auteur une certaine justification de la légitimité de
la révolution dans l'Eglise par sa continuité magistérielle. Et cette thèse pourrait alors servir à la justification théologique de la légitimité
des "papes néo-modernistes" et au bien fondé des prélats qui "firent "de Vatican II un concile moderniste !
Finalement on peut se demander si la bonne foi de l'auteur n'a pas été surprise par un informateur ayant pris le masque d'un "ultratraditionnaliste
réactionnaire" (!), qui lui aurait glissé jusqu'à l'idée que la cause de la révolution dans l'Eglise… c'est Vatican I et la proclamation
de l'infaillibilité pontificale, comme on est surpris de le lire (chapitre sur la Situation au début de la décennie 90) : un informateur
ultra, qui rejoindrait curieusement la position de Mgr Dupanloup !
Pie XII dut gouverner une Eglise ingouvernable, déjà semi-anarchique... qu'à sa mort le clan moderniste poussé par les vainqueurs
de 45 prit en mains !
Il faut souhaiter que ce petit ouvrage incite les historiens à prendre le relais des journalistes pour mieux éclairer cette phase cruciale
de l'histoire de l'Eglise. Mais l'on comprend mieux ainsi pourquoi tout un clergé traditionnaliste mais foncièrement libéral et semimoderniste
d'esprit se réclame si fort de Pie XII, ce qui permet de se parer de la Tradition et de saint Pie X sans trop s'opposer "aux
dogmes du Monde moderne", car dans l'Eglise de Pie XII, les deux camps coexistaient !
SOMMAIRE
I LA METAMORPHOSE
II CHRONIQUE DE LA PERIODE 1903-1963
Faire alliance
Un sérieux contretemps
Un nouveau départ
Les Français domptés
L'étouffement des Mexicains
Vers la guerre mondiale
L'approfondissement de la sape
Les marxistes protégés
L'empoisonnement des esprits
Le saccage de la Tradition
La préparation de l'assaut
La recueil des signatures
III LES HOMMES AU SOMMET
Jean
Pie
Paul
Jean-Paul I
Jean-Paul II
IV LA SITUATION AU DEBUT DES ANNEES 90
Vérification de la thèse
Anathème
Diaspora
Néo-catholiques et catholiques ancienne manière
PS: Je n'ai pas lu, c'est juste a titre indicatif.
Invité- Invité
- Message n°3
Re: l'histoire de l'église catholique
La vérité c'est que l’Église Catholique a été Éclipsée par la secte conciliaire issue de Vatican II.
Rome a perdue la foi ,l’Église est Éclipsée est le monde est dans la consternation comme nous l'avait prédit Notre Dame a La Salette:
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t5168-notre-dame-de-la-salette?highlight=salette
Prophéties de la situation actuelle de l'Eglise:
http://www.catholique-sedevacantiste.com/categorie-10478513.html
Le Vatican est devenue le siège de l’antéchrist (collectif) ouvrant la voie a l’antéchrist individuel.
Seul Notre Seigneur Jesus Christ pourrat mettre un terme au court règne du démon sur terre et restaurer son regne divin a travers son Eglise.
Rome a perdue la foi ,l’Église est Éclipsée est le monde est dans la consternation comme nous l'avait prédit Notre Dame a La Salette:
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t5168-notre-dame-de-la-salette?highlight=salette
Prophéties de la situation actuelle de l'Eglise:
http://www.catholique-sedevacantiste.com/categorie-10478513.html
Le Vatican est devenue le siège de l’antéchrist (collectif) ouvrant la voie a l’antéchrist individuel.
Seul Notre Seigneur Jesus Christ pourrat mettre un terme au court règne du démon sur terre et restaurer son regne divin a travers son Eglise.
Invité- Invité
- Message n°4
Re: l'histoire de l'église catholique
Saint Grégoire le Grand, Homélie X, 6 sur les péricopes évangéliques :
“Il y a des hérétiques qui nient la divinité de Notre Seigneur, d’autres qui nient l’humanité de Notre Seigneur, et d’autres encore qui nient la royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ.”
Les apostats conciliaires, antipapes en tête, nient et combattent le Dogme de la royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ (encyclique Quas Primas)
http://www.gloria.tv/?media=107716
Ces antichrists mettent en place la secte syncrétique de l'Antéchrist
http://www.gloria.tv/?media=108058
La pseudo restauration actuelle est une arnaque destinée à rallier les "tradis" (derniers fidèles catholiques)
http://www.gloria.tv/?media=107719
Hors de l'Eglise, point de salut.
“Il y a des hérétiques qui nient la divinité de Notre Seigneur, d’autres qui nient l’humanité de Notre Seigneur, et d’autres encore qui nient la royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ.”
Les apostats conciliaires, antipapes en tête, nient et combattent le Dogme de la royauté sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ (encyclique Quas Primas)
http://www.gloria.tv/?media=107716
Ces antichrists mettent en place la secte syncrétique de l'Antéchrist
http://www.gloria.tv/?media=108058
La pseudo restauration actuelle est une arnaque destinée à rallier les "tradis" (derniers fidèles catholiques)
http://www.gloria.tv/?media=107719
Hors de l'Eglise, point de salut.
» La Doctrine Catholique Éternelle - PDF 890 pages (Catéchisme de la Tradition)
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