Aurelien a écrit:
Un enfant de 4 ans tué pour avoir refusé d’appeler la compagne de sa mère lesbienne "papa"
A l'heure où l'on veut chambouler la notion de parentalité, ne comptez
pas sur les médias français pour rapporter ce genre de faits divers.http://www.lifesitenews.com/news/4-year-old-killed-for-refusing-to-call-moms-lesbian-lover-daddy
JOHANNESBURG, Le journal sud-africain, "The Star" rapporte un procès
concernant la mort d'un enfant de quatre ans, Botha Jandre qui, selon
les preuves données au tribunal a été battu à mort pour avoir refusé
d'appeler l'amante lesbienne de sa mère «Papa».
Mercredi, le tribunal régional de
Vereeniging a statué qu'Engeline de Nysschen (33 ans ), et la mère de
l'enfant Hanelie Botha (31 ans ) sont coupables d'avoir assassiner
l'enfant. Bien que Nysschen a été reconnue coupable d'avoir infligé
des violences, la juge Rita Willemse s'est prononcée contre la mére
Botha pour ne pas avoir réagi face à la violence physique répétée de
son enfant par Nysschen ainsi que pour avoir menti afin de la protéger.
Les Témoignages devant le tribunal des employés du couple de lesbiennes a indiqué que le garçon a été agressé violemment pour avoir refusé les
demandes répétées d'appeler Nysschen «Papa».
Botha a affirmé que son enfant était mort après avoir glissé dans la baignoire, mais les experts médicaux ont rejeté ses affirmations en remarquant que les blessures, dont une fracture du crâne et des lésions cérébrales, ainsi que les jambes, la clavicule, les mains et le bassin brisées témoignaient que l'enfant avait subi des assauts répétés.
Un rapport pré-sentenciel devrait être rendu le 26 Juin.
L'article du "Star" (anglais) :
http://www.thestar.co.za/index.php?fSectionId=128&fArticleId=3171828
Traduction :
http://leschroniquesderorschach.blogspot.com/
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Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Bardamu- Admin
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- Message n°46
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Le fait divers en question, monstrueux, date de 2006 mais dans le contexte actuel le citer en exemple me semble tout simplement juste.
_________________
Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
Invité- Invité
- Message n°47
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Les enfants, cobayes de la théorie du genre
Pour Noël, les Magasins U ont distribué un catalogue où la plupart des clichés sexistes sont inversés. D’autres enseignes spécialisées dans le jouet préfèrent elles abandonner les sections « filles » et « garçons » au profit de pages thématisées et unisexes.
Un petit garçon qui tient dans ses bras un poupon et joue à faire la cuisine, une petite fille qui s’amuse avec une voiture télécommandée ou une grue... Le catalogue de Noël des Magasins U a agréablement surpris plusieurs parents, qui n’ont pas manqué de partager leur contentement sur les réseaux sociaux. Exit les pages « garçons », remplis de jeux d’aventures et d’imaginaire, et les pages « filles », dévolues aux activités maternantes, ménagères et de séduction (maquillage, coiffure, bijoux) ; ici, les clichés sont détournés.
« On avait pour tradition de mettre dans nos prospectus des garçons qui font du bricolage et des filles qui jouent à la dînette. Mais plusieurs parents nous ont fait remarquer que ça ne se passait pas forcément comme ça chez eux », explique-t-on chez les Magasins U.
Suite ici : http://www.lefigaro.fr/conso/2012/11/05/05007-20121105ARTFIG00544-des-catalogues-de-jouets-revolutionnent-les-genres.php
bilbox- Nombre de messages : 79
Date d'inscription : 19/02/2012
- Message n°48
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
En Argentine, choisir son genre devient un droit
sourceC'est une première, qui place l'Argentine en pays précurseur. Après l'autorisation du mariage homosexuel en 2010, le Sénat argentin a approuvé dans la nuit de mercredi à jeudi un projet de loi permettant aux transsexuels et travestis de choisir librement leur genre.
Ce texte autorise les citoyens argentins à déclarer le sexe de leur choix, et ainsi de changer d'état civil selon leur bon vouloir, sans nécessiter l'accord d'un médecin ou d'un juge. L'identité de genre ne dépend plus que du "vécu intérieur et individuel du genre, tel que la personne le perçoit elle-même".
"Toute personne peut demander un changement de sexe, de prénom et d'image, à partir du moment où ils ne correspondent pas au genre de cette personne, telle qu'elle la perçoit", précise la loi argentine. Aucun changement physique - opération chirurgicale, prise d'hormones ou traitement médical - ne sera donc requis pour changer d'état civil.
La personne n'aura plus qu'à se rendre au Registre national des personnes avec sa simple demande, ce qui est "quasiment révolutionnaire", affirme Anne-Gaëlle Duvochel, présidente du groupe d'étude sur la transidentité, le Gest.
"CETTE LOI EST EXTRÊMEMENT SURPRENANTE"
Jusqu'ici, les citoyens argentins souhaitant changer d'état civil ne pouvaient le faire qu'avec l'accord d'un juge. En votant cette loi, "l'Argentine institue un droit à choisir son genre de manière libre et souple", poursuit Anne-Gaëlle Duvochel. "Quel que soit votre parcours, si vous dites que vous êtes une femme, vous obtiendrez une carte d'identité de femme."
"Vous n'avez plus à vous faire opérer pour obtenir ce changement", expliquait fin avril Pedro Paradiso Sotille, membre du groupe lesbien, gay, bi et trans (LGBT) Comunidad Homosexual Argentina, cité par ABS-CBN News. "C'est un gigantesque pas en avant pour le mouvement des droits LGBT en Argentine." Car c'est sur ce point que la loi marque une vraie rupture, tant au niveau national qu'international : le genre d'un individu tel qu'écrit sur ses papiers d'identité sera décidé par la seule appréciation de la personne. Souvent, une décision judiciaire ou la preuve d'une opération chirurgicale de changement de sexe est requise pour changer d'identité.
Et même si des pays comme l'Espagne ou le Royaume-Uni ne demandent pas ces conditions, une "dysphorie de genre" - un décalage psychologique entre le sexe physique et l'identité de genre d'une personne - doit être diagnostiquée pour pouvoir modifier son état civil. "Au regard de nos sociétés, où l'Etat constate notre sexe et le fige, cette loi argentine est extrêmement surprenante", insiste Anne-Gaëlle Duvochel.
UNE LONGUEUR D'AVANCE SUR LA FRANCE
Ce changement législatif marque un progrès notable pour les droits des transsexuels et transgenres en Argentine, notamment en comparaison avec la situation française. "C'est une avancée incroyable, cela semble tellement souple", réagit David Bachalard, avocat au cabinet Apelbaum et associés, spécialisé notamment dans le changement de sexe. "Nous n'en sommes pas là, nous !"
En France, le changement de la mention du sexe dans l'état civil est conditionné à la preuve d'une "réassignation sexuelle irréversible", explique l'avocat. Celle-ci doit être constatée médicalement et faire l'objet d'une expertise judiciaire, psychologique et psychiatrique. Après passage de la demande devant ce collège d'experts, la décision du changement de sexe revient au tribunal. "Et il faut compter entre un an et un an et demi pour l'obtenir", précise David Bachalard.
Depuis 1992, le changement de sexe à l'état civil est seulement régi par un arrêt de la Cour de cassation jugeant que : "Lorsque, à la suite d'un traitement médico-chirurgical [...], une personne présentant le syndrome du transsexualisme ne possède plus tous les caractères de son sexe d'origine et a pris une apparence physique la rapprochant de l'autre sexe, auquel correspond son comportement social, le principe dû au respect de la vie privée justifie que son état civil indique désormais le sexe dont elle a l'apparence." La législation n'a pas beaucoup changé depuis.
CHANGEMENT LÉGISLATIF EN ATTENTE
En mai 2010, une circulaire du ministère de la justice a reconnu "l'absence de disposition législative ou réglementaire en la matière" en France. Quelques jours plus tôt, le Conseil de l'Europe adoptait la résolution 1728, demandant aux Etats-membres de garantir aux transsexuels et transgenres un droit à des papiers d'identité adaptés, "sans obligation préalable de subir une stérilisation ou d'autres procédures médicales, comme une opération de conversion sexuelle ou une thérapie hormonale".
"La loi argentine est très proche de cette résolution", analyse Emilie Garçon, responsable Ile-de-France de l'Association nationale transgenre (ANT). "Nous, nous demandons l'application stricte de cette résolution. Un changement d'état civil avec deux témoins", et rien de plus.
Séparer état civil et traitement médical, comme c'est désormais le cas en Argentine, est l'une des revendications majeures des transsexuels et transgenres. Le 29 décembre dernier, 73 députés PS ont déposé une proposition de loi allant dans ce sens, demandant de supprimer l'obligation d'une opération chirurgicale pour obtenir un changement de sexe sur l'état civil.
Mais fin de législature oblige, ce texte n'a pas encore été adopté, et ne devrait pas être débattu "avant la fin de l'année, voire l'année prochaine", estime David Bachalard. Dans le cas où la proposition est votée, une situation similaire à l'Argentine pourrait-elle voir le jour en France ? "J'imagine difficilement qu'il n'y ait aucun contrôle judiciaire", relativise l'avocat. "Je vois mal la justice ne pas se saisir de ce problème, notamment pour les changements de prénom."
Pour Emilie Garçon, cette proposition de loi "est une résolution 1728 à la française", incluant une notion d'"abus" de demandes qu'elle juge "effrayante". La responsable associative reste sceptique quant à de vraies avancées en France : "Vous savez, ici, on en est encore à refuser l'inscription de la transphobie dans les discriminations."
Invité- Invité
- Message n°49
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille
http://www.democratie-royale.org/article-deux-lesbiennes-transforment-leur-fils-adoptif-en-fille-112500958.html
http://www.democratie-royale.org/article-deux-lesbiennes-transforment-leur-fils-adoptif-en-fille-112500958.html
Floriano75- Nombre de messages : 190
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- Message n°50
Négationnistes et gendre
Les "négationnistes" de Dieu nie aussi le complot mondialiste ainsi que l'existence des hommes et des femmes, ont voies quels intérêts servent-ils : la synagogue de Satan !
La critique du "gender" a déjà été opérée par :
Alain Escada, Philippe Ploncard d'Assac, Monseigneur Anatrella, l'abbé Gros Jean et bien d'autres...chercher pour ceux qui veulent voir, c'est en vidéo et c'est instructif.
La critique du "gender" a déjà été opérée par :
Alain Escada, Philippe Ploncard d'Assac, Monseigneur Anatrella, l'abbé Gros Jean et bien d'autres...chercher pour ceux qui veulent voir, c'est en vidéo et c'est instructif.
Comandirej- Nombre de messages : 1277
Localisation : Paris
Date d'inscription : 12/10/2011
- Message n°51
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
L'idéologie du gender en image !
images créées à l'occasion d'un concours photo (Gender Bending / Changing the gender of celebrities.) :
http://www.worth1000.com/contests/29667/gender-bending-18
images créées à l'occasion d'un concours photo (Gender Bending / Changing the gender of celebrities.) :
http://www.worth1000.com/contests/29667/gender-bending-18
_________________
«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte
de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte
de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
Invité- Invité
- Message n°52
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Le vrai but du mariage homosexuel : imposer la théorie du Genre (Gender)
paralleye- Admin
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- Message n°53
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Tonino a écrit:Le vrai but du mariage homosexuel : imposer la théorie du Genre (Gender)
Merci Tonino.
Vidéo qui résume en une sorte de synthèse l'abomination complète dans laquelle cette société décadente est en train de sombrer,abomination qui n'est en rien le fruit d'un "hasard", mais le résultat d'une planification clairement voulue par les mondialistes.
Que dire d'autre ?
Ces gens-là sont des satanistes,ni plus ni moins.
Ils veulent votre perte et celle de vos enfants,et ils l'auront si vous ne faites rien,réveillez-vous !
L'heure est plus que grave là.
Il est question ici d'assassins de la vie au sens le plus large du terme qui détruiront l'humanité toute entière si on ne les arrête pas.
Pour enfoncer le clou,voyez encore ce sujet de Mech posté ce matin-même,en droite ligne de celui-ci :
Mech a écrit:La >bonne< parole de la TV:
La réalité:
article du Figaro du 25/10/2012:
Aux Pays-Bas, bientôt trois parents pour un enfant
Pour
protéger les familles construites autour d'un mariage entre
homosexuels, le royaume néerlandais va examiner les possibilités
juridiques de reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme
parents d'un même enfant.
Publicité
Pionniers en matière de
légalisation du mariage homosexuel, les Pays-Bas veulent maintenant
l'être en matière de reconnaissance des parents non biologiques. Pour
refléter «la situation des familles modernes», indique Liesbeth van
Tongeren, députée du parti écologiste, «un enfant devrait pouvoir avoir
plus de deux parents officiels»…
Les Pays-Bas ont été le premier
État au monde à légaliser le mariage homosexuel en 2001. Environ 25.000
enfants vivent aujourd'hui dans ce que l'on appelle poétiquement des
«familles roses». Mais il n'y a actuellement pas de reconnaissance
juridique spécifique ni pour les donneurs de sperme qui voudraient être
impliqués dans la vie d'un enfant, ni pour les beaux-parents.
Pour
protéger ces familles «roses», plusieurs partis politiques, dont les
écologistes de GroenLinks mais aussi les formations qui négocient
actuellement une coalition gouvernementale, les travaillistes du PvdA et
les libéraux du VVD, réclament une enquête du ministère de la Justice:
ils veulent que soient examinées les possibilités juridiques de
reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme parents d'un
même enfant.
Casse-tête juridique
«En ce moment, la
parentalité juridique est presque toujours la conséquence de la
parentalité biologique», indique-t-on chez GroenLinks, en regrettant que
«cela ne représente pas la diversité des familles aux Pays-Bas». Pour
Liesbeth van Tongeren, «la manière dont vit une famille est plus
importante que la lignée biologique. La réalité juridique doit prendre
en charge ce qui est le mieux pour tous ceux qui sont concernés».
L'idée
est venue du COC, une association de défense des droits des
homosexuels. «En pratique, des enfants sont déjà élevés par plus de deux
parents, explique Philip Tijsma, son porte-parole. Par exemple, un
couple de lesbiennes et un donneur, et quelquefois le partenaire du
donneur. J'en connais qui vivent dans une même maison! Cela concerne
aussi les couples hétérosexuels, quand par exemple les parents se
séparent et se remarient… L'idée est d'épargner à ces personnes une
procédure d'adoption longue, difficile et coûteuse.» La perspective de
casse-tête juridiques n'effraie pas l'association: «Je ne doute pas que
cela créera des conflits, assure Philip Tijsma, mais cela arrive dans
tous les foyers… Ce qui est grave actuellement, c'est qu'un enfant peut
voir disparaître un parent de sa vie, car les liens ne sont pas
juridiquement protégés.»
Lors d'un récent débat à la Chambre
basse du Parlement néerlandais, Fred Teeven, le secrétaire d'État à la
Justice, avait souligné qu'il voyait beaucoup d'objections pratiques à
une telle reconnaissance, mais qu'il fallait attendre les résultats de
l'enquête avant de prendre des décisions.
source et articles supplémentaires:
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/25/01016-20121025ARTFIG00441-aux-pays-bas-bientot-trois-parents-pour-un-enfant.php
http://actualitechretienne.wordpress.com/2012/09/19/3-parents-pour-1-enfant-on-y-pense-en-angleterre/
http://www.terrafemina.com/forme/sante/articles/17629-un-bebe-et-3-parents-pour-eviter-les-maladies.html
Déracinement du spirituel et du naturel.
Choisir son bébé sur mesure:
Le
Dr Jeff Steinberg, directeur d’une clinique de Manhattan spécialisée
dans la fécondation in vitro, déclare qu’il lui sera possible d’ici six
mois de proposer à ses clients de véritables bébés sur mesure.
Voulez-vous qu’il ait les yeux verts ? Les cheveux châtains ? La peau
mate ? C’est à ce type de questions que seront amenés à répondre les
futurs parents qui auront donc le choix de définir le profil rêvé de
leur enfant.
Sa technique est simple : le médecin effectue une
fécondation in-vitro d’embryons qu’il soumet à des tests ADN. Si les
résultats révèlent le profil demandé par les parents, l’embryon sera
alors implanté. Pour lui, c’est juste une question de "médecine
esthétique". Un procédé douteux dont le très controversé médecin, déjà
connu pour avoir contribué à la naissance du premier bébé-éprouvette,
reconnaît toutefois qu’il n’est pas fiable à 100%.
Selon le Dr
Steinberg, "les résultats seront plus fiables chez les couples avec des
origines scandinaves grâce à leur patrimoine génétique qui est moins
dilué." Quant au coût de ce "bébé parfait", il l’estime à 15 000 euros…
De
nombreux experts médicaux ont déjà décrié ce procédé qu’ils estiment
impossible à réaliser. Mais au-delà des progrès de la science et des
possibilités techniques de plus en plus avancées en matière génétique,
l’évidente question qui se pose relève évidemment du domaine de
l’éthique avec un programme de sélection physique qui s’apparente de
manière inquiétante à une quête de la « race supérieure ».
http://www.babyfrance.com/actus-bebe/choisir-son-bebe-sur-mesure.html
Choisir le sexe de son enfant pour 25 000 dollars dans une clinique de Los Angles
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t8008-1-enfants-3-parents-fin-de-la-genealogie#83655
La désacralisation de la vie dans une société matérialiste ultra-consumériste qui suinte le vice,le mal,la corruption morale et le culte à Mammon par tous les pores de sa peau,voilà où nous ont mené les soit-disant progrès des "Lumières" maçonniques.
Cette société moderne déshumanisée décadente va à l'encontre non seulement de toutes les lois divines,mais aussi de toutes les lois naturelles les plus élémentaires,jusqu'à l'encontre du plus logique bon sens,dirigée par de véritables malades mentaux,qui sont en train de la guider vers l'abîme infernale.
C'est "le monde" qu'ils veulent,et que vous allez laisser pour vos enfants de demain,qu'en pensez-vous ?
Invité- Invité
- Message n°54
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
GENDER EN FRANCE ET EN SUÈDE
Invité- Invité
- Message n°55
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
"Papa porte une robe" dans le programme CP-CE1 !
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Papa-porte-une-robe-dans-le-programme-CP-CE1-18228.html
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Papa-porte-une-robe-dans-le-programme-CP-CE1-18228.html
Invité- Invité
- Message n°56
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
L’amendement Sommaruga sur la théorie du genre retiré !
Première victoire. L’amendement Sommaruga qui ouvrait la voie à l’enseignement obligatoire de la « théorie du genre » à l’école primaire vient d’être retiré par les sénateurs.
Vous avez été plus de 270 000 à signer notre pétition demandant le retrait de cet amendement. Votre détermination et votre mobilisation ainsi que les nombreuses actions de « lobbying » menées par l’équipe de l’observatoire de la théorie du genre ont finalement contraint le gouvernement à accepter une modification de son texte.
Comme nous vous l’annoncions le 17 mai dernier, plusieurs sénateurs de l’opposition avaient accepté de défendre un amendement visant à supprimer de l’article 31 de la loi Peillon toutes références au « genre ». Le gouvernement et le rapporteur du projet de loi craignant certainement de nouvelles polémiques ont fini par accepter leur demande.
Si nous avons ainsi remporté une première bataille contre les militants de la théorie du genre, il reste bien des combats à livrer.
Rester mobilisé contre les avancées de la théorie du genre
À partir de la rentrée prochaine des cours d’éducation sexuelle seront obligatoires pour tous les élèves à partir de 6 ans. Selon certains experts, consultés par le ministère pour la mise en place de cet enseignement, l’objectif est de « dépasser la binarité historique entre féminin et masculin ». Sic !
L’un des plus importants syndicats enseignants, le SNUipp-FSU, a présenté, il y a quelques jours, le guide qu’il a édité pour former les enseignants à la déconstruction des stéréotypes de genre dès l’école primaire.
L’enseignement est appelé à ne plus se fonder « sur le postulat de la complémentarité des sexes ».
Les enseignants sont invités à s’appuyer sur le dispositif « Ligne Azur 2012 ». Ce site internet extrêmement militant prétend, par exemple, que l’identité de genre comme l’identité sexuelle ne seraient fondées que sur le simple sentiment d’appartenir à un genre ou un autre, sans que des données anatomiques ou biologiques n’entrent en considération. Sic !.
Le choix des livres proposés aux enfants est aussi très inquiétant. Les enseignants sont invités à s’appuyer pour leurs cours sur des ouvrages comme : « Papa porte une robe », « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille », « Le petit garçon qui aimait le rose », ou encore « Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ».
Ce syndicat milite également pour la généralisation de « l’éducation neutre », malgré les risques qu’elle fait courir aux jeunes enfants.
Ces exemples récents nous invitent donc à poursuivre et à amplifier notre mobilisation pour faire connaître les dangers de la théorie du genre, à informer les parents pour qu’ils soient vigilants sur ce qu’apprennent leurs enfants, enfin nous devons continuer à lutter contre la diffusion de la théorie du genre dans les manuels scolaires.
Le combat de l’observatoire ne fait que débuter, mais cette première victoire obtenue démontre qu’ensemble nous pouvons faire reculer le gouvernement dans ce domaine.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-amendement-Sommaruga-sur-la-theorie-du-genre-retire-18323.html
nex- Modérateur
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- Message n°57
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Conférence-débat sur l'idéologie du Genre - 30 mai 2013
à La Castille
à La Castille
Le gender dans nos écoles
Isabelle Ami - Professeur en SVT
Le gender et les familles
Mélina Douchy-Oudot, professeur de droit à l'Université du Sud (Toulon-VAR)
La théorie du gender : causes idéologiques, conséquences bioéthiques
Pierre-Olivier Arduin, titulaire d'un mastère de recherche Ethique, science, santé et société
Construire la civilisation de l'amour
Père Stephen Faure
Questions/Réponses
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Si le scandale vient de la vérité, il faut supporter le scandale plutôt qu'abandonner la vérité
Saint Grégoire le Grand
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- Message n°58
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Déjà postée par Nex ici : https://novusordoseclorum.1fr1.net/t7536-alfred-kinsey-pedophilie-et-revolution-sexuelle-degeneree
Une vidéo remarquable !!! Merci Nex
Edit Bardamu : Désolé de tempérer mon enthousiasme initial Il faut noter que ce reportage est l’œuvre d'un groupe à tendance sectaire dirigé par un ressortissant suisse, Ivo Sasek. Une recherche sur le Net avec son nom vous éclairera sur ses buts et les nombreuses affaires auxquelles il est mêlé. Sans préjuger de la pertinence de tous les arguments exposés dans ce documentaire, notamment les références nombreuses au judaïsme, il convient de visionner ce film avec prudence et esprit critique !
Une vidéo remarquable !!! Merci Nex
Edit Bardamu : Désolé de tempérer mon enthousiasme initial Il faut noter que ce reportage est l’œuvre d'un groupe à tendance sectaire dirigé par un ressortissant suisse, Ivo Sasek. Une recherche sur le Net avec son nom vous éclairera sur ses buts et les nombreuses affaires auxquelles il est mêlé. Sans préjuger de la pertinence de tous les arguments exposés dans ce documentaire, notamment les références nombreuses au judaïsme, il convient de visionner ce film avec prudence et esprit critique !
nex a écrit:Les ancêtres de la sexualisation précoce
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Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
Invité- Invité
- Message n°59
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
La Commission des droits de l'homme propose l'introduction de la notion de "genre" dans le droit français
GENRE - La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu ce jeudi 27 juin vers midi un avis, dans lequel elle recommande au gouvernement d’introduire la notion d’"identité de genre" dans le droit français, tout en ajoutant une série de propositions pour faciliter les conditions du changement d’état civil des personnes transsexuelles. Des propositions qui, si elles étaient adoptées, constitueraient une avancée majeure pour les "trans".
La CNCDH avait été saisie par la ministre du droit des femmes, Najat Vallaud Belkacem, et la ministre de la justice, Christiane Taubira. Ce texte devrait inciter le gouvernement à agir rapidement en faveur des personnes transsexuelles, les avis de la CNCDH ayant traditionnellement une grande importance, comme ceux du Comité consultatif national d'éthique.
"C'est un avis historique de la CNCDH. La balle est dans la camp du législateur pour qu'il fasse enfin avancer les #DroitsDesTrans", a réagi le porte-parole de l'Inter-LGBT Nicolas Gougain sur Twitter. "Nous sommes très contents de ce vote car c'est la première fois qu'une institution française d'importance a émis un avis aussi positif pour l'amélioration des droits des trans", a ajouté Nicolas Gougain, contacté par Le HuffPost.
Le texte s’inscrit dans une réflexion législative en cours, menée sous la dernière mandature par l’ex-députée Michèle Delaunay, aujourd’hui ministre, et qui avait déposé une proposition de loi en décembre 2012. Les travaux ont été repris depuis par les sénatrices Maryvonne Blondin et Michelle Meunier.
I) RECONNAISSANCE DE L’IDENTITE DE GENRE
Une notion “d’identité sexuelle” insuffisante
La CNCDH reconnaît dans son avis la nécessité d’introduire en droit français la notion “d’identité de genre”, pour mieux protéger les personnes transgenres ou transsexuelles (c’est-à-dire qui ont accompli ou non un changement de sexe).
Aujourd’hui il existe pour éviter les discriminations à l’encontre des personnes trans une notion d’”identité sexuelle”. Mais elle est jugée insuffisante par de nombreux acteurs (voir encadré). Pour la CNCDH, il s’agit de mieux protéger les personnes trans, avec une notion plus inclusive. L’identité de genre, telle que définie notamment par le Conseil de l’Europe et par les principes de Jogjakarta, désigne “l’expérience intime et personnelle de son genre telle que vécue par chacun”: je suis biologiquement un homme, mais à l’intérieur, je me sens femme. L’identité sexuelle s’apparente quant à elle plus à une “identité sociale”, et donc à des signes sexuels visibles. Or des discriminations peuvent s’opérer sur la base d’une simple intention ou de choses non “visibles”, comme dans le cas où un employeur souhaiterait licencier une personne qui a annoncé vouloir changer de sexe.
Flashback : de la loi sur le harcèlement sexuel à l’identité de genre L’”identité sexuelle” comme critère de discrimination est reconnue et votée par le Parlement en juillet 2012 lors de la discussion du projet de loi relatif au harcèlement sexuel, comme l’un des critères de discrimination possible subie par la personne ayant refusé les avances répétées de quelqu’un.
A cette époque, les discussions vont bon train déjà autour de ce cavalier législatif qui introduit le terme de “genre”. Plusieurs députés expriment leur craintes, comme Philippe Gosselin (UMP), qui brandi la menace d’un “révisionnisme anthropologique”. A l’inverse, d’autres députés comme Sergio Coronado (EELV) trouvent la notion d’identité sexuelle insuffisante. Le gouvernement s’engage alors à poursuivre ce débat, et saisit la CNCDH, en reprenant dans sa lettre de mission un des arguments principaux des partisans du concept, qui font remarquer que “plusieurs textes internationaux" auxquels la France est partie mentionnent le critère de “l'identité de genre”.
La France en retard sur les autres pays
Il s’agit de se conformer aux textes internationaux et européens, comme la résolution 1728 du Conseil de l’Europe, qui incite les Etats membres à “adopter et à appliquer une législation antidiscrimination incluant l’orientation sexuelle et l’identité de genre”. La France accusait un sérieux retard en ce domaine. “Les personnes trans n’apparaissent dans le droit français finalement qu’entre deux virgules, coincées entre toute une série de discriminations, alors que partout ailleurs on reconnaît la notion “d’identité de genre”. La France, c’est vraiment le village gaulois”, se moque la responsable de l’association IDTrans' Laura Le Prince, membre avec le porte parole de l’Inter-LGBT Nicolas Gougain de la CNCDH.
Le travail de la commission a été pollué sur ce point par les débats sur la “théorie du genre”, expression utilisée par les opposants au mariage pour tous pour qualifier les études sur le genre aux États-Unis. “La théorie du genre a pris en otage toute la réflexion”, déplore Laura Le Prince, qui assure qu’identité de genre et “études de genre” sont deux notions bien distinctes. Les secondes affirment que l'identité sexuelle n'est pas déterminée uniquement par le sexe biologique mais également par la société. Elles s'interrogent donc sur la manière dont norme féminine et norme masculine sont produites. Tandis que l'identité de genre, dans les textes juridiques, désigne l'expérience intime que les être ont d'eux-mêmes.
II) CHANGER DE SEXE A L’ETAT CIVIL SERAIT MOINS DIFFICILE
“De l’argent, du temps, et du tracas”
L’avis de la CNCDH propose par ailleurs de faire évoluer les conditions du changement de sexe à l’état civil, qui s’apparente aujourd’hui au parcours du combattant. En moyenne, il faut entre trois à neuf ans, avec de multiples étapes et documents: il faut en effet fournir le certificat d'un psychiatre qui doit diagnostiquer le fameux “syndrome de dysphorie de genre”. Avec, qui plus est, une grande incertitude sur l'issue judiciaire, une "insécurité juridique". En effet, en l’absence de texte de loi sur le sujet, le système repose en entier sur de la jurisprudence, et donc, aussi, fatalement, sur les interprétations divergentes des juges...
Il faut aussi prouver que le changement d’identité est “irréversible”. Ce qui pousse de nombreux trans, qui n’auraient pas souhaité tout de suite, voire pas du tout, se faire opérer, à courir chez le chirurgien, de peur que leur demande de changement d’état civil ne soit retoquée. “Il est paradoxal que ce soit aujourd’hui un problème administratif qui pousse au médical, alors que de l’autre côté une partie des frais des opérations chirurgicales sont remboursés par la sécurité sociale”, s’étonne la sénatrice Maryvonne Blondin.
L'effet psychologique des multiples demandes de papiers, de preuves, etc. est souvent dévastateur, les Trans vivant cela comme un déni de reconnaissance, une négation de leur existence. "La somme des preuves imposées par la jurisprudence et la fréquence des demandes d’expertise posent en outre le problème du soupçon qui pèse trop souvent sur les personnes transidentitaires, et qui est ressenti par elles comme une forme de déni d’identité", explique l'avis de la CNCDH.
Pendant ce temps, les frais d’avocat s’accumulent, et les personnes trans doivent vivre avec ce grand écart qui subsiste entre d’une part leurs papiers d’identité et d’autre part leur apparence physique. Elles subissent, selon de nombreux témoignages recueillis par les associations, des situations très embarrassantes au quotidien, que ce soit pour aller à la poste ou accomplir des démarches administratives. Du fait de cette dichotomie, elles peuvent aussi subir des discriminations dans leur travail, leur accès au logement, ou à certains droits sociaux. “C’est de l’argent, du temps et du tracas”, résume Maryvonne Blondin.
Démédicalisation et déjudiciarisation
Le texte proposé par le rapporteur de la CNCDH, et mis en débat ce jeudi, propose donc de simplifier la procédure. Il s’agit d’un côté de déconnecter le processus médical du processus judiciaire -requête de longue date des associations LGBT- et de l’autre d’alléger le parcours judiciaire en confiant certaines étapes à un officier d’état civil. Une déclaration de la personne concernée accompagnée de témoignages pourrait ainsi suffire dans un premier temps, le dossier étant alors dans un second temps simplement “homologué” par un juge.
Un tel compromis est en dessous des attentes de l'Inter-LGBT, qui réclame une déjudiciarisation totale, sur le modèle argentin, où seule une seconde requête de changement de sexe doit passer devant le juge. Mais elle a accepté ce compromis pour pouvoir faire un pas sur les aspects médicaux. Et de ce point de vue, l'avis de la CNCDH représente une avancée conséquente, puisqu'il prône une démédicalisation totale. Si demain l’avis était suivi par le gouvernement, un trans n’aurait plus besoin de produire de papier prouvant que son changement d’état civil est “irréversible” ou qu’il est atteint d’un “syndrome de dysphorie de genre”. Une expression qui dans la tête de beaucoup de juges équivaut à les considérer comme des “malades”, se plaignent les associations, alors que le transsexualisme n’est plus considéré comme une maladie mentale depuis 2010.
http://www.huffingtonpost.fr/2013/06/27/identite-de-theorie-du-genre_n_3504739.html
GENRE - La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu ce jeudi 27 juin vers midi un avis, dans lequel elle recommande au gouvernement d’introduire la notion d’"identité de genre" dans le droit français, tout en ajoutant une série de propositions pour faciliter les conditions du changement d’état civil des personnes transsexuelles. Des propositions qui, si elles étaient adoptées, constitueraient une avancée majeure pour les "trans".
La CNCDH avait été saisie par la ministre du droit des femmes, Najat Vallaud Belkacem, et la ministre de la justice, Christiane Taubira. Ce texte devrait inciter le gouvernement à agir rapidement en faveur des personnes transsexuelles, les avis de la CNCDH ayant traditionnellement une grande importance, comme ceux du Comité consultatif national d'éthique.
"C'est un avis historique de la CNCDH. La balle est dans la camp du législateur pour qu'il fasse enfin avancer les #DroitsDesTrans", a réagi le porte-parole de l'Inter-LGBT Nicolas Gougain sur Twitter. "Nous sommes très contents de ce vote car c'est la première fois qu'une institution française d'importance a émis un avis aussi positif pour l'amélioration des droits des trans", a ajouté Nicolas Gougain, contacté par Le HuffPost.
Le texte s’inscrit dans une réflexion législative en cours, menée sous la dernière mandature par l’ex-députée Michèle Delaunay, aujourd’hui ministre, et qui avait déposé une proposition de loi en décembre 2012. Les travaux ont été repris depuis par les sénatrices Maryvonne Blondin et Michelle Meunier.
I) RECONNAISSANCE DE L’IDENTITE DE GENRE
Une notion “d’identité sexuelle” insuffisante
La CNCDH reconnaît dans son avis la nécessité d’introduire en droit français la notion “d’identité de genre”, pour mieux protéger les personnes transgenres ou transsexuelles (c’est-à-dire qui ont accompli ou non un changement de sexe).
Aujourd’hui il existe pour éviter les discriminations à l’encontre des personnes trans une notion d’”identité sexuelle”. Mais elle est jugée insuffisante par de nombreux acteurs (voir encadré). Pour la CNCDH, il s’agit de mieux protéger les personnes trans, avec une notion plus inclusive. L’identité de genre, telle que définie notamment par le Conseil de l’Europe et par les principes de Jogjakarta, désigne “l’expérience intime et personnelle de son genre telle que vécue par chacun”: je suis biologiquement un homme, mais à l’intérieur, je me sens femme. L’identité sexuelle s’apparente quant à elle plus à une “identité sociale”, et donc à des signes sexuels visibles. Or des discriminations peuvent s’opérer sur la base d’une simple intention ou de choses non “visibles”, comme dans le cas où un employeur souhaiterait licencier une personne qui a annoncé vouloir changer de sexe.
Flashback : de la loi sur le harcèlement sexuel à l’identité de genre L’”identité sexuelle” comme critère de discrimination est reconnue et votée par le Parlement en juillet 2012 lors de la discussion du projet de loi relatif au harcèlement sexuel, comme l’un des critères de discrimination possible subie par la personne ayant refusé les avances répétées de quelqu’un.
A cette époque, les discussions vont bon train déjà autour de ce cavalier législatif qui introduit le terme de “genre”. Plusieurs députés expriment leur craintes, comme Philippe Gosselin (UMP), qui brandi la menace d’un “révisionnisme anthropologique”. A l’inverse, d’autres députés comme Sergio Coronado (EELV) trouvent la notion d’identité sexuelle insuffisante. Le gouvernement s’engage alors à poursuivre ce débat, et saisit la CNCDH, en reprenant dans sa lettre de mission un des arguments principaux des partisans du concept, qui font remarquer que “plusieurs textes internationaux" auxquels la France est partie mentionnent le critère de “l'identité de genre”.
La France en retard sur les autres pays
Il s’agit de se conformer aux textes internationaux et européens, comme la résolution 1728 du Conseil de l’Europe, qui incite les Etats membres à “adopter et à appliquer une législation antidiscrimination incluant l’orientation sexuelle et l’identité de genre”. La France accusait un sérieux retard en ce domaine. “Les personnes trans n’apparaissent dans le droit français finalement qu’entre deux virgules, coincées entre toute une série de discriminations, alors que partout ailleurs on reconnaît la notion “d’identité de genre”. La France, c’est vraiment le village gaulois”, se moque la responsable de l’association IDTrans' Laura Le Prince, membre avec le porte parole de l’Inter-LGBT Nicolas Gougain de la CNCDH.
Le travail de la commission a été pollué sur ce point par les débats sur la “théorie du genre”, expression utilisée par les opposants au mariage pour tous pour qualifier les études sur le genre aux États-Unis. “La théorie du genre a pris en otage toute la réflexion”, déplore Laura Le Prince, qui assure qu’identité de genre et “études de genre” sont deux notions bien distinctes. Les secondes affirment que l'identité sexuelle n'est pas déterminée uniquement par le sexe biologique mais également par la société. Elles s'interrogent donc sur la manière dont norme féminine et norme masculine sont produites. Tandis que l'identité de genre, dans les textes juridiques, désigne l'expérience intime que les être ont d'eux-mêmes.
II) CHANGER DE SEXE A L’ETAT CIVIL SERAIT MOINS DIFFICILE
“De l’argent, du temps, et du tracas”
L’avis de la CNCDH propose par ailleurs de faire évoluer les conditions du changement de sexe à l’état civil, qui s’apparente aujourd’hui au parcours du combattant. En moyenne, il faut entre trois à neuf ans, avec de multiples étapes et documents: il faut en effet fournir le certificat d'un psychiatre qui doit diagnostiquer le fameux “syndrome de dysphorie de genre”. Avec, qui plus est, une grande incertitude sur l'issue judiciaire, une "insécurité juridique". En effet, en l’absence de texte de loi sur le sujet, le système repose en entier sur de la jurisprudence, et donc, aussi, fatalement, sur les interprétations divergentes des juges...
Il faut aussi prouver que le changement d’identité est “irréversible”. Ce qui pousse de nombreux trans, qui n’auraient pas souhaité tout de suite, voire pas du tout, se faire opérer, à courir chez le chirurgien, de peur que leur demande de changement d’état civil ne soit retoquée. “Il est paradoxal que ce soit aujourd’hui un problème administratif qui pousse au médical, alors que de l’autre côté une partie des frais des opérations chirurgicales sont remboursés par la sécurité sociale”, s’étonne la sénatrice Maryvonne Blondin.
L'effet psychologique des multiples demandes de papiers, de preuves, etc. est souvent dévastateur, les Trans vivant cela comme un déni de reconnaissance, une négation de leur existence. "La somme des preuves imposées par la jurisprudence et la fréquence des demandes d’expertise posent en outre le problème du soupçon qui pèse trop souvent sur les personnes transidentitaires, et qui est ressenti par elles comme une forme de déni d’identité", explique l'avis de la CNCDH.
Pendant ce temps, les frais d’avocat s’accumulent, et les personnes trans doivent vivre avec ce grand écart qui subsiste entre d’une part leurs papiers d’identité et d’autre part leur apparence physique. Elles subissent, selon de nombreux témoignages recueillis par les associations, des situations très embarrassantes au quotidien, que ce soit pour aller à la poste ou accomplir des démarches administratives. Du fait de cette dichotomie, elles peuvent aussi subir des discriminations dans leur travail, leur accès au logement, ou à certains droits sociaux. “C’est de l’argent, du temps et du tracas”, résume Maryvonne Blondin.
Démédicalisation et déjudiciarisation
Le texte proposé par le rapporteur de la CNCDH, et mis en débat ce jeudi, propose donc de simplifier la procédure. Il s’agit d’un côté de déconnecter le processus médical du processus judiciaire -requête de longue date des associations LGBT- et de l’autre d’alléger le parcours judiciaire en confiant certaines étapes à un officier d’état civil. Une déclaration de la personne concernée accompagnée de témoignages pourrait ainsi suffire dans un premier temps, le dossier étant alors dans un second temps simplement “homologué” par un juge.
Un tel compromis est en dessous des attentes de l'Inter-LGBT, qui réclame une déjudiciarisation totale, sur le modèle argentin, où seule une seconde requête de changement de sexe doit passer devant le juge. Mais elle a accepté ce compromis pour pouvoir faire un pas sur les aspects médicaux. Et de ce point de vue, l'avis de la CNCDH représente une avancée conséquente, puisqu'il prône une démédicalisation totale. Si demain l’avis était suivi par le gouvernement, un trans n’aurait plus besoin de produire de papier prouvant que son changement d’état civil est “irréversible” ou qu’il est atteint d’un “syndrome de dysphorie de genre”. Une expression qui dans la tête de beaucoup de juges équivaut à les considérer comme des “malades”, se plaignent les associations, alors que le transsexualisme n’est plus considéré comme une maladie mentale depuis 2010.
http://www.huffingtonpost.fr/2013/06/27/identite-de-theorie-du-genre_n_3504739.html
Invité- Invité
- Message n°60
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
La théorie du genre expulsée de Norvège
http://fr.gloria.tv/?media=468672
http://fr.gloria.tv/?media=468672
La vidéo qui a mis un coup d'arrêt au "genre"
En Norvège, pays peu suspect d'homophobie ou de conservatisme, les crédits alloués au genre ont été coupé suite à ce reportage. La méthode est simple : le reporter compare les paroles de plusieurs scientifiques et les confronte les uns aux autres. La question posée : est-il possible que des différences biologiques entre hommes et femmes soient responsables de centres d'intérêts différents ?
Aleteia
Belgicatho
Le point de départ de l’enquête norvégienne est le suivant. Un journaliste, Harald Eia, s’étonnait que dans son pays - le plus égalitaire au monde selon une étude - les femmes étaient bien plus représentées dans les professions touchant à l’humain - les soins en particulier - et les hommes dans les professions techniques. 90% des infirmiers sont des femmes et 90% des ingénieurs sont des hommes.
On pourrait supposer qu’ils ont été éduqués et imprégnés de différence culturelle. Pourtant le gouvernement a lancé plusieurs programmes de soutien à l’égalité professionnelle et poussé les femmes vers les professions techniques, et les hommes vers celles du soin. Cela n’a rien changé.
Le journaliste a fait une enquête au cours de laquelle il a interviewé des scientifiques de haut niveau aux Etat-Unis. Les expériences les plus récentes démontrent que filles et garçons ont des intérêts différents dès la petite enfance (quelques mois), et même dès le premier jour de leur naissance. L’une de ces expériences consistait à filmer des bébés qui venaient de naître. On leur présentait une série d’objets ou de jouets connotés comme masculins (objets mécaniques, camions, etc) ou féminins (poupées par ex.).
Le résultat est que dès la naissance les filles regardaient longuement, de manière systématique, les objets féminins, et les garçons les objets masculins. Ces longs regards des nouveaux-nés étaient des manière d’établir une relation particulière et privilégiée avec les objets regardés. Cette expérience, et d’autres, mettent en cause directement l’idéologie gender.
Les scientifiques norvégiens ont refusé de s’interroger sur ces études, qualifiant simplement les chercheurs américains de « médiocres » et réaffirmant leur adhésion totale à la théorie du genre, laquelle est pourtant cassée par cette expérience récente et d’autres. Ils ne montraient pas la plus petite interrogation scientifique.
Après la diffusion du reportage le débat s’est enflammé et le gouvernement à coupé tous les subsides aux tenants de cette idéologie.
http://belgicatho.hautetfort.com/archive/2013/04/18/une-enquete-norvegienne-met-a-mal-la-theorie-du-gender-genre.html
http://www.atlantico.fr/decryptage/egalite-hommes-femmes-film-norvegien-qui-fait-voler-en-eclat-40-annees-certitudes-arthur-vivien-520300.html?page=0,0
http://www.lamanifpourtous18.fr/index.php/reperes/la-theorie-du-genre/69-theorie-du-genre-la-norvege-fait-marche-arriere
Invité- Invité
- Message n°61
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Le promoteur de la théorie du genre
http://fr.gloria.tv/?media=473454
Le Dr John Money (et ses victimes) http://fr.gloria.tv/?media=459329
Comandirej- Nombre de messages : 1277
Localisation : Paris
Date d'inscription : 12/10/2011
- Message n°62
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Lorsque le peuple aura suffisamment intégré que l'homme, la femme, la procréation hétérosexuelle et la notion de mère biologique sont juste des constructions sociales venant d'un autre temps, il sera l'heure pour l'humanité d'entrer de plain-pied dans le meilleur des mondes du visionnaire (ou idéologue) Aldous Huxley (voir dans celui d'Andrew Niccol dans "Galactica").
Pour y arriver, le pouvoir illuminé se donne tous les moyens.
Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, pose le 1er juillet 2013 dans son bureau avec 3 pères de famille dans le cadre de la présentation prochaine d'un projet de loi sur la parité homme-femme pour les congés parentaux.
-Le projet de loi prévoit que, pour un enfant, les parents pourront prendre six mois de congé parental de plus à condition que ce soit le second parent qui en bénéficie. A partir de deux enfants, la durée du congé restera de trois ans si six mois sont pris par le second parent.
-Le projet de loi introduit une notion expérimentale de pension alimentaire minimum de 90 euros. Cette réforme vise à créer une garantie publique contre les impayés de pensions alimentaires, véritable sport national. Les CAF verseront ainsi l’ASF au parent bénéficiaire, puis se retourneront vers le débiteur défaillant. Des outils seront créés ou renforcés: saisie sur salaire ou sur prestations familiales...
-Les sanctions financières contre les partis politiques qui ne respectent pas la parité aux législatives vont doubler.
http://m.20minutes.fr/politique/1182787-20130701-najat-vallaud-belkacem-la-loi-permettra-lutter-contre-stereotypes
Le terme "théorie" étant connoté complotiste, on parle dorénavant de l'étude du genre (gender studies), ça fait plus sérieux.
En juin 2013, Belkacem nous dit que : "La théorie du genre n’existe pas, ce qui existe c'est les études de genre".
En 2011 elle disait : "La théorie du genre, qui explique «l'identité sexuelle» des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d'aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l'homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets."
http://m.20minutes.fr/politique/778750-theorie-genre-il-essentiel-enseigner-enfants-respect-differentes-formes-didentite-sexuelle-afin-batir-societe-respect
Pour imposer ses délires, le pouvoir dispose d'une armée d'universitaires dégénérés .
L'exemple le plus frappant est Rachele Borghi, géographe, maitre de conférence à Paris 4 (anciennement à Rennes). Activiste et militante Queer et dissidente sexuelle (mouvement post porno).
Attention, scènes de nudité crasseuse, il est recommandé à ceux qui veulent écouter et tenter de comprendre les absurdités qu'elle débite, de basculer sur un autre onglet pendant l'écoute.
Projet de recherche "Genre et norme" :
Dans le cadre du projet de recherche "Genre et norme" agréé par le conseil scientifique de la MSH Ange-Guépin en novembre 2011, de nombreux séminaires sont organisés partout en France.
Coordinateurs :
Christine Bard, professeur d'histoire à l'université d'Angers (Confluences, SFR 4201), Annie Dussuet, maîtresse de conférences en sociologie à l'université de Nantes (CENS), Érika Flahault, maîtresse de conférences en sociologie à l'université du Maine (ESO UMR 6590) et Emmanuel Gratton, maître de conférences en sociologie à l'université d'Angers (LLPL UPRES EA4638).
Membres :
Chadia Arab, géographie, ESO UMR CNRS 6590, université d'Angers
Monique Bigoteau, géographie, ESO UMR CNRS 6590, université de Nantes
Daniel Borillo, droit privé, Centre de recherches en études sur les droits fondamentaux et Centre de droit pénal, université de Paris Ouest Nanterre La Défense
Jimmy Charruau, droit, Centre Jean Bodin, université d'Angers
Angelina Etiemble, sociologie, VIPS, université du Maine
Erika Flahault, sociologie, ESO UMR CNRS 6590, université du Maine
Sylvie Grunvald, droit, DCS UMR 6297, université de Nantes
Félicien Lemaire, droit public, Centre Jean Bodin, université d'Angers
Dominique Loiseau, histoire, ESO UMR CNRS 6590, université du Maine
Soizic Lorvellec, droit, DCS UMR CNRS 6297, université de Nantes
Caroline Renaud-Duparc, droit pénal, Centre Jean Bodin, université d'Angers
Paulette Robic, sciences de gestion, LEMNA, EA3261, université de Nantes
Nicole Roux, sociologie, LEMNA, ARS EA 3149, université de Bretagne occidentale
Maxime Tetillon, STAPS, VIPS, université du Maine
Sylvain Villaret, STAPS, VIPS, université du Maine
http://www.msh.univ-nantes.fr/63057668/0/fiche___article/&RH=1361800301214
Exemples de séminaires organisés dans le cadre du projet de recherche "Genre et norme" :
-Marie-Laure Déroff, MCU de Sociologie, ARS (EA 3149) - université de Bretagne Occidentale : « Hétérosexualité et normes de genre : écarts féminins vs conformités masculines »
Sur la base d'entretiens de type biographique, portant sur la vie sexuelle et amoureuse de femmes et d'hommes hétérosexuel.le.s, nous proposons d'interroger les enjeux de la conformité comme de l'écart aux normes de genre et les asymétries dont témoignent ces récits.
-Rachele Borghi, géographe, ESO (UMR CNRS 6590) - université Rennes 2 : « Les lesbiennes sont-elles (in)visibles dans l'espace public ? »
Il s'agira de réfléchir sur le rapport à la plage comme rapport à l'espace public, pour comprendre la relation entre normes sexuelles et normes de genre. On confrontera la pratique de la plage des gays, objet de nombreux travaux, avec celle des lesbiennes, en essayant de comprendre comment les normes de genre influencent cette pratique elle-même.
http://www.msh.univ-nantes.fr/93373575/0/fiche___actualite/
L'intervenante :
- Érika Flahault, sociologue, ESO Le Mans, MCF à l'Université du Maine.
http://www.msh.univ-nantes.fr/48208796/0/fiche___actualite/&RH=1361800301214
Les intervenantes :
- Hélène Marquié (philosophie, Centre d'études féminines et d'études de genre, Paris : Effets directs et effets pervers du genre en danse.
- Claire Lesacher (sciences du langage, PREFics, Rennes2) : Genre, rap et parcours artistiques : pratiques et expériences de rappeuses montréalaises.
http://www.msh.univ-nantes.fr/99546394/0/fiche___actualite/&RH=1326210556121
Les intervenantes :
Camilla Quental (management et ressources humaines, Audencia Nantes Ecole de Management) : Devenir associé : genre, identité professionnelle et plafond de verre dans les entreprises de services professionnels.
Florence Degavre (économiste, CIRTES - Université Catholique de Louvain) : Les mondes de la défamilialisation. Une analyse genrée des politiques de care en Europe.
http://www.msh.univ-nantes.fr/13731429/0/fiche___actualite/&RH=1326210556121
La liste est longue...
Ce projet a été agrée et financé par les Maisons des Sciences de l’Homme (22 Maisons des Sciences de l'Homme réparties sur toute la France).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_des_sciences_de_l%27homme
Ces MSH sont chapeautées par La Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH), Michel Wieviorka en est l'administrateur depuis 2009.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Maison_des_sciences_de_l%27homme
Les grands-parents paternels Wieviorka, Juifs polonais, furent arrêtés à Nice pendant la guerre et sont morts à Auschwitz. Le père, réfugié en Suisse, et la mère, fille d’un tailleur parisien, réfugiée à Grenoble, survécurent à la guerre
Les quatre enfants :
Michel Wieviorka : sociologue français, administrateur de la FMSH, président du Conseil scientifique du Conseil représentatif des associations noires de France, (CRAN).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Wieviorka
Olivier Wieviorka : historien français, spécialiste de l'histoire de la Résistance française, Rédacteur en chef de la revue Vingtième siècle, membre du Comité de rédaction de la revue L'Histoire, il collabore également au cahier Livres du journal Libération.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Wieviorka
Sylvie Wieviorka : psychiatre, universitaire, élue locale parisienne, directrice médicale d’un centre parisien de soins pour toxicomanes, Formatrice à l'Institut d'études de la famille à Toulouse et Lille, chevalière de la Légion d’honneur.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sylvie_Wieviorka
Annette Wieviorka : historienne française, spécialiste de la Shoah et de l'histoire des Juifs au XXe siècle, Directrice de recherche au CNRS, elle a été membre de la Mission d'étude sur la spoliation des Juifs de France, Elle est engagée aujourd'hui auprès de l'Association Primo Levi, elle a été nommée chevalier de la Légion d'honneur le 6 novembre 2001. Elle a été promue officier le 31 décembre 2009.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Annette_Wieviorka
Pour y arriver, le pouvoir illuminé se donne tous les moyens.
projet de loi sur l'égalité hommes-femmes
Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, pose le 1er juillet 2013 dans son bureau avec 3 pères de famille dans le cadre de la présentation prochaine d'un projet de loi sur la parité homme-femme pour les congés parentaux.
-Le projet de loi prévoit que, pour un enfant, les parents pourront prendre six mois de congé parental de plus à condition que ce soit le second parent qui en bénéficie. A partir de deux enfants, la durée du congé restera de trois ans si six mois sont pris par le second parent.
-Le projet de loi introduit une notion expérimentale de pension alimentaire minimum de 90 euros. Cette réforme vise à créer une garantie publique contre les impayés de pensions alimentaires, véritable sport national. Les CAF verseront ainsi l’ASF au parent bénéficiaire, puis se retourneront vers le débiteur défaillant. Des outils seront créés ou renforcés: saisie sur salaire ou sur prestations familiales...
-Les sanctions financières contre les partis politiques qui ne respectent pas la parité aux législatives vont doubler.
http://m.20minutes.fr/politique/1182787-20130701-najat-vallaud-belkacem-la-loi-permettra-lutter-contre-stereotypes
Le terme "théorie" étant connoté complotiste, on parle dorénavant de l'étude du genre (gender studies), ça fait plus sérieux.
En juin 2013, Belkacem nous dit que : "La théorie du genre n’existe pas, ce qui existe c'est les études de genre".
En 2011 elle disait : "La théorie du genre, qui explique «l'identité sexuelle» des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d'aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l'homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets."
http://m.20minutes.fr/politique/778750-theorie-genre-il-essentiel-enseigner-enfants-respect-differentes-formes-didentite-sexuelle-afin-batir-societe-respect
Pour imposer ses délires, le pouvoir dispose d'une armée d'universitaires dégénérés .
L'exemple le plus frappant est Rachele Borghi, géographe, maitre de conférence à Paris 4 (anciennement à Rennes). Activiste et militante Queer et dissidente sexuelle (mouvement post porno).
Présentation de Rachele Borghi sur le post-porn lors des "Queer Days". Bordeaux, février 2013
Attention, scènes de nudité crasseuse, il est recommandé à ceux qui veulent écouter et tenter de comprendre les absurdités qu'elle débite, de basculer sur un autre onglet pendant l'écoute.
Projet de recherche "Genre et norme" :
Dans le cadre du projet de recherche "Genre et norme" agréé par le conseil scientifique de la MSH Ange-Guépin en novembre 2011, de nombreux séminaires sont organisés partout en France.
Coordinateurs :
Christine Bard, professeur d'histoire à l'université d'Angers (Confluences, SFR 4201), Annie Dussuet, maîtresse de conférences en sociologie à l'université de Nantes (CENS), Érika Flahault, maîtresse de conférences en sociologie à l'université du Maine (ESO UMR 6590) et Emmanuel Gratton, maître de conférences en sociologie à l'université d'Angers (LLPL UPRES EA4638).
Membres :
Chadia Arab, géographie, ESO UMR CNRS 6590, université d'Angers
Monique Bigoteau, géographie, ESO UMR CNRS 6590, université de Nantes
Daniel Borillo, droit privé, Centre de recherches en études sur les droits fondamentaux et Centre de droit pénal, université de Paris Ouest Nanterre La Défense
Jimmy Charruau, droit, Centre Jean Bodin, université d'Angers
Angelina Etiemble, sociologie, VIPS, université du Maine
Erika Flahault, sociologie, ESO UMR CNRS 6590, université du Maine
Sylvie Grunvald, droit, DCS UMR 6297, université de Nantes
Félicien Lemaire, droit public, Centre Jean Bodin, université d'Angers
Dominique Loiseau, histoire, ESO UMR CNRS 6590, université du Maine
Soizic Lorvellec, droit, DCS UMR CNRS 6297, université de Nantes
Caroline Renaud-Duparc, droit pénal, Centre Jean Bodin, université d'Angers
Paulette Robic, sciences de gestion, LEMNA, EA3261, université de Nantes
Nicole Roux, sociologie, LEMNA, ARS EA 3149, université de Bretagne occidentale
Maxime Tetillon, STAPS, VIPS, université du Maine
Sylvain Villaret, STAPS, VIPS, université du Maine
http://www.msh.univ-nantes.fr/63057668/0/fiche___article/&RH=1361800301214
Exemples de séminaires organisés dans le cadre du projet de recherche "Genre et norme" :
Genre et sexualités, octobre 2012 :
Les intervenantes :-Marie-Laure Déroff, MCU de Sociologie, ARS (EA 3149) - université de Bretagne Occidentale : « Hétérosexualité et normes de genre : écarts féminins vs conformités masculines »
Sur la base d'entretiens de type biographique, portant sur la vie sexuelle et amoureuse de femmes et d'hommes hétérosexuel.le.s, nous proposons d'interroger les enjeux de la conformité comme de l'écart aux normes de genre et les asymétries dont témoignent ces récits.
-Rachele Borghi, géographe, ESO (UMR CNRS 6590) - université Rennes 2 : « Les lesbiennes sont-elles (in)visibles dans l'espace public ? »
Il s'agira de réfléchir sur le rapport à la plage comme rapport à l'espace public, pour comprendre la relation entre normes sexuelles et normes de genre. On confrontera la pratique de la plage des gays, objet de nombreux travaux, avec celle des lesbiennes, en essayant de comprendre comment les normes de genre influencent cette pratique elle-même.
http://www.msh.univ-nantes.fr/93373575/0/fiche___actualite/
Associations féministes et genre : une relation ambivalente, novembre 2012
L'intervenante :
- Érika Flahault, sociologue, ESO Le Mans, MCF à l'Université du Maine.
http://www.msh.univ-nantes.fr/48208796/0/fiche___actualite/&RH=1361800301214
Genre et parcours artistiques, janvier 2013
Les intervenantes :
- Hélène Marquié (philosophie, Centre d'études féminines et d'études de genre, Paris : Effets directs et effets pervers du genre en danse.
- Claire Lesacher (sciences du langage, PREFics, Rennes2) : Genre, rap et parcours artistiques : pratiques et expériences de rappeuses montréalaises.
http://www.msh.univ-nantes.fr/99546394/0/fiche___actualite/&RH=1326210556121
Normes de genre, égalité, émancipation, janvier 2013
Les intervenantes :
Camilla Quental (management et ressources humaines, Audencia Nantes Ecole de Management) : Devenir associé : genre, identité professionnelle et plafond de verre dans les entreprises de services professionnels.
Florence Degavre (économiste, CIRTES - Université Catholique de Louvain) : Les mondes de la défamilialisation. Une analyse genrée des politiques de care en Europe.
http://www.msh.univ-nantes.fr/13731429/0/fiche___actualite/&RH=1326210556121
La liste est longue...
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Ce projet a été agrée et financé par les Maisons des Sciences de l’Homme (22 Maisons des Sciences de l'Homme réparties sur toute la France).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_des_sciences_de_l%27homme
Ces MSH sont chapeautées par La Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH), Michel Wieviorka en est l'administrateur depuis 2009.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Maison_des_sciences_de_l%27homme
La fratrie Wieviorka
Les grands-parents paternels Wieviorka, Juifs polonais, furent arrêtés à Nice pendant la guerre et sont morts à Auschwitz. Le père, réfugié en Suisse, et la mère, fille d’un tailleur parisien, réfugiée à Grenoble, survécurent à la guerre
Les quatre enfants :
Michel Wieviorka : sociologue français, administrateur de la FMSH, président du Conseil scientifique du Conseil représentatif des associations noires de France, (CRAN).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Wieviorka
Olivier Wieviorka : historien français, spécialiste de l'histoire de la Résistance française, Rédacteur en chef de la revue Vingtième siècle, membre du Comité de rédaction de la revue L'Histoire, il collabore également au cahier Livres du journal Libération.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Wieviorka
Sylvie Wieviorka : psychiatre, universitaire, élue locale parisienne, directrice médicale d’un centre parisien de soins pour toxicomanes, Formatrice à l'Institut d'études de la famille à Toulouse et Lille, chevalière de la Légion d’honneur.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sylvie_Wieviorka
Annette Wieviorka : historienne française, spécialiste de la Shoah et de l'histoire des Juifs au XXe siècle, Directrice de recherche au CNRS, elle a été membre de la Mission d'étude sur la spoliation des Juifs de France, Elle est engagée aujourd'hui auprès de l'Association Primo Levi, elle a été nommée chevalier de la Légion d'honneur le 6 novembre 2001. Elle a été promue officier le 31 décembre 2009.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Annette_Wieviorka
_________________
«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte
de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
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- Message n°63
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Judith-Butler-la-theorie-du-genre-et-la-question-palestinienne-20482.html
Judith Butler, la théorie du genre et la question palestinienne
Par Romain R.- Publié le : mercredi 2 octobre
Article initialement publié dans l'atelier E&R
Judith Butler et la théorie du genre
PositionsJudith Butler est titulaire de la chaire Maxine Elliot au département de rhétorique et de littérature comparée de l’université de Californie à Berkeley et de la chaire Hannah Arendt de philosophie à l’École supérieure européenne de Sass-Fee en Suisse.
Elle est membre de l’American Philosophical Society, a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix Fulbright-Hayes, une bourse Guggenheim, des bourses Rockefeller et Ford, le prix commémoratif Brudner de l’université Yale, un Prix d’excellence de la Andrew W. Mellon Foundation et le prix Theodore W. Adorno 2012 de la Ville de Francfort [1].
L’ouvrage Le Trouble dans le genre de Judith Butler – publié en 1990 mais traduit en français seulement en 2005 – est un livre fondateur pour la théorie du genre, considéré comme une référence par les auteurs de la théorie Queer et par certains mouvements féministes.
Inspirée par la fameuse phrase de Simone de Beauvoir : « On ne nait pas femme, on le devient » qu’elle a, par la suite, appliqué à toutes les dichotomies (homme/femme, hétérosexuel/homosexuel, père/mère, etc…) [2], pour Butler, la sexualité et le genre ne sont pas définis pour l’éternité, mais représentent seulement le résultat d’une détermination sociale qui range les individus à une place sexuelle prédéfinie. L’idéal, selon elle, serait de se réveiller le matin, de puiser dans son placard le genre de son choix de l’enfiler pour la journée, et le soir, de le remettre à sa place [3].
Concernant l’homoparentalité, ses positions ne sont donc guère surprenantes puisqu’elle déclare y être favorable en ajoutant, à propos de sa propre expérience de mère : « Lorsqu’il crie “Maman”, s’amuse-t-elle, il sait exactement à quelle maman il s’adresse [4] ! »
L’implantation de cette théorie dans la société française
C’est, entre autres, par l’intermédiaire d’Éric Fassin – sociologue et professeur au département de sciences politiques de l’université Paris VIII et présenté par certains comme le pape de la théorie du genre dans l’Hexagone –, ardent défenseur de la cause homosexuelle, que c’est introduit cette théorie en France. Éric Fassin fait partie de la sélection Young Leaders de 1994. Il est membre du think tank African American Policy Forum (AAPF), qui s’occupe des problèmes du genre et de la diversité [5]. Il a préfacé Le Trouble dans le genre de Judith Butler.
Notons qu’il réfute le terme de « théorie », auquel il préfère le terme « concept », car, selon ses propres mots : « Une théorie peut être approuvée ou bien l’on peut prouver qu’elle est fausse, alors que si c’est un concept, on va montrer que cela sert à comprendre des choses [6]. » (c'est l'aveux même qu'il n'y a aucune base scientifique à l'appuis de ce délire d'athéistes juifs mous et homosexuels, puisque l'on évite même le mot "théorie" pour éviter les critiques et de prouver quoi que ce soit.) Il s’était d’ailleurs félicité de l’introduction par certains éditeurs de cette théorie dans les manuels de biologie dans ces termes :
PS "dénaturalisée" via le "tout se vaut" = au final, "tout ne vaut plus rien"*, ou bien plus profondément " L'homme est la mesure de toute chose " d'un Protagoras ou la naissance d'un relativisme lui même absolu, alimenté par un antifascisme lui même quasi totalitaire (avance lentement mais surement).« Il s’agit des sciences de la nature, et pas seulement humaines : même la nature est enfin dénaturalisée. »
« La critique marxiste visait à dénaturaliser le capitalisme, dont l’idéologie fait apparaître l’ordre économique comme naturel. On prend aujourd’hui conscience que même l’ordre des corps, des sexes et des sexualités n’est pas fondé en nature : c’est l’extension du domaine démocratique aux questions sexuelles [7]. »
Cela recoupe la logique de la banque contre l'autorité naturelle et le sujet "identité fictive" d'un Jacques-Antoine Normandin par exemple.
*Comme une bulle spéculative
C’est d’ailleurs en tant que figure de la théorie du genre qu’Éric Fassin, Catherine Vidal, mais aussi des éditeurs scolaires, avaient été choisis par Louis-Georges Tin (ancien élève de l’École normale supérieure), militant gay et président du CRAN pour« débusquer les stéréotypes de genre dans les manuels ». Il est lui aussi lié a la FAF (French American Foundation) bien que ne faisant pas (encore) partie du programme Young Leaders.
Louis-Georges Tin, un militant gay à la tête d’une association communautaire représentant les Noirs de France
Le point commun de nos protagonistes du genre est qu’ils ont tous, de par leurs réseaux, un lien avec la Ford Foundation : Judith Butler en ayant reçu des bourses, Éric Fassin et Louis-Georges Tin par l’intermédiaire de la FAF, qui reçoit des financements de cette fondation. Il faut savoir que la Ford Foundation finance depuis longtemps les études de la femme et du genre [8].
Au niveau universitaire, c’est en 2005 que tout commence. Lors de la traduction en français de Trouble dans le genre, L’ENS organise pour l’occasion un grand colloque. Plus tard, en 2008, s’organisera une série de conférence avec Judith Butler : « La politique au-delà de l’identité : Sexualité, sécularisation et le sujet des mouvements sociaux », puis, en 2009 : « Appréhender une vie : une confrontation avec la reconnaissance » [9].
Quand à la très progressiste école Sciences-Po, elle propose des modules (en anglais) depuis 2009 du nom de « Gender and Queer Law ». Sous l’impulsion de son ancien directeur, Richard Descoings, l’enseignement du genre est devenu obligatoire au sein de l’établissement depuis 2011. Ajoutons que depuis 2010, l’établissement organise annuellement des « Queer Weeks », qui consistent à organiser conférences, ateliers, happening dans le but de dépasser la société « hétérosexiste [10] ».
C’est en octobre 2011, soit un mois après que Luc Chatel a introduit cette théorie au sein de l’Éducation nationale, que Judith Butler a été nommée docteur honoris causa par l’université de Bordeaux [11].
Depuis, la théorie du genre continue son petit chemin, comma a pu l’illustrer, le 7 septembre 2012, la visite officielle de la crèche Bourdarias, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) par Najat Vallaud-Belkacem, ministre du Droit des femmes, et Dominique Bertinotti, ministre délégué chargé de la Famille. Cet établissement ne fait pas la différence entre filles et garçons, au nom du prétendu combat contre les « clichés [12] ». Notons aussi au passage la disparition depuis peu des termes « père » et « mère » remplacés par celui de parent, ainsi que la récente proposition de renommer « l’école maternelle » par « petite école » ou bien « première école » [13]...
Le Renouveau français réagissant à la venue de Judith Butler à Bordeaux
La question israélo-palestinienne
Judith Butler s’intéresse aussi aux problèmes israélo-palestiniens. Elle est notamment membre de l’organisation Jewish Voice for Peace et a d’ailleurs récemment écrit un livre sur le sujet : Parting Ways : Jewishness and the Critique of Zionism. Elle a aussi participé au mouvement Occupy Wall Street et est membre du comité de parrainage du tribunal Russel sur la Palestine. Comme souvent parmi les juifs antisionistes, c’est « en tant que juive » qu’elle aborde ce sujet délicat [14].Sionisme et judaïsme
Dans son dernier livre, Judith Butler nous explique que le sionisme en général et la violence et le racisme israélien en particulier sont profondément non-juifs, que le sionisme ne serait en fait qu’une dérive du judaïsme. Elle veut faire valoir que ce sont les « valeurs juives de cohabitation avec les non-juifs qui font partie de la substance éthique même du judaïsme diasporique [15] ».
Il est étonnant de constater que bien qu’elle rejoigne un certain nombre d’intellectuels juifs contemporains, qui refusent d’accepter l’idée que leur relation avec Israël puisse déterminer leur judéité et que la critique d’Israël puisse faire d’eux des juifs ayant la haine d’eux même – ou, pire, des antisémites –, elle a pourtant participé, par l’intermédiaire du BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions), au désaveu de l’écrivain britannique, anciennement israélien, Gilad Atzmon [16].
Judith Butler et les dessous discutables du BDS
Bien que ne faisant pas officiellement parti du BDS, Judith Butler est proche de l’association, notamment de son leader, Omar Barghouti. Voici d’ailleurs ce qu’elle déclare à propos de son engagement :
« Je soutiens d’une manière très spécifique le mouvement de boycott, de désinvestissement et de sanctions... J’en rejette certaines versions et en accepte d’autres. […] Je m’oppose aux investissements dans des entreprises qui fabriquent des équipements militaires dans le seul but de démolir des maisons. Cela signifie aussi que je ne donne pas de conférences dans des institutions israéliennes à moins qu’elles ne prennent une position ferme contre l’occupation. Je n’accepte aucune des factions ou versions du BDS qui discriminent les individus sur la base de leur citoyenneté nationale, et j’entretiens de solides relations de collaboration avec de nombreux intellectuels Israéliens. L’une des raisons pour laquelle je soutiens le BDS et ne cautionne pas le Hamas et le Hezbollah, est que le BDS est le plus grand mouvement civique politique non-violent, visant à établir l’égalité et les droits à l’autodétermination pour les Palestiniens [17]. »
Judith Butler et Omar Barghouti lors d’une conférence au Brooklyn College sur le BDS
Il faut savoir que le BDS est en fait un regroupement de 170 associations palestiniennes et qu’il a récemment changé un point important du statut de l’association, mais seulement dans sa version anglaise, laissant probablement les Palestiniens dans l’ignorance quant aux vraies nouvelles motivations du mouvement. En effet, les anciens statuts demandaient qu’Israël arrête l’occupation et la colonisation de toutes les terres arabes, alors que le nouveau statut demande l’arrêt de l’occupation et de la colonisation de toutes les terres arabes depuis 1967, reconnaissant par la même la légitimité de l’État hébreux dans ses frontières de 1967 [18].Cela va bien plus loin qu’une simple ligne sur un statut car, comme nous l’explique Gilad Atzmon, c’est le droit de retour de tous les expulsés depuis 1948 qui est remis en cause, ce qui revient à capituler devant la suprématie raciale juive [19].
Le BDS est aussi partisan de la censure envers tous les antisionistes dont le discours déborde du cadre imposé par lui. Tout cela est-il dû au fait que ce mouvement est en partie financé par l’Open Society de George Soros [20] ?
Comment explique t-on que le principal mouvement de solidarité regroupant 170 associations palestiniennes soit en partie financé par un juif sioniste libéral, encadré par une juive antisioniste américaine essayant, comme nous le verrons plus loin, d’imposer ses propres symptômes dans ce discours, et dirigé par Omar Bargouthi, qu’on nous présente comme Palestinien mais qui est en réalité né au Qatar, a grandi en Égypte, fait ses études à la Columbia University de New York et prépare aujourd’hui un master en philosophie à l’université de Tel Aviv alors même que, de son propre avis, cette université doit être boycottée [21] ?
La solidarité palestinienne et la théorie queer
Depuis peu, et contre sa propre volonté, Omar Barghouti s’est vu petit à petit imposer au sein du BDS le Palestinian Queer for BDS [22]. Ces mouvements mis en avant par Sarah Schulman – qui se définit comme une homosexuelle cosmopolite et ardente défenseur du BDS [23] – ont pour fonction de promouvoir le droit des homosexuels en Palestine. Selon ses propres mots, ces mouvements sont eux aussi financés par le milliardaire Soros [24] dans le but de promouvoir les droits des homosexuels dans le monde arabe. Tout comme Judith Butler, elle appartient au conseil consultatif de Jewish Voice For Peace [25] Nous comprenons donc ici ce qu’a apporté Judith Butler au BDS, étant donné que Sarah Schulman se réclame de cette dernière, dont elle partage les positions sur la théorie du genre et le mouvement LGBT, notamment dans leur critique de l’homonationalisme. La rencontre s’est faite de la manière suivante :
« En 2009, j’ai publié un livre sur l’homophobie dans la famille, et j’ai reçu une invitation de l’université de Tel Aviv pour donner le discours d’ouverture de la conférence sur les études gays et lesbiennes. Et je voulais vraiment y aller… Et ma collègue de travail, qui est une juive turque, je lui ai dit : “Oh, je vais à l’Université de Tel-Aviv”, et elle m’a répondu : “Oh, non, tu ne peux pas y aller. Il y a un boycott”, et je lui ai dit : “Quel boycott ? Jamais entendu parler de boycott.” Alors elle m’a dit : “Eh bien, tu devrais te renseigner”, j’ai donc envoyé un e-mail à deux personnes : Naomi Klein et Judith Butler. Naomi Klein ne m’a jamais répondu et Judith Butler m’a rappelée quatre heures plus tard, et m’a mise en contact avec tous ces gens formidables en Israël. Des universitaires juifs homosexuels [26]… »
« L’apartheid israélien est
un problème queer » :
Sarah Schulman et sa vision de la question israélo-palestinienne…
un problème queer » :
Sarah Schulman et sa vision de la question israélo-palestinienne…
Nous pouvons donc remarquer que, non content d’avoir satisfait leurs financiers quant aux statuts du mouvement, les « universitaires homosexuels » vont aussi bien plus loin en essayant d’importer au sein du mouvement des idéologies occidentales telles que le féminisme et le LGBT.
On constate aussi que l’intrusion dans les problématiques sociales, économiques et politiques de faux débats sociétaux, via des associations pilotées et financées par des organisations mondialistes, n’est pas propre aux questions internes à l’Europe. Le phénomène affecte aussi la question brulante et difficile du Proche-Orient. Sans aucun doute, ceci se fait au détriment de l’unité du mouvement pro-palestinien et de certaines inspirations israéliennes authentiquement pacifistes.
Notes
[1] http://publications.mcgill.ca/reporter/2013/05/judith-butler/
[2] Documentaire de la chaine Arte sur Judith Butler : https://www.youtube.com/watch?v=Q50nQUGiI3s
[3] http://www.psychologies.com/Culture/Philosophie-et-spiritualite/Savoirs/Articles-et-Dossiers/Les-idees-de-Judith-Butler-ou-la-profusion-des-genres
[4] http://idiocratie2012.blogspot.co.uk/2012/07/mauvais-genre-3.html
[5] http://aapf.org/fassin/
Liste des Young Leaders : http://data8.blog.de/media/807/7112807_5fb9842204_d.pdf
[6] https://www.youtube.com/watch?v=72EVy8UBPLE
[7] http://www.theoriedugenre.fr/?Manuels-scolaires-les-inquietants
[8] http://www.frenchamerican.org/sites/default/files/documents/page/faf_final.pdf
http://archive.frontpagemag.com/readArticle.aspx?ARTID=1408
Louis-Georges Tin, intervient en tant qu’expert pour la FAF : http://equality.frenchamerican.org/experts/louis-georges-tin
[9] Conférence 2008 : http://www.sciences-sociales.ens.fr/Judith-Butler.html?lang=fr
Conférence 2009 : http://savoirsenmultimedia.ens.fr/expose.php?id=243
[10] Gender and Queer Law : http://formation.sciences-po.fr/en/enseignement/2012/bdro/1550a
Queer Week : http://queerweek.com/
[11] http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/10/06/01016-20111006ARTFIG00612-la-polemique-sur-la-theorie-du-genre-rebondit.php
[12] http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/09/07/01016-20120907ARTFIG00665-a-saint-ouen-on-lutte-contre-le-sexisme-des-la-creche.php
[13] http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/17/01016-20130217ARTFIG00157-sexisme-la-theorie-du-genre-fait-son-nid.php
[14] Discours de Judith Butler à Occupy Wall Street : https://www.youtube.com/watch?v=JVpoOdz1AKQ
« En tant que Juive » : http://www.haaretz.com/news/judith-butler-as-a-jew-i-was-taught-it-was-ethically-imperative-to-speak-up-1.266243
[15] http://www.haaretz.com/culture/books/jewish-anti-zionist-academic-insists-israeli-occupation-is-un-jewish.premium-1.483887
[16] http://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/palestinian-writers-activists-disavow-racism-anti-semitism-gilad-atzmon
[17] http://www.ujfp.org/spip.php?article2362&lang=fr
[18] http://www.deliberation.info/regarding-the-proposed-al-awda-withdrawal-of-endorsement-from-bds/
[19] http://www.gilad.co.uk/writings/bds-at-brooklyn-college-the-benefits-of-pro-israel-overkill.html
[20] http://www.ngo-monitor.org/article/ngo_leadership_in_boycott_and_divestment_campaigns
[21] http://en.wikipedia.org/wiki/Omar_Barghouti
http://frontpagemag.com/2012/dgreenfield/the-chutzpah-of-omar-barghouti/
[22] http://crockford.tumblr.com/post/4606792403/when-the-formula-works-omar-barghouti-and-queer
[23] http://www.gilad.co.uk/writings/israelpalestine-and-the-queer-international-a-book-review-by.html#_edn1
[24] “A former ACT UP staffer who worked for the Open Society Institute, George Soros’ foundation, suggested that I file an application there for funding for the tour. When I did so it turned out that the person on the other end had known me from when we both attended Hunter [College] High School in New York in the 1970s. He forwarded the application to the institutes’s office in Amman, Jordan, and I had an amazing one-hour conversation with Hanan Rabani, its director of the Women’s and Gender program for the Middle East region. Hanan told me that this tour would give great visibility to autonomous queer organizations in the region. That it would inspire queer Arabs—especially in Egypt and Iran…for that reason, she said, funding for the tour should come from the Amman office” (Israel/Palestine and the Queer International, p. 108).
[25] http://jewishvoiceforpeace.org/content/advisory-board
[26] http://www.inthefleshmag.com/enough-questions-i-want-answers/541/
______________
http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/10/02/apres-un-changement-de-sexe-rate-un-belge-obtient-le-droit-a-l-euthanasie_3488281_3214.html
bonus kali yuga
assiwan- Nombre de messages : 130
Date d'inscription : 06/11/2013
- Message n°64
Ligne anti théorie du genre
PROTEGEONS LA PUDEUR ET L'INTEGRITE DE NOS ENFANTS
UNE ACTION NATIONALE POUR SAUVER NOS ENFANTS
Le gouvernement a méprisé totalement nos manifestations et nos pétitions lorsque nous avons fait la lumière sur ce projet qui vise à déstabiliser la famille et la société tout entière. Il nous a ignorés, humiliés.
Aujourd'hui, il nous faut donc envisager une action inédite qui touche le cœur du système : une journée sans école par mois pour montrer au ministre de l'Education Nationale que l'éducation de nos enfants nous appartient, n'en déplaise à Laurence Rossignol.
JOURNEE DE RETRAIT DE L'ECOLE
POUR L'INTERDICTION DE LA THEORIE DU GENRE DANS TOUS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES
A partir de janvier 2014, retirons nos enfants de l'école un jour par mois : choisissez ce jour en concertation avec le comité local dont vous dépendez sans prévenir les enseignants. Vous justifierez l'absence de votre enfant le lendemain par le motif suivant : journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires.
Ce symbole est fort : il dit clairement que nous sommes prêts à tout pour empêcher l'Education Nationale de désorienter, de traumatiser et de déstructurer nos enfants.
Organisons-nous pour faire de cette journée un moment privilégié entre parents et enfants, entre voisins, entre amis : libre à nous de concevoir maintes activités en ce jour de retrait ! En se regroupant, tout est envisageable : spectacles pour enfants, sorties, rencontres, débats, ateliers créatifs...
Le gouvernement ne nous laisse pas le choix avec l'introduction à notre insu de la « théorie du genre » en classe : en retirant nos enfants de l'école une journée par mois, nous affirmons nos droits fondamentaux et nous passons à la vitesse supérieure.
Nous, Pères et Mères, sommes les garants de l'innocence de nos enfants. Leur pudeur et leur intégrité sont leurs biens les plus précieux.
Nous, Pères et Mères, sommes les protecteurs de nos enfants. Nous en sommes les seuls responsables.
Nous, Pères et Mères, sommes les authentiques éducateurs de nos enfants, seuls légitimes à décider pour eux en attendant leur maturité.
Nous, Pères et Mères, aimons nos enfants et nous nous sacrifions chaque jour pour eux.
Nous, Pères et Mères, organisons une Journée de Retrait de l'Ecole (J.R.E.) une fois par mois pour sauver nos enfants.
Farida Belghoul
Pour le Comité National J.R.E.
Source:http://www.jre2014.fr/
Pères et Mères de France, des comités par région se mettent en place afin de vous accompagner dans cette démarche historique.
Pour participer en coordination avec le CALENDRIER DE LA JOURNEE DE RETRAIT MENSUELLE
Consultez : http://www.jre2014.fr/
Farida Belghoul lance une action nationale
pour l'interdiction du gender à l'école
pour l'interdiction du gender à l'école
UNE ACTION NATIONALE POUR SAUVER NOS ENFANTS
Le gouvernement a méprisé totalement nos manifestations et nos pétitions lorsque nous avons fait la lumière sur ce projet qui vise à déstabiliser la famille et la société tout entière. Il nous a ignorés, humiliés.
Aujourd'hui, il nous faut donc envisager une action inédite qui touche le cœur du système : une journée sans école par mois pour montrer au ministre de l'Education Nationale que l'éducation de nos enfants nous appartient, n'en déplaise à Laurence Rossignol.
JOURNEE DE RETRAIT DE L'ECOLE
POUR L'INTERDICTION DE LA THEORIE DU GENRE DANS TOUS LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES
A partir de janvier 2014, retirons nos enfants de l'école un jour par mois : choisissez ce jour en concertation avec le comité local dont vous dépendez sans prévenir les enseignants. Vous justifierez l'absence de votre enfant le lendemain par le motif suivant : journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires.
Ce symbole est fort : il dit clairement que nous sommes prêts à tout pour empêcher l'Education Nationale de désorienter, de traumatiser et de déstructurer nos enfants.
Organisons-nous pour faire de cette journée un moment privilégié entre parents et enfants, entre voisins, entre amis : libre à nous de concevoir maintes activités en ce jour de retrait ! En se regroupant, tout est envisageable : spectacles pour enfants, sorties, rencontres, débats, ateliers créatifs...
Le gouvernement ne nous laisse pas le choix avec l'introduction à notre insu de la « théorie du genre » en classe : en retirant nos enfants de l'école une journée par mois, nous affirmons nos droits fondamentaux et nous passons à la vitesse supérieure.
Nous, Pères et Mères, sommes les garants de l'innocence de nos enfants. Leur pudeur et leur intégrité sont leurs biens les plus précieux.
Nous, Pères et Mères, sommes les protecteurs de nos enfants. Nous en sommes les seuls responsables.
Nous, Pères et Mères, sommes les authentiques éducateurs de nos enfants, seuls légitimes à décider pour eux en attendant leur maturité.
Nous, Pères et Mères, aimons nos enfants et nous nous sacrifions chaque jour pour eux.
Nous, Pères et Mères, organisons une Journée de Retrait de l'Ecole (J.R.E.) une fois par mois pour sauver nos enfants.
Farida Belghoul
Pour le Comité National J.R.E.
Source:http://www.jre2014.fr/
Pères et Mères de France, des comités par région se mettent en place afin de vous accompagner dans cette démarche historique.
Pour participer en coordination avec le CALENDRIER DE LA JOURNEE DE RETRAIT MENSUELLE
Consultez : http://www.jre2014.fr/
Comandirej- Nombre de messages : 1277
Localisation : Paris
Date d'inscription : 12/10/2011
- Message n°65
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Allemagne : prison pour parents refusant les cours sur le gender
Par La Voix de la Russie |
Le 18 janvier 2014, des parents ont organisé en Allemagne, à Cologne, une manifestation contre les cours obligatoires d'éducation sexuelle version gender, où les enfants dès la maternelle sont confrontés à un contenu pornographique explicite les invitant à tester sur eux des pratiques pas encore connues à leur âge.
L'organisateur Besorgte Eltern annonce la présence de plus de 1000 parents lors de cette manifestation. En Suisse, les parents n'ont pas pu interdire la mise en place des cours d'éducation sexuelle dès la maternelle. En Allemagne, plusieurs parents ont déjà été mis en prison 40 jours pour n'avoir pas laissé leurs enfants suivre ces cours. Ainsi l'éducation des enfants n'appartient plus aux parents même dans le domaine si intime de la sexualité. Les effets pervers de ces nouveaux projets se font ressentir chez nos voisins.
Suisse. La ville de Bâle a introduit un coffret, le « Sexbox », contenant du matériel pornographique destiné à l'éducation sexuelle dans les écoles maternelles et primaires. L'association Protection contre la sexualisation à l’école maternelle et à l’école primaire a fait connaître cette initiative, ce qui a « déclenché une tempête d'indignation dans tout le pays» mais qui n'a pas empêché « l'introduction dans les écoles maternelles des cours obligatoires d'éducation sexuelle dans toute la Suisse par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). Dans le canton de Bâle, des «Sexbox» contenant du matériel pornographique ont été préparées à l’intention des écoles maternelles et primaires ! Des enfants dès l’âge de quatre ans auraient à subir cette sexualisation précoce. »
Allemagne. Ce 18 janvier, plus de 1000 manifestants se sont retrouvés à Cologne pour dénoncer les cours sur le gender à l'école et la détention des parents qui ont refusé ces cours à leurs enfants. Suite à l’absence des enfants dans ces nouveaux cours d'éducation sexuelle, les parents ont reçu une amende à payer. Les récalcitrants ont été envoyés en prison pour 40 jours. Lors de la manifestation de ce 18 janvier, un couple qui a huit enfants, a parlé en public et expliqué qu'ils devaient aller en prison pour avoir refusé les cours sur le gender pour leurs enfants. L'association Besorgte Eltern (parents inquiets) dénombre 10 parents qui ont été mis en prison. « Ce sujet concerne tous les parents. Nous ne sommes pas contre les cours d'éducation sexuelle, mais contre ces cours sur le gender qui sont dispensés dans les écoles primaires et dans les maternelles ».Les organisateurs de la manifestation, se référant à la sociologue Gabriele Kuby qui dénonce le gender, explique que la masturbation doit être enseignée aux enfants dès l'âge de 0 à 4 ans ce qui n'est qu'une incitation au viol des enfants toujours selon Gabriele Kuby. « Le gender ou le sexe social a été démasqué comme un instrument politique du pouvoir pour détruire et déstructurer la société occidentale», explique (hélas en allemand) les auteurs du site dewion24 qui ont soutenu la manifestation du 18 janvier.Pour Gabriele Kuby,L'Union européenne, l'ONU, participent à la mise en place du gender qui est la culture de la mort. « Nous avons de nouveau à faire à une idéologie du mal qui s'oriente contre la famille », dit Gabriele Kuby qui dénonce le féminisme et qui réclame un retour du rôle de l'homme dans nos sociétés occidentales (hélas, en allemand, mais utile pour ceux qui parlent la langue de Merkel). Les associations de parents en Allemagne expliquent que la loi fondamentale n'est plus respectée car les parents ne peuvent plus éduquer leurs enfants selon leurs valeurs.
Pétition. En outre le Land du Bade-Wurtemberg, qui vient de passer entre les mains des Verts et du SPD, veut à partir de 2015 introduire à l'école des cours d'apprentissage de « la tolérance envers les diverses pratiques sexuelles ». L'initiative populaire « Contre le plan d'éducation 2015 de l'idéologie arc-en-ciel » a lancé avec succès une pétition pour retirer le projet des Verts et du SPD. 154.562 personnes ont signé la pétition. L'association Contre le plan d'éducation 2015 explique que les enfants doivent apprendre à connaître et à refléter à l'école les pratiques des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, du transgender, des transsexuels et des intersexuels. Les Verts du Parlement du Bade-Wurtemberg dénoncent, eux, un climat intolérable contre les homosexuels et les transexuels.
http://french.ruvr.ru/2014_01_22/Allemagne-prison-pour-parents-refusant-les-cours-sur-le-gender-2711/
Vidéos en allemand non traduites :
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«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte
de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte
de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
assiwan- Nombre de messages : 130
Date d'inscription : 06/11/2013
- Message n°66
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender)
Farida Belghoul explique la Journée de retrait de l’école
Comandirej- Nombre de messages : 1277
Localisation : Paris
Date d'inscription : 12/10/2011
- Message n°67
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
L'idéologie du genre dans nos écoles
Transmettre dès le plus jeune âge une culture de l'égalité et du respect entre filles et garcons, c’est l’objectif de l’expérimentation initiée depuis la rentrée 2013 dans dix académies et plus de 600 classes où sont mis en oeuvre les modules pédagogiques de l'ABCD de l'égalité.
En savoir plus : http://www.education.gouv.fr/cid67098/signature-de-la-convention-interministerielle-2013-2018-pour-une-reelle-egalite-entre-les-filles-et-les-garcons-dans-le-systeme-educatif.html
- "ABCD de l’égalité" : une propagande "douce" marquée par la théorie du genre :
http://www.theoriedugenre.fr/IMG/pdf/201242674-une-propagande-douce-marquee-par-la-theorie-du-genre-obsgender-1.pdf
- Journée de Retrait de l'Ecole - JRE :
https://www.facebook.com/jre2014
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de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
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Comandirej- Nombre de messages : 1277
Localisation : Paris
Date d'inscription : 12/10/2011
- Message n°68
standars pour l'éducation sexuelle en europe
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
La page 38 de ce tas d’immondices pédocriminels est à vomir et à peine croyable ! C’est le pur produit du criminel sexuel psychopathe Alfred Kinsey. S’il vous semble normal de confier l’éducation de vos enfants à des pédocriminels, ma foi pourquoi pas, mais ce sera sans moi. Les preuves sont écrites noir sur blanc et aucune personne de bonne foi ne peut le nier.
0-4 ans : (p. 38)
- le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce
- la découverte de son propre corps et de ses parties génitales
- le fait que le plaisir lié au contact physique est un aspect normal de la vie de chacun
- la tendresse et le contact physique comme une expression de l’amour et de l’affection
- les rôles sexuels
4-6 ans : (p. 40)
- les mythes relatifs à la reproduction (p. ex. dans certains pays on dit aux enfants que les bébés sont apportés par la cigogne)
6-9 ans : (p. 42)
- les changements physiques, menstruation, éjaculation, variations individuelles au cours du développement
- les choix possibles en matière de parentalité, grossesse, infertilité, adoption
- on peut planifier et décider d’avoir ou non une famille
- les différentes méthodes de contraception
- les maladies liées à la sexualité
9-12 ans : (p. 44)
- la première expérience sexuelle
- l’orientation sexuelle
http://www.lelibrepenseur.org/2014/01/30/theorie-demoniaque-du-genre-standards-oms-pour-la-france/
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«Sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas?» [S.39 - V.9]
«Les perdants sont ceux qui, au Jour de la Résurrection, auront causé la perte
de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
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de leurs propres âmes et celles de leurs familles».
C'est bien cela la perte évidente. [S.39 - V.15]
assiwan- Nombre de messages : 130
Date d'inscription : 06/11/2013
- Message n°69
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Par torpeur souvent on omet de prendre le courage de la lecture, pourtant tout est dit et transparaît des préconisations des inverseurs des valeurs dans leurs dossiers. Ils ne s'en cache même pas, faut-il juste se donner la peine d'y regarder !
En effet prenons le temps de télécharger et consulter cet abjecte document pour nous en convaincre du contenu des directives Européistes en matière d’éducation à standardiser.
Jugeons en nous même.
Merci pour la fourniture du lien rappelé ci bas :
À partager sans modération.
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
En effet prenons le temps de télécharger et consulter cet abjecte document pour nous en convaincre du contenu des directives Européistes en matière d’éducation à standardiser.
Jugeons en nous même.
Merci pour la fourniture du lien rappelé ci bas :
À partager sans modération.
https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf
paralleye- Admin
- Nombre de messages : 3342
Date d'inscription : 04/06/2009
- Message n°70
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
Merci Comandirej pour le partage,il est absolument gravissime ce document !
J'ai même d'abord cru à un fake possible,mais non,cela est bien "officiel" !
Parfaitement d'accord avec ton constat assiwan.
Que dire d'autre ?
Ces crevures immondes ne se cachent effectivement plus du tout, ils veulent banaliser leurs vices démoniaques en pleine lumière pour en faire la nouvelle norme "légale".
Les preuves par A+B que ces détraqués aux manettes et leurs sbires de technocrates sont de complets malades mentaux pédophiles et des inverseurs sataniques sont là, en toutes lettres,que faudra-il encore à l'avenir ajouter ?
Préconiser le viol et la sodomie pour l'amour et la joie de l'harmonie familiale ?
Comment nier encore après ça (avec toutes les autres preuves que l'on a de leurs pratiques https://novusordoseclorum.1fr1.net/f9-affaires-de-pedocriminalite ) que l'Occident est véritablement dirigé par des satanistes et contrôlé par un ordre démoniaque.
Ils ne s'arrêteront pas,soyez surs que non,bien au contraire.
Le peuple est complètement abruti et corrompu,ne réagit plus à rien (a apparemment les dirigeants qu'il mérite dans ce cas),donc en haut de leur pyramide infernale,ils avancent,petit à petit,toujours plus loin...
La ligne rouge est dépassée là, et de loin...
Comment cela se finira-il ?
Le niveau d'horreur et de décadence de ce monde moderne sera sans nul doute proportionnel à la "colère de Dieu" (quel que soit la façon dont vous concevez la chose) et quand elle arrivera,ça va faire très mal !
J'ai même d'abord cru à un fake possible,mais non,cela est bien "officiel" !
Parfaitement d'accord avec ton constat assiwan.
Que dire d'autre ?
Ces crevures immondes ne se cachent effectivement plus du tout, ils veulent banaliser leurs vices démoniaques en pleine lumière pour en faire la nouvelle norme "légale".
Les preuves par A+B que ces détraqués aux manettes et leurs sbires de technocrates sont de complets malades mentaux pédophiles et des inverseurs sataniques sont là, en toutes lettres,que faudra-il encore à l'avenir ajouter ?
Préconiser le viol et la sodomie pour l'amour et la joie de l'harmonie familiale ?
Comment nier encore après ça (avec toutes les autres preuves que l'on a de leurs pratiques https://novusordoseclorum.1fr1.net/f9-affaires-de-pedocriminalite ) que l'Occident est véritablement dirigé par des satanistes et contrôlé par un ordre démoniaque.
Ils ne s'arrêteront pas,soyez surs que non,bien au contraire.
Le peuple est complètement abruti et corrompu,ne réagit plus à rien (a apparemment les dirigeants qu'il mérite dans ce cas),donc en haut de leur pyramide infernale,ils avancent,petit à petit,toujours plus loin...
La ligne rouge est dépassée là, et de loin...
Comment cela se finira-il ?
Le niveau d'horreur et de décadence de ce monde moderne sera sans nul doute proportionnel à la "colère de Dieu" (quel que soit la façon dont vous concevez la chose) et quand elle arrivera,ça va faire très mal !
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- Message n°71
Re: Infos et Débat sur l'idéologie du GENRE (gender) + Actualités Farida Belghoul JRE - FAPEC
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