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    Falsification et conditionnement du Catholicisme

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    Message  Solstice 30/10/2011, 02:29

    "Je n'avais plus le droit d'être prêtre" par l'ex-prêtre Grégor DALLIARD tiré de son livre avec son aimable autorisation

    Le célibat catholique ne peut se justifier que pour des raisons non chrétiennes, donc païennes. Quel mépris de Jésus Christ.
    http://www.vigi-sectes.org/catholicisme/celibat-obligatoire.html
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    Falsification et conditionnement du Catholicisme Empty Re: Falsification et conditionnement du Catholicisme

    Message  Solstice 30/10/2011, 02:39

    Pour lutter contre la pédophilie, abolissons le célibat des prêtres, par Hans Küng


    Les abus sexuels massifs auxquels des membres du clergé catholique se sont livrés sur des enfants et des adolescents, des Etats-Unis jusqu'à l'Allemagne en passant par l'Irlande, ne portent pas seulement à l'Eglise catholique un énorme préjudice en matière d'image. Ils sont également révélateurs de la crise profonde dans laquelle celle-ci se débat.

    Pour la Conférence épiscopale allemande, c'est son président, l'archevêque de Fribourg, Robert Zollitsch, qui a pris publiquement position. Qu'il ait qualifié ces cas d'abus sexuels de "crimes odieux" et que, par la suite, dans sa déclaration du 25 février, la Conférence épiscopale ait demandé pardon à toutes les victimes, voilà certes un premier pas en direction d'un retour à l'ordre ; mais il devrait être suivi par d'autres. La déclaration de Mgr Zollitsch n'en comporte pas moins de très sérieuses erreurs d'appréciation qu'il faut dénoncer.

    Première affirmation : les abus sexuels dus à des prêtres n'ont rien à voir avec le célibat. Objection ! Il est certes incontestable que ce genre d'affaire se produit aussi dans des familles, des écoles, des associations et également au sein d'Eglises où la règle du célibat des prêtres n'existe pas. Mais pourquoi le phénomène est-il à ce point massif justement dans les Eglises catholiques dirigées par des hommes non mariés ? Bien entendu, ces déviances ne sont pas exclusivement à porter au débit du célibat.

    Mais celui-ci est structurellement l'expression la plus frappante de la relation crispée qu'entretient la hiérarchie catholique avec la sexualité, celle-là même qui détermine son rapport à la question de la contraception et à bien d'autres.

    Il suffit pourtant d'ouvrir le Nouveau Testament : si Jésus et Paul ont préféré, à titre exemplaire, ne pas se marier pour rester au service de l'humanité, ils n'en ont pas moins laissé à l'individu une liberté de choix totale en la matière. Dans l'Evangile, le célibat ne peut être considéré que comme une vocation librement consentie (Charisma) et non comme une loi universellement contraignante. Paul s'est porté en faux contre ceux qui, autrefois déjà, soutenaient qu'"il est bon pour l'homme de s'abstenir de la femme" : "A cause des débauches, que chaque homme ait sa femme et chaque femme son mari" (Ire épître aux Corinthiens, 7, 1 et suivants), leur répondait l'apôtre. D'après la Ire épître à Thimothée, "aussi faut-il que l'épiscope soit irréprochable, mari d'une seule femme" (3, 2).

    Pierre, ainsi que les autres disciples du Christ, ont été mariés tout au long de leur apostolat. Cela a été le cas, de nombreux siècles durant, pour les évêques et les prêtres de paroisse, ce qui, comme chacun sait, se perpétue aujourd'hui dans les Eglises d'Orient, y compris chez les uniates restés liés à Rome, et dans l'orthodoxie dans son ensemble, au moins pour ce qui est des prêtres. C'est bien le célibat érigé en règle qui contredit l'Evangile et la tradition du catholicisme primitif. Il convient donc de l'abroger.

    Deuxième affirmation : il est "totalement erroné" de rapporter ces cas d'abus sexuel à une faille dans le système de l'Eglise. Objection ! Le célibat n'était pas encore en vigueur pendant le premier millénaire de l'ère chrétienne. En Occident, il a été institué au XIe siècle sous l'influence de moines (qui, eux, étaient des célibataires par choix). On le doit au pape Grégoire VII, celui-là même qui a contraint l'empereur du Saint Empire romain germanique à s'agenouiller devant lui à Canossa (1077), et cela en dépit de l'opposition virulente du clergé italien et plus encore du clergé allemand.

    En Allemagne, d'ailleurs, trois évêques seulement ont osé promulguer le décret papal. Les prêtres protestataires se comptaient alors par milliers. Dans une pétition, le clergé allemand a demandé "si le pape ne connaissait point la parole du Seigneur : "Qui peut comprendre, qu'il comprenne !"" (Matthieu 19, 12). Dans ce seul et unique passage concernant le célibat, Jésus plaide en effet pour le caractère volontaire de cette réforme du mode de vie.

    La règle du célibat devait donc devenir - en même temps que l'absolutisme papal et le renforcement du cléricalisme - un pilier essentiel du "système romain". Contrairement à ce qui a cours dans les Eglises d'Orient, le clergé occidental, ainsi voué au célibat, apparaît de ce fait comme complètement séparé du peuple chrétien : comme une classe sociale dominante singulière, fondamentalement au-dessus des laïcs, mais totalement soumise à l'autorité pontificale romaine. Or l'obligation du célibat constitue aujourd'hui la cause principale du déficit catastrophique en prêtres, de l'abandon - lourd de conséquences - de la pratique de la communion et dans bien des cas de l'effondrement de l'assistance spirituelle personnalisée.

    Une évolution que l'on dissimule, par la fusion des paroisses, derrière l'euphémisme d'"unités d'assistance spirituelle" que l'on confie à des curés déjà totalement surchargés. Quelle est pourtant la meilleure formation pour les générations futures de prêtres ? L'abrogation de la règle du célibat, racine de tous les maux, et l'ouverture de l'ordination aux femmes. Les évêques le savent bien, mais encore faudrait-il qu'ils aient le courage de le dire à haute et intelligible voix. Ils auraient pour eux la grande majorité de la population et aussi les catholiques, dont tous les sondages récents montrent qu'ils se prononcent en faveur du mariage des prêtres.

    Troisième affirmation : les évêques ont suffisamment endossé de responsabilités. Que désormais des mesures d'explication et de prévention aient été adoptées est une initiative louable. Mais l'épiscopat ne porte-t-il pas la responsabilité de décennies de pratiques de camouflage des cas d'abus sexuel, qui ont eu souvent pour seul effet le déplacement du délinquant, ne visant qu'à renforcer la chape de plomb ? Ceux qui, hier, ont étouffé les scandales, sont-ils aujourd'hui les plus qualifiés pour faire toute la lumière ? Une commission indépendante ne serait-elle pas une meilleure option ?

    Jusqu'à présent, presque aucun évêque n'a reconnu sa complicité. Pourtant, chacun pourrait arguer qu'il n'a fait que suivre les consignes de Rome. Au Vatican, sur la base du secret le plus absolu, la discrète Congrégation pour la doctrine de la foi a pris en charge tous les cas graves de déviances sexuelles commis par des membres du clergé qui ont, du coup, abouti sur le bureau de son préfet, le cardinal Ratzinger, entre 1981 et 2005. Le 18 mai 2001 encore, ce dernier adressait aux évêques du monde entier une lettre solennelle sur les pénibles manquements ("Epistula de delictis gravioribus"). Les cas d'abus sexuels y étaient placés sous "secret pontifical" ("Secretum pontificium") et classés comme offense relevant d'une punition ecclésiastique.

    L'Eglise ne devrait-elle donc pas attendre du pape aussi, en collégialité avec les évêques, un mea culpa ? Et cela lié - en guise de réparation - avec la possibilité que la règle du célibat, mise sous le boisseau au concile Vatican II, soit enfin librement et ouvertement reconsidérée. Avec la même franchise pour aborder enfin de front la question des abus sexuel eux-mêmes, il faudrait s'attaquer à la discussion de sa cause essentielle et structurelle : la règle du célibat. Voilà ce que les évêques devraient proposer fermement et sans ambages au pape Benoît XVI.


    http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/03/04/pour-lutter-contre-la-pedophilie-abolissons-le-celibat-des-pretres-par-hans-kung_1314399_3232.html
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    Message  Solstice 30/10/2011, 03:08

    Les vies brisées des compagnes'cachées' de prêtres catholiques

    Longtemps occultée, la situation des compagnes de prêtres et parfois de religieux sort de l’ombre, et des associations existent dans différents pays d’Europe comme Plein Jour en France. Vie chaotique, brisée bien souvent, pour ces femmes qui sont longtemps restées à l’écart, enfants abandonnés à la naissance ou qui grandissent sans père, encouragement à l’avortement, relations épisodiques où la sexualité joue le rôle essentiel...Dans quelles mesures les conséquences de la règle imposée du célibat affectent elles l'Église catholique ? Décryptage.


    L'ampleur du problème

    Le nombre de demandes de dispenses de voeux du célibat faites au Vatican représenterait près de 500 cas par an. S'il n'existe aucune statistique précise sur le nombre actuel de prêtres qui se sont mariés après avoir abandonné leur ministère, en France, quelques 10.000 prêtres auraient raccroché la soutane depuis Vatican II (1965), soit environ 250 par an. La majorité pour se marier selon une enquête de France-info. Si on estime à quelques 20 000 leur nombre dans notre pays, à ce train là il ne restera plus grand monde pour officer...La plupart à un moment ou un autre de leur sacerdoce, vivent ou vivront ce déchirement entre l’amour de Dieu et celui d’une femme ou d’un homme !
    Depuis les années 1970, sur environ 400.000 prêtres dans le monde, on estime à quelques dizaines de milliers le nombre de ceux qui ont quitté le sacerdoce et se sont mariés, ce qui n'est pas négligeable.
    L’Eglise catholique n’est guère prolixe sur le sujet, préférant fermer les yeux aussi longtemps que cette "double vie" ne s’étale pas au grand jour, ou ne fait pas scandale.

    Histoire d'un dogme incompréhensible


    Des hommes mariés ont continué à être ordonnés prêtres et évêques jusqu'au XIIe siècle. C'est le premier concile du Latran (1123-1139) qui a déclaré invalides les mariages contractés par les prêtres après leur ordination et décrété que les candidats mariés ne pouvaient plus recevoir les ordres sacrés.Cette règle, qui n'existe pas dans les autres Eglises anglicane, protestantes, orthodoxe (sauf pour les évêques orthodoxes qui doivent toujours être recrutés parmi les moines qui ont fait vœu de chasteté), provoque beaucoup de souffrances et décourage sans doute beaucoup de vocations. Elle est régulièrement violée.

    Deux poids deux mesures


    En outre, cette obligation du célibat n'est limitée qu'à l'Eglise catholique d'Occident. Dans toutes les Eglises d'Orient, y compris celles qui sont sous la juridiction du pape de Rome -comme les maronites du Liban ou les coptes catholiques d'Egypte-, des hommes mariés peuvent être ordonnés prêtres.
    Mais ils ne peuvent plus se marier une fois ordonnés et, comme dans l'orthodoxie, leurs évêques sont toujours choisis parmi les moines célibataires.
    Il est impossible à un prêtre d'annuler son ordination, un sacrement indissoluble. Cependant, la Congrégation pour le clergé à Rome peut donner dispense de leur état ecclésiastique à ceux qui le demandent et les relever de leurs voeux de célibat. Cela permet alors à ces prêtres de se marier, ou de se mettre en stand-by alors qu'ils traversent une période de doute ou de crise personnelle. L'Église peut accepter ces demandes dans des circonstances particulières : pas de scandale, pas de caprice et surtout un dossier sérieusement motivé.
    De plus c'est une loi imprudente et sévère: les prêtres mariés des premiers siècles de l'Eglise étaient-ils moins valides, moins consacrés au service de Dieu que les prêtres célibataires d'aujourd'hui? Et les prêtres mariés des Eglises orientales sont-ils moins valides que les prêtres célibataires de l'Eglise latine? Ce qui fut possible et moral à une époque du catholicisme doit-il être considéré comme impossible et immoral aujourd'hui ?

    Des affaires d'héritages embarrassantes font bouger le Vatican


    Henri Tincq dans Slate.fr signale qu'en aout 2009 qu' une instruction était en cours de discussion à la congrégation vaticane du clergé pour régulariser la situation des prêtres concubins et de leurs enfants. "Il s'agit surtout de prévenir les actions en justice pour reconnaissance en paternité qui commencent à se multiplier notamment en Amérique latine ou dans des pays européens comme l'Autriche, la Suisse ou les Pays-Bas. (...) Concrètement, le prêtre serait invité à reconnaître devant les tribunaux civils sa paternité. Il demanderait que soient garantis les droits de son enfant et de la mère, y compris ceux liés à la succession et au bénéfice d'un héritage. L'enfant pourrait même être autorisé à porter le nom de famille de son père prêtre. Cette évolution est proche de celle constatée dans le droit civil de pays où des enfants illégitimes peuvent désormais prétendre à des parts d'héritage. Cette information a été jugé «sans fondement» par le porte-parole du Vatican. En réalité, la mesure est bien à l'étude. Elle constituerait un pas en avant dans la transparence. Mais, avant de trancher, l'Eglise veut être assurée de ne pas y perdre. Elle entend protéger ses avoirs dans les questions de succession".
    Dans le livre-entretient "Lumière du monde" présenté peu après en novembre 2010 au Vatican, le pape Benoît XVI a affirmé qu'il "faut veiller à ce qu'il soit fait justice aux enfants de prêtres" et ne se déclare pas opposé au mariage des prêtres s'ils abandonnent le sacerdoce.
    Que dire de la façon inhumaine dont sont rejetés les prêtres qui renoncent à leur ministère pour se marier ? Aucun accompagnement à celui qui, brusquement, est privé d'argent, de logement, de travail, et doit pourtant assurer sa subsistance et celle de sa compagne. Interdiction lui est faite d'assumer une quelconque responsabilité religieuse. Quel dommage pour les communautés privées d'éléments dynamiques et généreux.

    En France une affaire récente parmi d'autres

    Le 4 septembre dernier, Remi Bouriaud, "un prêtre de 70 ans a été démis de son ministère par Mgr Jean-Paul James, évêque de Nantes. Interdiction de célébrer la messe et de prononcer des sacrements. Son tort ? Avoir choisi de « vivre avec une compagne » depuis onze ans, remettant ainsi en question « l’engagement au célibat pris quand il a demandé et reçu l’ordination », indiquait jeudi le diocèse dans un communiqué" à France soir.
    "Le père Rémi Bouriaud, ordonné prêtre en 1967, s’est toujours interrogé sur « la place de la femme dans le monde, dans l’Eglise et dans sa vie ». Il avait déjà vécu une première relation amoureuse de cinq ans avec une femme, quand, en 2000, à l’orée de la soixantaine, il a rencontré Michèle : « Nous avons fait le pari d’essayer de vivre ensemble tout en connaissant la position de l’Eglise chrétienne, catholique et romaine sur le célibat des prêtres », confie-t-il à Presse Océan. Sans s’exhiber, il n’a jamais vraiment caché cette relation. Dans les paroisses de La Baule et de Pornichet, où il officiait depuis 2006, les fidèles connaissaient sa double vie. Le curé partait souvent le soir rejoindre sa compagne, à plusieurs dizaines de kilomètres de là. Personne ne s’en offusquait vraiment. On comprenait, et on n’en parlait pas."

    Des souffrances dans une "Église restée dix siècles en arrière"


    Ce prêtre anticonformiste, qui a confié au Figaro avoir toujours eu « des besoins d’affections, de corps à corps, de solidarité avec le monde féminin », a fini par déranger. Pourquoi aujourd’hui, alors qu’il affirme en avoir informé sa hiérarchie il y a des années ? C’est une lettre anonyme, envoyée cet été à l’évêque de Nantes, qui aurait mis le feu aux poudres. « Je crois que c’est parce que j’ai été franc depuis tout le temps que la sanction me tombe dessus », dit-il. A la fois déçu et soulagé, Rémi en a malgré tout gros « sur la patate » : « Il y avait encore un peu partout des prêtres mariés jusqu’en 1450. L’Eglise est restée dix siècles en arrière sur cette question-là. Elle est un peu en dehors du temps actuel, du monde, de la société.», dénonce-t-il.

    En d'autres termes, comment aurait-il pu continuer de mener une double vie et absoudre en même temps les péchés des autres dans un cadre confessionnal ?

    Le père Rémi Bouriaud, 70 ans, de La Baule-Escoublac et Pornichet, vit depuis onze ans avec sa compagne. Mais cela n'était visiblement pas du goût du tous : certains s'en sont plaints récemment auprès de l'évêché. Il aurait été dénoncé par des lettres qui auraient atterri sur le bureau de l'évêque, Mgr Jean-Paul James.
    Rémi Bouriaud ne veut pas devenir un porte-drapeau. « Cela va être très dur pour lui, compatit Bernard. En tant que personne humaine, ayant des responsabilités spirituelles, il doit être démoli. » L’intéressé dit ne rien regretter : « Cette relation nous rend heureux. Nous savions qu’un jour où l’autre cette double-vie pouvait s’arrêter », confie-t-il à Presse Océan. A La Baule, les autres prêtres lui ont organisé un beau repas d’adieu. Pour sa dernière messe, samedi, il a été ovationné par les fidèles. Il y a quelques jours, il a récupéré ses quelques affaires au presbytère. Il peut enfin vivre son amour avec Michèle en pleine lumière. Aujourd'hui, l'homme a déménagé à Tharon-Plage. Il n'envisage pas de se marier, du moins pour l'instant. Son cas n'est pas unique.

    Les motifs de ce statu quo


    Certains espèrent que l'histoire de Remi Bouriaud relancera le débat sur le célibat des prêtres. Selon la Fédération européenne de prêtres catholiques mariés, environ un prêtre sur quatre aurait (ou aurait eu) une relation clandestine. « Il est temps que l’Eglise réfléchisse. Au moins, ce curé sait ce qu’est la vie de couple, comme les pasteurs ou les rabbins. La loi du silence, ça suffit », tacle une fidèle en colère. Pour Bernard, prêtre qui a renoncé à la soutane il y a quarante ans, « c’est une hypocrisie totale. Quand vous en parlez aux évêques, ils comprennent. Mais s’ils veulent garder leur place, il doivent se taire, exclure, ne pas remettre l’Eglise en question ».

    Dominique Venturini, ancienne compagne de prêtre qui dirige l’association Plein jour, a d’ailleurs adressé une lettre à Benoît XVI pour réclamer la fin du célibat des prêtres : « Que l’Eglise accorde la même liberté, les mêmes droits humains à chacun ! », s’insurge-t-elle.
    Contrairement à ce qu'affirme le Vatican, le célibat des prêtres n'a rien d'évangélique ou de biblique. Il est un simple fait de droit féodal en l'occurrence maintenue aujourd'hui pour des raisons essentiellement économiques.
    Mais la revue Golias aborde un autre motif:
    "Il est vrai que la solide réputation de misogynie de l’institution de l’Eglise catholique n’est plus à démontrer, et que l’affaire de la jupe qui a mis en cause l’archevêque de Paris est juste le lapsus révélateur d’une longue tradition. Confié très jeune au monastère bénédictin du Mont-Cassin, Thomas d’Aquin écrivait : “La femme est à l’homme ce que l’imparfait et les défauts sont au parfait. La femme est physiquement inférieure, de même que mentalement (...) Elle est simplement une erreur de la nature, une sorte d’homme mutilé.” On n’est jamais allé jusque-là dans la Grèce antique. Plus tard, Pie II, pape de 1458 à 1464, prononça ces paroles : “Quand tu vois une femme, pense que c’est le diable : c’est une sorte d’enfer.” Règle non dogmatique édictée au nom d’une discipline intérieure et certainement aussi pour des questions financières et d’héritage, le célibat s’est imposé peu à peu avec ses non-dits, porté par un conditionnement poussant à la soumission."
    Le sort de la femme concubine et coupable de 'malice' n'était pas pris en compte ni les conséquences de ces aventures.
    Benoît XVI écrivait en 2007: «Le fait que le Christ lui-même ait vécu sa mission dans l'état de virginité constitue le point de référence sûr pour recueillir le sens de la tradition de l'Église latine sur cette question. Il n'est donc pas suffisant de comprendre le célibat sacerdotal en termes purement fonctionnels. En réalité, il est une conformation particulière au style de vie du Christ lui-même.»
    Quelle tradition latine ? Au contraire Jésus avait indiqué dans les Évangiles venir pour mourir en sacrifice...Le sachant, il aurait été cruel de sa part de vouloir fonder une famille ! De plus on sait que Pierre, un des douze apôtres avait une belle mère; donc étant marié ne servait-il à rien ? Ces arguments ne tiennent pas au plan théologique quand on sait que le pape prétend être "un des successeur de saint Pierre"!

    Reste qu'en France de nombreuses femmes, "maîtresses" d’abbés ou épouses d’ex-curés, se soutiennent au sein de Plein Jour, une association qui lutte pour l’abolition du célibat des prêtres, et contre ce "silence organisé" au plus hauts sommets de l'Eglise catholique.

    http://www.lepost.fr/article/2011/09/16/2591783_les-vies-brisees-des-compagnes-cachees-de-pretres-catholiques.html
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    Message  Solstice 30/10/2011, 03:24

    Le célibat des prêtres date seulement du Moyen Age?!!

    P
    our mieux prouver que le mariage des
    prêtres est compatible avec l'enseignement du Christ, des chrétiens
    affirment que le célibat sacerdotal est une invention tardive, inconnue
    des évangiles et de l'Eglise primitive. Le célibat des prêtres est un
    sujet de discorde depuis les premiers temps du christianisme.

    http://angeljuan.unblog.fr/page/5/
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    Message  Solstice 30/10/2011, 03:38

    Catholicisme: Vatican trompe ses adeptes -

    NDLR: Témoignage de Léon Brancart, ex prêtre catholique.

    Avec quelle insistance je demandais chaque jour à Dieu de me donner une foi toujours plus exacte ! Combien tout eût été plus simple si j'avais encore pu me convaincre de la vérité du catholicisme ! Mais plus je priais et méditais la Bible, plus cette religion me paraissait fausse. Je consultais en confession des prêtres compétents. Je repris mes propres arguments anti-protestants écrits autrefois et remaniés après ma théologie ; je trouvais aussitôt une réponse à chaque page : j'en étais stupéfait et quelque peu émerveillé. Entre temps, je devais chaque jour célébrer la messe. Je me disais : la théologie catholique est fausse mais en tant que commémoration de la mort du Christ, je sais que Dieu agrée ce pain et ce vin. Je ne voyais pas encore à l'époque qu'un chrétien doit s'abstenir de toute participation à une cérémonie où l'on parle à des morts, où l'on prie pour les morts, où l'on prétend que se renouvelle le Sacrifice de la Croix : alors qu'il fut offert une fois pour toutes. Que s'était-il passé ? Je n'avais jamais pu croire à la prescience divine des futurs libres. Lorsque, quelque temps après l'encyclique "Humani generis", je pris nettement conscience que c'était une doctrine de foi, je dus conclure avec épouvante que je n'étais plus catholique. Je me dis : Tu dois y croire puisque le pape le veut. Mais je m'aperçus que je ne croyais plus à son infaillibilité. Je fus atterré. Et les autres dogmes ? Je les comparais à l'Ecriture Sainte et trouvais que plusieurs s'y opposaient. Comme je croyais la Parole de Dieu, je ne crus plus le dogme.

    En résumé, l'Église catholique, en contradiction avec l'Ecriture Sainte, exige qu'on renonce à ses propres convictions et qu'on accepte d'avance ce qu'imposeront ses prêtres en dogmes, en morale et même parfois en philosophie. Or Dieu dit dans Jérémie 17/5 "Je maudis celui qui se détourne de moi, ne met sa confiance qu'en l'homme et cherche sa force dans les pauvres moyens humains". L'Église catholique impose la loi et sa loi alors que l'Apôtre Paul affirme que nous sommes sauvés par la "foi du cœur", la foi vivante, agissante par la charité. Cette église a le plus souvent remplacé l'inspiration du Saint-Esprit par les prescriptions subtiles et minutieuses. Elle impose le célibat aux prêtres et aux religieux qui ont prononcé des vœux perpétuels et provoque très souvent des scandales honteux ! Elle emploie ou a employé les Sacrements d'une manière vraiment superstitieuse jusqu'à conférer l'extrême-onction à des gens morts depuis une heure, et jusqu'à demander à un enfant de huit jours, lors de son baptême, s'il renonce au pêché ? (La Bible veut qu'on soit baptisé par immersion alors qu'on croit de tout son cœur, c'est l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu). L'Église catholique impose de croire que le christ est tout entier corporellement présent dans une mie de pain* consacrée. Qu'est-ce que cela signifie ? *(hostie)

    Elle prétend qu'à la messe, se renouvelle le Sacrifice du Calvaire alors que, selon l'épître aux Hébreux, il a été offert une fois pour toutes ; et institue des prêtres alors que le sacerdoce du Christ est intransmissible, sauf le sacerdoce universel auquel tout chrétien participe. Elle fait croire que ses prêtres ont plus de pouvoirs que les autres chrétiens et qu'ils sont pratiquement indispensables au salut et qu'ils sont "prêtres pour l'éternité" ! Elle détourne considérablement du Fils de Dieu, du Seigneur Jésus-Christ, par le culte des saints, en particulier de Marie dont cette église dénature et hypertrophie le privilège. Car celui d'être chrétien est plus grand que celui d'être mère de Jésus, voir évangile de Luc chapitre 11 et le verset 28.

    "Tandis que Jésus parlait ainsi, une femme, élevant la voix du milieu de la foule, lui dit: Heureux le sein qui t'a porté! heureuses les mamelles qui t'ont allaité! Et il répondit: Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent!"

    Or Dieu interdit d'invoquer les morts, de leur demander du secours. Parmi ceux auxquels on a recours, certains n'ont jamais existé et ne sont pas sauvés. Elle appelle Marie, médiatrice de toutes les grâces, alors que l'Ecriture Sainte déclare que Jésus-Christ est le seul médiateur entre Dieu et les hommes. Elle a volatilisé le deuxième commandement de Dieu qui interdit les images religieuses.
    Elle vend, pour de l'argent, des choses saintes ou des choses qu'elle prétend saintes ; intentions de messes, droit d'indulgencier certains objets... ; trafique ainsi du Sang du Christ et exploite la crédulité superstitieuse, l'affection familiale et la vanité humaine. Elle n'obtient l'unité qu'en violant la liberté de conscience. Elle excommunie ceux qui ne reçoivent pas ses doctrines, étrangères à la Bible ou son interprétation de celle-ci ; elle montra ainsi un exemple néfaste trop souvent suivi par beaucoup de protestants et par les sectes qui imposent une profession de foi ou leur interprétation et non la Bible seule. Elle a permis aux rois, même les plus pêcheurs, et aux gouvernements civils de désigner des évêques. Elle a transmis ses prétendus pouvoirs par une hiérarchie pourrie pendant des siècles, et composée presque exclusivement de grands seigneurs devenus évêques, cardinaux et papes par pure ambition humaine.

    Elle eut pour papes et pour cardinaux de jeunes enfants, des bâtards de papes, des favoris de femmes et courtisanes romaines. Que d'évêques obtenant leur charge à prix d'argent ou pour des raisons politiques, soit des rois soit des papes ! Elle impose une interprétation invraisemblable de plusieurs textes de l'Ecriture : Matthieu 16/18, 24/36, 26/26-28, Jean 14/28, 21-13-17, Philippiens 2/7, Apocalypse 20/6. Elle obtient des miracles toujours d'une manière non biblique. (Or les faux prophètes feront des prodiges jusqu'à séduire les élus eux-mêmes si cela était possible). Elle a institué tardivement la confession avec absolution sacramental alors que nous ne voyons pas les apôtres y recourir, même où c'eût été indiqué. Elle tire, de ses scandales mêmes, la preuve de sa légitimité.

    Elle interdit qu'on vérifie son enseignement d'après la Bible alors que l'apôtre Paul le recommande (ef. art ; 17,11). Elle est responsable de la tiédeur à l'égard de la Bible et de la superstition d'une quantité de ses membres, d'où leur incompréhension de la Bible ainsi que des répercussions terribles que cela aura sur leur salut. Je pris aussi mieux conscience de plusieurs autres torts et comportements de cette église : le formalisme, les prières obligatoirement rapides et forcément machinales, les rites compliqués et si défavorables à la véritable piété ; la mise à mort et la violence, quand elle le pouvait, des autres chrétiens (je n'appris clairement que plus tard sa prétention d'en avoir le droit).
    L'utilisation quand elle en a l'occasion, de moyens scandaleux ou tous humains pour s'imposer :

    * l'union aux puissances d'argent et aux puissances politiques ; son recours, quand elle en eut l'occasion, au glaive de l'Etat pour détruire les autres chrétiens ;

    * le prestige de l'art, de l'apparat, des cérémonies aussi pompeuses que formalistes ;

    * l'autorisation tacite de bien des manquements et même de péchés pour s'attirer beaucoup d'adhérents ;

    * la fortune colossale du Vatican... Bref, elle se comporte comme la Babylone de l'apocalypse dont il est écrit : "sortez du milieu d'elle, mon peuple" (apocalypse 17 :3-6 et 18 :4) ;

    * les titres et les honneurs accordés aux prêtres et surtout à la hiérarchie, en désobéissance à l'Evangile : Père, révérend père, excellence, grandeur, éminence, révérendissime seigneur, prince éminentissime, très Saint-Père

    * sa prudence tout humaine, son manque d'assurance, son observation des réactions du public avant de déclarer certaines doctrines "de foi" ou de canoniser un défunt. Ses variations importantes en exégèse doctrinale son interdiction de la Bible pendant des siècles, parfois sous peine de mort, et la défense toujours actuelle pour un catholique, de se conformer à la compréhension qu'il en a quand celle-ci diffère de l'enseignement des prêtres. Il est obligé de préférer la parole des hommes à la Parole de Dieu. Comment croire cette dite église infaillible ?

    C'était impossible.

    Léon BRANCARD
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    Message  Solstice 30/10/2011, 03:51

    Falsification et conditionnement du Catholicisme Dogme
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    Message  Solstice 30/10/2011, 04:37

    L'église catholique romaine et la prostituée d'apocalypse

    http://esaie.free.fr/niveau2/prostituee.htm
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    Message  Solstice 30/10/2011, 04:46

    Falsification et conditionnement du Catholicisme



    - Avant-propos

    - Le baptême par aspersion

    - La canonisation des saints, les prières pour les morts, les invocations adressées aux saints...

    - L’usage des cierges

    - L’utilisation d’accessoires et d’ustensiles comme le chapelet, le scapulaire, les médailles, les pentacles de protection écrits en lettres hébraïques...

    - Le célibat des prêtres, des clercs, des évêques...

    - Le clergé comme intermédiaire humain

    - la confession auriculaire à un prêtre

    - La vie monastique dans les couvents

    - Le culte en latin

    - L’eau bénite...

    - L’Eglise considérée comme édifice physique

    - L’encens

    - l’Eucharistie

    - la génuflexion devant un pape (ou même un ange) soi-disant successeur de Pierre !

    - toute forme de hiérarchie

    - L’infaillibilité papale

    - L’interprétation des Saintes Ecritures par l’Eglise " seule " habilitée à le faire

    - La messe

    - La papauté

    - Les pèlerinages

    - La pénitence

    - La primauté de Pierre

    - Les processions

    - Le purgatoire

    - Les 7 sacrements

    - Le " sacrifice " de la messe,

    - Le salut par les œuvres

    - Le salut selon le dogme Catholique qui énonce

    - La tradition humaine comme source d’autorité

    - Les fables et autres doctrines de démons comme la notion de sacré-cœur

    - La vénération des saints, des anges, des reliques...

    - des images, des statues, des icônes...

    - Et tout ce qui est marial

    - la virginité perpétuelle de Marie

    - les prières et autres signes de dévotion adressés à Marie

    - Le dogme de " l’immaculée conception ".

    - L'" Assomption " de Marie.

    - Les différents qualificatifs

    - Les différents titres qui lui sont exclusivement attribués

    - Le titre païen de " Reine des Cieux "

    - La fonction " médiatrice " de Marie (attribut unique de JESUS-CHRIST)

    - L’état " corédempteur " de Marie

    - Marie " Mère de DIEU "

    - Marie " Mère de l’Eglise "

    - Tableau récapitulatif des doctrines et dogmes anti-Scripturaires majeurs imposés par l'Eglise de Rome et " sa tradition humaine "

    - Conseils Evangéliques

    - Documentation complèmentaire

    http://www.bibleetnombres.online.fr/falsifca.htm#messe
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    Message  paralleye 30/10/2011, 06:52

    Solstice a écrit:
    Falsification et conditionnement du Catholicisme



    - Avant-propos

    - Le baptême par aspersion

    - La canonisation des saints, les prières pour les morts, les invocations adressées aux saints...

    - L’usage des cierges

    - L’utilisation d’accessoires et d’ustensiles comme le chapelet, le scapulaire, les médailles, les pentacles de protection écrits en lettres hébraïques...

    - Le célibat des prêtres, des clercs, des évêques...

    - Le clergé comme intermédiaire humain

    - la confession auriculaire à un prêtre

    - La vie monastique dans les couvents

    - Le culte en latin

    - L’eau bénite...

    - L’Eglise considérée comme édifice physique

    - L’encens

    - l’Eucharistie

    - la génuflexion devant un pape (ou même un ange) soi-disant successeur de Pierre !

    - toute forme de hiérarchie

    - L’infaillibilité papale

    - L’interprétation des Saintes Ecritures par l’Eglise " seule " habilitée à le faire

    - La messe

    - La papauté

    - Les pèlerinages

    - La pénitence

    - La primauté de Pierre

    - Les processions

    - Le purgatoire

    - Les 7 sacrements

    - Le " sacrifice " de la messe,

    - Le salut par les œuvres

    - Le salut selon le dogme Catholique qui énonce

    - La tradition humaine comme source d’autorité

    - Les fables et autres doctrines de démons comme la notion de sacré-cœur

    - La vénération des saints, des anges, des reliques...

    - des images, des statues, des icônes...

    - Et tout ce qui est marial

    - la virginité perpétuelle de Marie

    - les prières et autres signes de dévotion adressés à Marie

    - Le dogme de " l’immaculée conception ".

    - L'" Assomption " de Marie.

    - Les différents qualificatifs

    - Les différents titres qui lui sont exclusivement attribués

    - Le titre païen de " Reine des Cieux "

    - La fonction " médiatrice " de Marie (attribut unique de JESUS-CHRIST)

    - L’état " corédempteur " de Marie

    - Marie " Mère de DIEU "

    - Marie " Mère de l’Eglise "

    - Tableau récapitulatif des doctrines et dogmes anti-Scripturaires majeurs imposés par l'Eglise de Rome et " sa tradition humaine "

    - Conseils Evangéliques

    - Documentation complèmentaire

    http://www.bibleetnombres.online.fr/falsifca.htm#messe

    Ton site "bible et nombres" à laquelle tu renvois Solstice est de la plus pure propagande talmudique,un site rédigé par des fanatiques sionistes malades mentaux qui réécrivent l'histoire à leur guise,comme bon leur semble,pour faire l'apologie de l'Israel génocidaire...entre autres saletés plus abominables encore !

    Il fut déjà grillé à ce lien,lorsque le troll Neos a voulu nous prendre pour des cons :
    https://novusordoseclorum.1fr1.net/t6433-excellence-du-rosaire#68443

    Tes "sources" sont pour le moins douteuses et malsaines...

    Il serait bon d'en prendre conscience rapidement !

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