Lyon: deux enfants pris dans une secte vaudou et pédocriminelle
par dondevamos - http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/07/24/24677311.html
C'est une affaire dont on n'a pas entendu parler non plus, mais qui ressemble à d'autres affaires dont on a parlé sur ce blog (dondevamos). Les faits se passent à Lyon, entre 2008 et aujourd'hui. Loïc et Audrey, parents chacun d'un enfant, s'installent ensemble et très vite, la fille de Loïc, Loriane, se plaint d'attouchements de la part de l'ami de sa mère. C'est enuite Mathieu, le fils d'Audrey, qui se plaint de la même chose. Et le tourbillon judiciaire commence.
Un blog créé récemment parle de cette affaire dans le détail. Une affaire dans laquelle les enfants dénoncent des piqures d'aiguilles, des viols, des cérémonies vaudou ou sataniques dans lesquelles les adultes se mettent des robes africaines et parlent une langue que les enfants ne connaissent pas.
Des certificats médicaux étaient ces affirmations, mais cela ne semble pas perturber la justice, qui a placé Mathieu et a rendu Loriane à sa mère, pourtant complice des abus.
Quand Loïc se rend au commissariat pour porter plainte, les flics tentent de l'en dissuader. Plusieurs scènes surréalistes se succèdent dans cette affaire, comme cette fois où Loïc explique " lorsque je suis venu deux policiers sont venus m’accueillir un peu fraîchement, et ils m’ont emmené dans le bureau et ont essayé de me dissuader de porter plainte, réfutant le certificat médical du professeur D., et l’un m’a dit ‘voulez-vous qu’on joue à un jeu ?’ ; il m’a dit qu’il allait prendre ma fille ¼ d’heure et m’a dit qu’il allait faire dire à ma fille que j’étais son agresseur et ma compagne aussi ». Bref, le pédo semble couvert, et pas qu'un peu.
Quant à la Justice, elle est occupée à envoyer l'affaire sur le terrain du "conflit parental", sans se pencher sur le fond de l'affaire, malgré de nombreux éléments (certificats médicaux, enregistrements audios de Loriane, auditions de la petite)
apportés par Loïc. On n'écoute pas Loriane, sauf quand elle se rétracte, sous la pression de sa mère qui lui dit qu'elle écoute derrière la porte lors des auditions de sa fille. On dit qu'elle est "manipulée" par son père, et que finalement il ne faut pas tenir compte de ce qu'elle dit, même si son demi frère dit exactement la même chose.
Et bien sûr, le tribunal a décidé d'envoyer la petite chez sa mère, où vit le pédophile vaudou.
D'autres enfants gardés par la grand mère maternelle de Loriane, qui est assistante maternelle à Lyon, sont victimes des mêmes faits, par les mêmes personnes, et souvent avec la complicité de leurs parents. Une psychiatre lyonnaise en vue aurait
également participé aux séances de piqures et de viols, dans son cabinet qui a été identifié par Loriane.
Ensuite, le pédophile vaudou et la mère de Loriane d'un côté, le père de Mathieu qui est en contact avec eux de l'autre, cherchent à faire porter le chapeau à Loïc: ils demandent à des médecins de constater les traces de piqures qu'eux-mêmes ont faites sur les enfants. Du coup, Loïc est obligé de se préparer des alibis en béton pour prouver qu'il n'était pas en contact avec les enfants quand ceux-ci subissent ces piqures (et le reste).
Aujourd'hui encore, le père de Mathieu s'attache à montrer que Loïc est le seul responsable des abus commis sur son fils.
Les enfants cernés
Dans cette affaire on peut donc clairement parler de réseau pédocriminel, voir vaudou ou je ne sais quoi. De fait, quand Loïc va porter plainte pour sa fille et que la
policière de la brigade des mineurs lui dit d' "arrêter la procédure", quand cette même policière dit à un témoin qu'elle accorde toute sa confiance à la mère de Loriane et au père de Mathieu, quand un Procureur menace Loïc de prison alors qu'il demande à garder sa fille avec lui, on se dit que quelque chose cloche.
Pour avoir eu à connaître plusieurs affaires de ce genre, le premier élément qui amène à soupçonner l'existence d'un réseau pédocriminel, ce ne sont pas les paroles des enfants mais les réactions ubuesque de la Justice et de la police, qui vont totalement à l'encontre de ce qu'on pourrait attendre ne serait-ce que pour protéger les enfants. Non, dans certaines affaires la Justice s'attache surtout à nier les faits, quitte à ne pas tenir comptes des expertises gênantes, ou de certaines auditions qui ne vont pas dans le sens voulu. Ca, c'est le pouvoir d'appréciation des juges, aussi
impénétrable que les voies d'une certain "Seigneur".
Bref. Cette affaire est donc grave, puisque le nouveau compagnon de la mère de Loriane (le pédo vaudou aurait dégagé le jour où Mathieu a été placé) serait un adepte des mêmes pratiques. Et tout le monde a déménagé dans le Var.
Aujourd'hui, donc, la Justice, dans sa grande sagesse, a confié Loriane à sa mère, tandis que Mathieu est encore en foyer. Mais il voit son père bien plus souvent que sa mère, sans qu'on sache trop sur quels critère s'est basée la Justice.
Loïc et Audrey risquent donc d'avoir du pain sur la planche pour sortir leurs enfants de là, et la distance géographique n'arrange rien. Nous reviendrons cette affaire.
L'affaire de Lyon dans le détail:
Partie I
Partie II
Source:
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/07/24/24677311.html
par dondevamos - http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/07/24/24677311.html
C'est une affaire dont on n'a pas entendu parler non plus, mais qui ressemble à d'autres affaires dont on a parlé sur ce blog (dondevamos). Les faits se passent à Lyon, entre 2008 et aujourd'hui. Loïc et Audrey, parents chacun d'un enfant, s'installent ensemble et très vite, la fille de Loïc, Loriane, se plaint d'attouchements de la part de l'ami de sa mère. C'est enuite Mathieu, le fils d'Audrey, qui se plaint de la même chose. Et le tourbillon judiciaire commence.
Un blog créé récemment parle de cette affaire dans le détail. Une affaire dans laquelle les enfants dénoncent des piqures d'aiguilles, des viols, des cérémonies vaudou ou sataniques dans lesquelles les adultes se mettent des robes africaines et parlent une langue que les enfants ne connaissent pas.
Des certificats médicaux étaient ces affirmations, mais cela ne semble pas perturber la justice, qui a placé Mathieu et a rendu Loriane à sa mère, pourtant complice des abus.
Quand Loïc se rend au commissariat pour porter plainte, les flics tentent de l'en dissuader. Plusieurs scènes surréalistes se succèdent dans cette affaire, comme cette fois où Loïc explique " lorsque je suis venu deux policiers sont venus m’accueillir un peu fraîchement, et ils m’ont emmené dans le bureau et ont essayé de me dissuader de porter plainte, réfutant le certificat médical du professeur D., et l’un m’a dit ‘voulez-vous qu’on joue à un jeu ?’ ; il m’a dit qu’il allait prendre ma fille ¼ d’heure et m’a dit qu’il allait faire dire à ma fille que j’étais son agresseur et ma compagne aussi ». Bref, le pédo semble couvert, et pas qu'un peu.
Quant à la Justice, elle est occupée à envoyer l'affaire sur le terrain du "conflit parental", sans se pencher sur le fond de l'affaire, malgré de nombreux éléments (certificats médicaux, enregistrements audios de Loriane, auditions de la petite)
apportés par Loïc. On n'écoute pas Loriane, sauf quand elle se rétracte, sous la pression de sa mère qui lui dit qu'elle écoute derrière la porte lors des auditions de sa fille. On dit qu'elle est "manipulée" par son père, et que finalement il ne faut pas tenir compte de ce qu'elle dit, même si son demi frère dit exactement la même chose.
Et bien sûr, le tribunal a décidé d'envoyer la petite chez sa mère, où vit le pédophile vaudou.
D'autres enfants gardés par la grand mère maternelle de Loriane, qui est assistante maternelle à Lyon, sont victimes des mêmes faits, par les mêmes personnes, et souvent avec la complicité de leurs parents. Une psychiatre lyonnaise en vue aurait
également participé aux séances de piqures et de viols, dans son cabinet qui a été identifié par Loriane.
Ensuite, le pédophile vaudou et la mère de Loriane d'un côté, le père de Mathieu qui est en contact avec eux de l'autre, cherchent à faire porter le chapeau à Loïc: ils demandent à des médecins de constater les traces de piqures qu'eux-mêmes ont faites sur les enfants. Du coup, Loïc est obligé de se préparer des alibis en béton pour prouver qu'il n'était pas en contact avec les enfants quand ceux-ci subissent ces piqures (et le reste).
Aujourd'hui encore, le père de Mathieu s'attache à montrer que Loïc est le seul responsable des abus commis sur son fils.
Les enfants cernés
Dans cette affaire on peut donc clairement parler de réseau pédocriminel, voir vaudou ou je ne sais quoi. De fait, quand Loïc va porter plainte pour sa fille et que la
policière de la brigade des mineurs lui dit d' "arrêter la procédure", quand cette même policière dit à un témoin qu'elle accorde toute sa confiance à la mère de Loriane et au père de Mathieu, quand un Procureur menace Loïc de prison alors qu'il demande à garder sa fille avec lui, on se dit que quelque chose cloche.
Pour avoir eu à connaître plusieurs affaires de ce genre, le premier élément qui amène à soupçonner l'existence d'un réseau pédocriminel, ce ne sont pas les paroles des enfants mais les réactions ubuesque de la Justice et de la police, qui vont totalement à l'encontre de ce qu'on pourrait attendre ne serait-ce que pour protéger les enfants. Non, dans certaines affaires la Justice s'attache surtout à nier les faits, quitte à ne pas tenir comptes des expertises gênantes, ou de certaines auditions qui ne vont pas dans le sens voulu. Ca, c'est le pouvoir d'appréciation des juges, aussi
impénétrable que les voies d'une certain "Seigneur".
Bref. Cette affaire est donc grave, puisque le nouveau compagnon de la mère de Loriane (le pédo vaudou aurait dégagé le jour où Mathieu a été placé) serait un adepte des mêmes pratiques. Et tout le monde a déménagé dans le Var.
Aujourd'hui, donc, la Justice, dans sa grande sagesse, a confié Loriane à sa mère, tandis que Mathieu est encore en foyer. Mais il voit son père bien plus souvent que sa mère, sans qu'on sache trop sur quels critère s'est basée la Justice.
Loïc et Audrey risquent donc d'avoir du pain sur la planche pour sortir leurs enfants de là, et la distance géographique n'arrange rien. Nous reviendrons cette affaire.
L'affaire de Lyon dans le détail:
Partie I
Partie II
Source:
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/07/24/24677311.html
Dernière édition par nex le 15/8/2012, 00:22, édité 1 fois