Abrutissement ou divertissement ?
Je suis partagé, conscient du facteur "perturbateur" de la musique tout comme le bienfaiteur. Perturbateur à cause des textes, personnalités, le courant musical (punk, rock, classique, acoustique, reggae, pop, rap etc ... ), les émotions !
La musique ma emmenée dans bien des endroits, apportée des idées, tristesse et colère, courage et gaité. Il y a musique à entendre et musique à jouer, une information venant de l’extérieur et une de l'intérieur.
Il y a la musique à sous qui abrutie les masses et qui fait rire les avertis, qui corrompt les faibles et agace les autres mais aussi la musique du cœur, celle qui donne sincèrement et qui ne demande qu'à être partagée .
Le coté visuel est tout aussi vaste que l'auditif et agit de la même manière(pour le coté marketing de masse). Pour parler avec franchise, j'ai mené un genre de vie "yoyo" à base de période (parfoit dans l'ordre du mois) à reguarder toutes sortes de film et série (Weeds, Dexter, House, Stargate, Falling Skies, Shield, Prison Break, Game of the throne, Nikita, Walking dead, Breaking Bad, Castle, V, Homeland, Spartacus ... (Outch)), je passe pour les films ...
L'effet est là, tout est perturbé, je dois dire que je regarde les séries en téléchargement et pas non sur télé car je n'en possède pas (je sauve un peu les meubles !) et je regarde les séries à coup de saison, à plus grande dose donc, tout comme l'effet. Des envies de mode de vie en tout genre, à base d'argent ou d'amantes, du sain au malsain, anxiété, saut d'humeur etc...
La série télé de nos jours procèdes toujours de la même manière. Je schématise ça comme des ondes dans un oscilloscope; un axe principale qui est la trame, ou centre croise des ondes qui représente les divers personnages et fait, qui vont diriger l'histoire. En arrivant une à une à différente fréquences, les rencontres et occasion ce multiplie jusqu'au bouquet final.
Le début des séries est toujours soignés, pour appâter, politiquement correcte, d'une moral douteuse certes mais acceptable ... puis c'est la débâcle, un exemple avec Weeds.
La moral douteuse (copier/coller de wikipédia)
Confrontée à des difficultés financières à la suite du décès de son mari causé par une crise cardiaque, une mère au foyer, Nancy Botwin, entreprend de vendre du cannabis à ses voisins. Mais dans la petite ville d'Agrestic, banlieue californienne fictive et bourgeoise où elle vit, les apparences et le conformisme prévalent. Elle essaie tant bien que mal de s'en sortir, mais tout ne va pas pour le mieux, tant dans ses « affaires » que dans sa vie familiale avec ses deux fils, qui ne sont pas au courant de la nouvelle activité de leur mère.
L'évolution (à la base tout le monde est clean)
Nancy Botwin réussi dans la vente de cannabis ! Maintenant elle aime ce faire prendre sur le bureau par son amant, son mari s'est fait descendre par sa faute mais s'est pas grave puisqu'elle le fait aussi avec le barman, son dealer puis pourquoi pas dans une ruel pour régler une affaire. L'un de c'est fils a tué et il aime sa, il est morbide mais c'est cool, l'autre frère c'est le beau gosse, il tire les couguars et les jolies poulettes, c'est deux la possède un oncle complètement barré qui ce branle devants l'ordinateur avec la copine de son neveu et d’ailleurs ça devise c'est faire de la merde (fait notable, l'oncle se convertit au Judaïsme pour échapper au service militaire, la première personne qu'il rencontre dans sa conversion est une charmante femme qui devient ça complice au lit, elle le sodomise (quenelle) mais l'oncle aime ça .........).
Endoctrinant, néfaste, malsain, immoral, perfide et j'en passe.