rechauffement climatique:
http://www.pensee-unique.fr/ (information de Fadge)
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Alliance spirituelle contre la subversion mondialiste. Forum d'éveil des consciences par le partage des connaissances et l'esprit de solidarité.
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t6261-humanite-en-danger-les-strategies-de-manipulation
La propagande a été utilisée aux Etats-Unis pour entrer dans la première guerre mondiale. En avril 1917, Woodrow Wilson, président des Etats-Unis, crée le Commitee on Public Information dirigé par George Creel, et fait appel à Walter Lippmann et Edward Bernays pour faire une propagande qui déclenche une hystérie anti-allemande.
Walter Lippmann écrit en 1922 le livre Public Opinion où il explique que la "fabrication du consentement" n'est pas nouvelle et qu'elle est essentielle à la démocratie. Pour lui, avec les moyens de communication de masse et la psychologie, on assiste à une révolution de cet "art". Il développe dans ce livre la notion de stéréotype bien connue en psychologie sociale.
En 1928, Edward Bernays, neveu de Sigmund Freud, développe dans le livre Propaganda une théorie de la manipulation du "ça" des foules, considérant que la foule ne pense pas, mais qu'elle a des pulsions inconscientes.
En 1938 est organisé à Paris le Colloque Walter Lippmann où participeront des économistes et intellectuels "libéraux", où sera présenté une vision binaire du monde avec d'un côté le néo-libéralisme (loi du marché sans intervention) et de l'autre le totalitarisme. Il y aura entre autres Raymond Aron.
Pendant la deuxième guerre mondiale, l'opinion publique des Etats-Unis était opposé à l'entrée en guerre ayant le souvenir de la première, et ce malgré une propagande anti-nazi. En juillet 1941, un embargo sur le Japon du pétrole et de l'acier est décrété par les Etats-Unis, le Royaume-Uni et les Pays-Bas. En décembre 1941, le Japon effectue l'attaque de Pearl Harbour qui servira de justification pour l'entrée en guerre des Etats-Unis.
En 1947, Lippmann popularise le terme de "guerre froide" qui fait penser qu'il n'y avait pas de guerre entre les Etats-Unis et l'URSS alors qu'il y avait des guerres sur des territoires étrangers. Ainsi, le public est motivé à la guerre par la peur des communistes sans avoir l'inconvénient de la guerre sur le sol domestique. La notion de "guerre froide" sera utilisée pour décrire les événements dans les autres démocraties, masquant ainsi le caractère belliqueux des interventions, généralement motivées par les intérêts des multinationales. La propagande sera des deux côtés, américains comme soviétique.
Après la chute de l'union soviétique, un nouvel ennemi a été trouvé, ce sont les terroristes islamistes. Avoir un ennemi permet de justifier les dépenses militaires qui alimentent le complexe militaro-industriel.
En 1996, Samuel Huntington publie le livre Le Choc des Civilisations où il met en avant l'hypothèse de conflits basés sur les cultures et notamment les religions.
En 1997, Zbigniew Brezinski écrit Le Grand Echiquier où il explique comment maintenir la suprématie américaine, expliquant que l'opinion publique n'est pas favorable à la guerre, et que l'entrée dans la deuxième guerre mondiale n'a été possible que grâce à Pearl Harbour. Il écrit que pour arriver à un consensus international, il sera nécessaire que le public ait le sentiment du menace extérieure directe et massive.
En 1997 également, le cercle de réflexion Project for the New American Century est créé, qui avait pour but de promouvoir le leadership américain. Il a été dissout en 2006. Dans un rapport de 2000, intitulé Rebuilding America's Defenses, on peut lire que "le processus de transformation risque d'être long [...] à moins d'avoir un événement catastrophique et catalyseur comme un nouveau Pearl Harbour".
En 2001 ont lieu les attentats du 11 septembre. Ils ont servi de prétexte à lancer une "guerre contre le terrorisme", incriminant Al-Qaida mais oubliant de mentionner que les terroristes en question ont été entrainés par les renseignements américain et français entre autres pendant la guerre froide contre les soviétiques. La propagande du terrorisme islamique est présente jusque dans les séries télévisées, où les gentils sont les officiels américains.
En 2002 est créé le Cercle de l'Oratoire, un groupe de réflexion français soutenant la guerre contre le terrorisme, le libéralisme sans limites, et confondant la xénophobie et le protectionnisme, l'anarchosyndicalisme et le bolchévisme, fustigeant donc le nationalisme et l'extrême gauche avec la rhétorique de l'homme de paille. Ce cercle crée en 2006 une revue intitulée Le Meilleur des Mondes, fondée initialement pour défendre le bien-fondé de la guerre en Irak. Le titre fait paradoxalement référence au livre d'Aldous Huxley où il dénonçait déjà un "nouvel ordre mondial" avec des sauvages à l'écart de la "civilisation". Il s'agit donc d'un groupe de réflexion dans la droite lignée du Colloque Walter Lippmann de 1938, le fascisme nazi ayant été remplacé par le "fascisme islamique".
Les guerres servent au contrôle du pétrole, mais pas seulement, il y a également l'enjeu de l'eau, et la guerre en Afghanistan a permis de rétablir la production d'opium qui avait été très limitée par les talibans. Les élites sont partagées quand à l'économie basée sur la guerre. Certaines d'entre elles promeuvent un nouveau business, avec la peur du réchauffement climatique qui serait causé par le CO2, plus basé sur la responsabilité environnementale tout en ne se souciant que très peu de la pollution réelle. On assiste à l'émergence d'une sorte de nouvelle religion de Gaïa, la terre mère, qu'il faudrait préserver, et l'on oublie alors de parler du sort des peuples des pays dits "pauvres". Il y a un peu du féminisme qui consiste non plus à considérer comme les religions abrahamiques que les femmes sont la causes de tous les malheurs de l'humanité, mais au contraire de considérer que les hommes sont la cause de tous les malheurs de l'humanité.
extrait dans la partie B à la fin du petit 3
Remarques sur l'efficacité des rétroactions climatiques (source ici):
La survenue de l'évènement El Niño de l'année 1998 nous fournit une illustration directe de la manière dont réagit le système climatique à la suite d'un réchauffement intense et bref. Ceci est illustré sur le graphe ci-contre :
A partir des données publiées par la World Meteorological Organisation ou de n'importe quel relevé crédible de températures tels que ceux que vous pourrez trouver dans cette page, vous pourrez observer que le réchauffement causé par El Niño a été "surcompensé" dans les années suivantes par un refroidissement (relatif) de la température qui s'est prolongé jusqu'en 2001 environ. On sait que l'El Niño très intense de 1998 a été suivi par un La Niña (froid) pendant les deux années suivantes.
Il est (selon moi) assez étonnant que cet évènement, pourtant révélateur de la manière dont évolue la machine climatique n'ait, à ma connaissance, fait l'objet d'aucune étude attentive. En effet, il est assez rare que la Nature nous fournisse un sujet d'étude aussi pertinent : Une brusque et forte hausse de température liée à des phénomènes océaniques s'est produite en 1998, suivie par un refroidissement énergique nous donnant ainsi l'occasion de voir "en direct" comment le climat à réagi...En fait, c'est une véritable expérience naturelle qui s'est déroulée sous nos yeux.
Il est hors de doute que ce réchauffement brutal de la surface de la planète et surtout de son océan pacifique, a expédié une grande bouffée de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Comme chacun sait, la vapeur d'eau est un puissant gaz à effet de serre et, selon les modèles en vigueur, ce serait elle qui serait responsable des 3/4 ou des 4/5èmes du réchauffement global (par effet de rétroaction positive, supposée dans les modèles d'ordinateurs).
Or, cet afflux de vapeur d'eau et cette brutale poussée de fièvre de la planète (au point que dix ans après, en août 2008, la température n'est jamais remontée aussi haut et loin s'en faut, voir ici), n'a provoqué aucun effet de rupture ou de divergence du climat comme le prévoient les modèles classiques. Au contraire, la température s'est brutalement refroidie dans les deux années qui ont suivi (-0.3°C en une seule année). S'il existait une rétroaction positive à un réchauffement de la planète et à l'afflux d'un gaz à effet de serre comme la vapeur d'eau, cela aurait dû se voir sur les graphiques de températures, au moins comme un prolongement de l'effet d'El Niño sur quelques années.
De fait, si on rapproche le graphique des température de celui de l'occurrence des El Niño et des La Niñas, on ne voit aucune tendance à la divergence lors des réchauffements de la température. (voir cette page : les effets océaniques)
Cette observation est cohérente avec les résultats du modèle de Miskolczi et incompatible avec les modèles plus ou moins divergents de l'effet de serre traditionnel.
Le sujet avait déjà été évoqué brièvement sur cette radio dans les fameux bulletins de ré-information. Mais là, ce fût la 1ère émission entièrement consacrée à ce nouveau séisme scientifico-politico-financier.
Le contenu des emails dérobés par des cyber-pirates vient d'être dévoilé.
Ceci est la 1ère émission (hiver 2009-2010).
Pour écouter la 2nde émission (printemps 2010) aller ici:
https://www.dailymotion.com/video/xduw2w_le-climat-gate-1-10-2e-emission-rad_tech
Date: Mercredi 06 Janvier 2010
Invités:
- Camille Veyres, Polytechnicien, Ingénieur des Mines.
- André Louchet, Géographe, Professeur à la Sorbonne.
Présenté par: Thibault de la Tocnaye, Elisabeth.
Evénement(s): Colloque Climate-gate: 30 Janvier 2010, Nanterre, Paris.
Tags: GIEC G.I.E.C. réchauffement réchauffisme
L’édition 2013 des « Chiffres clés du climat » s’inscrit dans le contexte de la 18e conférence des parties sur les changements climatiques (COP18) qui s'est tenu à Doha du 26 novembre au 7 décembre 2012. Cette dernière version a été légèrement revue par rapport à l’édition 2012. L’agencement de certaines parties a été modifié et quelques indicateurs, nouveaux, se sont substitués à des indicateurs moins pertinents. Cette publication, par son organisation et le choix des thèmes abordés, a pour ambition d’informer un public le plus large possible sur le réchauffement climatique, ses mécanismes, causes et effets ainsi que sur les dispositifs internationaux mis en place pour le circonscrire. Le panorama dressé dans les cinq parties de ce document s’appuie sur des sources parfois anciennes, mais faisant référence (Giec 2007), et de périmètres variables suivant la nature, l’origine et la disponibilité des informations collectées.
L'Antarctique avec et sans glace
Voir la photo interactive sur cette Source: http://news.nationalgeographic.com/news/2013/06/130605-nasa-map-sunken-mountains-antarctica-ice/
Les scientifiques du British Antarctic Survey ont travaillé avec une multitude de collaborateurs internationaux afin de présenter la carte la plus détaillée encore de la masse continentale de l'Antarctique. Bedmap2 dévoile un paysage de montagnes et des plaines coupées par des gorges et des vallées beaucoup plus profondes que précédemment vu.
En outre, la carte permet aux scientifiques d'analyser, beaucoup plus en détail comme le lit sous la calotte glaciaire antarctique.Une vision différente : l'Antarctique sans la glace
- Spoiler:
Plusieurs fonctionnalités du lit ont été révélées pour la première fois, y compris un nouveau point le plus profond. Le lit sous le Glacier Byrd en Terre Victoria est de 2 870 mètres sous le niveau de la mer ce qui en fait le point le plus bas sur une des plaques continentales de la terre.
La carte a été compilée à l'aide d'ensembles de données provenant de mesures de l'écho-radio, des techniques sismiques, des lectures de satellite et des données cartographiques.
Un certain nombre de statistiques clés émerge ;
Le volume de glace en Antarctique est de 4,6 % de plus qu'on ne le pensait
La profondeur moyenne du lit de l'Antarctique, à 95 mètres, est inférieur à environ 60 m
Le volume de glace qui est relié à la terre avec un lit au-dessous du niveau marin est celui qui à l'origine pensée ce qui signifie qu'il est un des plus grand volume de glace qui est sensible à une fonte rapide de 23 %. La glace qui se repose juste sous le niveau de la mer est vulnérable au réchauffement des courants océaniques
La contribution totale potentielle à l'élévation du niveau global de l'Antarctique est de 58 mètres, semblables aux estimations précédentes, mais avec une mesure beaucoup plus précise
Le nouveau point le plus profond, sous le Glacier Byrd, est d'environ 400 mètres plus loin que le point le plus profond précédemment identifié
Traduit par Renaissance/Revival
http://www.lematin.ch/suisse/La-these-officielle-Une-foutaise/story/19748787Votre dernier argument est que la thèse officielle contredit les lois de la physique. C’est-à-dire?
Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple: la terre fait 15° en moyenne. L’atmosphère censément polluée de CO2 est grosso modo à -30° à 10 km d’altitude.
Qu’elle réchauffe la Terre qui est bien plus chaude qu’elle est une aberration. La thermodynamique nous dit que la chaleur va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce que correspond à notre expérience quotidienne.
Images et explications http://www.pensee-unique.fr/theses.html#hotComme on le voit à l'aide du code des couleurs, et comme son nom l'indique, les modèles utilisés par le GIEC et ses adhérents, prévoient tous, l'existence d'une zone plus chaude, d'un "hotspot", situé au dessus de l'équateur et recouvrant une vaste zone s'étendant d'environ 30 degré Sud à 30 degrés Nord. Le tout est centré à une altitude d'environ 10km, c'est à dire en dessous de la tropopause qui se trouve à environ 16 km au dessus des tropiques, à environ 12 km à 30 degrés Nord ou Sud, et à environ 8 km au dessus des pôles. En réalité et toujours selon les modèles, cette zone de l'atmosphère devrait se réchauffer nettement plus vite que la surface de la planète.
Nouveau Voyage au centre de la Terre
Un ouvrage de Vincent Courtillot, publié par les Editions Odile Jacob.
* " Pourquoi entamer ce livre sur le "système Terre" par le climat? Parce que le géologue a peut-être plus à apporter au climatologue que celui-ci n'en a encore conscience. Comment avons-nous donc abouti au fameux problème du réchauffement climatique? Comme souvent en science par des chemins inattendus. Sans remettre en cause la réalité du réchauffe-ment global des 150 dernières années, on est encore loin d'avoir identifié avec assez de sûreté les moteurs des changements climatiques pour en prédire le devenir. Pour comprendre les évolutions capricieuses de l'atmosphère et des océans sur les longues échelles de temps, il faut aussi comprendre celles de la terre solide. Partant explorer séismes et volcans, pour la plupart si bien expliqués par le 'ballet des plaques tectoniques, nous découvrirons les volcans de points chauds. Ces panaches, issus des profondeurs de la Terre, seront notre guide dans ce voyage vers les intérieurs plus mystérieux de notre dynamique planète, pour atteindre le noyau de fer liquide où se concocte le champ magnétique et enfin la graine solide au sein de laquelle réside le centre de la Terre. Donnant un "coup de pied au fond", nous remonterons à la surface, espérons-le, mieux convaincus des liens profonds qui associent entre elles les évolutions parfois chaotiques des enveloppes si diverses de notre planète." V. C.
Vincent Courtillot est membre de l'Académie des sciences et professeur de géophysique à l'université Denis-Diderot-Paris-VII. Il dirige l'Institut de physique du globe de Paris.