Auda a écrit:LéonXIV a écrit:Pour le sionisme, le juif devait soit aller en Israël ou mourir. C'est la même politique que hitler qui était, soit la déportation ou la mort. La même logique.
Décidément la "logique" de sa Sainteté Léon XIV me laisse sans voix (c'est peut-être le but recherché ?)
Quand on pense que le Grand Muphti de Jérusalem était l'ami intime du chancelier Hitler et qu'il mit même 2 divisions de Waffen SS musulmans à son service !... Lire des loufoqueries comme ci-dessus défie le bon sens.
Oui, c'est vrai, Hitler a eu des alliances avec les musulmans, il a eu des alliances de tout les cotés, même chez les américains. (GM et etc)
Les sionistes on financé à coût de millions le régime nazi. Les sionistes préférait voir les juifs mourir en Allemagne que de les voir en vie en dehors d'Israël, car il y avait trop de juif en allemagne qui ne voulait pas partir.
Les Juifs d'Allemagne, à la notable différence de bien des Juifs soviétiques d'aujourd'hui, étaient patriotes et très attachés à leur pays : ils ne voulaient pas l'abandonner, même dans les pires épreuves. En dépit des lois de Nuremberg, des pogroms, de la discrimination, le nombre annuel des Juifs émigrant tomba, atteignant un étiage de 20 000 personnes. Au total, de 1933 à 1938, ce sont seulement 137 000 Juifs qui quittèrent l'Allemagne. Ce rythme, trop lent, à leurs yeux, irrita les nazis, désireux de se " débarrasser " des Juifs au plus vite. La Conférence d'Evian avait pour objectif de résoudre ce problème : les Juifs chassés (d'Allemagne) devaient savoir où aller, soit en Israël.
Cependant, l'émigration a poussé les juifs vers d'autre lieu, soit les Etats-Unis (100 000) ; le Brésil (40 000) ; la République dominicaine (100 000), etc.
Mais, les sionistes préférait les voir mourir en allemagne que de les voir partir un peu partout sauf en Israël. Alors, avant que la seconde guerre mondiale éclate en 1939, lors du 21ème congrès du mouvement sioniste réuni à Genève, le chef sioniste américain Chaïm Weizman (futur premier président de la République d'Israël) décida de déclarer la guerre à l'Allemagne, non pas au nom des Juifs de Palestine, ni même au nom du sionisme, mais au nom de l'ensemble du peuple juif...
Le 21 août 1939, cette " déclaration de guerre " fut rendue publique, ce qui permit aux nazis de dire, par la suite, que " les Juifs sont les fauteurs de guerre ".
Du point de vue de Beit-Tsvi, ceci traduisait avec éloquence la position égocentrique des sionistes, qui faisaient prévaloir en permanence leur propre point de vue sur celui de l'ensemble du peuple juif, se souciant (du sort) du peuple (juif), en réalité, comme d'une guigne...
C'est pour ce motif que Yitzhak Grinbaum, " ministre du sauvetage des Juifs " s'exprima en des termes encore plus brutaux :
« Il faut tout faire pour empêcher l'émigration organisée hors d'Allemagne et déclencher une guerre ouverte contre ce pays, sans se préoccuper du sort des Juifs allemands. Bien sûr, les Juifs d'Allemagne seront ceux qui paieront : mais que faire ? »
Les sionistes ont saboté toutes les tentatives déployées en vue de sauver des Juifs (en les mettant à l'abri) ailleurs qu'en Palestine. Les peuples du monde voulaient sauver les Juifs, mais pas au détriment des villages palestiniens, mais cela n'arrangeait pas les sionistes.
Ils ont donc saboté le plan d'installation des fugitifs sur l'île de Mindanao, aux Philippines, solution à laquelle avait travaillé d'arrache-pied le président Roosevelt, ainsi que d'autres projets, en Guyane Britannique, en Australie, etc... Lorsque Chamberlain proposa de donner refuge et possibilité de s'installer aux réfugiés juifs au Tanganyka (aujourd'hui, la Tanzanie, en Afrique orientale), le dirigeant des sionistes d'Amérique, Steven Weiss, poussa des hauts-cris : « Puissent mes frères juifs d'Allemagne mourir, plutôt qu'aller vivre dans les anciennes colonies allemandes ».
En avril 1942, alors que les nouvelles de l'extermination des Juifs s'étaient déjà largement répandues à travers le monde, le " ministre des affaires étrangères " du mouvement sioniste déclara : « il ne faut pas perdre notre temps à sauver des Juifs, s'ils ne sont pas destinés à immigrer en Palestine. » À la même époque, Chaïm Weissman est " heureux " de constater qu'on n'ait pu trouver de refuge pour les Juifs. Le chef du mouvement sioniste américain, Steven Weiss, donna l'ordre qu'on arrêtât d'envoyer des colis alimentaires aux Juifs qui étaient en train de mourir de faim dans le ghetto de Varsovie...
Beit-Tsvi analyse dans le détail la proposition du président de la République Dominicaine, Trujillo, consistant à accueillir 100 000 réfugiés juifs (afin d'accroître la population blanche, introduire des capitaux et améliorer les relations de la République avec les Etats-Unis). Et même là, (à l'autre bout du monde), les sionistes se chargèrent de la faire échouer. Quelques dizaines de familles, seulement, vinrent s'installer à Saint-Domingue. La voie fut barrée aux autres par les efforts déployés par l'organisation sioniste dans tous les domaines : les financiers ne donnèrent pas d'argent, les moralistes avertirent qu'à Saint-Domingue, les Noirs étaient opprimés, les puristes écrirent que là-bas, les mariages mixtes étaient pratiquement inévitables... Si bien qu'au début 1943, Chaïm Weissman put dire avec une satisfaction évidente que ce plan était définitivement enterré...
Un des récits les plus cauchemardesques, dans le livre de Beit-Tsvi, a trait aux navires " Patria " et " Struma ". Durant des années, voire des décennies, la propagande sioniste a raconté que les réfugiés Juifs à bord de ces deux bateaux avaient préféré mourir, après qu'on leur eût interdit de débarquer dans ce qui allait devenir Israël et qu'ils avaient décidé de se faire sauter. La propagande sioniste la plus haineuse accusa les Anglais de tout et n'importe quoi, jusques et y compris d'avoir soi-disant miné le " Patria " et torpillé le " Struma ". Les paroles de Ben Gourion, en mai 1942, avaient été prises au pied de la lettre : « Israël ou la mort ». Ceci signifiait en fait que les sionistes ne laissaient aux Juifs d'Europe d'autre choix que de mourir ou d'immigrer (en Palestine).
La conclusion nous pousse à croire que Hitler était, soit complice ou qu'il a été manipulé par les sionistes.
À vous de choisir.