Pour ce qui est des preuves je te ferais encore une citation de monsieur Schuon:
"L'idée que le monde est la preuve d'un créateur personnel est loin de n'etre qu'une superstition.Il est métaphysiquement et logiquement évident que le plus ne peut pas sortir du moins;par conséquent, le phénomene humain de la personnalité prouve ipso facto la réalité d'un Créateur, non seulement tout puissant,mais aussi doué de conscience personnelle,car l'Absolu ne saurait etre privé d'une possibilité qu'il manifeste.Autrement dit,Dieu est tout ce qu'est l'homme,sous le rapport des qualités et facultés positive,donc nécessaire et intrinseques.Si l'homme est moi,c'est que Dieu est Moi avant lui;c'est a dire qu'Il est le Soi dont dérive tout égoïté,qui contient tout et n'est privé de rien.
Toute les mythologies connaissent l'image de la créature qui,voulant etre l'égale de son créateur,tombe dans l'abime;c'est tout le drame de l'orgueil,et c'est dans la logique profonde des choses"
désolé je vais t'en rajouter une tartine mais il faut vraiment lire ca, essayer de bien comprendre ce qui est dit,c'est pas facile au début....faire des efforts!!!
Logique et transcendance - Des preuves de Dieu
LA PREUVE ONTOLOGIQUE
Pour pouvoir admettre la preuve ontologique de Dieu qui infère de l'exitence d'un concept inné celle de la réalité objective correspondante, et dont nous venons d'ailleurs de faire usage, il faut commencer par comprendre que la vérité ne dépend pas du raisonnement - ce n'est de toute évidence pas lui qui la crée (1) - mais qu'elle se révèle ou se précise grâce à la clef d'opération mentale fournit ; il y a dans tout assentiment intellectuel un élément qui échappe au mécanisme de la pensé, un peu comme la lumière et les couleurs échappent à la géométrie, qui pourtant peut en principe les symboliser indirectement et lointainement. Il n'y a pas de "preuve pure" ; toute preuve présuppose la connaissance de certaines données ; la preuve ontologique - formulé notamment par Saint Augustin et Saint Anselme (2) - est efficace pour l'esprit qui dispose d'évidences initiales, mais elle est sans effet sur l'esprit volontairement et systématiquement superficiel. Un tel esprit ne conçoit même plus la nature profonde de la causalité ; pour lui, le progrès de l'intelligence va, non de l'extérieur à l'intérieur, mais de celui-ci à celui-là, jusqu'à l'oubli de ce qui fait la raison d'être de l'entendement.
1 - "Seule la pensée peut produire ce qui a le droit d'être reconnu comme l'Être", a osé affirmer l'un des pionniers post-kantiens du rationalisme intégral.
2 - certains scolastiques étaient trop aristotéliciens pour pouvoir accepter l'utilité de la preuve ontologiquue ; pour eux le raisonnement étaient censé aboutir à une certitude en quelque sorte nouvelle, non à un "ressouvenir" platonicien.
Les détracteur de l'argument ontologique feront valoir, on le sait, qu'une notion n'entraîne pas forcément l'existence objective de son contenu ; or il s'agit essentiellement de savoir quelle est la qualité de la notion, car ce qui est plausible pour une notion de fait ne l'est plus du tout pour une notion de principe. D'aucuns nous feront observer sans doute que le Bouddhisme prouve que la notion de Dieu n'a rien de fondamental et qu'on peut très bien s'en passer en métaphyisque et en spiritualité ; ils auraient raison si les Bouddhistes n'avaient pas l'idée de l'Absolu ni celle de la transcendance, ou celle de la Justice immanente avec son complément de Miséricorde ; c'est tout ce qu'il faut pour montrer que le Bouddhisme, s'il n'a pas le mot - ou s'il n'a pas notre mot -, a en tout cas la chose.
LA PREUVE COSMOLGIQUE
La preuve cosmologique de Dieu, qui se trouve chez Aristote aussi bien que chez Platon (3), et qui consiste à inférer de l'existence du monde celle d'une Cause transcendante, positive et infinie (4), ne trouve pas d'avantage grâce aux yeux des négateurs du surnaturel ; d'après eux, la notion de Dieu ne ferait que suppléer à notre ignorance des causes ; argument gratuit s'il en est, car la preuve ontologique implique une connaissance profonde de la causalité et non une supposition purement logique ou abstraite ; si nous savons ce qu'est la causalité totale, à savoir la projection "verticale" et "descendante" d'un possible à travers divers degré d'existence, nous pouvons concevoir la Cause première, autrement non. Ici encore, nous constatons que l'objection est fonction de l'ignorance de données implicites : les rationalistes oublient que la "preuve", sur le plan dont il s'agit, est une clé ou un symbole, un moyen qui enlève un voile plutôt que de donner une lumière ; elle n'est pas à elle seule un saut hors de l'ignorance et dans la connaissance. L'argument principiel "indique" plutôt qu'il ne "prouve" ; il ne peut être autre chose qu'un point de repère ou d' "aide-mémoire", car on ne saurait prouver l'Absolu en dehors de lui-même. Si "prouver" signifie : ne connaître que grâce à tel stratagème mental - de sorte qu'on resterait forcément dans l'ignorance en l'absence du dit stratagème -, alors il n'y a pas de "preuve de Dieu" possible, et c'est d'ailleurs pour cela qu'on peut s'en passer en métaphysique symboliste et contemplative.
La causalité divine a pour ainsi dire deux dimension concernant, l'une la nature statique des choses, et l'autre leur destins : Dieu est à la fois cause des perfections et de leur limite finale, il fait que le soleil rayonne, mais aussi qu'il se couche ; les deux phénomènes sont des preuves de Dieu.
3 - Dans l'Islam, toutes les preuves de Dieu, lesquelles selon certaines autorités font partie de la fois (îmân), sont plus ou moins des développement de l'argument cosmologique.
4 - Le mot "exister", quand il s'applique explicitement ou implicitement au Principe divin, n'a qu'une fonction logique provisoire et signifie "être réel".
Cette divine causalité implique l'homogénéité de l'Univers, ce qui nous ramène à la Substance, ce tissu divin où les choses sont en Dieu et où Dieu est dans les choses, avec une sorte de continuité discontinue, si cette ellipse paradoxale est permise. Cette notion de la Substance fournit la clef des mystères eschatologiques tels que le Jugement Dernier et la résurréction de la chair : l'Existence formelle - donc à la fois matérielle et animique - est comme une substance déssechée et devenue trop compacte, et la venue finale de Dieu est comme une pluie qui fait éclore les germes(5) ; l'Essence revient vers la forme, la Substance vers l'accident, le Centre vers la périphérie, la Vie vers la mort ; l'Intérieur vivifie l'extérieur et réssuscite les noyaux que nous sommes, et lesquels sont les produits, d'une part de la création et d'autre part - et secondairement - de nos attitudes et actions. Mais on pourrait aussi dire d'une façon métaphysiquement plus adéquate bien que plus éloignée de l'aspect terrestre des choses, que l'extérieur reflue vers l'Intérieur(6) ; Atmâ "respire", la création se renouvelle et se dilate, la proximité divine fait renaître les corps en leur donnant les formes qui leur convient suivant les mesures celestes : l'universelle déssication appelle "la pluie bénie", la résurrection ne peut avoir lieu "si le grain ne meurt". Toutes les énigmes apparemment absurdes des eschatologie traditionnelles s'expliquent en partie - car rien dans cet ordre ne se livre tout à fait - par l'homogénéité de la Substance, la divine Mâyâ ou Prakriti, et par les rythmes propres à celle-ci, rythmes préfigurés par la nature même des rappports entre le Principe et sa manifestation. Les mesures humaines se brisent, les mesures divines demeurent.
Selon le Koran, tout les procédés de la nature, telle la croissance des créatures et l'alternance des jours et des nuits, sont des "signes" ou des preuve de Dieu "pour ceux qui sont doués d'entendement" ; la preuve cosmologique se combine avec la preuve téléologique, fondée, celle-ci, non sur la seule existence des choses, mais sur l'ordre interne de la création, donc sur la prévoyance immanente qui la régit.
5 - Le Koran dit à ce sujet : "Et Nous avons fait descendre du ciel de l'eau bénie, et Nous avons fait pousser par elle des jardinss et le grain de la moisson... Et nous avons revivifié par elle un pays de mort ; c'est ainsi qu'est la resurrection". (Sourate Qâf, 9-11)
6 - "Nous les ressemblerons", dit le Koran, ou "vers Nous est le retour", ce qui indique le reflux d'une périphérie vers un Centre.
LA PREUVE TELEOLOGIQUE
On ne saurait fonder une preuve sur un néant : les contempteur de la preuve téléologique de Socrate - et de la preuve morale qui lui est voisine - devraient commencer par savoir ce qu'est l'harmonie universelle en soi, ou ce qu'est la vertue humaine dans sa nature profonde ; ne le sachant pas(7), faute de connaissances doctrinales ou faute d'intuition intellectuelle, les preuves fondées sur l'ordre universel et les vertus leur demeurent inaccessibles ; cette ignorance n'est toutefois pas une excuse puisqu'elle dérive d'une perversion volontaire de l'esprit. Le scepticisme et l'aigreur n'ont rien de spontané, ils sont issus d'une civilisation sursaturée et déviée, d'une "culture" qui fait figure d' "art pour l'art", et il présupposent par conséquent toute une jungle de détours dressée entre l'homme et le Réel.
7 - Comme le prouve à satiété le "pessimisme" - ou la "dystéléologie" - d'un Schopenhauer, d'un Haeckel et, de nos jours, des existentalistes.
La preuve téléologique de Dieu est fournie, par exemple, par la coïncidence inouïe de condition rendant possible la vie sur terre ; une autre preuve résulte de l'homogénéité biologique du monde vivant et de l'équilibre des espèces, équilibre qui dérive, précisément, de la dite homogénéité. Et ceci nous ramène au mythe hindou du sacrifice initial de Purusha : tous les êtres vivants proviennent des parties sacrifiées du corps céleste et prématériel, d'où la différence des créatures d'une part et l'equilibre de la création d'autre part. Purusha contient toutes les possibilité, lumineuses et osbscures, les ignées et la froides, les destructives et les paisibles ; il en résulte, dans le monde, les espèces opposées, mais dont l'opposition - celle des carnassiers et des ruminants par exemple - correspond précisément à un équilibre biologique qui ne s'expliquerait pas sans l'existence d'une unité sous-jacente. L'homme peut rompre cet équilibre, d'une façon anormale tout au moins, et il le fait par les machines et les sérums, bref par toutes ces entaille qui sont l'acquisitions ou les méfaits de la civilisation moderne ; ceci prouve, non que la preuve téléologique n'est pas valable, mais au contraire que l'homme à quelque chose de divin, et ce quelque chose, qui dans l'exemple mentionné s'affirme en mal, prouve en réalité que l'homme est un être "hors-série", que sa position est centrale parce que située sous l'axe divin, et que par conséquent la fin de l'homme ne peut être qu'au-delà du monde matériel. L'homme est fait pour ce qu'il peut concevoir ; les idées mêmes d'absoluité et de transcendance prouve et la nature spirituelle de l'homme et le caractère supraterrestre de sa destinée.
La preuve téléologique ne sauve pas les croyants non-métaohysiciens de l'embarras de la constation des misères de ce monde ; la faute n'en incombe pas à la preuve, qui est parfaite en son ordre et qu'aucun croyant ne peut récuser, mais à la superficialité des esprits ; celle-ci est due trop souvent à la simple négligence ou à la paresse mentale. Cest bien à tort que certains font appel au mystère et prétendent que notre raison est insuffisante pour expliquer les imperfections dans la création, car il n'y a là rien d'incompréhensible ni d'ineffable ; les fissures de ce monde ne peuvent pas ne pas être du moment que le monde n'est pas Dieu et que cette différence, ou cet éloignement, ne peut pas ne point se manifester à divers degrés dans la chair même de la création ; même le Paradis ne pouvait se passer du serpent. A l'argument religieux de l'insuffisance de notre raison, les rationalistes athées répondent que cela prouverait, si c'était vrai, que notre raison elle aussi est absurde, puisqu'elle manque son but ; or, abstraction faite de ce que la ratio, si elle est bien inspirée, peut aller beaucoup plus loin que certains théologiens ne le pensent, elle n'a pas du tout pour fin de faire violence aux vrais mystères, si bien que l'objection rationaliste tombe de toute façon dans le vide ; la raison n'a au contraire qu'une fonction provisoire, du moins en ce qui concerne le surnaturel ; elle est loin d'être toute l'intelligence. L'homme marqué par la chute a besoin, afin d'opérer le ressouvenir de l'Intellect, d'un circuit mental, ou plus précisément d'une extériorisation en vue d'une intériorisation : l'intelligence, pour devenir tout à fait elle même, ou pour devenir consciente de son contenu inné, à besoin de détours à travers des modalités plus extérieures.
La preuve téléologique englobe également la preuve "esthétique" au sens le plus profond du mot : sous cet aspect, elle peut être moins accessible encore que sous son aspect cosmologique ou moral ; car être sensible à la transparence métaphysique de la beauté, du rayonnement des formes et des sons, c'est déjà posséder, comme Roumi et Râmakrishna une intuition visuelle et auditive qui remonte, à travers les phénomènes, jusqu'aux essences et jusqu'aux mélodies éternelles.
En connexion avec cet aspect particulier de la preuve téléologique, nous voudrions rappeler en passant que le monde moderne est seul parmi les civilisations à avoir créé - sur les bases de la Grèce ! - un monde ou la laideur et la trivialité sont à l'ordre du jour et ou elles apparaissent sans vergogne comme le « sérieux » et la « réalité » ; la beauté, et avec elle la dignité visible, se trouvent reléguées parmi les rêves, les luxes et les jouets, d'ou le discrédit attaché aux mots « poétique », « pittoresque », « romantique » et « exotique ». Il n'y a pas de hasard, et le sens de cet étrange phénomène, c'est l'élimination d'un argument naturel en faveur de Dieu, et du même coup l'élimination de la faculté humaine d'y être sensible. Notons, dans le même ordre d'idées, l'opposition qui est faite entre le côté "romantique" des civilisation traditionnelles et leur côté "réel", à savoir leurs misères ; que celles-ci existent, nous ne songeons pas à le nier - et d'ailleurs il est impossible qu'il n'y en ait pas - mais leur attribuer, à elles seule, la "réalité", c'est proprement diabolique. Le diable, en effet, voit la création comme dans un mirroir brisé déformant, et il réduit toujours l'essentiel, qui est le symbole et qui possède la beauté, à quelque infirmité accidentelle ; pour lui, l'homme c'est le corps sous son aspect de misère, et le monde est impur, cruel et absurde ; il n'y a rien d'autre, les proportions et compensations ne comptent pas, rien n'a de sens, tout est une sorte de hasard stupide, et n'est intelligent et honnête que celui qui s'en persuade. Cette façon de voir et de sentir est à l'antipode de la noblesse d'âme que présuppose l'argument télléologique, ce qui prouve une fois de plus que toute preuve exige une qualification subjective, non insolite, mais normale selon les mesures du Ciel.
PREUVE MYSTIQUE
Reste la preuve expérimentale ou mystique de Dieu ; en admettant que, logiquement et en l'absence d'une doctrine, elle ne prouve rien à quiconque n'a pas subi l'expérience unitive, rien n'autorise pourtant à conclure de son incommunicabilité à sa fausseté, comme l'a fait Kant en appellant d'ailleurs "theurgique" cette expérience directe de la Substance divine. La preuve mystique de la Divinité est de l'ordre des arguments extrinsèques et comporte tout le poids de ceux-ci : car le témoignage unanime des sages et des saints, sur toute la surface du globe et à travers les millénaires, est un signe ou un critère qu'aucun esprit de bonne foi ne peut mépriser, à moins d'admettre que l'espèce humaine n'a ni intelligence ni dignité ; et si elle n'a ni l'une ni l'autre, si la vérité n'a jamais été sienne, elle ne peut pas non plus la découvrir in extremis. L'idée de l'absurdité et du monde et de l'homme, à supposer que ce soit là la vérité, nous resterait inaccessible ; autrement dit, si l'homme moderne est tellement intelligent, l'homme ancien n'a pas pu être tellement sot ; il y a, dans cette modeste reflexion, beaucoup plus qu'on ne pourrait croire à première vue.
Par conséquent, avant d'écarter la preuve mystique - ou expérimentale - comme étant d'emblée irrecevable, on ne devrait pas oublier de poser la question de savoir quels sont les hommes qui s'en réclamment. ; or, il n'y a aucune commune mesure entre la valeur intellectuelle et morale des plus grands contemplatifs et l'absurdité de leur illusion, si ce n'était que cela. Si nous devons choisir entre un encyclopédiste quelconque et Jesus, nous choisissons Jesus ; nous choisirions aussi infiniment moins, bien entendu, mais nous ne pouvons pas ne point choisir le côté où Jesus se trouve.
En connexion avec les questions soulevées par la preuve mystique et, à l'antipode de celles-ci, par l'assurance des négateurs du surnaturel - qui dénient à autrui tout droit à une assurance analogue tout en ayant aucun accès à leur éléments de certitude -, nous dirons que l'impossibilité dans laquelle peut se trouver le contemplatif de fournir une preuve de sa connaissance ne prouve évidemment pas l'inexistence de cette dernière, pas plus que l'inconscience spirituelle du rationaliste n'abolit la fausseté de ses négations. Comme nous l'avons déjà fait remarquer à une autre occasion, le fait qu'un dément ignore qu'il est dément ne prouve évidemment pas qu'il ne l'est point, de même que, inversement, le fait qu'un homme sain d'esprit ne peut pas prouver à des déments qu'il est sain d'esprit ne prouve pas qu'il n'est pas sain d'esprit ; ce sont là presque des truisme, mais dont le sens échappe trop souvent aux philosophes aussi bien qu'aux hommes sans prétention.
On a assuré qu'il n'y a pas de preuve possible, pour un prophète, de l'authenticité et de la vérité des révélations qu'il reçoit, ce qui prouve qu'on ignore les critère que comporte le don de prophétie par lui-même, et ce qui revient pratiquement à dire qu'il n'y a pas de preuve possible pour quoi que ce soit, tout argument pouvant être infirmé verbalement par quelque sophisme. Ceux qui soutiennent que rien ne peut donner au Messager céleste la certitude absolue, n'exigent pourtant pas de preuve pour leur conviction de ne pas rêver quand ils sont éveillés et que leurs intérets entrent en jeu ; on peut évidemment admettre en théorie qu'une telle preuve n'existe pas à rigoureusement parler, mais on ne peut nier que la conviction existe et que nul ne la discute pour son propre compte.
voila,lis cet extrait plusieurs foi histoire de comprendre correctement ce qui est dit
pour conclure je ferais une remarque: si tu es venu sur ce forum,a lu toutes ces pages poser tant de question etc..c'est bien qu'il y a quelque chose en toi qui ne demande qu'une chose:a etre convaincu de l'existence de Dieu,sinon tu ne serais meme pas la a discuter de tout ca....des preuves?? tu en trouvera,ce serons les tiennes,mais si tu veux vraiment te donner la peine de comprendre il te faut lire....
je te conseil de commencer par "la crise du monde moderne" de Guénon ou encore "l'ivraie et le bon grain" de Lindbom ou bien "regards sur les mondes anciens" de Schuon...