Bonjour,
cnotent de trouver un forum ou je me retrouve un pe. difficile aujourd'hui d'y voir clair dans la situation et l'avenir de l'humanité... difficile de ne pas penser aux atrocités justifiées par la cupidité d'une minorité
vivre libre.. comment dire... combien de fois j'ai souhaité vivre en pleine nature, en autarcie complète... je ne saurais le dire. les jours passent, et l'absence de liberté me ronge. je vois en l'anarchie, non pas un système ou règnerai la survie du plus fort, mais un concept oublié, ou l'homme travail de ses mains pour survivre, sans le stress de facture a payer, de pouvoir oublier ce numéros de secu qui me donne l'image de n'etre qu'un produit parmis d'autre dans un supermarché, ou chacun a son code barrer.. Je sais que tout pourrait-être mieux, différent, mais comment un homme peut changer des choses maintenu en place par une minorité de privilégiés trop puissant. J'assume , vous pensez sans doute que je ne suis qu'un illuminé, peut être, peut être aussi que les illuminé sont les gardiens du troupeau que je m'efforce de semer.
Souvent je réfléchis à tous sa( même un peu tro sans doute;)) j'en arrive souvent à la même conclusion ( ce qui est plutôt logique vu que peu de monde ose me suivre dans ce genre de raisonnement) ; bref, l'argent, l'oseille, la monnaie, peut importe l'appellation, est pour moi une des pires invention de l'humanité.
Le système est bien rodé, ainsi a évoquer tout sa, le seul résultat est de se retrouver cataloguer comme fragile mentalement, perturbateur, ou autre....mais j'ose croire que les plus fragile sont ceux qui n'ose faire tomber les oeillaires par peur de ce qu'il y a derrière.
J'ai une trentaine d'année, j'élève seul mon fils qui a presque déjà 10 ans. il est jeune et nous sommes très proches, pourtant j'ai peur de voir quel monde il devra subir. je ne l'influence pas, et fais en sorte de garder bonne figure. aussi je ne suis même pas sure de vouloir qu'il partage ces convictions avec moi.. tout les jours, je me dit que la vie serai plus facile si j’arrêtais de réfléchir, pour rentrer dans le moule, mais il est déjà trop tard je ne peux, et ne veux pas changer ce que je suis. Aussi je m'abandonne souvent a la médication, à la réflexion, parfois meme a l'écritue ou au dessin pour extériorisé mes conviction, qui ne font pas bon ménages avecc notre belle société de consommation.
peut être avez vous prie le temps de lire ce texte, un peut long , j'en excuse, mais merci. ainsi j'éspère, avec vous put etre, avoir la chance de participer au changement.