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Aurelien
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Topic cinema
Aurelien- Nombre de messages : 2285
Localisation : entre ciel et terre
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- Message n°51
Re: Topic cinema
J'ai pas encore vu "Black Swan" mais j'avais commencé à parler du réalisateur Darren Aronovsky à propos de "the wrestler" (voir topic cinema).
_________________
"si vous n'etes pas prets à mourir pour cela retirez le mot "liberté" de votre vocabulaire."
Malcolm X.
yhato- Nombre de messages : 185
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- Message n°52
Re: Topic cinema
je viens de regarder (en fait je n'ai vu que la moitie du film...) "the invention of lying" , en gros sa se passe dans une societe ou le mensonge n'existe pas et ou les rapports entre les gens ne sont bases que sur des attraits genetiques et physiques , jusqu'au jour ou un homme decide de mentir a sa mere mourante et là c'est la porte ouverte a la plus grande injure cinematographique faite sur les religions(enfin vis a vis de ma culture cinematographique). pour faire simple le "mensonge" n'est rien d'autre que la religion en elle meme! tout est porte a derision : Jesus, Dieu , les 10 commandements , le paradis , les notions de bien et de mal etc... pour finir sur une seule idee que l'amour triomphe et que Dieu n'est qu'une invention.... de plus, on a plus l'impression de regarder une pub geante qu'un film (coca/pepsi/pizza hut...)
n'etant pas tres porte sur les religons , je dois quand meme admettre que j'ai trouve ce film extremement deplace , on peut rire de tout et de n'importe quoi (meme de la religion) , mais la c'est carrement un assassinat en bonne et due forme, il y'a des limites a tout meme a l'humour et la je trouve que ces limites ont etes depassees , mais a pret tout ce n'est que mon humble avis.
n'etant pas tres porte sur les religons , je dois quand meme admettre que j'ai trouve ce film extremement deplace , on peut rire de tout et de n'importe quoi (meme de la religion) , mais la c'est carrement un assassinat en bonne et due forme, il y'a des limites a tout meme a l'humour et la je trouve que ces limites ont etes depassees , mais a pret tout ce n'est que mon humble avis.
Aurelien- Nombre de messages : 2285
Localisation : entre ciel et terre
Date d'inscription : 13/09/2008
- Message n°53
Re: Topic cinema
Trailer du film Melancholia: la destruction de notre Terre par la planète X
On a déja parlé de cette planéte et de ce qui motive réellement le film à savoir nous faire accepter notre mort comme étant inéluctable tandis que la soit disant élite irait bien tranquilement se réfugier dans des abris.
Mais il y a du nouveau, Il semblerait bien que le titre du film soit une référence à cette gravure sur cuivre dâtant de 1514 "Melencholia 1" de Durer
Lien vers l'image en grand :
http://www.abolitionist.com/melancholia.jpg
Cette gravure est censée illustrer la mélancolie, voici une bréve explication officielle de son contenu.
Evidemment ça n'est pas de cela qu'il s'agit, Durer nous invite à résoudre une enigme, les divers objets sont destinés à cet effet.
On remarque tout de suite une cométe et on constate aussi qu'il est plein de symboles occultes dont le plus frappant est ce carré magique :
A propos des carrés magiques voici ce qu'écrivais Cornelius Agrippa :
Evidemment l'heure n'est plus à la résolution de casse tête puisque c'est déja fait. De toute évidence, ce tableau contient des informations à propos de l'irruption dans notre systéme solaire d'un objet astronomique.
Tel est également le sens du livre de l'Apocalypse.
Il est cependant intérréssant de savoir comment par le passé les érudits ont interprété cette oeuvre.
Pour ceux qui n'aiment pas se prendre la tête et pour faire bréf, en vérité, le creuset indique l'alchimie la balance symbolise le jour du jugement, le sablier symbolise la fin des temps, l'échelle c'est celle de Jacob (elle permet d'accéder au paradis), le chien c'est la bête c'est à dire la nature animale de l'homme tandis que l'ange illustre sa nature divine, , la pierre taillée c'est la nature matérielle de l'homme qu'il doit épurer par le travail de l'esprit, la cométe c'est soit la planéte X soit une cométe qui doit préceder sa venue, l'arc en ciel symbolise l'alliance entre Dieu et les hommes, le carré magique nous indique que c'est vers les esprits planétaires que l'on doit orienter ses recherches
Avec tous ces indices, on peut donc en conclure que la fin des temps porte la signature d'un évenement d'ordre astronomique qui va bouleverser l'alchimie humaine.
Le film commence par la destruction de la Terre puis nous emmène dans un flash-back.
L'histoire se concentre sur deux sœurs, Justine et Claire (Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg), qui deviennent de plus en plus éloignées l'une de l'autre.
Durant la première partie le film s’intéresse au mariage de Justine et Michael (Alexander Skarsgård). Après le mariage Justine devient mélancolique.
C'est alors que la Terre est menacée d'une collision avec une autre planète, tandis que Claire se retrouve psychologiquement minée par la crainte et la panique.
On a déja parlé de cette planéte et de ce qui motive réellement le film à savoir nous faire accepter notre mort comme étant inéluctable tandis que la soit disant élite irait bien tranquilement se réfugier dans des abris.
Mais il y a du nouveau, Il semblerait bien que le titre du film soit une référence à cette gravure sur cuivre dâtant de 1514 "Melencholia 1" de Durer
Lien vers l'image en grand :
http://www.abolitionist.com/melancholia.jpg
Cette gravure est censée illustrer la mélancolie, voici une bréve explication officielle de son contenu.
La figure avec ailes illustre simultanément les dangers et les satisfactions de l'activité intellectuelle. C'est l'image de l'esprit créatif de l'homme seul avec ses pensées intérieures.
L'échelle appuyée contre le bâtiment, indiquant que ce n'est pas fini, le problème non résolu de géométrie, l'amour au-dessus d'une roue, le chien hydrophobe, la chute de sable dans sablier, et le solde oscillant vide ... tous résument ce désespoir à mélancholie.
Evidemment ça n'est pas de cela qu'il s'agit, Durer nous invite à résoudre une enigme, les divers objets sont destinés à cet effet.
On remarque tout de suite une cométe et on constate aussi qu'il est plein de symboles occultes dont le plus frappant est ce carré magique :
A propos des carrés magiques voici ce qu'écrivais Cornelius Agrippa :
Les Mages nous ont transmis les sceaux et les nombres des sept planètes que l’on appelle aussi tables sacrées, car elles possèdent de grandes et nombreuses vertus célestes dans la mesure où elles représentent l’harmonie des nombres célestes. Ces nombres, nous l’avons vu, sont communiqués aux choses célestes par l’esprit divin au moyen de l’âme du monde.
Il faut y ajouter l’harmonie parfaite des rayons célestes qui descendent, captés par les signes, les nombres ou proportions attribués aux Intelligences célestes. Cette harmonie ne peut s’exprimer que par des chiffres et des caractères.
En effet, la représentation matérielle des nombres et des signes n’est rien d’autre dans les mystères des choses cachées que la représentation des figures et des nombres essentiels qui dirigent et forment les choses à partir des nombres divins par l’intermédiaire des Intelligences.
Ces signes contribuent à unir la matière à l’esprit et à l’âme pourvu qu’elle soit animée d’une forte volonté et d’une grande concentration. Ainsi, par la vertu de l’opération des corps célestes, il est possible d’arriver à Dieu à travers l’âme de l’univers et les aspects célestes. Il est possible de fixer cette énergie sur une matière de forme convenable, préparée selon les règles de la science et de l’art magiques
Evidemment l'heure n'est plus à la résolution de casse tête puisque c'est déja fait. De toute évidence, ce tableau contient des informations à propos de l'irruption dans notre systéme solaire d'un objet astronomique.
Tel est également le sens du livre de l'Apocalypse.
Il est cependant intérréssant de savoir comment par le passé les érudits ont interprété cette oeuvre.
http://www.taliscope.com/Durer_fr.htmlInterprétations de Melencolia I
Le carré figurant dans la Melencholia est un type particulier de carré magique: la somme dans l'un de ses quatre quadrants, ainsi que la somme des nombres du carré du milieu, valent également 34, la valeur magique du carré. C'est un carré magique gnomon. Ce carré devrait être une influence bénéfique contre la mélancolie. Au milieu de la dernière ligne, les nombres 15 et 14 qui correspondent à la date de la gravure, 1514;
La gravure Melancholia I, montre un penseur frustré, assis devant un polyèdre rare. Melencolia a été l'objet d'un nombre considérable d'études.
La suggestion qu'une série de gravures sur le sujet était prévue n'est
Louis Barmont a écrit une étude sur l'ésotérisme de la Mélencolia intitulé : « L'ésotérisme d'Albert Dürer, la Mélencolia » (1947), dans laquelle on trouvera des éléments sur l'appartenance de Dürer à des sociétés d'ésotérisme chrétien de son temps.
L'animal couché au pied du grand ange est un lévrier, veltro en italien. Selon L. Barmont, cet animal, associé à la signature numérique du 515 (le Cinq-Cent-dix-et-cinq) figure dans la Divine Comédie de Dante, et on l'associe à certains éléments apocalyptiques.
La Balance exprime classiquement une notion de "jugement", qui serait ici en relation avec un jugement de nature apocalyptique, étant donné la présence des autres éléments de la gravure. La balance est située près près du petit ange, pour l'instant en sommeil.
L'échelle est souvent associée aux sept Arts libéraux, qui sont en relation avec l'hermétisme.
Sur la nature hermétique de la gravure, on remarquera la présence d'un creuset alchimique, juste à côté du polyèdre.
Le sablier est bien évidemment une figuration de l'écoulement du temps, et cet élément renforce la posture d'attente qui semble baigner le monde angélique du premier plan.
Toutefois il est représenté au moment où les deux bulbes sont également remplis, suggérant plutôt un certain équilibre statique comme celui de la balance à sa gauche ou la cloche à droite.
Pour ceux qui n'aiment pas se prendre la tête et pour faire bréf, en vérité, le creuset indique l'alchimie la balance symbolise le jour du jugement, le sablier symbolise la fin des temps, l'échelle c'est celle de Jacob (elle permet d'accéder au paradis), le chien c'est la bête c'est à dire la nature animale de l'homme tandis que l'ange illustre sa nature divine, , la pierre taillée c'est la nature matérielle de l'homme qu'il doit épurer par le travail de l'esprit, la cométe c'est soit la planéte X soit une cométe qui doit préceder sa venue, l'arc en ciel symbolise l'alliance entre Dieu et les hommes, le carré magique nous indique que c'est vers les esprits planétaires que l'on doit orienter ses recherches
Avec tous ces indices, on peut donc en conclure que la fin des temps porte la signature d'un évenement d'ordre astronomique qui va bouleverser l'alchimie humaine.
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"si vous n'etes pas prets à mourir pour cela retirez le mot "liberté" de votre vocabulaire."
Malcolm X.
Bardamu- Admin
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- Message n°54
Re: Topic cinema
Merci pour ce post intéressant Aurélien Je l'ai copié en doublon dans le sujet sur la NASA et Nibiru histoire qu'il puisse être développé et critiqué sans tomber dans le hors sujet https://novusordoseclorum.1fr1.net/t3854p60-la-nasa-contre-les-charlatans-de-la-fin-du-monde-nibiru-et-compagnie#60366
Je vous propose un article en lien avec le cinéma made in Hollywood. (Merci au passage à Zhell69 pour la trouvaille et le partage )
Cet article est issu d'un blog passionnant qui propose des éléments d’analyse de certains scénarios de films américains. Le but est de réfléchir à la manière idéale de raconter une histoire fictive pour qu’elle dise, ou au moins suggère, beaucoup de choses sur le monde réel.
D’un point de vue scénaristique, il est intéressant de constater qu’une partie importante des films hollywoodiens qui s’exportent le plus facilement (au moins dans le reste de l’Occident) contient des références innombrables aux thèmes constitutifs du roman national des Etats-Unis.
La résonance que ces thèmes (classiques ou modernes) produisent dans les esprits non-étatsuniens s’explique autant par la volonté d’Hollywood de vendre au maximum ses produits que par la forte prédisposition de certaines populations à les recevoir positivement.
Le ressort scénaristique principal de cette tendance des thèmes proprement étatsuniens à résonner dans les esprits non-étatsuniens réside sans doute dans le passage subreptice du réel à la fiction, dont nous avons déjà parlé dans plusieurs articles. Notamment, l’extension des thèmes constitutifs du "roman américain" se produit souvent grâce à leur transposition, dans la fiction, à l’humanité entière. Quels sont ces thèmes ? La liste non exhaustive ci-dessous en présente les principaux, illustrés d’exemples de films dans lesquels ils sont développés.
Nouveau Monde, Terre promise et peuple élu :
2012 (Roland Emmerich, 2009) : à la fin du film, le continent africain représente la terre d’asile et d’espoir de l’humanité entière. Seuls quelques élus embarqués sur des bateaux ont survécu à l’apocalypse. La découverte, l’exploration et la domestication d’un Nouveau Monde, thème étatsunien par excellence dans le monde réel, devient dans la fiction celui de l’humanité entière. (L’une des dernières images du film, photo ci dessus)
Avatar (James Cameron, 2009) reprend également le thème du Nouveau Monde, mais cette fois d’un point de vue qui se veut indigène, soulignant les conflits d’intérêts causés par la colonisation. On peut voir une forte correspondance entre les Na’vis fictifs et les Indiens d’Amérique réels, mais aussi une transposition plus moderne du même thème à travers l’exploitation brutale des ressources du sol à l’aide de la conquête militaire et au détriment des peuples locaux.
Libération du joug étranger comme mythe fondateur (réunificateur) de la nation
Independence Day (Roland Emmerich, 1996) : la Révolution américaine, au cours de laquelle le "peuple" des colonies anglaises du Nouveau Monde se serait soulevé contre l’Angleterre*, est prise implicitement comme référence et transposée maladroitement à l’humanité entière dans sa résistance à l’impérialisme extraterrestre. La correspondance est loin d’être parfaite, puisque dans le film, l’envahisseur n’occupe pas les lieux. Mais elle est néanmoins utilisée directement pour élargir la portée du film, au moins dans le titre et dans le monologue fameux du président.
Les Etats-Unis : une puissance bienveillante
Dans Star Trek (J. J. Abrams, 2009), l’entité militaire appelée Starfleet constitue une puissance pacificatrice et bienveillante. C’est une organisation internationale. Au sein même de l’Enterprise, l’équipage représente à lui tout seul un panel d’origines nationales différentes. Bien entendu, Kirk, intrépide et courageux, au physique si typiquement étatsunien, en deviendra le capitaine. Il est possible de voir là une transposition dans la fiction de la position réelle des Etats-Unis dans les organisations mondiales réelles à vocation prétendument pacificatrice et humanitaire.
Les Etats-Unis : une puissance hégémonique
Dans Armageddon (Michael Bay, 1997), l’hégémonie des Etats-Unis sur le reste du monde est symbolisée par sa suprématie scientifique et technique. Cette double compétence l’autorise à devenir leader de l’exploration spatiale et, corrélativement, à organiser la protection du monde face aux menaces venues de l’espace. Dans le film, les deux entités centrales sont la NASA et un groupe d’ouvriers/ingénieurs en extraction pétrolière. La maîtrise de l’espace y est présentée comme une condition de sécurité de l’humanité entière, pas seulement des Etats-Unis. C’est une prolongation du thème précédent : le leadership des Etats-Unis est bienveillant, il protège l’humanité du chaos (il n’est pas interdit de voir dans l’astéroïde un symbole de la destruction aveugle en général, à laquelle certains essaient de raccrocher le terrorisme, et ce depuis bien avant le 11 septembre 2001).
Lutte contre le terrorisme
S’il constituait déjà un thème notable avant 2001 (voir par exemple Arlington Road, Mark Pellington, 1998), le terrorisme occupe désormais une place importante dans beaucoup de productions hollywoodiennes.
Cloverfield (Matt Reeves, 2008) nous explique que le terrorisme est inhumain, monstrueux, et qu’il peut frapper n’importe quelle partie de la population mondiale, y compris ceux qui se sentent les plus protégés (et, parmi eux, même les plus nantis).
Die Hard 4 (Len Wiseman, 2006) suggère que le terrorisme peut aussi venir de l’intérieur des pays occidentaux, d’où la nécessité de perfectionner notamment le système de défense contre la cyber-criminalité.
The Dark Knight (Christopher Nolan, 2008) s’interroge : comment combattre ce nouvel ennemi, imprévisible, monstrueux, complètement cinglé, semant le chaos pour le plaisir ? La loi est-elle suffisante, ou faut-il se reposer aussi sur la force clandestine (hors-la-loi), bien plus efficace ? Moraliser le capitalisme
Inside Man (Spike Lee, 2005) nous invite à moraliser la banque. Bien entendu, il ne s’agit pas de pointer la domination mondiale du pouvoir bancaire et l’exploitation des peuples qui en résulte. Le film se contente de raconter comment un banquier new-yorkais s’en est mis plein les poches en collaborant avec le régime nazi. Ou comment brosser un thème porteur tout en retournant soigneusement le propos pour ne froisser personne, et ainsi gagner sur tous les tableaux.
The Social Network (David Fincher, 2010) s’interroge : le capitalisme moderne est-il moral ? Comme dans Inside Man, on individualise radicalement le propos en mettant en scène un super-capitaliste ayant franchi toutes les bornes de la morale. Ou comment suggérer la responsabilité des individus pour mieux éviter de dire que c’est tout le système économique qui porte en lui l’immoralité.
Une hégémonie sur le déclin
Le thème du déclin de l’hégémonie des Etats-Unis est relativement nouveau, car il correspond à une situation récente. Il y a fort à parier qu’Hollywood s’en emparera et le placera au centre de certaines de ses prochaines superproductions. Bien entendu, la finalité ne sera pas de tenir un propos politique, mais simplement de plaire au plus grand nombre, ce qui est la condition pour continuer de vendre ses produits.
La bande-annonce de Transformers 3 (Michael Bay, 2011) semble indiquer que le film mettra en scène une humanité confrontée à la révélation suprême : "We’re not alone after all, are we ?" ("Nous ne sommes plus seuls, c’est ça ?"). La rencontre d’une espèce extra-terrestre sur la Lune (où, dans l’imaginaire, les Etatsuniens représentaient l’humanité entière) servira peut-être à évoquer la prise de conscience réelle par les élites étatsuniennes que certaines forces extérieures ont envie d’en découdre et souhaitent de tout coeur la fin de leur domination sur le monde.
On voit donc qu’un certain nombre de thèmes constitutifs de ce que l’on peut appeler le "roman national américain" (un ensemble des mythes plus ou moins basés sur des événements réels, qui construisent une perception cohérente de l’histoire des Etats-Unis et des valeurs à l’oeuvre dans cette histoire) sont développés dans des scénarios hollywoodiens très largement diffusés à travers le monde. L’industrie étatsunienne du spectacle joue un rôle prédominant dans le maintien et l’actualisation permanente de cet imaginaire national, ainsi que dans son exportation mondiale.
Mais la popularité mondiale de ce type particulier de cinéma ne s’explique pas uniquement par la volonté d’une industrie du spectacle de diffuser au maximum ses produits. Il faut également prendre en compte le fait que ces produits pénètrent d’autant plus les marchés nationaux que les cultures nationales en question ont déjà été largement pénétrées par la culture des Etats-Unis depuis des décennies. En 2011, il est sans doute plus facile pour un film hollywoodien de trouver un public français qu’il ne l’aurait été pour le même film en 1965 (toutes choses égales par ailleurs).
* En réalité, il semble (et il paraît très logique) que la Révolution dite "américaine" a plus constitué la victoire d’une certaine élite oligarchique des colonies sur une certaine élite anglaise que celle du peuple des Etats-Unis sur l’oppresseur étranger. Au sortir de la "révolution", le peuple ne s’est pas libéré de l’oppression ; il a simplement changé d’oppresseur. Voir notamment Howard Zinn, Une Histoire populaire des Etats-Unis, chapitre V.
Source : http://analyse-scenarios.over-blog.com/article-de-l-amerique-a-l-humanite-le-passage-du-reel-a-la-fiction-comme-clef-scenaristique-hollywoodienne-69315164.html
Présentation du blog en question par son auteur :
Présentation
Ce blog propose des éléments d’analyse de certains scénarios de films américains. Le but est de réfléchir à la manière idéale de raconter une histoire fictive pour qu’elle dise, ou au moins suggère, beaucoup de choses sur le monde réel. Le cinéma étatsunien me paraît constituer une source inépuisable d’enseignements à ce sujet.
Il ne s’agit pas ici de raconter les films et d’en établir une fiche technique ; d’autres sites le font très bien.
Il ne s’agit pas non plus de procéder à ce que certains appellent la "critique" de ces films, et qui se résume bien souvent à un concours de pseudo-liberté de ton, de name dropping et d'expressions à la mode, le tout ne produisant aucun concept et constituant de simples stratégies de distinction visant à l'existence virtuelle (Internet ou presse classique).
Ici, j’essaierai en premier lieu de comprendre les techniques scénaristiques qui fondent la puissance du cinéma américain, et sa large diffusion. Pourquoi ça marche ? Pourquoi tant de personnes apprécient-elles les productions de cet empire du spectacle ? Qu’est-ce qu’un scénario efficace ?
A travers les différents articles de ce blog, je tenterai de montrer qu’il s’agit avant tout d’un problème de valeurs, et que la force d’un scénario réside avant tout dans la transmission d'une morale par le jeu de l’intrigue.
On pourra juger que certaines analyses sont parfois tirées par les cheveux. C'est possible ; mais il est aussi probable que notre inconscient soit plus mobilisé que nous ne le croyons lorsque nous regardons un film.
En outre, j'essaierai de tirer de ces analyses quelques conséquences plus globales, principalement sur le plan politique. Si le rayonnement mondial du cinéma hollywoodien provient de sa capacité à transmettre par le spectacle les valeurs anglo-étatsuniennes, il faudra notamment s'interroger sur la manière dont la lutte contre certaines de ces valeurs pourrait investir à son tour le cinéma de masse.
Je vous propose un article en lien avec le cinéma made in Hollywood. (Merci au passage à Zhell69 pour la trouvaille et le partage )
Cet article est issu d'un blog passionnant qui propose des éléments d’analyse de certains scénarios de films américains. Le but est de réfléchir à la manière idéale de raconter une histoire fictive pour qu’elle dise, ou au moins suggère, beaucoup de choses sur le monde réel.
http://analyse-scenarios.over-blog.com/
De l’Amérique à l’Humanité : le passage du réel à la fiction comme clef scénaristique hollywoodienne
De l’Amérique à l’Humanité : le passage du réel à la fiction comme clef scénaristique hollywoodienne
D’un point de vue scénaristique, il est intéressant de constater qu’une partie importante des films hollywoodiens qui s’exportent le plus facilement (au moins dans le reste de l’Occident) contient des références innombrables aux thèmes constitutifs du roman national des Etats-Unis.
La résonance que ces thèmes (classiques ou modernes) produisent dans les esprits non-étatsuniens s’explique autant par la volonté d’Hollywood de vendre au maximum ses produits que par la forte prédisposition de certaines populations à les recevoir positivement.
Le ressort scénaristique principal de cette tendance des thèmes proprement étatsuniens à résonner dans les esprits non-étatsuniens réside sans doute dans le passage subreptice du réel à la fiction, dont nous avons déjà parlé dans plusieurs articles. Notamment, l’extension des thèmes constitutifs du "roman américain" se produit souvent grâce à leur transposition, dans la fiction, à l’humanité entière. Quels sont ces thèmes ? La liste non exhaustive ci-dessous en présente les principaux, illustrés d’exemples de films dans lesquels ils sont développés.
Nouveau Monde, Terre promise et peuple élu :
2012 (Roland Emmerich, 2009) : à la fin du film, le continent africain représente la terre d’asile et d’espoir de l’humanité entière. Seuls quelques élus embarqués sur des bateaux ont survécu à l’apocalypse. La découverte, l’exploration et la domestication d’un Nouveau Monde, thème étatsunien par excellence dans le monde réel, devient dans la fiction celui de l’humanité entière. (L’une des dernières images du film, photo ci dessus)
Avatar (James Cameron, 2009) reprend également le thème du Nouveau Monde, mais cette fois d’un point de vue qui se veut indigène, soulignant les conflits d’intérêts causés par la colonisation. On peut voir une forte correspondance entre les Na’vis fictifs et les Indiens d’Amérique réels, mais aussi une transposition plus moderne du même thème à travers l’exploitation brutale des ressources du sol à l’aide de la conquête militaire et au détriment des peuples locaux.
Libération du joug étranger comme mythe fondateur (réunificateur) de la nation
Independence Day (Roland Emmerich, 1996) : la Révolution américaine, au cours de laquelle le "peuple" des colonies anglaises du Nouveau Monde se serait soulevé contre l’Angleterre*, est prise implicitement comme référence et transposée maladroitement à l’humanité entière dans sa résistance à l’impérialisme extraterrestre. La correspondance est loin d’être parfaite, puisque dans le film, l’envahisseur n’occupe pas les lieux. Mais elle est néanmoins utilisée directement pour élargir la portée du film, au moins dans le titre et dans le monologue fameux du président.
Les Etats-Unis : une puissance bienveillante
Dans Star Trek (J. J. Abrams, 2009), l’entité militaire appelée Starfleet constitue une puissance pacificatrice et bienveillante. C’est une organisation internationale. Au sein même de l’Enterprise, l’équipage représente à lui tout seul un panel d’origines nationales différentes. Bien entendu, Kirk, intrépide et courageux, au physique si typiquement étatsunien, en deviendra le capitaine. Il est possible de voir là une transposition dans la fiction de la position réelle des Etats-Unis dans les organisations mondiales réelles à vocation prétendument pacificatrice et humanitaire.
Les Etats-Unis : une puissance hégémonique
Dans Armageddon (Michael Bay, 1997), l’hégémonie des Etats-Unis sur le reste du monde est symbolisée par sa suprématie scientifique et technique. Cette double compétence l’autorise à devenir leader de l’exploration spatiale et, corrélativement, à organiser la protection du monde face aux menaces venues de l’espace. Dans le film, les deux entités centrales sont la NASA et un groupe d’ouvriers/ingénieurs en extraction pétrolière. La maîtrise de l’espace y est présentée comme une condition de sécurité de l’humanité entière, pas seulement des Etats-Unis. C’est une prolongation du thème précédent : le leadership des Etats-Unis est bienveillant, il protège l’humanité du chaos (il n’est pas interdit de voir dans l’astéroïde un symbole de la destruction aveugle en général, à laquelle certains essaient de raccrocher le terrorisme, et ce depuis bien avant le 11 septembre 2001).
Lutte contre le terrorisme
S’il constituait déjà un thème notable avant 2001 (voir par exemple Arlington Road, Mark Pellington, 1998), le terrorisme occupe désormais une place importante dans beaucoup de productions hollywoodiennes.
Cloverfield (Matt Reeves, 2008) nous explique que le terrorisme est inhumain, monstrueux, et qu’il peut frapper n’importe quelle partie de la population mondiale, y compris ceux qui se sentent les plus protégés (et, parmi eux, même les plus nantis).
Die Hard 4 (Len Wiseman, 2006) suggère que le terrorisme peut aussi venir de l’intérieur des pays occidentaux, d’où la nécessité de perfectionner notamment le système de défense contre la cyber-criminalité.
The Dark Knight (Christopher Nolan, 2008) s’interroge : comment combattre ce nouvel ennemi, imprévisible, monstrueux, complètement cinglé, semant le chaos pour le plaisir ? La loi est-elle suffisante, ou faut-il se reposer aussi sur la force clandestine (hors-la-loi), bien plus efficace ? Moraliser le capitalisme
Inside Man (Spike Lee, 2005) nous invite à moraliser la banque. Bien entendu, il ne s’agit pas de pointer la domination mondiale du pouvoir bancaire et l’exploitation des peuples qui en résulte. Le film se contente de raconter comment un banquier new-yorkais s’en est mis plein les poches en collaborant avec le régime nazi. Ou comment brosser un thème porteur tout en retournant soigneusement le propos pour ne froisser personne, et ainsi gagner sur tous les tableaux.
The Social Network (David Fincher, 2010) s’interroge : le capitalisme moderne est-il moral ? Comme dans Inside Man, on individualise radicalement le propos en mettant en scène un super-capitaliste ayant franchi toutes les bornes de la morale. Ou comment suggérer la responsabilité des individus pour mieux éviter de dire que c’est tout le système économique qui porte en lui l’immoralité.
Une hégémonie sur le déclin
Le thème du déclin de l’hégémonie des Etats-Unis est relativement nouveau, car il correspond à une situation récente. Il y a fort à parier qu’Hollywood s’en emparera et le placera au centre de certaines de ses prochaines superproductions. Bien entendu, la finalité ne sera pas de tenir un propos politique, mais simplement de plaire au plus grand nombre, ce qui est la condition pour continuer de vendre ses produits.
La bande-annonce de Transformers 3 (Michael Bay, 2011) semble indiquer que le film mettra en scène une humanité confrontée à la révélation suprême : "We’re not alone after all, are we ?" ("Nous ne sommes plus seuls, c’est ça ?"). La rencontre d’une espèce extra-terrestre sur la Lune (où, dans l’imaginaire, les Etatsuniens représentaient l’humanité entière) servira peut-être à évoquer la prise de conscience réelle par les élites étatsuniennes que certaines forces extérieures ont envie d’en découdre et souhaitent de tout coeur la fin de leur domination sur le monde.
On voit donc qu’un certain nombre de thèmes constitutifs de ce que l’on peut appeler le "roman national américain" (un ensemble des mythes plus ou moins basés sur des événements réels, qui construisent une perception cohérente de l’histoire des Etats-Unis et des valeurs à l’oeuvre dans cette histoire) sont développés dans des scénarios hollywoodiens très largement diffusés à travers le monde. L’industrie étatsunienne du spectacle joue un rôle prédominant dans le maintien et l’actualisation permanente de cet imaginaire national, ainsi que dans son exportation mondiale.
Mais la popularité mondiale de ce type particulier de cinéma ne s’explique pas uniquement par la volonté d’une industrie du spectacle de diffuser au maximum ses produits. Il faut également prendre en compte le fait que ces produits pénètrent d’autant plus les marchés nationaux que les cultures nationales en question ont déjà été largement pénétrées par la culture des Etats-Unis depuis des décennies. En 2011, il est sans doute plus facile pour un film hollywoodien de trouver un public français qu’il ne l’aurait été pour le même film en 1965 (toutes choses égales par ailleurs).
* En réalité, il semble (et il paraît très logique) que la Révolution dite "américaine" a plus constitué la victoire d’une certaine élite oligarchique des colonies sur une certaine élite anglaise que celle du peuple des Etats-Unis sur l’oppresseur étranger. Au sortir de la "révolution", le peuple ne s’est pas libéré de l’oppression ; il a simplement changé d’oppresseur. Voir notamment Howard Zinn, Une Histoire populaire des Etats-Unis, chapitre V.
Source : http://analyse-scenarios.over-blog.com/article-de-l-amerique-a-l-humanite-le-passage-du-reel-a-la-fiction-comme-clef-scenaristique-hollywoodienne-69315164.html
Présentation du blog en question par son auteur :
Présentation
Ce blog propose des éléments d’analyse de certains scénarios de films américains. Le but est de réfléchir à la manière idéale de raconter une histoire fictive pour qu’elle dise, ou au moins suggère, beaucoup de choses sur le monde réel. Le cinéma étatsunien me paraît constituer une source inépuisable d’enseignements à ce sujet.
Il ne s’agit pas ici de raconter les films et d’en établir une fiche technique ; d’autres sites le font très bien.
Il ne s’agit pas non plus de procéder à ce que certains appellent la "critique" de ces films, et qui se résume bien souvent à un concours de pseudo-liberté de ton, de name dropping et d'expressions à la mode, le tout ne produisant aucun concept et constituant de simples stratégies de distinction visant à l'existence virtuelle (Internet ou presse classique).
Ici, j’essaierai en premier lieu de comprendre les techniques scénaristiques qui fondent la puissance du cinéma américain, et sa large diffusion. Pourquoi ça marche ? Pourquoi tant de personnes apprécient-elles les productions de cet empire du spectacle ? Qu’est-ce qu’un scénario efficace ?
A travers les différents articles de ce blog, je tenterai de montrer qu’il s’agit avant tout d’un problème de valeurs, et que la force d’un scénario réside avant tout dans la transmission d'une morale par le jeu de l’intrigue.
On pourra juger que certaines analyses sont parfois tirées par les cheveux. C'est possible ; mais il est aussi probable que notre inconscient soit plus mobilisé que nous ne le croyons lorsque nous regardons un film.
En outre, j'essaierai de tirer de ces analyses quelques conséquences plus globales, principalement sur le plan politique. Si le rayonnement mondial du cinéma hollywoodien provient de sa capacité à transmettre par le spectacle les valeurs anglo-étatsuniennes, il faudra notamment s'interroger sur la manière dont la lutte contre certaines de ces valeurs pourrait investir à son tour le cinéma de masse.
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Aurelien- Nombre de messages : 2285
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- Message n°55
Re: Topic cinema
Inside Man (Spike Lee, 2005) nous invite à moraliser la banque. Bien entendu, il ne s’agit pas de pointer la domination mondiale du pouvoir bancaire et l’exploitation des peuples qui en résulte.
Le film se contente de raconter comment un banquier new-yorkais s’en est mis plein les poches en collaborant avec le régime nazi.
Ou comment brosser un thème porteur tout en retournant soigneusement le propos pour ne froisser personne, et ainsi gagner sur tous les tableaux.
Au niveau de ce film, c'est dommage à dire mais il se plante complétement.
Je rappelle tout d'abord l'histoire :
Un homme organise un braquage mais le but réel est de mettre la main sur des documents compromettants pour le banquier.
Pour cela, aprés le hold up, il se cache dans la banque.
En fait "Inside Man" de Spike Lee se veut une parabole qui dénonce l'industrie de l'holocauste et les royalties qu'engrangent les sionistes grace au génocide juif.
Dans ce film, le banquier symbolise donc le pouvoir sioniste et plus spécialement les Rothshilds (qui d'ailleurs sont cités explicitement), leur grand secret inavouable est d'avoir eu des liens avec les nazis, c'est à dire pour parler clairement qu'ils ont autorisé le génocide afin de pouvoir justifier la creation de l'entité sioniste aux yeux du monde.
Bien evidement, même si le message est occulté (ce qui justifie le titre du film "inside man" dont même le scénario nous invite à voir au dela des apparences du film de gangster qui n'est là qu'en tant que trompe l'oeil) les sionistes ont tout de suite capté le message de ce film et le mal qu'il pourrait leur causer.
En France, c'est Finkielcrotte qui s'est chargé d'alerter les goys au sujet de l'idéologie dangereuse véhiculée par le film de Spike Lee.
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"si vous n'etes pas prets à mourir pour cela retirez le mot "liberté" de votre vocabulaire."
Malcolm X.
Bardamu- Admin
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- Message n°56
Re: Topic cinema
Aurélien, je ne vois pas en quoi c'est dommage de mettre le doigt sur une erreur d'interprétation et d'apporter des précisions pertinentes sur ce point particulier. Plutôt que dommage je trouve ça utile ! D'ailleurs à bien y regarder, l'auteur du blog en question n'est pas tombé si loin.
Merci pour la vidéo, ce pauvre Finkelcrotte rame lamentablement dans ses explications, il me ferait presque pitié s'il n'était pas... Lui
Merci pour la vidéo, ce pauvre Finkelcrotte rame lamentablement dans ses explications, il me ferait presque pitié s'il n'était pas... Lui
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Mehdi-667- Nombre de messages : 9
Date d'inscription : 08/04/2011
- Message n°57
Re: Topic cinema
En France, c'est Finkielcrotte qui s'est chargé d'alerter les goys au sujet de l'idéologie dangereuse véhiculée par le film de Spike Lee.
_________________
C' est impressionnant le chemin qu' il prend pour argumenter son analyse, un pur raisonnement inversé...
Du genre, Hollywood ca manipule les gens, mais uniquement quand c' est Spike Lee alors... lol
Plus sèrieusement, pour en revenir au film et a son message, effectivement très subliminal, je pense que les deux analyses sont justes, c' est là qu' on constate la perversité et le coté maléfique de cette machine qu' est Hollywood, rien de Bon ne peut en sortir, meme un mec comme Spike Lee, des plus sincères dans sa démarche, ne peut l' éviter..
Certes le propos du film dénonce des faits, mais ne nomme pas réellement son sujet, alors l' amalgame est facile, tout est flou et c' est la ou le bloggeur voit juste, effectivement on comprend qu' un Bankster/(Sioniste?/Juif?) s' est compromis avec les nazis, qu' il a tiré profit du sang des Juifs... et c' est tout, ca laisse plus de questions que de réponses.
En clair ca dénonce des faits, mais jamais les personnes, pire ca laisse a penser que ce sont toujours des faits isolés, par des gens soit Fous soit traitres... Jamais de réseaux de pouvoirs et d' influence etc...
C' est toujours pareil, c' est la marque de fabrique du NOM, récuperer Tous ses opposants, plutot que de les combattre...
_________________
C' est impressionnant le chemin qu' il prend pour argumenter son analyse, un pur raisonnement inversé...
Du genre, Hollywood ca manipule les gens, mais uniquement quand c' est Spike Lee alors... lol
Plus sèrieusement, pour en revenir au film et a son message, effectivement très subliminal, je pense que les deux analyses sont justes, c' est là qu' on constate la perversité et le coté maléfique de cette machine qu' est Hollywood, rien de Bon ne peut en sortir, meme un mec comme Spike Lee, des plus sincères dans sa démarche, ne peut l' éviter..
Certes le propos du film dénonce des faits, mais ne nomme pas réellement son sujet, alors l' amalgame est facile, tout est flou et c' est la ou le bloggeur voit juste, effectivement on comprend qu' un Bankster/(Sioniste?/Juif?) s' est compromis avec les nazis, qu' il a tiré profit du sang des Juifs... et c' est tout, ca laisse plus de questions que de réponses.
En clair ca dénonce des faits, mais jamais les personnes, pire ca laisse a penser que ce sont toujours des faits isolés, par des gens soit Fous soit traitres... Jamais de réseaux de pouvoirs et d' influence etc...
C' est toujours pareil, c' est la marque de fabrique du NOM, récuperer Tous ses opposants, plutot que de les combattre...
mr saf- Nombre de messages : 147
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Date d'inscription : 21/01/2011
- Message n°58
Re: Topic cinema
salam
je viens de voir le debut du film" l empire des ombre" 2011
a la 19 eme minute , le héros rentre dans un bar ,regarde vers le mur
il y as la photos d une explosion nucléaire avec écrit en dessous ,je vous le donne en mille ?
NEW WORLD ORDER ?
je viens de voir le debut du film" l empire des ombre" 2011
a la 19 eme minute , le héros rentre dans un bar ,regarde vers le mur
il y as la photos d une explosion nucléaire avec écrit en dessous ,je vous le donne en mille ?
NEW WORLD ORDER ?
paralleye- Admin
- Nombre de messages : 3342
Date d'inscription : 04/06/2009
- Message n°60
Re: Topic cinema
Eyes wide shut, remis à l’endroit
La scène de l’orgie rituelle du film Eyes Wide Shut comporte une
bande son très malsaine, et pour cause, il s’agit d’un chant religieux
passé à l’envers, selon la bonne vieille méthode sataniste.
Tout le monde connaît cette scène du film de Kubrick où le
scientologue vedette du cinéma rentre dans une soirée très select durant
laquelle l’élite se livre à ses petits plaisirs diaboliques.
La musique « masked ball » de Jocelyn Pook
est tout simplement un chant religieux sacré en langue roumaine (plus
exactement une messe de rite Orthodoxe) qui est joué à l’envers. Les
satanistes croient que les effets initiaux sont ainsi inversés. C’est un
grand classique de la pitrerie luciférienne que de se livrer à de tels
procédés, notamment dans la musique (technique du backmasking), voir les interviews du Père Régimbald à ce sujet.
A chacun de se faire son opinion sur le sujet, mais le message qu’a
voulu faire passer Kubrick semble assez clair pour se passer de
commentaires.
Ci dessous, la musique a été remise dans le bon sens, et les images sont elles à l’envers.
http://infoguerilla.fr/?p=8183
PS : avis personnel,ne pas abuser de cette vidéo quand même !
La scène de l’orgie rituelle du film Eyes Wide Shut comporte une
bande son très malsaine, et pour cause, il s’agit d’un chant religieux
passé à l’envers, selon la bonne vieille méthode sataniste.
Tout le monde connaît cette scène du film de Kubrick où le
scientologue vedette du cinéma rentre dans une soirée très select durant
laquelle l’élite se livre à ses petits plaisirs diaboliques.
La musique « masked ball » de Jocelyn Pook
est tout simplement un chant religieux sacré en langue roumaine (plus
exactement une messe de rite Orthodoxe) qui est joué à l’envers. Les
satanistes croient que les effets initiaux sont ainsi inversés. C’est un
grand classique de la pitrerie luciférienne que de se livrer à de tels
procédés, notamment dans la musique (technique du backmasking), voir les interviews du Père Régimbald à ce sujet.
A chacun de se faire son opinion sur le sujet, mais le message qu’a
voulu faire passer Kubrick semble assez clair pour se passer de
commentaires.
Ci dessous, la musique a été remise dans le bon sens, et les images sont elles à l’envers.
http://infoguerilla.fr/?p=8183
PS : avis personnel,ne pas abuser de cette vidéo quand même !
nonwo- Nombre de messages : 1006
Localisation : rue cache cache numero macache
Date d'inscription : 26/09/2010
- Message n°61
Re: Topic cinema
Ayant lui même collaboré à la gigantesque mascarade du faux alunissage,(il était le cinéaste de la NASA), avec le fim"Eyes Wide Shut", il offre à l'humanité une ultime œuvre codée sur le fonctionnement du pouvoir maçonnique.
Il le paiera de sa vie tout comme Aaron Russo.
Pour ceux qui savent fouiner,... un bon filon
Paroles de la B.O.
Il le paiera de sa vie tout comme Aaron Russo.
Pour ceux qui savent fouiner,... un bon filon
Paroles de la B.O.
zeiyen- Nombre de messages : 93
Date d'inscription : 20/01/2010
- Message n°62
Re: Topic cinema
C'est un film tourné en partie chez les Rotschild, je ne suis pas sûr que ce film lui ait couté la vie comme tu dis.
nonwo- Nombre de messages : 1006
Localisation : rue cache cache numero macache
Date d'inscription : 26/09/2010
- Message n°63
Re: Topic cinema
Tu viens de donner, sans le savoir, une des nombreuses pistes sur lesquelles Kubrick pointe son doigt.zeiyen a écrit:C'est un film tourné en partie chez les Rotschild, je ne suis pas sûr que ce film lui ait couté la vie comme tu dis.
Continues comme ça, tu tiens le bon bout.
zeiyen- Nombre de messages : 93
Date d'inscription : 20/01/2010
- Message n°64
Re: Topic cinema
Cesse de me prendre de haut et prend un peu de recul sur ce que tu crois être la vérité.
Ils vous en faut peu pour voir en des traîtres comme Kubrick, des prophètes.
Libre à toi de voir en Kubrick un ennemi de l'élite, évite d'imposer tes pensées, avec le mépris dont tu fais preuve, et sans argumentaire qui plus est.
Tu emploies les mêmes méthodes que nos chers médias et ne fais que réciter la leçon que tes maîtres conspirationnistes t'ont appris, comme les veaux apprennent la leur sur TF1. Ouvrez vos cahiers : aujourd'hui on va apprendre que Kubrick a filmé Neil Armstrong dans un studio d'Holywood.
(Modération Bardamu : propos déplacés et tendancieux)
Ils vous en faut peu pour voir en des traîtres comme Kubrick, des prophètes.
Libre à toi de voir en Kubrick un ennemi de l'élite, évite d'imposer tes pensées, avec le mépris dont tu fais preuve, et sans argumentaire qui plus est.
Tu emploies les mêmes méthodes que nos chers médias et ne fais que réciter la leçon que tes maîtres conspirationnistes t'ont appris, comme les veaux apprennent la leur sur TF1. Ouvrez vos cahiers : aujourd'hui on va apprendre que Kubrick a filmé Neil Armstrong dans un studio d'Holywood.
(Modération Bardamu : propos déplacés et tendancieux)
nonwo- Nombre de messages : 1006
Localisation : rue cache cache numero macache
Date d'inscription : 26/09/2010
- Message n°65
Re: Topic cinema
zeiyen a écrit:Cesse de me prendre de haut et prend un peu de recul sur ce que tu crois être la vérité.
Ils vous en faut peu pour voir en des traîtres comme Kubrick, des prophètes.
Libre à toi de voir en Kubrick un ennemi de l'élite, évite d'imposer tes pensées, avec le mépris dont tu fais preuve, et sans argumentaire qui plus est.
Tu emploies les mêmes méthodes que nos chers médias et ne fais que réciter la leçon que tes maîtres conspirationnistes t'ont appris, comme les veaux apprennent la leur sur TF1. Ouvrez vos cahiers : aujourd'hui on va apprendre que Kubrick a filmé Neil Armstrong dans un studio d'Holywood.
Tu es en train de me donner une leçon?apprise chez tes amis révolutionnaires à 2 centimes. du moins c'est ta couverture.
http://www.netoyens.info/index.php/contrib/29/04/2011/fabrice-nicolino-%3A-crise-systemique-%3A-la-voie-a-empriunter-est-une-mobilisation-sociale-de-grande-ampleur
Ils ont le même slogan ne serait-ce pas tes amis?
à voir tes messages tu es le spécialiste de la pollution de sujet.
trollisme?
Tu est méchant avec moi quand même , me traiter d'esclave des maitres conspirationnistes(au fait qui sont-ils? des noms!).
Continues tu tiens le bon bout
AldousOrwell- Nombre de messages : 483
Date d'inscription : 30/03/2011
- Message n°66
Re: Topic cinema
On comprend mieux pourquoi parmi les clauses "secrètes" du plan Marshall, il y avait celle où les pays bénéficiaire du plan devait s'ouvrir à Hollywood...
...d'où le ridicule de ceux qui se demandent pourquoi le cinéma français se fait écrasé par le cinéma hollywoodien.
Pour moi, l'un des plus grand méfait d'Hollywood est d'avoir persuadé les gens que la guerre du bien contre le mal ne relève que de la fiction, du cinéma.
...d'où le ridicule de ceux qui se demandent pourquoi le cinéma français se fait écrasé par le cinéma hollywoodien.
Pour moi, l'un des plus grand méfait d'Hollywood est d'avoir persuadé les gens que la guerre du bien contre le mal ne relève que de la fiction, du cinéma.
zeiyen- Nombre de messages : 93
Date d'inscription : 20/01/2010
- Message n°67
Re: Topic cinema
C'était le débat de Ce soir ou jamais mercredi dernier.AldousOrwell a écrit:On comprend mieux pourquoi parmi les clauses "secrètes" du plan Marshall, il y avait celle où les pays bénéficiaire du plan devait s'ouvrir à Hollywood...
...d'où le ridicule de ceux qui se demandent pourquoi le cinéma français se fait écrasé par le cinéma hollywoodien.
Pour moi, l'un des plus grand méfait d'Hollywood est d'avoir persuadé les gens que la guerre du bien contre le mal ne relève que de la fiction, du cinéma.
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/?page=emission&id_rubrique=1400
Quelques infos intéressantes sur l'impérialisme culturel américain notamment après 1945 mais aussi entre les deux guerres.
Bardamu- Admin
- Nombre de messages : 6272
Age : 66
Date d'inscription : 01/07/2008
- Message n°68
Re: Topic cinema
Merci pour cette vidéo zeiyen, intéressante !! "Est-ce qu’Hollywood veut la peau du cinéma français ?", ça commence à 21'25"
_________________
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c.isme- Nombre de messages : 2501
Age : 44
Localisation : terre
Date d'inscription : 19/08/2008
- Message n°69
Re: Topic cinema
Le Ballon Rouge, 1956 - Albert Lamorisse (PART 1)
à l'ancienne.
à l'ancienne.
mr saf- Nombre de messages : 147
Age : 45
Date d'inscription : 21/01/2011
- Message n°70
Hole in the Head: a life revealed
Publication de Hole in the Head: a life revealed. Un film sur des expérimentations “aux radiations” sur des enfants noirs aux USA. Cela n’est pas en rapport avec Fukushima mais cela participe des mêmes crimes contre l’humanité et la biosphère. Ce film a été réalisé par Smith Leonard Production. ATTENTION, la bande-annonce de ce film est strictement déconseillée aux enfants et aux âmes sensibles.
Solstice- Nombre de messages : 3146
Age : 57
Date d'inscription : 05/02/2009
- Message n°71
Palme d’or 2011 pour une daube.
« The tree of life » se traduit par « l’arbre de vie ». Référence directe à la Kabbale juive et, à l’arbre de vie: symbole des Sephiroth.
The Tree of Life, ou L’Arbre de vie, est un film dramatique fantastique, mettant en scène Brad Pitt, Sean Penn et Jessica Chastain. Il vient de recevoir la palme d’or des mains de Jane Fonda au Festival de Cannes 2011.
N’allez pas voir ce truc !
Ci-dessous, la critique qu’en fait l’écrivain patriote Patrick Gofman.
« “The Tree of Life” : Palme d’Or de la connerie solennelle
Comme un bon jobard, j’étais devant ce film deux heures après (le 22/5/11) qu’il eut décroché la Palme au festival de Cannes blanches (comme je l’appelle depuis qu’il a boycotté “Le fabuleux Destin d’Amélie Poulain”).
Récit ? Zéro. Des débris de filmage sans suite sur la gueule butée d’un moutard qui souhaite la mort de son père sévère et flaire les nuisettes de sa mère. Quelle trouvaille, mon cher Œdipe !
Ça, c’est la moitié de la daube. L’autre est pire : dans un flot de musique pompier, défilé d’emprunts à une banque d’images sommaire. Un arbre tourmenté, en contre-plongée, bien entendu. Un vol d’oiseau. Un immeuble miroitant, en contre-plongée, bien sûr. Volcan en éruption, planète Saturne, torrent impétueux, calme rivage… Et ça n’en finit plus.
Total = 2 h 18 !
Mes estimés confrères de la grosse presse encensent ce machin, comme de juste. Il leur a semblé que la chose avait été commise « dans un petit village du Texas ». Ils vous disent quoi faire de vos soirées, mais ils sont trop bigleux pour remarquer, à l’écran, le camion de DDT marqué “City of Waco”. Une ville moyenne, pas un village.
Waco, Texas, USA, ça ne vous dit rien ? Le siège de Waco est une boucherie accomplie par le FBI du 28 février au 19 avril 1993 dans la résidence du groupe religieux des “Davidiens” près de la ville de Waco. 82 personnes dont 21 enfants et le leader du groupe, David Koresh, périrent, principalement dans l’incendie qui mit un terme aux 51 jours de siège par les forces de police.
Une catastrophe stupide, comparable à ce film de merde, palmé par les laquais les plus abrutis de l’impérialisme.
http://www.contre-info.com/palme-dor-pour-une-daube
The Tree of Life, ou L’Arbre de vie, est un film dramatique fantastique, mettant en scène Brad Pitt, Sean Penn et Jessica Chastain. Il vient de recevoir la palme d’or des mains de Jane Fonda au Festival de Cannes 2011.
N’allez pas voir ce truc !
Ci-dessous, la critique qu’en fait l’écrivain patriote Patrick Gofman.
« “The Tree of Life” : Palme d’Or de la connerie solennelle
Comme un bon jobard, j’étais devant ce film deux heures après (le 22/5/11) qu’il eut décroché la Palme au festival de Cannes blanches (comme je l’appelle depuis qu’il a boycotté “Le fabuleux Destin d’Amélie Poulain”).
Récit ? Zéro. Des débris de filmage sans suite sur la gueule butée d’un moutard qui souhaite la mort de son père sévère et flaire les nuisettes de sa mère. Quelle trouvaille, mon cher Œdipe !
Ça, c’est la moitié de la daube. L’autre est pire : dans un flot de musique pompier, défilé d’emprunts à une banque d’images sommaire. Un arbre tourmenté, en contre-plongée, bien entendu. Un vol d’oiseau. Un immeuble miroitant, en contre-plongée, bien sûr. Volcan en éruption, planète Saturne, torrent impétueux, calme rivage… Et ça n’en finit plus.
Total = 2 h 18 !
Mes estimés confrères de la grosse presse encensent ce machin, comme de juste. Il leur a semblé que la chose avait été commise « dans un petit village du Texas ». Ils vous disent quoi faire de vos soirées, mais ils sont trop bigleux pour remarquer, à l’écran, le camion de DDT marqué “City of Waco”. Une ville moyenne, pas un village.
Waco, Texas, USA, ça ne vous dit rien ? Le siège de Waco est une boucherie accomplie par le FBI du 28 février au 19 avril 1993 dans la résidence du groupe religieux des “Davidiens” près de la ville de Waco. 82 personnes dont 21 enfants et le leader du groupe, David Koresh, périrent, principalement dans l’incendie qui mit un terme aux 51 jours de siège par les forces de police.
Une catastrophe stupide, comparable à ce film de merde, palmé par les laquais les plus abrutis de l’impérialisme.
http://www.contre-info.com/palme-dor-pour-une-daube
GarfieldLove- Nombre de messages : 2641
Date d'inscription : 27/03/2008
> Le Chat du rabbin est un dessin animé rempli de haine rabbinique contre les Français et contre les Blancs. Produit par France Inter, Le Figaro et Télérama cette propagande politique vise les enfants à l'appui d'énormes moyens de promotion.
un extrait edifiant ici :
un extrait edifiant ici :
Solstice- Nombre de messages : 3146
Age : 57
Date d'inscription : 05/02/2009
- Message n°73
Re: Topic cinema
Tiens un revenant !
Invité- Invité
- Message n°74
Re: Topic cinema
Viens de tomber la dessus je trouve le titre et la date de sortie très symbolique...
PS modos: Il me semblait avoir vu un post récent ou ca parlait de cette date (sur le sujet Elenin surement) j'ai pas retrouvé (pas trop le temps de chercher) donc je mets ca ici.
11-11-11
L'histoire : après la mort tragique de sa femme et de son fils, le célèbre auteur américain Joseph Crone voyage des Etats-Unis vers Barcelone, afin de se réunir avec Samuel, son frère étrange, et Richard, son père mourant. Cependant, le destin a un plan différent pour Joseph, qui voit sa vie être criblée de phénomènes étranges et de l'apparition constante du nombre 11. Rapidement, la curiosité devient une obsession et Joseph réalise que ce nombre a une signification horrible, non seulement pour lui mais pour toute la religion. Isolé dans un pays étranger avec Sadie pour seul soutien, Joseph se rend compte que le 11 novembre 2011 n'est pas qu'une date, c'est un avertissement !
PS modos: Il me semblait avoir vu un post récent ou ca parlait de cette date (sur le sujet Elenin surement) j'ai pas retrouvé (pas trop le temps de chercher) donc je mets ca ici.
MaGIkKriS- Nombre de messages : 193
Localisation : Cannes
Date d'inscription : 13/05/2009
- Message n°75
Film initiatique
Voici un Film que je pense devoirs partager,
Terry Gilliam le réalisateur et un Monty Python c'est lui qui s'occupait des animation et musiques de leur sketch, spéctacle ou film ,que j'apprécie énormement par ailleur étant donné la profondeur du contenu et l'humour subtile du contenant, énormement à plus d'un titre, il suffi d'avoir vu le sketch sur les franc maçon ou "the meaning of life","sacré grall" "la vie de briane" pour s'en rendre compte .
l'annécdote qui m'a fais tomber sur ce film et le fait que l'acteur Heath Ledger sois décédé durant son tournage et qu'on ai pas tant entendu parler de ce film malgré le casting qui le compose.
un oeil sur l'affiche
L'Imaginarium du Docteur Parnassus
Bien à vous
l'intro du "meaning of life"
Terry Gilliam le réalisateur et un Monty Python c'est lui qui s'occupait des animation et musiques de leur sketch, spéctacle ou film ,que j'apprécie énormement par ailleur étant donné la profondeur du contenu et l'humour subtile du contenant, énormement à plus d'un titre, il suffi d'avoir vu le sketch sur les franc maçon ou "the meaning of life","sacré grall" "la vie de briane" pour s'en rendre compte .
l'annécdote qui m'a fais tomber sur ce film et le fait que l'acteur Heath Ledger sois décédé durant son tournage et qu'on ai pas tant entendu parler de ce film malgré le casting qui le compose.
un oeil sur l'affiche
L'Imaginarium du Docteur Parnassus
Bien à vous
l'intro du "meaning of life"