Défi à Marine Le Pen et à ses partisans !Chers compatriotes, et camarades de famille politique,
Il se dessine de plus en plus clairement, et de manière nous semble-t-il irréversible, une divergence profonde au sein de la famille de pensée dite de droite nationale. Certains pourront le regretter, mais ceux qui aiment la profondeur et la grandeur des idées s’en réjouiront, tant ménager la chèvre et le choux semble depuis des années conduire la droite nationale à faire du sur-place, voire à régresser notablement. En effet, à ne pas s’engager d’un côté ou d’un autre, ni totalement, les idées perdent de leur force et de leur grandeur, et donc de leur pouvoir d’attraction et de leur intérêt à être défendues avec coeur et courage. Autrement dit, elles ne mobilisent ni les militants, ni encore moins les électeurs.
Si plusieurs tendances et nuances existent, il nous semble que deux principales se démarquent et s’imposent : d’un côté les partisans d’une stratégie dite de « dédiabolisation », et de l’autre les partisans d’une ligne dite « dure » (terme subjectif inventé par le système). Disons-le clairement ici, car hélas les lois empêchent les seconds de se définir publiquement et ainsi d’exprimer le fond de leur pensée, entraînant hélas tant de malentendus au sein de la droite nationale, c’est une des grandes forces du système et de ses lois de délits d’opinion, parvenant ainsi à mieux diviser notre courant de pensée : les partisans de la deuxième force de pensée sont au moins anti-sionistes, parfois « antisémites » — au sens religieux ou moins souvent, nous l’espérons, au sens racial —, et souvent révisionnistes. C’est dans cette deuxième force que nous nous situons, puisque nous sommes révisionnistes, antisionistes, judéo-critiques (critiques également envers d’autres courants politico-religieux, mais il se trouve que c’est le judaïsme qui aujourd’hui impose une domination tyrannique et brutale), mais bien évidemment non antisémites au sens racial du terme. Nous ne reviendrons pas sur les raisons qui nous semblent justifier notre engagement ici, nous le ferons tout au long de notre blog « Liberté Vérité ». Précisons seulement que si nous sommes révisionnistes, ce n’est pas par idéologie politique, mais simplement par respect et amour de la vérité.
Etant donné que dans la stratégie de dédiabolisation de Marine Le Pen, les révisionnistes sont implicitement exclus car ils sont les « diables absolus » désignés par le système, et explicitement rejetés par Marine Le Pen qui a déclaré que les révisionnistes n’avaient pas leur place au Front National, nous vous proposons un défi clair et simple, afin de lever toute ambiguïté sur vos motivations profondes. Car l’on pressent bien que Jean-Marie Le Pen a toujours été révisionniste (déclaration dite du « détail », ainsi que celles au magazine Bretons), et que le Front National a depuis les années 80 accueilli en son sein un certain nombre de révisionnistes, comme Eric Delcroix, Georges Theil, sans compter tous les militants moins connus. Et l’on peut donc se demander si Marine Le Pen et ses partisans, comme Louis Aliot par exemple qui dénonce le révisionnisme et l’antisémitisme, croient vraiment aux chambres à gaz homicides nazies, et donc au génocide juif, et si ainsi leur stratégie de « dédiabolisation » est fondée et loyale envers les Français.
En toute honnêteté ceci nous étonnerait, car l’on admet sans peine les capacités de lucidité de Marine, qui ayant grandi auprès de son père diabolisé et diffamé constamment, ne doit pas être dupe des stratégies de mensonge incessantes qui fondent la propagande du nouvel ordre mondial. On peut donc penser que, forcément, Marine Le Pen et ses proches, sont allés vérifier d’eux-mêmes depuis longtemps si ces histoires de chambres à gaz et de génocide de millions de personnes, déjà à première vue étonnantes et incroyables, sont réelles, ou bien ne sont qu’un ignoble mensonge destiné à tuer les identités des peuples. Ainsi, après quelques recherches, ceux-ci se seraient rendus compte aisément de la supercherie, surtout à bonne école (en tout cas on le suppose au vu de ses déclarations dans le journal Bretons), celle du président du Front National lui-même, Jean-Marie Le Pen, et des autres militants révisionnistes du parti.
Mais comme l’on pensait également que les militants et cadres du Front National faisaient leurs les valeurs sacrées d’honnêteté, d’intégrité et de courage, il est normal pour nous de douter de votre lucidité quant au mensonge de la shoah. Soyons clairs : soit vous savez au fond de vous-mêmes que la shoah est un mensonge, auquel cas votre stratégie est une pure stratégie de communication, au nom d’un prétendu réalisme politique, méprisant ainsi les valeurs sus-citées qui pour nous sont sacrées, et les seules au contraire à pouvoir venir à bout d’un système de mensonge, de corruption et de soumission (mais nous y reviendrons dans d’autres articles). Soit vous croyez vraiment à la shoah, auquel cas permettez-nous de vous dire que vos capacités à penser par vous-mêmes, et vos capacités de jugement, sont encore extrêmement limitées, et nous semblent incompatibles avec l’exercice des fonctions auxquelles vous prétendez. On pourra nous répondre qu’il n’est pas possible dans le contexte légal actuel, de contester la version officielle de la shoah, justifiant ainsi votre stratégie. Mais cela n’empêche pas Bruno Gollnisch de dénoncer les persécutions contre les révisionnistes (comme il l’a fait par exemple au parlement européen) et la tyrannique loi Gayssot, de prôner la liberté d’expression et de recherche en matière d’histoire de la Seconde Guerre mondiale, ou de prendre la défense du Maréchal Pétain. C’est bien pour cela que nous le soutenons.
Ainsi, pour dissiper tout malentendu, pour qu’enfin les choses soient claires, pour qu’enfin chacune des deux stratégies de la droite nationale puisse se libérer pleinement, s’exprimer et se dérouler totalement jusqu’au bout, et ainsi prouver sa force ou sa faiblesse, nous vous proposons ce simple défi — idée largement empruntée à l’héroïque Vincent Reynouard qui croupit aujourd’hui en prison pour ses idées – : donnez-vous une seule preuve de l’existence de la shoah, une seule, et alors nous militerons pour vous. Nous nous engageons alors à coller 1000 affiches en faveur de Marine Le Pen et à distribuer 1000 tracts, avant le prochain congrès du Front National. Nous le ferons avec coeur et conviction, puisque la preuve que vous apporteriez nous donnerait, si elle était juste, croyance en l’existence de la shoah.
Nous vous en prions, ne nous prenez ni avec hauteur, ni avec dédain, nous modeste blog, car beaucoup de partisans de Bruno Gollnisch pensent comme nous sur cette question. Le journal Rivarol par exemple, pour citer les plus visibles. Il y a donc là une vraie question de fond sur laquelle se joue le résultat du congrès.
En outre, nous répondre est parfaitement légal. En effet, donner une preuve de la shoah, si c’est possible sur le plan historique, est légal, et même encouragé ! Ce serait en outre immédiat, d’après le système certes, car les preuves de la shoah seraient innombrables (vous êtes en droit de rectifier cette affirmation tout en croyant à la thèse de la shoah). Il suffirait donc de nous en indiquer une (une seule, de manière à simplifier et à bien cadrer le débat historique qui s’engagerait peut-être alors), parmi les innombrables. Nous pensons en écrivant ces lignes à un militant mariniste (nous ne le nommerons pas pour ne pas le prendre publiquement à parti) qui écrivait il y a quelques années que Robert Faurisson était un « psychopathe ». Ceci nous avait extrêmement choqués, vis-à-vis d’un homme qui a donné sa vie pour la vérité, et que nous considérons nous comme un héros français (et écossais il faut le reconnaître). Mais après tout ce militant mariniste avait peut-être de bonnes raisons. Il pourrait donc aisément répondre à notre défi. Lorsque l’on se permet de traiter un homme de psychopathe, c’est que l’on a des raisons objectives et indiscutables de le faire. Sinon on n’a pas d’honneur. Dans ce contexte, nous répondre, même par voix officieuse par des militants pro-Marine, nous semble très simple et très rapide. Ce serait quelques dizaines de minutes au plus dans l’emploi du temps de tous ces militants, qui permettraient de nous convaincre, et ainsi pour vous de gagner des dizaines d’heures, celles que nous utiliserions pour coller ces 1000 affiches et distribuer ces 1000 tracts.
Peut-être allez-vous penser que cette question importe peu, ou qu’il s’agit là d’« obsessions », comme Marine Le Pen a pu le dire à propos des opinions de Jérôme Bourbon. Mais même si nous étions « obsédés » par cette question, pour vous le résultat serait le même : vous gagneriez des militants, 1000 collages d’affiches et 1000 distributions de tracts ! Et en nous convainquant vous nous retireriez notre « obsession » ! Vous pourriez même vous vanter auprès du système d’avoir réussi à faire changer d’avis des révisionnistes, ce qui est un excellent coup dans le contexte de votre stratégie de dédiabolisation !
Mais permettez-nous de vous dire que ce que vous nommez « obsession », est en réalité pour nous le goût de la vérité, le goût de la justice, le goût des grandes, nobles et belles idées. Et c’est le dégoût du mensonge, le dégoût du cynisme, le dégoût de la manipulation et de l’exploitation des hommes, et le dégoût du massacre arbitraire d’autres hommes (les palestiniens) au nom d’une idéologie politico-religieuse. C’est aussi le dégoût des procès d’intention et des diffamations honteuses qui ont été commis contre Jean-Marie Le Pen depuis l’affaire du « détail ». Ainsi, en nous attaquant au mensonge de la shoah, nous faisons aussi, parmi d’autres choses, justice à Jean-Marie Le Pen, car lorsque le mensonge de la shoah sera tombé, c’est la réputation de Jean-Marie Le Pen qui sera totalement et définitivement lavée de ces innombrables insultes et diffamations portées contre lui. Mieux, on dira qu’il était le premier homme politique à avoir raison, et que tout ce qu’on lui a fait subir était horriblement injuste. Comprenez-nous bien, c’est l’honneur de Jean-Marie Le Pen qui sera rétabli dans sa totalité. Dans ce contexte, vous comprenez donc que lorsque Marine Le Pen parle d’obsessions à l’égard des thèses révisionnistes, nous sommes extrêmement choqués.
Enfin, nous pensons nous que le fait que la shoah soit aujourd’hui l’arme idéologique numéro un des mondialistes, est une évidence qui crève les yeux, qui crève les écrans de télévision et de cinéma, avec ce déferlement de films, de documentaires, d’analyses politiques et de commentaires ; toute une propagande monstrueuse, massive et incessante qui a pour but de manipuler et de culpabiliser les masses. Cette culpabilisation est extrêmement efficace lorsque l’on constate le degré d’humiliation qu’acceptent les Français et d’autres peuples européens, renonçant purement et simplement à leur propre identité, ou acceptant notamment un degré d’insécurité suicidaire entraîné par l’immigration massive et incontrôlée. Marine Le Pen et ses partisans le savent mieux que personne puisque c’est précisément sur ce sujet que l’on diabolise Jean-Marie Le Pen depuis 1987. Et c’est pour cette raison que la stratégie de dédiabolisation est très précisément une réaction à la propagande shoatique. Elle est une réponse imaginée, préméditée, programmée, planifiée, et entretenue tous les jours par Marine Le Pen et ses partisans. Alors qui est le plus obsédé finalement ? La différence entre vous et nous, c’est que nous avons une autre réponse à la propagande shoatique. Celle de la vérité, de l’intégrité, et du courage (notez que personnellement nous ne prétendons pas être spécialement courageux, nous parlons avant tout de personnes publiques comme Bruno Gollnisch qui dénonce l’emprisonnement des révisionnistes, de Jérôme Bourbon, et bien sûr de Vincent Reynouard, Robert Faurisson, Dieudonné ou le rappeur nationaliste Fasc). Et nous pensons également que ne pas riposter sur le fond à la propagande shoatique, c’est tout simplement ne pas riposter tout court. C’est un peu comme en escrime : s’évertuer à tenter d’éviter éternellement l’épée de l’adversaire, sans jamais soi-même tenter de le toucher, vous condamne fatalement à perdre la partie.
Mais revenons à notre défi. Nous ne voyons donc aucune raison pour vous de ne pas répondre, sauf si vous ne croyez pas à la shoah. Dans ce cas, c’est un autre débat qui s’engagerait quant à votre stratégie, que l’on pourrait alors nommer « stratégie de dissimulation ». Ce serait un débat sur les valeurs d’honnêteté et d’intégrité, vis-à-vis des principes eux-mêmes (pour ceux qui croient en Dieu ou en des principes de Vie) mais aussi vis-à-vis des militants et des Français en général, nous dirions même vis-à-vis de vos amis du Front National qui eux se sont engagés dans la voie de l’intégrité et du courage, et dont vous allez fatalement (si ce n’est déjà fait) vous séparer, par calcul politique. Ce sera également un débat sur la pertinence d’un prétendu réalisme politique, qui pour nous se révèlera, dans les faits, et même si vous ne le voyez pas aujourd’hui, un soutien éclatant au système et non une opposition résolue à ce dernier. Peut-on en effet sortir vainqueur d’un pacte avec le diable ? Nous ne le pensons pas, sauf peut-être en étant plus diabolique que lui… Saddam Hussein en a montré un exemple, lui qui a fini par être déchû puis assassiné par ceux-là même avec qui il avait pactisé, sûrement pas par conviction, comme vous, mais dans l’espoir d’être plus malin et d’en sortir vainqueur. Quelle erreur… Ce qui fait la force de Dieu contre le Diable, c’est qu’il est justement intègre et droit. Mais nous y reviendrons plus tard, si vous ne nous donniez pas de preuve de l’existence de la shoah.
Nous vous remercions de nous avoir lus, et espérons vous avoir convaincus de notre sincérité et de notre volonté à oeuvrer au relèvement de la France et de tous les peuples accablés par l’ignoble mensonge de la shoah.
Et nous vous remercions également, et surtout, par avance de l’intérêt que vous pourrez porter à ce défi, qui selon nous soulève de toute évidence une question fondamentale avant le congrès du Front National. Pour ne plus se perdre dans le brouillard des idées floues, pour ne plus stagner ni régresser, pour libérer et épanouir pleinement les forces militantes des deux courants, encore une fois, merci d’avance.
Nous vous souhaitons une bonne campagne.
Le blog « Liberté Vérité ».
Note aux lecteurs de notre courant de pensée : ce défi que nous proposons à Marine Le Pen et ses partisans nous semblent de la plus grande importance. Ceux qui souhaiteraient le reprendre sont donc les bienvenus. Ils peuvent le retravailler à leur guise pour éviter le couperet de la loi Gayssot, en citant ou en ne citant pas la source. Même si bien évidemment un petit lien nous permettrait de faire connaître ce blog, ou alors la mention « blog « Liberté Vérité » » sans indiquer de lien. A vous de choisir.
Source : http://liberteverite.wordpress.com/2010/12/01/defi-a-marine-le-pen-et-a-ses-partisans/