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Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Mech- Nombre de messages : 695
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- Message n°51
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Le bois raméal fragmenté.
Invité- Invité
- Message n°52
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Moi qui cherchait des livres complets sur la permaculture, je pense avoir trouvé se qu'il me fallait !!
J’espère arrivé à quitter mon appart' pour l'été prochain et commencer à me créer un petit paradis, une petite permaculture, qui est à mon sens l'attitude la plus sensé que nous puissions avoir pour contrer l’illogisme de l'évolution actuelle. Respect de la nature, respect des autres, de soi, boycotte, autonomie, partage ... le tout en un !!
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t7867-cultures-en-transition
Et ça c'est que du bonheur !!
Merci pour tout les liens, reste plus qu'à
http://verslautonomie.files.wordpress.com/2012/03/permaculture-1-gp.pdf
http://verslautonomie.files.wordpress.com/2012/03/permaculture-2-gp.pdf
J’espère arrivé à quitter mon appart' pour l'été prochain et commencer à me créer un petit paradis, une petite permaculture, qui est à mon sens l'attitude la plus sensé que nous puissions avoir pour contrer l’illogisme de l'évolution actuelle. Respect de la nature, respect des autres, de soi, boycotte, autonomie, partage ... le tout en un !!
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t7867-cultures-en-transition
Et ça c'est que du bonheur !!
Merci pour tout les liens, reste plus qu'à
Invité- Invité
- Message n°53
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Perrine Hervé-Gruyer - Pourquoi je suis redevenue paysanne
La Ferme du Bec Hellouin
Reportage Comment dépenser mieux : l'alimentation.
Perrine Hervé-Gruyer vit comme elle respire, au grand air, les mains dans les champs. Elle vient nous parler d'agriculture et de jardin, de pensée systémique et de permaculture.
Après un parcours de juriste internationale, Perrine Hervé-Gruyer crée, avec son mari Charles, la Ferme biologique du Bec Hellouin (Eure), en 2003. Paysanne, spécialiste de permaculture, Perrine a largement dépassé son objectif premier qui était de nourrir leurs quatre filles avec des produits sains, issus du travail de leurs mains. Selon elle, chacun de nous a un jardin à cultiver.
La Ferme du Bec Hellouin
Reportage Comment dépenser mieux : l'alimentation.
Bardamu- Admin
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- Message n°54
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Merci pour les vidéos Mech et Ironique
Aidez Richard Wallner à obtenir l'autorisation de construire sa ferme écologique Au Petit Colibri.
Lien vers la pétition : Petition pour sauver le projet de Richard Wallner
Lorsqu'en 2005 Richard Wallner lance son projet de ferme écologique "Au Petit Colibri" sur des terres constructibles à Marsac en Charente, toutes les conditions sont réunies pour que ce projet d'agriculture durable, salué par le département et la région, soit un véritable succès pour sa commune et au-delà. Pourtant en 2008, la mairie décide d'interdire sa construction, contre l'avis des services d'État et malgré les 3 années d'activités de Richard. Depuis, Richard vit au milieu de ses terres, en se demandant quel pourra être l'avenir de sa ferme.
Pour mieux comprendre :
Sur ses 9 hectares de terres, Richard veut construire une ferme, c'est à dire son habitation et les bâtiments de stockage nécessaires sur place à un système de polyculture-élevage très diversifié (légumes, fruits, oeufs, céréales, miel, etc.), incluant une vente locale directement aux consommateurs et de la transformation (pain, jus,...). De nombreux experts agricoles (*), collectivités (**) et responsables politiques (dont l'actuelle ministre du Logement Cécile Duflot, venue sur place - vidéo), saluent le travail de Richard et soutiennent son projet.
Mais Jean-Marie Acquier, maire de Marsac, également agriculteur, ne reconnaît pas le caractère agricole de ce projet de petite ferme (interview vidéo). Malgré l'installation en cours de Richard et l'intervention argumentée des services de l'État***, la mairie choisit de déclasser le terrain en zone naturelle, le rendant inconstructible, et prévoit également l'installation d'une station d'épuration au bord du terrain sans accepter de ménager une distance suffisante pour éviter d'imposer de nouvelles contraintes réglementaires à Richard.
Pourtant, Richard est plein de bonne volonté; il n'a jamais baissé les bras et n'a eu de cesse de rechercher à concilier les intérêts de chacun. Il souhaite simplement vivre sa vie et mener son projet de ferme, que je trouve cohérent avec les besoins agricoles de demain. Il s'apprête donc à déposer de nouveaux plans de construction qui respectent les contraintes de la mairie, dont le projet de station d'épuration, malgré l'important surcoût que cela induira, l'abandon d'une partie du travail déjà réalisé (buttes de culture, grillage à poule, etc.), et la nécessité de réinventer l'organisation de ses bâtiments et de ses cultures. En retour, tout ce que Richard demande c'est que la mairie classe les 6 hectares non inondables de son terrain en zone agricole - comme l'a demandé le commissaire enquêteur*** du projet d'urbanisme de la mairie, accepte ses nouveaux plans et fournisse l'approvisionnement en eau et en électricité pour sa ferme.
Voici mon appel :
Pour parvenir à convaincre la mairie qui ne veut rien céder depuis 7 ans, Richard a besoin d'une médiation de la part de la préfecture de Charente. Nos milliers de signatures et messages de soutien que je transmettrai personnellement à Mme la préfète de Charente et à M. le maire sont aujourd'hui plus que jamais essentiels... car il est temps d'agir pour que la ferme "Au Petit Colibri" puisse enfin voir le jour !
Merci de diffuser à tous vos amis. Ensemble, sauvons le Petit Colibri.
Françoise Coutant : Vice-Présidente du Conseil Régional de Poitou-Charentes
Approfondir :
Pour connaître le projet innovant de ferme écologique de Richard (agriculture naturelle et conception permaculturelle) :
son site internet
la vidéo de présentation de ses cultures (20 min)
Source : info reçue par mail
Aidez Richard Wallner à obtenir l'autorisation de construire sa ferme écologique Au Petit Colibri.
Lien vers la pétition : Petition pour sauver le projet de Richard Wallner
Lorsqu'en 2005 Richard Wallner lance son projet de ferme écologique "Au Petit Colibri" sur des terres constructibles à Marsac en Charente, toutes les conditions sont réunies pour que ce projet d'agriculture durable, salué par le département et la région, soit un véritable succès pour sa commune et au-delà. Pourtant en 2008, la mairie décide d'interdire sa construction, contre l'avis des services d'État et malgré les 3 années d'activités de Richard. Depuis, Richard vit au milieu de ses terres, en se demandant quel pourra être l'avenir de sa ferme.
Pour mieux comprendre :
Sur ses 9 hectares de terres, Richard veut construire une ferme, c'est à dire son habitation et les bâtiments de stockage nécessaires sur place à un système de polyculture-élevage très diversifié (légumes, fruits, oeufs, céréales, miel, etc.), incluant une vente locale directement aux consommateurs et de la transformation (pain, jus,...). De nombreux experts agricoles (*), collectivités (**) et responsables politiques (dont l'actuelle ministre du Logement Cécile Duflot, venue sur place - vidéo), saluent le travail de Richard et soutiennent son projet.
Mais Jean-Marie Acquier, maire de Marsac, également agriculteur, ne reconnaît pas le caractère agricole de ce projet de petite ferme (interview vidéo). Malgré l'installation en cours de Richard et l'intervention argumentée des services de l'État***, la mairie choisit de déclasser le terrain en zone naturelle, le rendant inconstructible, et prévoit également l'installation d'une station d'épuration au bord du terrain sans accepter de ménager une distance suffisante pour éviter d'imposer de nouvelles contraintes réglementaires à Richard.
Pourtant, Richard est plein de bonne volonté; il n'a jamais baissé les bras et n'a eu de cesse de rechercher à concilier les intérêts de chacun. Il souhaite simplement vivre sa vie et mener son projet de ferme, que je trouve cohérent avec les besoins agricoles de demain. Il s'apprête donc à déposer de nouveaux plans de construction qui respectent les contraintes de la mairie, dont le projet de station d'épuration, malgré l'important surcoût que cela induira, l'abandon d'une partie du travail déjà réalisé (buttes de culture, grillage à poule, etc.), et la nécessité de réinventer l'organisation de ses bâtiments et de ses cultures. En retour, tout ce que Richard demande c'est que la mairie classe les 6 hectares non inondables de son terrain en zone agricole - comme l'a demandé le commissaire enquêteur*** du projet d'urbanisme de la mairie, accepte ses nouveaux plans et fournisse l'approvisionnement en eau et en électricité pour sa ferme.
Voici mon appel :
Pour parvenir à convaincre la mairie qui ne veut rien céder depuis 7 ans, Richard a besoin d'une médiation de la part de la préfecture de Charente. Nos milliers de signatures et messages de soutien que je transmettrai personnellement à Mme la préfète de Charente et à M. le maire sont aujourd'hui plus que jamais essentiels... car il est temps d'agir pour que la ferme "Au Petit Colibri" puisse enfin voir le jour !
Merci de diffuser à tous vos amis. Ensemble, sauvons le Petit Colibri.
Françoise Coutant : Vice-Présidente du Conseil Régional de Poitou-Charentes
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Pour connaître le projet innovant de ferme écologique de Richard (agriculture naturelle et conception permaculturelle) :
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la vidéo de présentation de ses cultures (20 min)
Source : info reçue par mail
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Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
Invité- Invité
- Message n°55
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Merci de diffuser à tous vos amis. Ensemble, sauvons le Petit Colibri.
L’histoire du petit colibri :
« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt.
Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre.
Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec pour les jeter sur le feu.
Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui a dit :
« Colibri ! Tu n’es pas fou ! Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ?! »
Le colibri lui a répondu alors :
« Je le sais, mais je fais ma part ».
Bardamu- Admin
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- Message n°56
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Extra ! Les grands esprits se rencontrent Voici le texte envoyé à mes contacts vers cette pétition :
Salut ;-)
On veut assassiner un p'tit colibri !!! Si, si !!! Celui de la parabole qui s'évertue à vouloir éteindre un incendie de forêt (l'agriculture intensive tueuse des sols et des sous-sols) en y déversant quelques gouttes d'eau avec son bec (la permaculture respectueuse en tout).
Merci d'avance pour votre soutien...
Un fan du p'tit colibri ;-)
Petition !!!
Salut ;-)
On veut assassiner un p'tit colibri !!! Si, si !!! Celui de la parabole qui s'évertue à vouloir éteindre un incendie de forêt (l'agriculture intensive tueuse des sols et des sous-sols) en y déversant quelques gouttes d'eau avec son bec (la permaculture respectueuse en tout).
Merci d'avance pour votre soutien...
Un fan du p'tit colibri ;-)
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Invité- Invité
- Message n°57
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Australie, Nouvelle Galles du Sud. Un endroit qui a vu les communautés alternatives fleurir dans les années 70. Aujourd'hui, Lismore est une ville en transition, c'est-à-dire une ville où une communauté d'acteurs s'organise pour penser et se préparer à la raréfaction des énergies fossiles.
Wadzy, un membre actif du changement, a fait de la permaculture son métier. Il milite pour une plus grande autonomie des citoyens en termes de ressources alimentaires, d'eau et d'énergie. Venez découvrir les opportunités qu'offre la permaculture pour améliorer la qualité de vie en milieu urbain...
http://enviroulemonde.fr
Mech- Nombre de messages : 695
Age : 42
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 05/08/2009
- Message n°58
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Un site qui en dit long sur le jardinage, comment planter, préparer sa terre et jardiner avec la lune, ..... et bien plus encore.
à éplucher pour le bien être de chacun.
http://www.rustica.fr/
Quelques exemples:
Comprendre les influences lunaires sur les cultures
52 gestes responsables ... et beaucoup plus
Leçon de météo
Cultivez les champignons chez soi
à éplucher pour le bien être de chacun.
http://www.rustica.fr/
Quelques exemples:
Comprendre les influences lunaires sur les cultures
52 gestes responsables ... et beaucoup plus
Leçon de météo
Cultivez les champignons chez soi
hildegarde von b- Nombre de messages : 370
Date d'inscription : 01/03/2010
- Message n°59
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Un autre jardin extraordinaire !
dans le même esprit :
dans le même esprit :
Dernière édition par Bardamu le 8/1/2013, 22:23, édité 1 fois (Raison : vidéos en streaming)
Invité- Invité
- Message n°60
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Homme passionné, Charles Hervé-Gruyer avec sa femme Perrine ont créé La ferme Biologique du Bec Hellouin, dans l’Eure en Normandie.
Cet Eco-centre dispense des formations pour ceux qui veulent découvrir cette véritable aventure humaine et école de la nature.
Voyageur et ouvert d’esprit, il découvre les techniques de part les différents pays qu’il visite.
Aujourd’hui, principal animateur de son Eco-centre, Charles Hervé-Gruyer utilise et met en place avec sa famille, les procédés essentiels et fondamentaux de la permaculture, ainsi que de nouvelles techniques expérimentales et novatrices.
M Hervé-Gruyer a des choses intéressantes à nous faire partager dans cet interview audio du 28 Octobre 2012 à France culture.
Une interview réalisée par Alain Kruger dans l’émission « On ne parle pas la bouche pleine ».
http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-ferme-permaculturelle-16248.html
Cet Eco-centre dispense des formations pour ceux qui veulent découvrir cette véritable aventure humaine et école de la nature.
Voyageur et ouvert d’esprit, il découvre les techniques de part les différents pays qu’il visite.
Aujourd’hui, principal animateur de son Eco-centre, Charles Hervé-Gruyer utilise et met en place avec sa famille, les procédés essentiels et fondamentaux de la permaculture, ainsi que de nouvelles techniques expérimentales et novatrices.
M Hervé-Gruyer a des choses intéressantes à nous faire partager dans cet interview audio du 28 Octobre 2012 à France culture.
Une interview réalisée par Alain Kruger dans l’émission « On ne parle pas la bouche pleine ».
http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-ferme-permaculturelle-16248.html
Bardamu- Admin
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Date d'inscription : 01/07/2008
- Message n°61
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Permaculture. La Alberca (retenue d'eau)
"Alberca" de l'arabo-espagnol.
Plus généralement, le terme "alberca" désigne une retenue d'eau, une citerne, un bassin (en arabe : al-birkah), en forme d´étang pour stocker de l´eau, principalement destinée à l'arrosage.
Dans ce site l´eau peut s´avérer envahissante ou manquante, pour parer à ces éventualités nous devons canaliser et stocker l´eau!
Pour ce faire on a commencé par pierrer le fond dans un premier temps, sur un trou déjà existant, creusé dans la terre ou une vase s´y était deposee. La vase donnant une bonne étanchéité (Permaculture). Cette retenue avait pas mal de fuites, formée par les trous des rats d´eau). Nous ne voulions pas l'étanchéité par des plastiques, cela aurait changer le biotope du site, alors que la nature nous offre généreusement pierres, terre argileuse et eau. Mais il ne faut pas avoir peur de faire des efforts, quelques bras supplémentaires auraient été d´un bon secours...nous l´avons réalisé à deux. en un mois et demi environ, moyenne de 4hrs jrs.
Cette terre minérale argileuse mélangée à l´eau forme un mortier (10 cm) qui agit comme une vraie "colle" en même temps qu'elle étanchéise et les pierre posées dessus maintien ce mortier. Il faut bien prendre soin de faire toucher et caler les pierres entre-elles pour que le tout tienne au cas où l´eau lessiverait la terre des joints. Par chance on avait tout près un bon tas de cette terre qui nous a bien servi pour faire le mortier sur place.
Nous avons commencé par prendre les pierres en les déchaussant de l´ancien mur délimitant le terrain, du coup ça nous a laissé une tranchée toute prête pour canaliser le trop plein de l´alberca.
Les pierres du mur étant insuffisantes, nous partions régulièrement â la "chasse" de pierres sur les chemins des alentours et les transportions dans la voiture...d´ou la nécessité notre 4X4, un vieux Toy, qui nous est indispensable pour le transport de matériaux de toute sorte et pour arpenter en tout temps les chemins ruraux des alentours (tant pis pour les anti 4x4).
On a fait l´intérieur de l´alberca concave, pour éviter que la pression fasse éclater les parois latérales (pression de l´eau). Sous le mur frontal se trouve la bonde d´évacuation relié à un tuyau (+ de 30 cm) avec robinet, pour nous permettre d´arroser le terrain en contrebas.
Music:
1°er-Music Oriental / Rabih Abou Kalil / Yara /Blint el Bahr
2°éme-Music Oriental / Moderne-Bass / Renaud Garcia-Fons-Oryssa
Plein de conseils pratiques dans cette vidéo pour comprendre le pourquoi et le comment avant de se lancer dans un projet de ce genre :
Permaculture - Phytoépuration - Gestion écologique des eaux usées
Principes permaculturels de base de gestion de l'eau et rudiment de phytoépuration.
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nonwo- Nombre de messages : 1006
Localisation : rue cache cache numero macache
Date d'inscription : 26/09/2010
- Message n°62
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Merci Bardamu pour ce trésor , en effet l'eau est d'une importance capitale et gageons que la récupération et la gestion de l'eau sera le Problème n°1 de ce siècle.
Toutes les solutions artisanales sont les bienvenues.
Toutes les solutions artisanales sont les bienvenues.
Bardamu- Admin
- Nombre de messages : 6272
Age : 66
Date d'inscription : 01/07/2008
- Message n°63
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Toute activité d'autonomie est un acte de légitime résistance
Désormais, la plus haute, la plus belle performance que devra réaliser l'humanité sera de répondre à ses besoins vitaux avec les moyens les plus simples et les plus sains. Cultiver son jardin ou s'adonner à n'importe quelle activité créatrice d'autonomie sera considéré comme un acte politique , un acte de légitime résistance à la dépendance et à l'asservissement de la personne humaine.
(Pierre Rabhi)
Merci pour ton enthousiasme Nonwo
http://au-bout-de-la-route.blogspot.fr/2013/02/toute-activite-dautonomie-est-un-acte.html
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Invité- Invité
- Message n°64
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
En plus grand ici > http://2.bp.blogspot.com/-M3-b5soBmAg/UUNH244R8DI/AAAAAAAA_OI/jXGggDm_FDo/s1600/semences-miel-abeilles.jpg
nex- Modérateur
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Date d'inscription : 23/08/2008
- Message n°65
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Interview de Bill Mollison,
l'un des "précurseurs" de la permaculture
l'un des "précurseurs" de la permaculture
La permaculture : une révolution tranquille
Traduction Hélios du http://bistrobarblog.blogspot.fr
Mercredi 27 mars 2013
Par Scott London
Bill Mollison se nomme lui-même biologiste de terrain et enseignant itinérant. Mais il serait plus juste de le décrire comme un précurseur. Quand il publia Permaculture One en 1978, il lança un mouvement international sur l'utilisation des terres que beaucoup considérèrent comme subversif et même révolutionnaire.
La permaculture – tiré de permanent et agriculture – est une philosophie d'intégration qui inclut le jardinage, l'architecture, l'horticulture, l'écologie, et même la gestion financière et la conception d'une communauté. L'approche basique est de créer des systèmes durables qui s'auto-suffisent et recyclent leurs déchets.
Mollison a développé la permaculture après avoir passé des dizaines d'années à étudier les écosystèmes des forêts tropicales et des déserts australiens. Il observa que les plantes se regroupent d'elles-mêmes naturellement dans des communautés mutuellement bénéfiques. Il utilisa cette idée pour développer une approche différente de l'agriculture et la création de communautés, en cherchant à mettre ensemble les bons éléments pour qu'ils durent et se soutiennent mutuellement.
Ses idées se sont aujourd'hui répandues et ont pris racine dans presque tous les pays du globe. La permaculture est maintenant pratiquée dans les forêts tropicales d'Amérique du sud, dans le désert du Kalahari, dans la partie nordique de la Scandinavie et dans des communautés un peu partout en Amérique du nord. Au Nouveau-Mexique, par exemple, des agriculteurs ont utilisé la permaculture pour transformer des parcelles au sol compacté en luxuriants jardins et vergers sans aucune utilisation de machines. À Davis, en Californie, une communauté utilise les eaux usées des douches et du lavage de linge comme chasses d'eau et pour irriguer les jardins. À Toronto, une équipe d'architectes a créé un modèle de maison réaffectée qui n'exploite pas l'eau de la ville ou une infrastructure pour les eaux usées et qui ne revient qu'à quelques centaines de dollars par an de fonctionnement.
Alors que Mollison est toujours inconnu de la plupart des américains, il est une icône nationale aux antipodes. Il a été nommé "Homme de l'Année" en Australie et il reçut en 1981 une prestigieuse récompense, le Right Livelihood Award, connue aussi sous le nom de Prix Nobel Alternatif, pour son travail de création et de promotion de la permaculture.
J'ai passé un moment avec lui pour discuter de son concept philosophique innovateur. Nous nous sommes rencontrés à Santa Barbara sur deux après-midi coïncidant avec ses deux semaines de cours intensifs qu'il y donne chaque année . Homme râblé et rond à la barbe blanche et au grand sourire, c'est l'une des personnes les plus affables et les plus gentilles que j'ai rencontré. Bavard invétéré, il semble trouver une histoire – ou une bonne blague – à chaque occasion. Ses commentaires sont souvent accompagnés d'éclats de rires contagieux.
Scott London (SL) : Un critique a un jour qualifié votre enseignement de "séditieux".
Bill Mollison (BM) : Oui, c'était très perspicace. J'enseigne l'autonomie, la pratique la plus subversive au monde. J'apprends aux gens comment produire leur propre nourriture, ce qui est incroyablement subversif. Donc, oui, c'est séditieux. Mais c'est une sédition pacifique.
SL : Quand avez-vous commencé à enseigner la permaculture ?
BM : Je me suis rendu compte au début des années 70 que personne n'avait mis de projet en pratique pour l'agriculture. En le réalisant, j'en ai eu la chair de poule. C'était si étrange. L'agriculture existait depuis 7000 ans et nous étions en train de la perdre depuis 7000 ans – tout se transformait en désert. Je me suis donc demandé si nous pouvions construire des systèmes qui obéissent à des principes écologiques. Nous les connaissons, il n'y a qu'à les appliquer. Les écologistes n'appliquent jamais une bonne écologie pour leurs jardins. Les architectes ne comprennent jamais la transmission de la chaleur dans les bâtiments. Et les physiciens vivent dans des maisons avec des systèmes d'énergie déments. Il est curieux que nous n'appliquions jamais ce que nous connaissons dans notre manière de vivre.
SL : Cela fait penser à nos problèmes environnementaux actuels.
BM : Oui. Je me souviens du rapport du Club de Rome en 1967 qui disait que la détérioration de l'environnement était inévitable en raison de la croissance de la population et de la surconsommation des ressources. Après l'avoir lu, j'ai pensé, "Les gens sont si stupides et si destructeurs – nous ne pouvons rien faire pour eux". Je me suis donc retiré de la société. Je pensais partir quelque part et m'asseoir sur une colline et regarder la société s'effondrer.
L'éthique est simple : prendre soin de la terre, prendre soin des gens et se réapproprier ces objectifs.
Il m'a fallu environ trois semaines avant de comprendre que je devais revenir et me battre. [rires] Vous savez, il faut d'abord partir pour avoir envie de revenir.
SL : Est-ce à ce moment-là qu'est née l'idée de la permaculture ?
BM : Cela remonte en réalité à 1959. J'étais dans une forêt tropicale de Tasmanie à étudier l'interaction entre la manière de s'alimenter des marsupiaux et la régénération de la forêt. Nous n'avions pas eu beaucoup de succès avec une grande population de marsupiaux. J'ai donc créé un système simple avec 23 espèces de plantes ligneuses, dont quatre seulement étaient dominantes, et seulement deux que broutaient les marsupiaux. C'était un système très flexible basé sur les interactions des composants, et non sur les types d'espèces. Il me vint à l'esprit un soir que nous pouvions construire des systèmes qui fonctionneraient mieux que celui-là.
Ce fut une révélation remarquable. Il n'arrive pas si souvent dans notre vie – une fois tous les dix ans peut-être – d'avoir une révélation. Si vous êtes un aborigène, cela définit votre âge. On n'a qu'une révélation à chaque âge, peu importe votre âge chronologique. Avec de la chance, on a trois bonnes révélations par vie.
Comme j'étais éducateur, j'ai réalisé que si je ne l'enseignais pas, cela n'aboutirait à rien. J'ai donc démarré à concevoir des instructions basées sur la connaissance passive et j'ai écrit un livre à ce sujet appelé Permaculture One. À ma grande horreur, tout le monde s'y est intéressé. [rires] J'ai reçu des milliers de lettres disant, "Vous avez mis en mots quelque chose que j'avais en tête depuis des années," et "Vous avez mis quelque chose entre mes mains que je peux utiliser".
SL : La permaculture est basée sur des principes et des recherches scientifiques. Mais il me semble qu'elle touche aussi la sagesse populaire traditionnelle et autochtone.
BM : Hé bien, si je vais voir une vieille dame en Grèce dans sa vigne et lui demande, "Pourquoi avez-vous planté des rosiers parmi les pieds de vigne ?" elle me dira, "Parce que les roses sont les médecins de la vigne. Si vous ne plantez pas de rosiers, les raisins tombent malades." Cela ne va pas me dire grand-chose. Mais si je peux découvrir que les rosiers exsudent une certaine chimie par leurs racines qui est récupérée par la racine de la vigne qui à son tour repousse les mouches blanches (ce qui est la manière scientifique de dire la même chose), j'ai alors quelque chose de très utile.
La connaissance traditionnelle est toujours de cette nature. Je connais un homme aux Philippines qui plante toujours un piment et quatre haricots dans le même trou au pied des bananiers. Je lui ai demandé, "Pourquoi plantez-vous un piment avec le bananier ?" Et il a dit, "Ne saviez-vous pas qu'il faut toujours planter ces choses ensemble ?" Hé bien, j'ai découvert que les haricots fixent l'azote et que le piment empêche les scarabées d'attaquer la racine du bananier. Et cela fonctionne très bien.
SL : Vous avez introduit la permaculture dans des endroits qui dépendent toujours de pratiques agricoles traditionnelles. Ont-ils été réceptifs à vos idées ?
BM : J'ai une manière très rusée d'approcher les peuples tribaux indigènes. Par exemple, je vais aller en plein centre du désert, où tout le monde meurt à moitié de faim et vais dire," Je me demande si je peux vous aider". Et je vais mentir et dire, "Je ne sais pas comment faire ceci?" Et ils disent, "Oh, venez, nous allons nous en occuper". Quand c'est prêt à être fait, ils vont le faire eux-mêmes.
Je me souviens être retourné dans une école que nous avions démarré au Zimbabwe. C'est tout vert et il y a plein de nourriture autour. La température de la classe est contrôlée. Je leur ai demandé, "Qui a fait cela ?" Ils ont dit, "C'est nous !" Quand les gens font les choses par eux-mêmes, ils en sont fiers.
SL : Pour beaucoup de gens – particulièrement les tribus indigènes – la notion de pouvoir faire pousser sa propre nourriture est révolutionnaire.
BM : Quand on grandit dans un monde où il n'y a que très peu d'effet sur la terre, on ne pense pas à créer des ressources pour soi-même. Ce qui tombe sur le sol, on le mange. Et la quantité est gouvernée par ce qui tombe sur le sol. La permaculture permet de penser différemment, parce qu'on peut produire tout ce dont on a besoin très facilement.
Par exemple, les bushmen du Kalahari ont un haricot indigène appelé haricot morama. C'est une vivace qui pousse sous terre et sort quand il pleut. Ils avaient l'habitude d'aller les ramasser. Mais après qu'ils aient été chassés de leurs terres pour construire des espaces de jeux et des parcs naturels, le haricot morama devint difficile à trouver. Je leur ai demandé, "Pourquoi ne les plantez-vous pas ici ?" Ils ont répondu, "Pensez-vous que c'est possible ?" Nous avons donc planté les haricots dans leurs jardins. Jusqu'à ce moment-là, ils n'avaient jamais pensé réellement à planter quelque chose. Cela les a stupéfait de pouvoir vraiment le faire.
Il s'est passé la même chose avec l'arbre mongongo qui pousse au somment des dunes de sable. Ils n'avaient jamais vraiment déplacé l'arbre d'une dune à l'autre. Mais je suis venu et j'ai coupé une branche de l'arbre-mère et l'ai planté dans le sable. Il a commencé à sortir des feuilles et à produire des noix de mongongo. Ils plantent maintenant les arbres où ils le souhaitent.
SL : Vous avez un jour décrit l'agriculture technologique moderne comme une forme de "sorcellerie".
BM : Oui, c'est une sorte de sorcellerie. Aujourd'hui nous avons plus de scientifiques agronomes qu'à tout autre moment de l'histoire. Si vous mettez l'augmentation de scientifiques à côté de la perte de sol, vous voyez que plus il y en a, plus on perd de sol.
Je me souviens avoir vu en 1947 des soldats qui étaient rentrés de la guerre. Ils avaient ces petites cartouches en acier avec l’extrémité qu'on brise. Quand ils brisaient le bout, ils vaporisaient du DDT partout dans la pièce, ce qui fait qu'on ne voyait plus une seule mouche ou moustique – ou de chat. [rires] Après la guerre, ils ont commencé à utiliser ces produits chimiques dans l'agriculture. Les gaz utilisés par les nazis étaient maintenant employés pour l'agriculture. Les tanks furent transformés en charrues. Un élément qui explique l'immense élan des engrais artificiels c'est que l'industrie se préparait à produire des nitrates pour les explosifs. Puis ils découvrirent soudain qu'on pouvait en mettre dans les cultures et obtenir de super résultats.
SL : La révolution verte fut donc une sorte de guerre contre la terre, façon de parler.
BM : C'est juste. Les gouvernements soutiennent toujours ce type d'agriculture à hauteur d'environ 40 milliards de dollars chaque année. Rien de cela ne va encourager des systèmes alternatifs comme le bio ou l'agriculture qui amende les sols. Même la Chine adopte aujourd'hui une agriculture chimique moderne.
SL : Je me souviens de l'ancien économiste Robert Theobald qui me disait que si la Chine prend le chemin de l'occident, la donne pour l'environnement est terminée.
BM : J'ai entendu par hasard deux "eurocrates" à Vienne qui parlaient d'environnement. L'un d'eux disait, "Pour combien de temps pensez-vous que nous en ayons ?" L'autre a répondu, "Dix ans". Et le premier a dit, "Vous êtes optimiste". Je leur ai donc dit, "Si la Chine commence à construire des véhicules à moteur, nous gagnons deux ans".
SL : Quel est le genre de surconsommation qui vous ennuie le plus ?
BM : Je hais les pelouses. Dans notre subconscient, je pense que nous les haïssons tous, parce que nous en sommes esclaves. Imaginez les millions de gens qui se précipitent sur leurs tondeuses à gazon et tournent en rond tous les samedis et tous les dimanches.
Ils ont tous ces nouveaux sous-territoires en Australie qui font entre 100 et 500 m². On voit les gens rentrer chez eux du travail le vendredi, enfourcher leur tracteur tondeuse et tondre tout le week-end. Le lundi matin on peut traverser ces zones et voir la deuxième moitié de tonte qui attend le vendredi suivant. Comme des idiots nous passons tout notre temps libre à conduire ces machines de fous, à couper de l'herbe qui ne va faire que repousser la semaine suivante.
SL : La permaculture nous apprend comment utiliser la quantité minime d'énergie requise pour faire un travail.
BM : C'est exact. Chaque maison devrait surproduire de l'énergie et la vendre au réseau. Nous avons construit des villages entiers qui le font – où un ou deux bâtiments supportent des panneaux solaires pour six maisons et vendent le surplus au réseau. En 7 ans, vous pouvez rembourser toutes vos dépenses et fonctionner gratuitement. Ils utilisent la même idée au Danemark. Chaque village là-bas possède un moulin à vent qui peut alimenter jusqu'à 800 maisons.
SL : Le même principe s'applique probablement aussi à l'énergie humaine. J'ai remarqué que vous découragez le bêchage des jardins parce qu'il nécessite une énergie qui peut être mieux utilisée à d'autres choses.
BM : Hé bien, certains aiment bêcher. C'est un peu comme faire du vélo d'appartement dans sa chambre. Mais je préfère laisser le travail aux vers. Ils font un sacré boulot. J'ai créé des sols fantastiques simplement avec du mulch.(recouvrir le sol d'une couche de matériaux comme des feuilles mortes, du bois raméal fragmenté ou de la paille, par exemple, NdT)
SL : La permaculture s'applique-t-elle à ceux parmi nous qui habitons en ville ?
BM : Oui, il y a tout un passage dans le livre sur la permaculture urbaine. Quand je suis allé pour la première fois à New York, j'ai aidé à démarrer une petite ferme de plantes aromatiques. La terre y était très bon marché parce qu'il n'y avait ni électricité, ni eau, ni police et il y avait des tonnes de drogues. Cette petite ferme a produit de quoi alimenter 8 % de New York en plantes. Il y a aujourd'hui 1100 fermes citadines à New York.
SL : En dehors du démarrage d'une ferme, que pouvons-nous faire pour rendre nos villes plus autonomes ?
BM : Récupérez l'eau de vos toits. Cultivez votre nourriture. Fabriquez votre énergie. Tout cela est extrêmement facile à faire. Il vous faut moins de temps pour cultiver votre nourriture que d'aller au supermarché pour l'acheter. Demandez à n'importe quel jardinier qui utilise le mulch combien de temps il passe dans son jardin et il dira, "Oh, quelques minutes par semaine". Le temps de monter dans la voiture, d'aller au supermarché, de prendre votre caddy, d'attraper vos légumes et de rentrer à la maison, il s'est passé une bonne heure ou deux – et en plus vous avez dépensé beaucoup d'argent.
SL : Bien que la permaculture soit basée sur des principes scientifiques, elle semble avoir une dimension philosophique ou éthique très puissante.
BM : Il existe une dimension éthique parce que je pense que le science sans éthique est sociopathologique. Dire "J'appliquerai ce que je sais quel que soit le résultat" c'est ne prendre absolument aucune responsabilité de ses actes. Je ne veux pas être associé à cette sorte de science.
SL : Que pensez-vous avoir mis en route ?
BM : C'est une révolution. Mais c'est un genre de révolution que personne ne remarquera. On pourrait avoir un peu plus d'ombre. Les maisons pourraient mieux fonctionner. On pourrait avoir à gagner moins d'argent parce que la nourriture est là autour de nous et cela ne coûtera rien en énergie. Des quantités énormes d'argent pourraient être dégagées dans la société qui pourrait subvenir à bien plus de besoins.
C'est donc une révolution. Mais la permaculture est anti-politique. Il n'y a aucune place pour des hommes politiques ou des gestionnaires ou des prêtres. Et il n'y a pas de lois non plus. La seule éthique à laquelle on obéit est : prendre soin de la terre, prendre soin des gens, et se réapproprier ces objectifs.
Source: http://www.earth-heal.com/index.php/news/news/89-permaculture/737-mollison-quiet-revolution.html
Traduit par Hélios pour le BBB. http://bistrobarblog.blogspot.fr/2013/03/interview-de-bill-mollison-lun-des.html
Note : le livre Permaculture One (1) est téléchargeable en PDF: http://culture-populaire.eu/permaculture/index.php/ressources/documentation/Permaculture/Permaculture-1---Bill-Mollison-et-David-Holmgren/
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Saint Grégoire le Grand
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Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
L’éco-village Sieben Linden
(Sieben Linden signifie " sept tilleuls ")Sieben Linden est un écovillage situé dans l’est de l’Allemagne. Il rassemble 140 personnes, adultes et enfants. Les habitations sont écoconstruites, l’eau chaude est fournie par des panneaux solaires. Le chauffage des habitations et de l’eau se fait grâce au bois trouvé sur place ou par l’intermédiaire des panneaux solaires. L’eau vient du site lui même et, afin de ne pas polluer l’environnement, les eaux usées sont dépolluées grâce aux plantes avant d’être rejetées dans la nature. Les jardins potagers sont encouragés (et arrosés grace aux eaux dépolluées) et les habitations ont été construites en paille, bois et argile. D’ailleurs, cette approche a permis de reconnaître, pour la première fois en Allemagne, qu’il était possible d’avoir des habitats collectifs en paille.
Site en Allemand
Blog d'un couple qui y a séjourné
Trouvé sur http://au-bout-de-la-route.blogspot.fr
Mech- Nombre de messages : 695
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Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Le Manuel des jardiniers sans moyens part de la conviction que tout le monde peut jardiner, malgré l’absence d’expérience, de terrain ou de moyens financiers.
Cet ouvrage est complet : Absolument tout du strict nécessaire pour se lancer dans la production de ses propres légumes, sans argent, sans expérience et sans complexe.
Le manuel des jardiniers sans moyens
http://aquitainedecroissance.org/2013/03/18/le-manuel-des-jardiniers-sans-moyens/
Un petit manuel pour s'organiser via les décroissants Aquitaine sans moyens ni terres.
nex- Modérateur
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- Message n°68
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
- Autonomie en milieu nordique -
Ben Falk est un designer en permaculture établi à Moretown, dans le Vermont.
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Saint Grégoire le Grand
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Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Zineb Benramoune Iddrissi - Une ferme en permaculture
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Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
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- Message n°70
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Le jardin du marais (Yves Gillen)
Yves Gillen nous explique comment faire du jardinage sans retourner le sol.
Une petite vidéo bourrée de conseils faciles à suivre
Yves Gillen nous explique comment faire du jardinage sans retourner le sol.
Une petite vidéo bourrée de conseils faciles à suivre
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Mech- Nombre de messages : 695
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- Message n°71
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Un site / forum ou il est possible d'échanger des semences/graines et des conseils "gratuitement" histoire d'entretenir notre planète comme il se doit loin des monsanto et tout les barbars du genre ...
http://lesbrindherbes-100-racines.org/
et leur site d'info actualités
http://lesbrindherbes.org/
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http://lesbrindherbes.org/
nex- Modérateur
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- Message n°72
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Principes de permaculture en montagne dans le Morvan
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Saint Grégoire le Grand
nonwo- Nombre de messages : 1006
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- Message n°73
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Agriculture naturelle
Culture sur butte / Permaculture
Culture sur butte / Permaculture
nex- Modérateur
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- Message n°74
Re: Bioculture Biodiversité Permaculture & Jardinage : ressources et infos Internet diverses
Pour rester dans la culture sur buttes:
"Le Jardin du Graal"
"Le Jardin du Graal"
Ce filme a été conçu par Philip avec l'aide son ami Chris Lunch. C'était important pour Philip de décrire sa méthode de "jardinage abondante" avec ses propres mots. En plus d'expliquer cette méthode de création et entretien de buttes, pour la première fois il partage avec précision sa méthode de construction d'antennes (electroculture). Pourquoi le titre "Le Jardin du Graal"? Philip explique: "une claire voyante est venu un jour chez moi et m'a dit que le Graal est enterrer sous le grand mûrier au font de mon jardin. Le Graal était composé de plusieurs couches de différentes matières, c'est ce qui lui a donné son pouvoir magique, c'est aussi le cas dans mon jardin; de la terre, des arbres, encore de la terre et puis la couche végétale morte"
"Like" https://www.facebook.com/InsightShareUk & Aider a traduire ce filme et d'autre du mémé genre en autre langue / Help translate this and other permaculture films into other languages: http://tinyurl.com/permasub
This film message by an innovative gardener in France is rapidly becoming a legend among permaculture networks, who know him as the guy in shorts with incredibly big vegetables! With English subtitles he explains how he creates raised beds on top of rotting wood, important water saving tips and tricks and a fascinating explanation of the electro-culture techniques he uses. His approach is inspirational and needs to be spread far and wide
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Saint Grégoire le Grand
debackeredan- Nombre de messages : 18
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- Message n°75
voici un lien intéressant pour la permaculture
bonjour à tous voici un lien pdf pour télécharger les conseils en pdf des fraternités Ouvriéres de Mouscron conseil de GILBERT CARDON bon courage à tous
http://dl.free.fr/idYe8jiL9
http://dl.free.fr/idYe8jiL9
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