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    Seul le christianisme a rendu sa dignité à la femme

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    Message  Invité 14/5/2013, 09:35

    Seul le christianisme a rendu sa dignité à la femme !

    Le freudisme, ou psychanalyse, constitue la matérialisation intégrale de la psychologie telle que nous l’enseigne la scolastique.

    Seul le christianisme a rendu sa dignité à la femme  Femme10

    Son initiateur et prophète est le Juif Sigmund Freud, qui a voulu ramener à l’instinct sexuel toutes les activités conscientes ou inconscientes de l’homme. Pour Freud, ce n’est plus le cerveau ni le cœur qui sont responsables de nos pensées ou nos actes, c’est le sexe.

    Intelligence et sentiment sont subordonnés à une fonction animale, tête et poitrine sont soumises au ventre ! En nos temps modernes où l’Erreur est gobée d’autant plus vite qu’elle est grossière, il n‘en fallait pas plus pour que Freud fût proclamé demi-dieu, et que son sophisme fût érigé en système "scientifique". C’est à ce système qu’il faut remonter pour trouver la principale source de paganisme, d’immoralité et de criminalité qui déferlent aujourd’hui sur notre monde. Car, avant de se répercuter jusqu’au bas de l’échelle sociale, par la voie des publications populaires, livres de vulgarisation, "comics", etc…, le freudisme avait été ingurgité par la tête même du corps social : universités, académies, moralistes, sociologues et juristes.

    Ce qui distingue le plus le christianisme de toutes les théories religieuses de tous les temps, et cela d’une façon saisissante, c’est sa moralité sexuelle. De toutes les religions dont l’histoire fasse mention, aucune, dans son éthique, n’a plus exalté la virginité et n’a attaché plus de prix à la chasteté, considérée comme vertu héroïque de victoire sur soi-même et de renoncement. Jamais, en même temps, plus que l’Eglise, une institution religieuse n’a accordé un plus émouvant respect et une plus grande vénération au mariage et à l’amour des époux qu’elle compare à sa propre union avec le Christ. C’est ce qui fait, plus que toute autre chose, la différence entre la civilisation chrétienne et celle qui l’a précédée, la civilisation olympienne ou gréco-latine, porteuse des aberrations et immoralités que lui avaient légué tous les paganismes précédents.

    C’est pourquoi il n’est pas possible de trouver, comme s’entêtent à le faire les historiens matérialistes, de lien éthique ou moral entre la civilisation de la Rome païenne et celle de la Rome chrétienne. Car, entre toutes les données théologo-morales de l’antiquité, de Rome autant que d’ailleurs, et le Sermon sur la Montagne, il y a un abîme sur lequel il n’est pas possible d’établir un pont de liaison. Ces données religieuses sont d’une extrême importance puisqu’elles fournissent le fondement de la moralité publique et sa législation dans chaque civilisation.

    Aux deux époques les plus avancées de la civilisation olympienne, les époques classiques d’Athènes et de Rome, florissait une moralité que le christianisme ne saurait qualifier que de dépravation. Le grand "sage" Solon n’érigea-t-il pas la prostitution à hauteur d’un culte religieux et d’un service gouvernemental ? A même les fonds publics, il construisit les dictéria, temples de prostitution, et acheta des filles esclaves (dictériades) qui, devenues fonctionnaires d’Etat, devaient satisfaire aux caprices du tout venant. Et tout cela en l’honneur de la "divinité"! Il fit de l’adultère un service public et une source de revenus. Il encouragea les orgies bacchanaliennes, reflux de la Babylone ultra-méditerranéenne où, au moins une fois l’an, toute femme du pays devait se prostituer au premier venu.

    C’est dans la même Babylone que se pervertirent les porteurs du mosaïsme, que naquit le Talmud avec sa kabbale, ses sortilèges, sa nécromancie, ses évocations démoniaques, son pré-manichéisme, ancrés si profondément chez les élites juives que le Sauveur des hommes, lorsqu’il dut les apprécier et les juger pour toujours (pharisiens, sadducéens, scribes, etc.), proféra contre eux des termes si violents et si durs que personne encore n’a osé qualifier ainsi des êtres humains.

    Au-dessus des dictériades, simples fonctionnaires-esclaves, la civilisation olympienne produisit les aulétrides, joueuses de flûte et nudistes dont la perversion, dont les danses d’une indescriptible immoralité (revenues timidement aujourd’hui sous le nom de "strip-tease" ou "spécialité de spectacle de nuit"), feraient fortune en nos temps modernes sans nécessité d’être sous les auspices de Vénus Péribasia ; non plus que les horreurs perpétrées sous le patronage d’Isis en Egypte ou de Vénus Mylitta en Assyrie et dont Hérodote, s’il vivait encore, trouverait autant de reflets en notre Occident contemporain qu’il en avait trouvés dans le monde gréco-latin.

    Au-dessus des aulétrides, il y avait les hétaïres, ces prostituées de luxe qui se piquaient d’intellectualisme, servaient de propagandistes aux écrivains et artistes illustres, roulaient chariot sculpté et trônaient dans les portiques et les académies. Les grands "sages" avaient chacun la leur ou se partageaient la même à trois ou quatre, tels Platon, Socrate, Aristote, Alcibiade, Périclès, Thémistode, le tyran dégénéré Pythagore, les grands tragédiens, acteurs sculpteurs et chefs politiques.

    Lorsque Aristophane écrivit "Les Nuages", ce fut comme pamphlet pour provoquer le procès et la condamnation de Socrate, parce que ce dernier n’avait pas voulu lui partager, comme avec tant d’autres, les faveurs de son hétaïre Aspasie ; c’est ainsi que d’une querelle pour une prostituée d’une lubricité peu commune, la légende déguisée en Histoire a fait monter l’immoral et sodomite Socrate sur un semblant de Golgotha.

    Tous ces grands "sages" avaient des épouses, mais celles-ci n’étaient considérées que comme des incubatrices, des domestiques, voire d’humbles servantes pour préparer les festins offerts aux hétaïres, aux invertis et pédérastes dont les grands "sages" plaçaient les faveurs même au-dessus des complaisances féminines.

    La même situation de "moralité" se retrouva, à un degré de vulgarité plus avilie, sous la grande époque classique romaine des Virgile, Tacite, Tite-Live, Pétrone, des césars Jules, Auguste, Tibère, du poète Horace qui écrivit toutes ses odes au lendemain d’orgies dans les lupanars, Cicéron, Marc-Antoine et leurs illustres contemporains. C’est pourquoi, lorsque le message de pureté et de renoncement du christianisme arriva dans la Grèce conquise et la latinité à son pinacle, ce fut dans les foules rongées par l’amertume du dégoût et de la honte comme une rosée rafraîchissante, un message de beauté, de consolation, de relèvement et d’espoir.

    Seul le christianisme a rendu sa dignité à la femme  Sainte14

    Filles et femmes surtout, jusque-là simple bétail d’amusement, sentirent la vérité et la réalité de leur âme, la noblesse de leur nouvelle considération.

    Ce sont elles qui, par leur nombre et leur influence, par leur nouvel idéal et leurs sacrifices, firent la force naissante et finalement le triomphe du christianisme. Celui-ci, en retour, exalta à un degré jamais connu la beauté de la jeunesse pure, la sublime grandeur de la maternité et émancipa la femme de juste émancipation à mesure que se développa le culte marial.

    La dignité, que la femme a conquise en Occident, c’est au christianisme, et à lui Seul, qu’elle le doit.

    Adrien Arcand – Le malaise qui angoisse le monde actuel est-il voulu ? (1954)

    http://lacontrerevolution.wordpress.com/2013/05/13/seul-le-christianisme-a-rendu-sa-dignite-a-la-femme/

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