L' électroculture
L'électroculture désigne diverses pratiques visant à stimuler la croissance des plantes en les soumettant à des champs électriques ou directement à des courants électriques. Wiki
Une technique ancienne redécouvert depuis au moins 1897.
Le dispositif d'electroculture nommé électrovegetomètre était utilisé par le Frère Paulin, ancien directeur de l'école d'Agriculture de Beauvais, une institution Française d'une renommée internationale. Une des écoles des plus reconnues en France et à l'étranger.
L'électrovégétomètre utilisé en electroculture est une antenne montée sur une perche et relier à des fils de fer enterré dans le sol autour de la perche. Une dizaines de ces antennes disposés dans un champ de un ha suffisait à fertiliser le champ. Ce dispositif d'électroculture permettait de se passer d'autres engrais et d'obtenir des résultats et des récoltes impressionnantes dépassant les résultats des techniques d'agriculture avec les engrais chimiques et organiques de l'époque.
L'electroculture est très prometteur.
Ces techniques ont déjà fait leurs preuves depuis des siècles.
Malgré les preuves on nous maintient dans l'ignorance. CTIFL, Inra, écoles d'agriculture sont tous complices de cette vaste campagne de désinformation parfois simplement par l'ignorance de ces acteurs ou par omission de ceux qui savent qui s'autocensurent et retiennent l'information. L'ignorance a ceci de pratique que une fois installé elle y reste pour longtemps, car les nouveaux chercheurs de bonne volonté ne cherchent pas ce qu'ils ne connaissent pas. C'est paradoxal n'est-ce pas.
Plusieurs éléments tendent à confirmer que les techniques d'electroculture ont été ignorés, dénigrer et mis aux oubliettes de façon délibéré à partir des années 1930 environ.
Dans le livre "electroculture et énergies libres" de 2010 on retrouve l'information d'un aveu d'un ancien représentant de l'industrie chimique des fertilisants qui raconte avoir participé à une campagne de dénigrement contre les techniques d'électroculture. Aujourd'hui cela ne semble pas avoir beaucoup changé. Les institutions de recherches officielles ont complètement oublié la trace de l'électroculture, certains organismes de recherche ne sont même plus au courant qu'ils ont participés à des essais d'électroculture au début du siècle passé. Dans nos écoles d'agriculture on n'abordent même pas le sujet de l'influence de l'électricité ou du magnétisme sur les plantes. N'est-ce pas une honte et déshonneur du niveau d'études qu'on en espère.
Quand on connait les influences majeures des facteurs d'électricité et du magnétisme sur les plantes, quand on sait que les organismes de recherches officielles ont eux-mêmes fait des expériences dans ce domaine auparavant, alors on peut s'interroger si l'ignorance affichée est délibérée.
Cet état de fait maintient les agriculteurs et jardiniers dans une ignorance organisée, ce qui bénéficie pour l'intérêt de l'agrochimie et de l'industrie des fertilisants chimiques. Quand on se demande "à qui profite le crime", on a de sérieuses indications et évidences. Sans oublier pour les intérêts de l'état à maintenir et développer l'agriculture dans le sens de plus de dépendance, d'achats d'engrais et produits phytos taxées qui en remplissent ces caisses et contrôlent de près les agriculteurs.
Si en tant que agriculteur, vous êtes conscient de ce problème de conflit d'intérêt alors la question qui se pose est : "Pourquoi participer à cette mascarade?", de plus cela coute souvent plus chère d'utiliser l'agrochimie que de cultiver "proprement" sans produits toxiques. Il faut vraiment en vouloir et avoir un certain dégrée d'ignorance pour vouloir polluer et s'intoxiquer soi et ces concitoyens.
Majoritairement les agriculteurs aiment leur terres et veulent utiliser les meilleurs techniques qui leur apportent les meilleurs résultats.
Il y a que l'ignorance et désinformation qui peut expliquer l'usage à outrance de pesticides et d'engrais polluants toxiques dont la plupart pensent que ce sont les meilleurs solutions.
La censure de l'état sur l'electroculture.
L'ignorance et la désinformation.
Il faut toujours se demander à qui profite le crime pour trouver les sources de cette orchestration.
Les agriculteurs maintenus dans l'ignorance pour le bénéfice de quelques uns. Il n'est pas logique qu'un agriculteur qui aime sa terre et ses animaux épandent tant de produits nocifs et toxiques dans ces champs dans le but d'obtenir de belles récoltes. Cela témoigne de sa méconnaissance de techniques plus propres et moins chères qui lui sauvegarderais son patrimoine, ses terres, son indépendance envers tout intrants extérieur pour cultiver ces terres et récolter le fruit de son travail. Aujourd'hui le fruit du travail de l'agriculteur est récolté par l'industrie agrochimique, les semenciers et l'état pendant qu'il est maintenu sous la dépendance comme un esclave par ces mêmes organismes. Ceci n'est pas obligatoire de subir cela, chacun peut se former et sortir de cette dépendance en appliquant des techniques agricoles adaptés hors des sentiers battus. Les techniques d'électroculture s'inscrivent dans ce sens.
Pendant que l'agriculteur et le peuple s'empoissonne en utilisant les produits chimiques,
certains actionnaires de l'agrochimie et ministres mangent bio.
Est-ce que les agriculteurs ne sont pas un peu pris pour des guignols dans cette histoire?
Pour les agriculteurs qui en douteraient encore, lisez cela et vérifier par vous-même.
Saviez vous qu'on mangerait bio au ministère de l'agriculture. Saviez vous que un des principaux actionnaires de Ciba et Novartis (industrie agrochimique) a son jardin complet en biodynamie et mangerait que bio tout en exploitant et intoxiquant le monde en gagnant son argent avec les produits chimiques qu'il n'utiliserait probablement pour rien au monde dans son propre jardin. Si les agriculteurs savaient cela, est-ce qu'il continuerai à se faire exploiter comme un pigeon?
Si après un agriculteur persiste à utiliser des produits chimiques c'est que soit il a besoin d'un peu de temps pour vérifier et digérer la pilule amère dans lequel il a cru depuis tant d'années, soit il a un problème neurologique, ce qui ne serait pas étonnant vu le degré d'empoissonnement et de propagande concernant ce sujet, soit il a des tendances suicidaires, effectivement selon les stats tout les deux jours un agriculteur se suicide, soit il empoisonne ces champs et la nourriture intentionnellement mais alors c'est de l'ordre de la criminalité. Dans certains de ces cas ça se soigne, autrement il y a la justice bien que la justice est depuis longtemps vendu aux mêmes intérêts.... pendant que les juges bien payés mangent bio ou presque.
Les techniques d'electroculture rendent inutiles, superflues et dépassées les engrais bio ou conventionnels et tout les produits de traitement.
On peut comprendre vu le pouvoir de l'argent, des multinationales, de l'éducation et de la politique corrompue que l'électroculture a été censuré au point même que le mot a été retiré des encyclopédies.
Un dispositif d'electroculture une fois installé dans un champ et l'agriculteur n'a généralement plus besoin d'intrants, de produits phytos et d'engrais pour de nombreuses années, des dizaines d'années.
Le modèle économique qu'on nous impose, est une société de consommation, le consommable est mis en avant au détriment des réelles solutions. Le modèle économique de l'agriculture industriel veut vendre de nombreux consommables, ceci chaque année, qui sont par exemple des produits phytos et des engrais. Ce système organisé n'apprécie guère les réelles solutions comme l'électroculture. Une solution agricole efficace et durable ne fait pas vendre des consommables. Ces consommables comme les produits phytos et engrais sont des remèdes temporaires ou plutôt des caches misères à racheter chaque année. L'approche "consommable" est au bénéfice de ce modèle économique qui nuit aux intérêts des agriculteurs eux-mêmes. Les agriculteurs ne se rendent souvent pas compte comment ils sont manipulés et pilotés par ce système économique. Cette situation explique aussi l'ignorance organisé autour de l'electroculture et bien d'autres techniques efficaces et durables.
Les techniques de cultures actuelles de l'agrochimie, produits phytos et engrais chimiques montrent simplement au grand jour le degré d'ignorance de la profession agricole. Il serait triste d'en rester avec ce constat, une fois informé on peut agir.
Si vous avez pris conscience, la question qui se pose maintenant est : qu'allons nous faire maintenant?
La moindre des choses, pour chaque agriculteur serait de tester dans un de ces propres champs de nouvelles techniques hors des sentiers battus, après les résultats parleront d’eux mêmes. N'attendez pas que les organismes de recherche officiels le font à votre place et vous en parle de façon positive, car ce n'est pas dans leur intérêt "financier".
Encore maintenant des solutions simples pourtant testées et prouvées efficaces sont totalement négligées.
Je me rappelle un jour, il y a presque dix ans maintenant, d'avoir financé un essai de traitement électromagnétique de l'eau d'irrigation sur une culture de salades dans un centre de recherche de culture maraichère en France. On avait mesuré une croissance plus rapide, plus de 10% de différence, ce qui permettait de réduire le temps de culture, de réduire les couts de chauffage et de réduire les risques de maladies. Une culture de concombre ainsi traitée était beaucoup moins touchée par les maladies. D'autres observations chez des maraichers montraient des résultats allant vers les 30% de différence et plus en fonction de leur situation de départ des caractéristiques de leur sol et de l'eau. Pourtant malgré ces bons résultats, les techniciens de l'organisme de recherche maraichère qui s'en sont occupés, n'en ont pas parlés. Ils n'ont pas jugés "utile" d'informer les agriculteurs qui ont ainsi été maintenus dans l'ignorance la plus totale d'une expérience prometteuse et facile à réaliser pour leur plus grand bénéfice. C'est pourtant leur rôle d'informer les agriculteurs, en plus ils sont principalement financés avec l'argent de nos impôts. Ceci est un exemple, mais combien d'essais et de techniques restent ainsi ignorées et se trouvent dans le même cas ?!
Je souhaiterais vous dire, aux agriculteurs, réveillez vous, sortez de votre coma profond ou vous pensez être libre mais ou le système vous maintient délibérément dans l'ignorance à coup de pseudo experts et techniciens tout autant ignorants que vous, pour que vous profitez aux banques, à l'agrochimie et à l'industrie.
Le réel capitale est la terre, le sol, qu'on doit cultiver.
Vous pouvez choisir de faire autrement, de cultiver autrement, de vous former, de tester de nouvelles techniques qui vous redonnent un degré d'indépendance et de liberté. C'est pour le bénéfice de tous, nous, vous, mais aussi pour vos finances des agriculteurs qui bénéficient ainsi du fruit de leur travail en devenant plus indépendant, pour plus de qualité et quantité des récoltes dans la durée. De plus c'est aux bénéfice de l'environnement, car quand on peut produire plus et de meilleure qualité tout en polluant moins, c'est presque trop beau pour être vrai, pourtant avec les techniques d'electroculture c'est bien réel.
La racine du mot "cultiver" veut dire "honorer", "aimer", un agriculteur se doit d'être avant tout un "cultivateur", c'est autre chose que les mots actuellement utilisés dans le domaine agricole comme par exemple "exploitant" agricole, exploiter, exploitation. Pour aller plus loin, souvent l'agriculteur traite ces champs en reflet comme il traite sa femme..... ou il cultive ou il exploite. C'est une façon de voir les chose peu habituelle.
Souvent on dit "tel maitre tel chien". Je rajouterais pour l'agriculture, "tel agriculteur, telle ferme, tel sol, telles plantes, telles animaux".
La censure, ça existe encore aujourd'hui.
Votre degré d'information sur l'électroculture en témoigne.
Durant mes études en 1999, mon professeur encadrant ma thèse me disait,
si tu gardes cet élément la dans ta thèse je ne peux te donner ton diplôme.
Il avait des intérêts avec une grosse multinational de l'agrochimie et des OGM, "Démon"santo.... pour ne pas le nommer. L'élément dont il s'agissait était que je présentais l'inutilité et abérration de la technologie génétique des OGM en agriculture. J'expliquais qu'on pouvait mieux faire, de façon plus contrôlé, plus respectueux de l'environnement et plus efficace en utilisant les ondes et des fréquences pour activer l'expression génétique de façon ciblée, ceci de façon réversible et sans polluer avec des OGM, donc sans recours aux OGM. J'ai du enlever cette page de ma thèse pour obtenir mon diplôme.
Ceci montre à quel degré d'ignorance on en est. Comment on en est arrivé la. Les centres de recherches et écoles d'agriculture s'autocensure pour plaire à l'industrie agrochimique, semencière et OGM pour sauvegarder leur intérêt pécuniaires aux détriment de l'intérêt général, aux détriment des agriculteurs et des consommateurs. Car en fin de compte, nous payons par les pollutions, les maladies et nos factures pour satisfaire les appétits d'ogres de ces acteurs industriels.
Je vous remercie pour votre lecture et partage, meilleurs vœux,
Yannick Van Doorne
Ingénieur industriel en agriculture et biotechnologie.
(Une petite note à part : La nature sceptique et de méfiance d'une majorité de la population dans le monde occidental et en France ressemble fort à une maladie, la "sceptiçémie" ou le scepticisme aiguë chronique, elle freine tout développement rapide d'innovations. Généralement cette maladie passe inaperçu auprès des médecins et chercheurs de l'état étant eux-même infectés de manière chronique. Si vous êtes atteint de sceptiçémie, soignez-vous et isolez-vous dans les plus brefs délais pour ne pas infecter votre entourage. L'electroculture en est victime, cette maladie tente d'empêcher de nombreux jardiniers de tester ces techniques dans leur propre jardin. )
Sources, pour aller plus loin:
electroculturevandoorne.com
magnetoculture.com/magnetoculture/Bienvenue.html
agriculturecosmotellurique.org/
Quelques expériences en vidéo: