Seulement ils le fabriquent eux même ce savon.
PS:Si vous ne comprenez pas de quel savon il sagit:
Deux sources au choix
http://robertfaurisson.blogspot.com/1987/02/le-savon-juif.html
http://www.phdn.org/negation/savon.html
Alliance spirituelle contre la subversion mondialiste. Forum d'éveil des consciences par le partage des connaissances et l'esprit de solidarité.
Le chef du groupe grec néonazi Chryssi Avghi (Aube dorée) propulsé au parlement par le scrutin du 6 mai a nié l'existence des chambres à gaz lors d'un entretien télévisé, s'attirant une protestation du gouvernement dans un pays où le négationnisme n'est pas poursuivi.
"Auschwitz, quoi Auschwitz? Je n'y suis pas allé. Que s'y est-il passé? Vous y étiez-vous?" a feint de s'interroger Nikos Mihaloliakos, selon la vidéo d'une émission diffusée dimanche soir par la chaine privée Méga.
"Il n'y avait pas de fours, ni de chambres à gaz, c'est un mensonge", a-t-il ajouté. Il a aussi affirmé avoir "lu beaucoup de livres mettant en doute le chiffre de six millions de juifs" exterminés par les nazis.
C'est la première fois depuis son succès électoral que M. Mihaloliakos tient publiquement des propos négationnistes. Chryssi Avghi a conquis 6,9% de l'électorat (21 députés) en jouant sur la colère des Grecs face à l'austérité et leurs réflexes xénophobes.
Leur chef a aussi réitèré tenir Hitler pour "une grande personnalité historique du 20ème siècle". "Je ne dis pas +heil+ tout simplement car c'est quelque chose qu'on dit pour quelqu'un de vivant", a-t-il répondu au journaliste qui lui demandait s'il maintenait un appel à proférer le salut nazi qu'il avait signé en 1987.
Le porte-parole du gouvernement sortant, Pantelis Kapsis, a "condamné de la manière la plus catégorique" ces propos "qui déforment l'histoire et constituent une atteinte brutale à la mémoire des millions de victimes de l'holocauste".
M. Kapsis a rappelé que parmi ces victimes figuraient "des dizaines de milliers de Grecs juifs", dans une rare référence officielle au sort d'une communauté dont l'extermination à plus de 95% par les nazis n'est évoquée que depuis peu par les manuels scolaires d'histoire.
Le Conseil des Juifs de Grèce avait auparavant appelé "les dirigeants politiques, la société civile, la communauté enseignante et les intellectuels à condamner et isoler les forces" du type de Chryssi Avghi.
….
Vous vouliez parler du « Kommissarbefehl », des « Einsatzgruppen » et de Babi Yar.
Oui, trois parties d’un même sujet. On nous dit qu’il a existé un «Kommissarbefehl», qu’on nous décrit comme un ordre de tuer systématiquement les commissaires politiques soviétiques qui surveillaient les troupes, et l’on en profite pour ajouter que les Einsatzgruppen avaient pour tâche de tuer les juifs. C’est faux. D’abord il n’a jamais existé de «Kommissarbefehl» en tant que tel. Chez les historiens, l’habitude a été prise de désigner sous ce nom un ensemble de documents relatifs au tri, soit des prisonniers, soit de certains civils juste à l’arrière du front. Fondés en 1938, au moment de l’Anschluß, les Einsatzgruppen étaient chargés de ce tri. Sur l’immense front russe, ils n’étaient que 3 000 (trois mille), chauffeurs et dactylographes compris. Au début de la campagne militaire, de rigoureuses instructions leur ont été données. Il faut lire ces instructions. Elles reviennent à dire que, les lois de la guerre étant ignorées des Soviétiques, il convient de sévèrement trier les prisonniers qu’on fera. Certains prisonniers devront être exécutés séance tenante parce qu’il s’agit non de soldats mais de commissaires politiques fanatisés qu’on ne peut laisser dans les camps de prisonniers de guerre ; d’autres pourront être utiles à l’Allemagne. Un document, classé URSS-014 au procès de Nuremberg, énumère huit catégories de personnes suspectes dont il faut faire le tri (Aussonderung) parmi les prisonniers militaires ou civils. Il est intéressant de noter que les juifs viennent en huitième et dernière position ; il est précisé, dans cet ordre du 29 octobre 1941, qu’il s’agit seulement d’une catégorie de juifs. Je cite : « 8 ) les intellectuels russo-soviétiques et juifs, pour autant qu’il s’agisse de révolutionnaires professionnels ou de politiciens, auteurs, rédacteurs, fonctionnaires du Komintern etc. ». Avec leur malhonnêteté coutumière, les responsables officiels chargés de résumer les documents ont osé écrire que « les personnes visées » «sont principalement les commissaires du peuple soviétiques et les autres dirigeants ainsi que les juifs et des membres des classes intellectuelles» ; dans leur résumé ils vont aussi jusqu’à parler de « directives pour le nettoyage » alors que, répétons-le, pour ce document, il s’agit de « tri ». Lorsqu’une troupe avance et conquiert une ville, il faut que des « Einsatzgruppen », sorte de police militaire en campagne, essaient de contrôler les prisonniers et la population civile. Cela ne veut pas dire qu’on va les tuer. Seuls certains seront à exécuter. En face, chez les communistes, on ne se gênait pas pour exécuter. Venaient donc en première position les commissaires politiques. Ni là, ni ailleurs il n’a existé d’ordre de tuer les juifs.
Donc, si je vous ai bien compris, ces instructions ne spécifiaient pas que tous les commissaires politiques devaient être exécutés, même si lesdits commissaires étaient nommés en premier.
C’est exact. Souvent, semble-t-il, ces commissaires étaient juifs ; or, même dans leur cas, il y avait un tri à opérer. Mais vous comprenez bien que, dans la pratique, cela signifiait qu’il y avait des prisonniers qu’on avait, en fait, le droit d’exécuter en contravention des lois de la guerre. Aussi, comme vous le savez peut-être, les chefs militaires allemands n’ont-ils pas voulu se comporter comme l’Armée rouge et, finalement, se sont refusés à suivre les dispositions les plus sévères de ces ordres.
Quant à Babi Yar, aucune enquête matérielle n’a été conduite du genre de celles qui ont été menées pour Katyn ; rien n’est venu étayer les récits qui ont cours sur le sujet et qui paraissent invraisemblables. Je reviendrai sur Babi Yar.
…...
Quittons la fiction et revenons à l’histoire. Je voudrais m’attarder un peu sur le cas de Babi Yar. En ce moment, certaines organisations juives, sentant que le mythe des chambres à gaz est en train de prendre eau de toute part, tentent de faire diversion et nous invitent à détourner notre attention des prétendues chambres à gaz et des prétendus camions à gaz pour porter nos regards du côté des « Einsatzgruppen ». C’est, par exemple, ce que fait une personnalité juive française comme Jacques Attali, qui vient d’écrire : « L’immense majorité des juifs assassinés l’ont été par les armes individuelles des soldats et des gendarmes allemands, entre 1940 et 1942, et non par les usines de mort mises en place ensuite ». Usant d’une toute nouvelle expression, ces juifs nomment cela la « Shoah par balles » ! Cette « Shoah par balles » est maintenant appelée à remplacer la « Shoah par gaz ».
Et c’est ainsi qu’on nous ressert « le massacre de Babi Yar », localité proche de Kiev. Au procès de Nuremberg, le nom de Babi Yar n’apparaît pas, mais un document rapporte simplement en une phrase que les Allemands, à Kiev, ville qu’ils venaient d’occuper, ont, à la suite d’une série d’incendies criminels attribués à des agents du NKVD, arrêté, par mesure de représailles, tous les juifs, puis, les 29 et 30 septembre 1941, en auraient transporté un certain nombre en direction du lieu-dit Babi Yar pour en exécuter finalement – écoutez bien ce chiffre et admirez-en la précision – pas moins de 33 771 ! Le document n’est ni daté, ni signé. Il fait partie d’un ensemble sélectionné par le Lieutenant Walter Rothschild, de Londres. En soi, ce que rapporte cette phrase est invraisemblable. Le réel massacre de Katyn, perpétré par le NKVD et plus tard imputé aux Allemands, avait fait environ 4 250 morts ( On retrouve bien cet ordre de grandeur chez larousse http://www.larousse.fr/encyclopedie/article/Laroussefr_-_Article/11023441 ), attestés, en deux mois (mars-avril 1940). Par comparaison, le massacre de Babi Yar aurait donc fait en deux jours près de huit fois plus de victimes que celui de Katyn en deux mois. Une aussi fantastique boucherie aurait laissé d’innombrables traces et le paysage en aurait été bouleversé, ne fût-ce que par de formidables travaux d’inhumation, puis, comme certains nous le racontent, d’exhumation, suivie de crémations en plein air. Or les photographies aériennes de l’époque ne montrent rien de tel et l’on ne dispose d’aucune preuve matérielle de ce gigantesque crime.
En ce moment, en Ukraine, il est un prêtre catholique qui fait beaucoup parler de lui, le père Patrick Desbois, un Français, grand ami des juifs. Sa spécialité consiste à sillonner le pays à la recherche de « charniers juifs ». Il fait annoncer aux braves villageois ukrainiens qu’il va se rendre dans telle ou telle localité et qu’il entend y recueillir des témoignages sur les massacres de juifs commis par les Allemands pendant la guerre. Les habitants ont tout intérêt à pouvoir se vanter de posséder de tels charniers sur lesquels on édifiera des monuments qui attireront le touriste étranger. Les « témoins » se réunissent et mettent au point un récit. Le prêtre arrive ensuite au village et se fait photographier avec des paysans ou des paysannes qui lui montrent du doigt tel ou tel emplacement. D’abord on peut s’étonner de l’âge de certains des témoins photographiés : ils ont manifestement moins que l’âge requis, qui serait normalement d’environ 80 ans. Mais il y a beaucoup plus étonnant : ces charniers supposés, on ne les ouvrira pas ; on ne procédera à aucune exhumation ni à aucune vérification matérielle, et cela sous l’admirable prétexte que la religion juive interdirait de toucher aux cadavres de juifs ; or il suffit d’ouvrir l’Encyclopedia Judaica (1978) à l’entrée « Autopsies [pluriel] and Dissection [singulier] » pour voir qu’il n’en est rien. Dans un seul endroit, à Busk, on a ouvert quinze fosses communes mais aucun des squelettes qu’on y a trouvés n’a été expertisé et les emplacements ont tous été ensuite recouverts d’une chape de ciment de sorte qu’aucune vérification ne sera vraiment possible à l’avenir ! Curieuse façon de respecter un cadavre selon la loi juive ! L’historien devra donc se satisfaire de ce que le père Desbois, un habile homme, nous dira que les témoins lui ont dit. Des chiffres non vérifiés de victimes non trouvées et non montrées iront ainsi s’additionner et, en fin de compte, on nous affirmera que l’Ukraine compte tant de charniers contenant tant de victimes juives. Et tout cela sous le sceau des représentants respectifs de l’Eglise catholique romaine, de l’association «Yahad-in-Unum» et de l’association « Zaka », laquelle se présente en « garante du respect des corps des victimes selon la loi hébraïque ». Comme à Auschwitz, le tourisme aura quelque chance de prospérer.
Une question. Vous parlez de « Shoah par balles » et de documents. De mémoire, je crois avoir vu des documents où l’on montre sur une carte le dessin de cercueils accompagnés du nombre des juifs exécutés aux points ainsi indiqués. A ce qu’il paraît, il s’agirait de documents de la SS ou des Einsatzgruppen envoyés du front russe à Berlin. Les documents montreraient combien de juifs ont été tués par les Einsatzgruppen A, B, C et D. N’est-ce pas une preuve ? Quelle est votre opinion là-dessus ?
Je connais ces documents et, en particulier, celui des cercueils et des chiffres. C’est l’Américain Arthur R. Butz qui en a traité le premier de manière critique, en 1976, dans son remarquable ouvrage, The Hoax of the Twentieth Century. Trop souvent il s’agit de documents suspects et non signés, provenant de sources soviétiques. Celui dont vous parlez fait penser aux photos aériennes d’Auschwitz, publiées en 1979 par Brugioni et Poirier, deux anciens membres de la CIA. Sur ces photos on distingue les crématoires d’Auschwitz avec une naïve indication portant : « Gas Chamber ». Ici, sur les cercueils dessinés, une main anonyme a inscrit des chiffres censés représenter des totaux de juifs tués. Il n’y a aucune indication des sources permettant de vérifier d’où viennent ces totaux.
Avez-vous noté qu’à chaque fois qu’on découvre un charnier en Russie et qu’on se donne la peine de l’étudier on découvre qu’il renferme des victimes de Staline et non de Hitler ?
Enfin, il convient, de toute façon, d’être circonspect avec les évaluations envoyées par des militaires aux autorités supérieures de Berlin.
On pourrait dire que, pris dans la guerre, les Allemands qui devaient envoyer des rapports à Berlin n’avaient pas le loisir, comme en temps de paix, de rédiger des rapports impeccables, dotés de toutes les signatures nécessaires.
Ce n’est là, de votre part, qu’une hypothèse car d’innombrables documents allemands de cette époque témoignent d’une grande méticulosité.
Une hypothèse, soit, mais n’est-ce pas un peu trop demander que d’exiger une preuve parfaite, qui n’a peut-être jamais existé ?
Si l’on ne dispose pas de preuve, on s’abstient d’accuser. On a le droit de dire : «Voici ce que rapporte la rumeur» ou « Il est vraisemblable que… », mais on n’a pas le droit d’aller plus loin. Pour nous résumer, je dirais qu’en ce qui concerne les formidables massacres de juifs imputés aux Einsatzgruppen, j’attends qu’on procède à des enquêtes criminelles comme celles qu’on a menées pour Katyn. Et qu’on ne vienne pas nous raconter que les cadavres sont partis en fumée ! Même dans le cas où l’on aurait brûlé en plein air ces monceaux de cadavres qui auraient nécessité d’invraisemblables quantités de bois ou de carburants, on en trouverait facilement des traces, ne seraient-ce que les dents et des restes d’ossements. Encore aujourd’hui on trouve en Russie des ossements de soldats de l’armée napoléonienne.
Mais que faites-vous des procès et des indices qui démontrent le crime et permettent un jugement ?
Des indices ne sont que des signes apparents qui rendent simplement probable l’existence d’une chose. C’est ce que Jean-Claude Pressac, l’ami du couple Klarsfeld, appelait dans son gros livre américain des « beginnings of proof » ou des « traces ». Méfions-nous de ceux qui s’imaginent qu’en additionnant un quart de preuve + un quart de preuve + une demi-preuve on obtient une preuve. Cette pratique était, paraît-il, en usage dans certains procès de sorcellerie des siècles passés et c’est ce qui s’est encore produit dans nombre de procès du XXe siècle, surtout contre ces sorciers modernes qu’auraient été les sataniques «criminels de guerre nazis».
Ce n’est pas ce que je dis. Je dis qu’aujourd’hui il y a des procès où l’on ne peut produire de preuves réelles mais où les indices suffisent à juger l’accusé.
C’est exact. En France, par exemple, les juges peuvent même invoquer ce qu’on appelle « l’intime conviction ». Un juge le peut mais non l’historien. Combien de fois n’a-t-on pas, avec le temps, découvert qu’une erreur judiciaire avait été commise ? Dans le cas particulier du gigantesque procès fait à l’Allemagne, je demande que l’on ne se contente pas de l’intime conviction. J’exige une preuve, une seule preuve. Je constate que les historiens accusateurs à la Poliakov ou à la Hilberg, et bien d’autres avec eux, ont fini par reconnaître qu’il n’y a pas de preuve. Vous savez bien que Raul Hilberg avait d’abord osé écrire en 1961 que Hitler avait donné deux ordres pour exterminer les juifs. Il ajoutait que cette extermination avait été soigneusement organisée du haut en bas de l’échelle de commandement. Or, en 1983, sous la pression des révisionnistes, il a dû reconnaître (puis il l’a confirmé sous serment en 1985 au premier procès Zündel de Toronto) qu’il n’y avait eu, en fin de compte, ni ordre, ni plan, ni budget. Il s’est alors rabattu sur la plus pitoyable des explications : selon sa nouvelle interprétation, tout s’était fait sans ordre et sans plan « par une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle au sein d’une vaste bureaucratie », la bureaucratie du IIIe Reich ! J’appelle cela « invoquer l’opération du Saint Esprit (juif) »
« D’abord, un mot à l’attention de Me Liatowitsch : si les Droits de l’homme vous tiennent tant à cœur, je souhaite que vous puissiez vous engager en faveur des droits des Arabes et des Palestiniens dans l’Etat terroriste et raciste d’Israël ! Ce pays est le seul Etat au monde où la torture est autorisée par la Justice !
Il y a toujours eu dans l’Histoire des tentatives répétées de réprimer par la force une vérité scientifique contraire aux intérêts des puissants ; l’exemple le plus connu est la persécution des astronomes coperniciens à la fin du Moyen Age. Aujourd’hui, dans nombre d’Etats soi-disant « démocratiques », des hommes sont persécutés parce qu’ils mettent en question l’image convenue du sort des Juifs pendant la Deuxième guerre mondiale. Les révisionnistes ont amassé une somme d’arguments, qui contredisent la version officielle et obligée de l’Holocauste. Comme on ne peut rien opposer à ces arguments, on a utilisé l’instrument de la persécution pénale pour museler tout débat à ce sujet. C’est une preuve évidente de faiblesse, car celui qui veut réprimer un débat par la force doit avoir quelque chose à cacher. Je réitère ici et maintenant ma proposition à MM. Stegemann et Liatowitsch de participer à un débat sur l’Holocauste, ouvertement et en toute objectivité, à la télévision, à la radio ou sur un podium public. On verra alors bien qui a les meilleurs arguments !
Quant à vous, Messieurs les juristes, vous savez bien que la preuve matérielle et la preuve documentaire prévalent de loin sur la preuve testimoniale. Seuls les révisionnistes ont rédigé des études scientifiques, techniques et chimiques sur les prétendues chambres à gaz homicides. Les conclusions de ces recherches sont en contradiction totale avec la version officielle de l’Holocauste. Cette version se base exclusivement sur les déclarations des témoins. J’ai fait l’inventaire de ces témoignages dans mon livre sur Auschwitz. Lisez ce que ces témoins ont déclaré, c’est catastrophique !
Dans « Blick » du 11 mars de l’an dernier, on pouvait lire qu’un satyre, qui avait violé une fillette de 5 ans, avait été condamné à 9 mois de prison avec sursis. Contre moi, 15 mois sans sursis ont été prononcés. Un système qui punit des opinions qui divergent sur certains aspects controversés de l’Histoire contemporaine plus sévèrement que le viol d’une fillette de 5 ans se discrédite lui-même et ne mérite plus la confiance du justiciable !
... Il est maintenant établi que la loi muselière sert à réprimer toute opposition politique non complaisante avec l’omnipotent et omniprésent « lobby qui n’existe pas », preuves en sont les incroyables pressions subies par les Chambres fédérales en vue d'obtenir la levée de l'immunité parlementaire du Conseiller national Rudolf Keller. Qu’est donc devenue cette liberté
d’opinion, si bien « enracinée dans la tête de nos magistrats » : en fait, des racines bien faibles pour des baudruches bien grosses, prêtes à s’envoler au moindre souffle du vent dominant. N’hésitons pas à le dire, la Justice argovienne a été prise en flagrant délit de forfaiture. Ces magistrats n’ont rien respecté : ni la justice, ni la vérité, encore moins leur serment et leur conscience. Ils ont mis volontairement en bière l’Etat de droit, avec la complicité active des médiamenteurs.
Avec pertinence, Jürgen Graf a commenté son procès en le qualifiant de « terroriste ». Il ne s’agit là nullement d’une réaction suscitée sous le coup de l’émotion du moment, mais bien d’une constatation réaliste concernant le caractère arbitraire des débats. Le public fut visiblement impressionné par le déni de justice qu’a été le procès de Jürgen Graf. Ceux, trop peu nombreux, qui ont assisté à ces débats, n’ont pu qu’éprouver un malaise certain, car l’injustice ainsi mise en œuvre ne se pare même pas des sophismes utilisés le plus souvent par la Justice quand elle veut masquer certaines carences de procédure. Il y avait là, au contraire, une volonté manifeste de proclamer au grand jour le triomphe de l’arbitraire, de la déraison et de l’iniquité, autrement dit de faire valoir ostensiblement le droit du plus fort, dans le sens où la raison du plus fort est toujours la meilleure. Cela étant dit, n’oublions pas que la force, sous sa forme répressive, est déjà un symptôme de déclin et de faiblesse, car elle ne peut plus qu’inquiéter, diviser et réprimer pour se maintenir, au contraire des forces positives, qui rassurent, rassemblent et permettent d’envisager l’avenir avec confiance.
Comme le disait Stendhal dans une lettre adressée au baron de Mareste le 21 décembre 1819 : « Une collection de baïonnettes ou de guillotines ne peut pas plus arrêter une opinion qu’une collection de louis d’or ne peut arrêter la goutte ».
Ces forces positives et constructives resurgiront des décombres du mur des mensonges, ces mensonges que Jürgen Graf a dénoncés sans haine et sans crainte, avec courage, détermination et talent.
René-Louis Berclaz
Mise en garde : Charles Manson a été jugé coupable et condamné. On comprendra donc bien que tout ce qu'il dit est forcément faux. D'ailleurs, chacun pourra constater que ce qu'il dit ne correspond pas du tout, mais alors, pas du tout à la réalité !
Quatorze israéliennes ont participé ont concouru pour un titre un peu particulier, celui de "Miss Holocauste".Ce n'est pas un concours de beauté mais plutôt un pied de nez à l'histoire. En effet, les participantes sont des survivantes de l'Holocauste âgées entre 79 et 97 ans. "On a le privilège de montrer au monde entier que nous sommes toujours vivantes et heureuses", a déclaré l'u...
http://fr.euronews.net/
Saturday, December 22, 2012
Serge Klarsfeld: at Auschwitz 1,000 Jews
deported from France were gassed ...
in bed!
With two years’ delay I now learn of news about Auschwitz which, as of late 2010, should have made the headlines of the world press and forced historians of “the Holocaust” or the “Shoah” to revise their vulgate of the extermination of the Jews. Strangely, all the media kept quiet about it. Had they for once, this time, felt that it was a case of wild imaginings taken just too far?
Serge Klarsfeld vouches for it: in September 1942, at Auschwitz, 1,000 Jews deported from France by “Vichy” were gassed ... in their beds! I do not recall ever having noted such information in the two fat volumes of his Vichy-Auschwitz (Paris, Fayard, 544 pages in 1983 and 415 pages in 1985). For me this is a novelty, discovered in a little book that a particularly astute revisionist lady has just given me, pointing out the passage that intrigued her. Entitled Pie XII et la Shoah / Le choix du silence?, the 86-page booklet was composed by Ph. Chenaux, S. Klarsfeld, G. Krupp and M. Viot under the direction of Mgr Dominique Le Tourneau (Paris, Pierre Téqui editor, 2011). It is in fact a compendium of those authors’ papers for a brief seminar on “Pius XII and the Jews. His influence on Vatican II”, held in Paris in November 2010.
Bringing up a deportation of Romanian Jews in 1942, S. Klarsfeld, for his part, writes: “Vichy gives its assent. During the night, the prefecture of police [of Paris] takes out the files on the Jews concerned: on the morning of September 24, 1,500 Romanian Jews are arrested; the next day 1,000 are deported and, after a thirty-six-hour journey to Auschwitz, gassed in their beds” (p. 45-46). Two lines afterwards he is conferring honours on Father Patrick Desbois, a holy prankster if ever there was one (http://robertfaurisson.blogspot.it/2007/11/father-patrick-desbois-is-one-hell-of.html). No source is provided to support the veracity of this account of a miracle that would have defied all the laws of physics and chemistry. No document is mentioned. No reference. No “testimony”. At Auschwitz, according to the legend, Jews were gassed with Zyklon B, a powerful pesticide that was, in substance, hydrogen-cyanide gas, which adheres strongly to and penetrates all surfaces, is terribly difficult to evacuate from a room or remove from bedding or other objects, or indeed anything at all, and is also explosive and liable at any moment to gas the team of gassers using it, forbidding them any physical exertion upon the opening of the premises where a gassing has occurred – and this despite the compulsory wearing of a mask with the very most powerful filter, the “J” filter. Where the devil, at Auschwitz, would this crime have been committed? Even Danuta Czech, in her famous “Auschwitz Chronicle”, refrained from mentioning this form of “gassing in bed”, although she hardly lacked audacity, being the one who declared “gassed” certain convoys which were later found, in reality, to have been sent on to other camps after a quarantine at Auschwitz.
With this I hear Klarsfeld telling us yet another story in gas-chamberese. And at the very worst time for his cause, in grave distress since at least 1995 with the outright surrender of his protégé, the uproarious Jean-Claude Pressac (http://robertfaurisson.blogspot.it/2005/06/ten-years-ago-jean-claude-pressacs.html). These days his historian friends only ever evoke the gassings of Jews half-heartedly, by mere automatism and, all told, just in order to respect the good manners of a certain tradition. At 77, shouldn’t he follow their example, even if only for fear of soon ending up like his old friend Jacques Chirac? Could it be that Serge Klarsfeld’s own mental collapse began in 2010, with this outlandish invention of a thousand gassings in bed?
December 22, 2012
Serge Klarsfeld : à Auschwitz 1000 juifs
déportés de France ont été gazés …
au lit !
Avec deux ans de retard j’apprends sur Auschwitz une nouvelle qui, dès la fin de 2010, aurait dû faire les grands titres de la presse mondiale et obliger les historiens de « l’Holocauste » ou de la « Shoah » à réviser leur vulgate de l’extermination des juifs. Etrangement tous les médias ont tu la nouvelle. Auraient-ils pour une fois estimé qu’il s’agissait d’une élucubration un peu trop forte de café ?
Serge Klarsfeld nous l’assure : en septembre 1942, à Auschwitz, 1000 juifs déportés de France par « Vichy » ont été gazés … dans leur lit ! Je ne me souviens pas d’avoir autrefois noté pareille nouvelle dans les deux pavés successifs de son Vichy-Auschwitz (Fayard, 544 pages en 1983 et 415 pages en 1985). Il s’agit pour moi d’une nouveauté que je découvre dans un petit ouvrage qu’une révisionniste particulièrement sagace vient de m’offrir tout en me signalant le passage qui l’a intriguée. Intitulé Pie XII et la Shoah / Le choix du silence ?, l’opuscule est rédigé par Ph. Chenaux, S. Klarsfeld, G. Krupp, M. Viot sous la direction de Mgr Dominique Le Tourneau (Paris, Pierre Téqui éditeur, 2011, 86 pages). Il s’agit des contributions de quelques auteurs à un bref colloque sur « Pie XII et les Juifs. Son influence sur Vatican II », colloque qui s’est tenu à Paris en novembre 2010.
Evoquant une déportation de juifs roumains en 1942, S. Klarsfeld écrit pour sa part : « Vichy donne son accord. Dans la nuit, la Préfecture de Police [de Paris] sort les fiches des Juifs concernés : au matin du 24 septembre, 1500 Juifs roumains sont arrêtés ; le lendemain, 1000 sont déportés et après trente-six heures de voyage pour Auschwitz, sont gazés dans leur lit » (p. 45-46). Deux lignes plus loin, il se trouve adouber le Père Patrick Desbois, un sacré farceur s’il en fut (http://robertfaurisson.blogspot.it/2007/11/le-pere-patrick-desbois-est-un-sacre.html). Aucune source ne nous est fournie à l’appui de la véracité d’un tel miracle qui aurait défié toutes les lois de la physique et de la chimie. Aucun document n’est mentionné. Aucune référence. Aucun « témoignage ». A Auschwitz, selon la légende, on gazait les juifs au Zyklon B, un très puissant pesticide qui était en substance du gaz cyanhydrique adhérant fortement aux surfaces, les pénétrant, terriblement difficile à évacuer d’un local, d’une literie, d’objets ou de corps quelconques, explosible, capable à chaque instant de gazer l’équipe des gazeurs et interdisant à ces derniers tout effort physique lors de l’ouverture du local où s’est produit le gazage, et cela malgré le port obligatoire d’un masque au filtre le plus puissant, le filtre « J ». Où diable, dans Auschwitz, le crime se serait-il perpétré ? Dans son fameux « Calendrier des événements d’Auschwitz » même Danuta Czech s’est abstenue de mentionner cette forme de « gazage au lit » ; la dame ne manquait pourtant pas d’audace, elle qui déclarait « gazés » des convois dont on a par la suite découvert qu’en réalité, après un temps de quarantaine à Auschwitz, ils avaient été dirigés vers d’autres camps.
Je dis que S. Klarsfeld nous sert là une chambragazerie de plus. Il le fait au pire moment pour la cause qu’il défend et qui est en perdition au moins depuis 1995 avec la capitulation en rase campagne de son protégé, l’inénarrable Jean-Claude Pressac (http://robertfaurisson.blogspot.it/2005/06/il-y-dix-ans-la-capitulation-de-jean_15.html). De nos jours, ses amis historiens n’évoquent plus les gazages de juifs que du bout des lèvres, par pur automatisme et, en somme, pour respecter le bon usage d’une certaine tradition. A 77 ans, ne devrait-il pas prendre exemple sur eux, ne fût-ce que par crainte de se retrouver bientôt comme son vieux complice Jacques Chirac ? Le naufrage de Serge Klarsfeld aurait-il commencé en 2010 avec l’invention saugrenue de ces mille gazages au lit ?
21 décembre 2012
Posted by N
Labels: Auschwitz, Chirac, Danuta Czech, Dominique Le Tourneau, filtre J, G. Krupp, gazage au lit, juifs roumains, Klarsfeld, M. Viot, Patrick Desbois, Ph. Chenaux, Pressac, Zyklon B
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L’animateur de l’émission « L’Autre Monde« , sur la radio québécoise CHOQ.FM (Shock.fm pour la partie anglophone), présentée par François Marginean, affirme lors d’une émission du 11 Avril 2011, que des documents du FBI classés dans les années 40-50 puis déclassifiés en 1985 indiquent que des organisations juives aux USA (en l’occurrence, la Z.O.A, the Zionist Organisation of America) étaient au courant et avaient officiellement recensé seulement 2 millions de Juifs en Europe dans les années 30-40.
(Propos tenus par Rabbi Jamus G. Holler le 18 Novembre 1945 à la Jewish Community Center Auditorium, face à un public d’environ 1000 (mille) personnes et en présence des Agents du FBIici pour rapporter les propos tenus).
1 – tous les documents du FBI déclassifiés concernant les rapports sur les activité du ZOA (Zionist Organisation of America) sur le site du FBI (10 documents PDF en tout) :
http://vault.fbi.gov/Zionist%20Organization%20of%20America/
2 – le document précisément où est mentionné les 2 millions de Juifs en Europe est le document N°1 (PDF 1 sur 10), page 7 du PDF, paragraphe N°3 :
Voici la retranscription du document PDF (page PDF N° 7 sur document 1 sur 10) du FBI :
« Dr. Heller estimated the number of Jews in occupied Europe to be 2,000,000. He feared, however, that this number would be reduced to « a more handful » if the Nazis remained in control for another year ».
(« Le Docteur Heller a estimé le nombre de Juifs dans l’Europe occupée à 2 000 000. Il a craint néanmoins que ce nombre puisse être réduit d’une façon significative si les Nazis demeuraient en contrôle une année supplémentaire »).
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