Thl, tu ne sembles pas avoir compris grand chose du NOM... Je te dis ça sereinement et pacifiquement.
Détruire l'Homme par sa soumission volontaire au matérialisme.La dépravation est partout présente, sous différentes formes. C'est la facilité, le vice, même bénin, posé en règle absolue (libération des mœurs). "Fait ce qu'il te plait"
Combler ses désirs, consommer, agir, voir même penser sans se soucier de rien. Il faut savoir (entre parenthèse) qu'une simple pensée peut avoir des répercussions. Le monde des idées, même imperceptible, n'en reste pas moins vivant et agissant.
La société marchande, ce monde de désirs consommables n'est qu'un des aboutissements pratiques d'un matérialisme bien plus profondément ancré.
Cela touche notre être, notre perception, restreint nos choix et nous enferme dans un monde limité, puéril et sans valeur.
Tout devient un choix, tout n'est plus que l'expression d'un désir. On nous vend cela avec l'étiquette "liberté" pour mieux nous tromper. En fait de liberté ou d'émancipation, l'humanité s'enchaîne à des désirs imbéciles et aspirations pitoyables. Des choix qui n'en sont pas, des envies suggérées, dans un monde ou de toute façon, le vice est devenu vertu.
Le vice n'est pas une question de point de vue, ni de mœurs ; C'est une chose commune à tous. Le vice entraîne la dégradation de l'être, la perte de la vue. Comprendra qui pourra.
Le désire d'avoir un enfant, de changer de sexe, ou d'avorter équivaut à celui de s'acheter une bagnole, un peigne ou à celui de se masturber.
Se réaliser en tant qu'être est assimilé à l'épanouissement dans le travail, au nombre d'objets possédés, à une apparence !
Après tout, personne ne nous juge ! Nous sommes seuls, libres de nos choix, de nos pensées, éternellement jeunes et insouciants !
A C C E P T A T I O N bordel, même jésus l'a dit...
Tu cites Jésus comme tu citerai Hitler... "même lui dit-ça". Je ne suis pas franchement catholique, je n'ai d'ailleurs pas d'étiquette religieuse mais quand un athée ignare me sort ce genre de réplique... j'ai des envies de crucifixion. Pardonne cet enfièvrement passager.
Il faut savoir accepter et pardonner, ne pas juger l'autre. Il faut aussi savoir rester ferme et tourner le dos à la tentation.
Quand la maison brûle, on ne peut pas sauver ceux qui, hypnotisés, dansent devant le feu.
j'appelle ça des faf.
On sait maintenant quelles sont tes sources d'inspirations... encore un égaré !