- Le dérèglement climatique revisité –La très grande majorité des activités humaines transforment des matières solides et/ou liquides, en gaz. Si ces transformations produisent du gaz carbonique, elles génèrent, dans des proportions non négligeables de l’hydrogène (H2).
Et, c’est cet hydrogène qui explique les modifications
des phénomènes météorologiques et climatiques
et non pas le gaz carbonique !
La couche d’hydrogène augmente en modifiant les caractéristiques de notre atmosphère.
Comment est généré l’hydrogène ?
Afin d’expliquer la provenance de l’hydrogène, regardons le comportement des hydrocarbures.
Tous les hydrocarbures sont des molécules formées autour d’atomes de carbone et d’hydrogène.
Par exemples : Méthane (CH4), Ethane (C2H6), Propane (C3H8), Butane (C4H10), etc.
Prenons un petit exemple avec la combustion du méthane. Pour ce faire nous reprenons la séquence décrite dans tous les manuels de chimie :
CH4 + 2O2
→ CO2 + 2H2O
Une molécule de méthane avec 2 molécules d’oxygène nous donne une molécule de CO2 et 2 molécules d’eau.
Or, nous pourrions également écrire la séquence :
CH4 + 3O2
→ CO2 + H2O + H2 + O3
Cette fois-ci, nous obtenons une molécule d’ozone !
Cette forme d’écriture peut s’appliquer à l’ensemble des produits pétroliers, donc à la combustion dans les moteurs à explosion sans tenir compte de l’azote de l’air.
Hormis l’ozone, cette écriture fait apparaître une molécule d’hydrogène !
Nous pourrions écrire plus simplement la séquence :
CH4 + O2
→ CO2 + 2H2
Avec ce dernier exemple, nous constatons que la combustion du méthane est capable de produire encore plus d’hydrogène.
Suis-je dans l’erreur avec ces nouvelles séquences ?
Il ne faut pas avoir fait des études supérieures pour constater que dans la première séquence, le volume résultant est plus faible malgré l’augmentation de la température, donc cette réaction devrait engendrer une implosion, or seules les autres séquences font apparaître une augmentation de volume !
Expansion du volume qui semble pourtant être le principe de base du moteur à explosion ! En conséquence de quoi, j’estime qu’il n’existe pas une seule manière d’écrire la combustion du méthane, mais une multitude et le MAES permet d’en comprendre les raisons.
Cette petite démonstration simplifiée permet d’illustrer que les activités humaines génèrent en permanence une multitude de gaz, dont une part de CO2, mais toujours beaucoup d’hydrogène. Ce gaz très léger, grimpe rapidement dans l’atmosphère. La couche d’hydrogène augmente et appuie sur les autres couches, l’atmosphère devient plus dense.
La densification de l’atmosphèreLa densification de l’atmosphère signifie un plus grand nombre de molécules par unité de volume. Comme décrit dans la présentation du Modèle Atomique à Électrons Statiques (MAES), les molécules de gaz sont en contact au niveau de leurs bulles électroniques et non pas distantes comme le voudraient les conclusions du mouvement brownien. Une augmentation de la densité de l’atmosphère signifie également une augmentation de la pression atmosphérique.
La pression atmosphériqueLa pression est une force par unité de surface (plane). Pour quantifier la pression atmosphérique, nous mesurons la déformation d’une membrane ou d’une capsule dont une face perçoit cette pression et l’autre une micro-pression (vide). Connaissant l’évolution de la force en fonction de la déformation et l’aire de la surface de mesure, nous en déduisons la pression.
- Une variation de la pression atmosphérique est-elle détectable ?
Par rapport à une référence, nous mesurons aisément les fluctuations lors d’intervalles de temps plus ou moins courts. Mais en évoquant une modification de la pression atmosphérique, je parle d’une modification de la référence, celle que nous exprimons aujourd’hui à 1013,25 hPa (hectopascal).
- Est-il possible de détecter une modification de la référence ?
À la grande surprise de toutes celles et ceux qui lisent cet article, j’annonce que nous sommes incapables de mesurer une dérive de notre référence de pression atmosphérique !
En effet, la mesure de la pression atmosphérique n’est pas évidente car elle est fonction de l’altitude, de la température, de l’humidité et d’autres facteurs locaux. De ce fait, un baromètre n’est pas étalonné en fonction de la déformation de la membrane ou de la capsule, mais sur la base d’une atmosphère normalisée.
En conséquence de quoi, tous les baromètres ne déterminent pas les valeurs effectives d’une force par unité de surface, mais une valeur en relation avec la norme. Le baromètre est un instrument qui ne peut pas voir la dérive d’une référence, car celle-ci est définie comme étant invariable !
Le baromètre à tube de mercure semblerait être l’instrument, certes peu précis mais infaillible, or il n’en est rien et je reviens expliquer la raison un peu plus loin.
En conclusion la référence de la pression atmosphérique n’est pas fiable et peut se déplacer tout en affichant une valeur immuable et stable !
- Quelles sont les conséquences d’une variation de la pression atmosphérique de référence ?
Lorsque la pression augmente, le point d’ébullition de l’eau se déplace vers des températures plus élevées, tandis que le point de congélation se trouve à des températures plus faibles. Si nous sommes dans l’incapacité de chiffrer l’évolution de la référence de pression effective, nous conserverons les références de température, car elle aussi est une grandeur relative à l’environnement.
Le thermomètre restera étalonné par rapport au point de congélation qui affichera 0°C et le point d’ébullition à 100°C.
Ceci veut dire que l’échelle des valeurs de température se sera agrandie.
Après la perte d’une référence absolue de pression, nous perdons une référence absolue de température.
Toutes nos grandeurs absolues ne le sont qu’en relation avec l’environnement.Au niveau de l’échelle Kelvin, cette modification de la plage, donc de l’intervalle d’un degré Celsius, devrait modifier la valeur du zéro absolu. Mais les valeurs de température très basses ne se font plus sur la base de l’échelle Celsius, mais sur la transformation d’état de certaines substances dont nous connaissons leurs valeurs actuelles.
Cette modification de la température signifie que la quantité énergétique emmagasinée sous forme de Faisceaux thermiques est différente, pour la même valeur affichée.
Dans un baromètre à tube de mercure, la poche supérieure n’est pas vide mais remplie de vapeur de mercure. Les conditions de formation de cette vapeur sont modifiées par cette amplification de l’énergie thermique, par conséquent un tel baromètre peut afficher la même hauteur de mercure alors que la référence absolue s’est légèrement décalée vers le haut. En effet, pour illustrer ceci, si nous chauffons un tel instrument, il ne se comporte pas comme le thermomètre, mais affiche une hauteur de mercure moindre, car la tension de vapeur du mercure diminue.
Le calcul de ces dérives (pression – température) n’est pas aisé car notre planète n’est pas une sphère parfaite et de plus elle est en mouvement. Ces modifications sont certainement très faibles, mais sachant que le physicien cherche la précision d’une décimale très loin après la virgule, cette dérive de décimales assez proche de la virgule donne des pourcentages d’erreur très élevés !
En conclusion : Une densification de l’atmosphère engendre une augmentation de la pression et une modification de l’échelle thermométrique, mais nos instruments sont incapables de les voir et de les quantifier.
Les conséquences climatiques !– Pour une même vitesse de déplacement, la force du vent est plus intense.
– Les vents engendrent la houle, laquelle se transforme en vagues à l’approche des hauts fonds : Les tempêtes sont par conséquent plus violentes.
– Les cyclones et autres phénomènes météorologiques similaires profitent de ces conditions pour grandir davantage.
– La densité de vapeur d’eau dans l’atmosphère augmente : Les précipitations sont plus importantes.
– Dans le même registre, des particules fines et des gaz lourds sont plus aisément véhiculés, en accord avec le principe d’équibullage (adaptation de la taille des bulles électroniques aux interfaces). Les pluies conservent ce privilège de les nettoyer en les précipitant au sol, mais entre-temps certaines créatures utilisent cet air souillé pour respirer et d’autres en profitent après, mélangés avec l’eau qui leur assure leur subsistance.
– Le refroidissement nocturne est grandement influencé par la couverture nuageuse. Le volume pondéral de l’atmosphère est plus important, cependant la durée de la nuit est suffisante pour atteindre les mêmes dissipations thermiques : Le thermomètre continue à afficher des valeurs moyennes conformes aux valeurs saisonnières, mais en relation avec sa nouvelle échelle !
– La formation de la glace requiert un plus fort transfert « thermique » (par Rayons lumineux), malgré cela, elle est avant tout influencée par le refroidissement nocturne et la période durant laquelle les températures sont en accord. De ce fait, d’une année à l’autre, il est impossible de prédire une tendance formelle, d’autant plus que les précipitations neigeuses peuvent être plus importantes.
– Le niveau des océans ne va pas monter dans les proportions annoncées, car la fonte des glaces terrestres sera compensée par le volume d’eau contenu dans les nuages. De toute façon, si cela devait apparaître, ce sera accompagné de séismes plus fréquents car les océans ont leur rôle à jouer lors de l’expansion terrestre. Les océans retrouveront un niveau semblable ou peut-être même inférieur.
Les cycles de glaciation connus par le passé, ne sont pas liés à une modification incompréhensible et inexplicable de l’orbite terrestre, mais elles succédaient aux phases d’expansion qui ont réussi, en moins de 200 millions d’années, à faire doubler le rayon de notre planète ! Nous ne sommes donc pas dans une phase de réchauffement ou de glaciation, mais dans une période où notre atmosphère se densifie très rapidement.
Voici brièvement résumé les principaux effets liés à la production d’hydrogène due à l’activité humaine. Ces effets se constatent de plus en plus souvent et les « gaz à effet de serre » n’ont jamais réussi à les expliquer !
Le CO2 a bon dos, il est le prétexte pour nous faire avaler toutes sortes de pilules. Elles seront toutes bénéfiques pour ceux qui en tirent un avantage seulement pécuniaire.
Le nucléaire ne produit pas de gaz carbonique, mais beaucoup d’hydrogène et pas n’importe où ! Dans le circuit primaire ! Circuit qu’il faut donc dégazer de temps à autres en le relâchant dans l’atmosphère. Fukushima nous en a apporté la preuve et l’environnement des centrales n’est jamais sain malgré un circuit primaire qui se devrait être étanche ! Merci pour ces rejets !
Que peut-on faire contre cette dérive climatique ?La solution est simple : Il faut réduire la croissance, voire l’inverser !
Mais que ce soit la croissance démographique ou la croissance économique, ce terme de croissance appartient au monde des sciences humaines et là, il n’y a plus de solution !
En toute franchise, il y aurait bien des solutions, mais après les scientifiques, je ne veux pas me mettre à dos les maîtres de la finance, car ils ont encore plus de pouvoir, ils ont TOUS les pouvoirs !
Alors laissons à ces maîtres du Monde le pouvoir de détruire l’humanité ! Notre planète Terre appréciera cette autodestruction !!!
Roger Robert