Des Illuminati... à l’Internationale communiste.
Notre journaliste suédois, lors de ses recherches, a constamment recoupé l’ordre des Illuminés de Bavière. Les origines, les méthodes, la finalité, la soumission aux sciences kabbalistiques, tout plaide en faveur d’une filiation directe dans le plan de mise en oeuvre de la cité des Illuminés par le régime soviétique.
Cette Continuité prouve bien que l’Ordre des Illuminés de Bavière dérive, par la Rose+Croix templière, du serment rabbinique dit du Temple de Jérusalem, proféré en 70 après Jésus-Christ à l’occasion de la destruction de la ville. Ce serment est constitutif de la Synagogue de Satan unissant tous les successeurs de Caïphe dans une conjuration antichrétienne qui doit culminer dans l’avènement et la défaite de l’Antéchrist.
C’est bien ce que suggère indirectement notre auteur (dont nous rappellerons qu’il n’est pas croyant) lorsqu’il fait remonter l ‘Ordre des Illuminés aux cercles des Alumbrados fondés en 1492, à l’occasion de l’expulsion des Juifs de la catholique Espagne. Ces Alumbrados (illuminés) seraient des Juifs marranes (baptisés pour la circonstance mais conservant leur foi talmudique). Fidel Castro serait issu d’une famille d’Alumbrado initié, d’où ses bonnes relations avec Tatie Mitterrand, entre autres ! Adam Weishaupt (tête sage !) juif d’origine, aurait été lui-même initié à 23 ans à l’ordre ultra secret des Alumbrados et à la kabbale.., par un kabbaliste, Kolner, adonné au rite d’Osiris
Notre grand “sage” choisit donc pour son ordre le symbole de la pyramide et fixa pour date de fondation le 1er mai, correspondant au jour sacré de Yahvé (5+1=6). Selon Gœthe, Rose+Croix lui-même, le 1er mai, succédant à la nuit de Walpurgis du 30 avril (jour du suicide d’A. Hitler !) serait celui de la célébration des forces mystiques obscures !
Jüri Lina nous apprend également que c’est Amschel Mayer, du ghetto de Francfort, fondateur de la dynastie des Rothschild, qui confia au “super doué” Weishaupt le soin de réactiver l’ordre des Alumbrados.
Il nous confirme par-là le rôle et la finalité dévolus à cet ordre introduire la gnose kabbalistique et “messianiser” l’ensemble des franc-maçonneries européennes. En effet, une partie non négligeable de la Franc-Maçonnerie, coiffée par une aristocratie plutôt élitiste et frivole - pensons au cardinal de Rohan ainsi qu’à d’autres têtes poudrées et légères du même acabit - avait certainement tendance à conférer à leur loge les caractéristiques de clubs anglais. Ainsi, à la cour de Versailles, Marie-Antoinette en tête, traversait régulièrement en carrosse les bois de Versailles et Marly pour venir se faire initier dans le domaine de Monsieur de Monville, la folie de Retz. Là, passant de “l‘ombre à la lumière”, la cour vivait des heures exquises entre les concerts, les feux d’artifices, quelques tours de prestidigitation, voire de sorcellerie, certes plus ou moins inquiétants, de ce bon philanthrope aux enseignements aussi insolites que divertissants. Fini de rire ! avec Weishaupt, Amschel Mayer et consorts, la coagulation des maçonneries “élitistes” allait provoquer une fracture ouverte. En 10 ans (1775-1785) la révolution et l’épuration des loges européennes seraient accomplies. Il en serait de même des loges américaines grâce à la famille du banquier Samuel Moses Warburg. Le cercle rouge de la kabbale se referma alors sur l’Europe chrétienne. En effet, nous confirme Jüri Lina, le contrôle des maçonneries fut solennellement scellé au château de Wilhelmsbad (relire le Balsamo d’A. Dumas), château propriété de... Mayer Amschel Rothschild, le 16 juillet 1782. C’est à cette occasion que la Révolution décida la mort de Louis XVI et de Gustave de Suède. La tête de l’empereur Léopold d’Autriche fut également mise à prix. Ces trois assassinats furent exécutés. Un comité secret de la Ré-volution fut par la même occasion constitué. On y retrouve un certain nombre des futurs “vedettes” politiques de cette période, notamment Talleyrand, Mirabeau côtoyant des magiciens ou philosophes Mesmer, Cagliostro, Lavater, L.C. de St Martin etc.,. Quant aux invisibles, ils entourèrent notre Weishaupt tout au long de sa carrière, tels Moses Mendelssohn, successeur de Rômer en science de la Kabbale, parmi d'autres.
Gœthe resté probablement suspendu entre les invisibles qu’il pressentait et la Rose+Croix dans sa partie céleste, voyait approcher l’orage avec une certaine appréhension, d’autant que le caractère maçonnique de l’assassinat du poète Schiller n’avait pu lui échapper ! Voilà ce qu’il écrivit à un ami à propos de l’ordre des Illuminati : “Notre monde moral est sapé par des tunnels, des caves et des égouts , bien que chacun affecte de ne jamais faire allusion à ces réseaux souterrains. Pour ma part, comme pour tout illuminé, je comprends que de la fumée puisse jaillir parfois d’une fissure ou que d’étranges voix remontent des entrailles de la terre” !
Avant de quitter notre collège des Illuminés, rappelons les points fondamentaux de son programme, en tout domaine conforme à celui des soviets communistes.
1) Suppression de toute religion, y compris toutes communautés et doctrines qui ne pourraient servir d’outils pour l’ordre.
2) Suppression de tous sentiments de patrie et nationalité. Abolition des nations. Création d’un État Mondial Illuminé.
3) Transfert successif de tout le patrimoine privé et public entre les mains des Illuminati (tâche qui devait être confiée à une administration spécialisée chargée d’instaurer un impôt sur le revenu progressivement alourdi et des impôts sur les successions à caractère confiscatoire. Nos ENA ne devraient-ils pas ériger une statue à leur grand ancêtre visionnaire sur le sommet du bunker de Bercy ?)
Instauration d’un système de délation et d’espionnage dont les “frères insinuateurs” ont constitué l’archétype et le prototype. La symbolique de ce système était l’oeil omniscient du sommet de la pyramide.
Un code moral global, standardisation de la volonté, des souhaits et des aspirations du peuple, le tout subordonné en fait à une seule volonté : celle des illuminés.
A la fin du XVIIIe siècle, la première révolution des illuminati avait secoué toute la planète. L’action des frères redevint secrète mais, selon Jüri Lina, elle se poursuit dans le cadre du même plan jusqu’à l’explosion de la révolution d’octobre 1917.
Ainsi notre journaliste prétend que les illuminati ont oeuvré pour que les U.S.A. s’inspirent du système bancaire des pays européens et confient l’émission et la circulation de leur monnaie à des organismes privés afin d’endetter l’État à des taux d’intérêt non maîtrisables ! Lincoln aurait refusé de confier les rênes de l’économie américaine aux Rothschild. Il aurait donc été assassiné, une fois la victoire sur les sudistes acquise, par un Illuminati juif - J.W. Booth, manipulé lui-même par un agent du clan Rothschild, J.P. Benjamin. A la même date, Albert Pike achevait l’infiltration de toutes les loges américaines et implantait son organisation secrète à Charleston, aujourd’hui toujours, capitale initiatique des États-Unis, et y introduisait les rites sataniques. Le général assassin pendant la guerre de sécession, massacreur de sudistes et de noirs, fondateur et infiltrateur du Ku-Klux-Klan, le général Pike trône aujourd’hui aux U.S.A. où les “frères” lui ont érigé une magnifique statue au centre de Washington. La plaque insérée dans la statue présente le “brave” général comme un “soldat” et un “poète”
Inutile de préciser qu’aujourd’hui les Illuminati successeurs des marranes Alumbrados, contrôlent depuis le Bnaï Brith et l’alliance Israélite Universelle au “Lions” et au “Rotary Club”, (le Rotary fut fondé par P. Harris, membre du Bnaï Brith, à Chicago en 1905) en passant par les groupes internationaux les plus discrets.
Avant d’en venir à la deuxième révolution des Illuminati, celle de 1917, entièrement placée sous le signe du Scorpion, comme nous allons le voir, attachons-nous à ses inspirateurs ésotériques et ses préparateurs exotériques. Là encore, quelques surprises nous attendent.
Karl Marx, pour commencer, lequel se tourna vers Satan dès l’adolescence. Karl Marx avait un guide secret qui l’enseignait, Moïse Hess, un des inspirateurs de Théodore Herzl. C’est lui qui lui présenta F. Engels, lequel avait aussi professé le catholicisme dans sa jeunesse. F. Engels perdit aussi la foi sous l’influence de Moïse Hess, par ailleurs auteur d’un “catéchisme rouge pour le peuple allemand”. Le second guide secret de K. Marx fut Levi Baruch, talmudiste qui lui révéla que la Ré-volution devait viser à concentrer le capital et la propriété entre les mains des kabbalistes par le truchement du prolétariat. Le peuple slave lui semblait le meilleur “égout ethnique” pour une telle expérience. L’affiliation de Marx et Engels à l’ordre des Illuminati est liée à cette double conviction. Marx fut missionné pour écrire le manifeste du Parti Communiste qui n’était que le nouveau nom de code du programme des Illuminés.
Un convent maçonnique fut organisé à Strasbourg pour lancer les Révolutions européennes de 1848. Parmi les délégués on trouve Alphonse Lamartine, illuminé, futur ministre des affaires étrangères, Crémieux, Léon Gambetta, Simon et Louis Blanc délégués pour la France.
Le grand jour révolutionnaire était fixé au 18 mars dans les pays nordiques parce que cette date était la date commémorative de l’exécution par le bûcher du grand maître des chevaliers du Temple, Jacques de Molay. (C’est également un 18 mars que fut proclamée la Commune de Paris !). Voilà comment Lord Disraëli jugea cette période de grand trouble.
“Lorsque les sociétés secrètes surprirent l’Europe en février 1848, elles furent elles-mêmes surprises par cette occasion qui s’ouvrait. Elles furent d’autant moins à même de saisir cette opportunité que sans les juifs, qui de longue date étaient malheureusement reliés à ces associations profanes, si stupides que soient les gouvernements, cette explosion gratuite n'aurait pas réussi à ravager l’Europe “.
Le souci du Mythe et du symbole était si poussé chez les illuminés qu’ils choisirent le 1er mai pour la fête des travailleurs, jour de la révolution permanente succédant à la Nuit de Walpurgis. Pour “sacraliser” cette date, une émeute fut organisée à Chicago en 1886, le 1er mai, 110e anniversaire de la fondation des Illuminati. “Malheureusement”, la police ne réagit que le 3 mai lorsqu’un groupe de “travailleurs” attaqua quelques briseurs de grève. Il y eut quatre morts. “Martyrs”... censés être disparus depuis 3 jours ! L’instigateur de l’opération, l’illuminé millionnaire Samuel Gourperg, président des Trade-Unions arrangea l’affaire.
Venons-en à Lénine (alias Vladimir Ulyanov) dont, pour des raisons astrologiques, on ne connaîtrait pas encore aujourd’hui la véritable date de naissance Jüri Lina nous affirme que les recherches discrètes continueraient sur ce sujet en 1998, ce qui en dit long sur le contexte actuel dans lequel vit la Russie. Il parlait l’allemand, langue qu’il héritait de sa famille son vocabulaire russe était limité et sa prononciation défectueuse. Sa connaissance de la littérature russe était plus que déficiente.
La mythologie entourant Lénine est la mieux défendue et préservée auprès de l’opinion russe elle-même. Il importe pour la Ré-volution de faire de lui un visionnaire dépassant l’horizon et la dialectique marxiste, probablement afin de faciliter le transfert du flambeau de la gnose à un prince messianique “rouge-brun” quelconque... Toujours est-il que son affiliation à la Maçonnerie - notamment l’ordre des Illuminati et celui du Bnaï Brith -fut précoce. Lénine avait pour mission de faire du prolétariat, pour le compte des loges, l’outil de la Révolution permanente. Tous les grands révolutionnaires russes furent, du reste, des agents de la maçonnerie Lénine, Trotsky (Bronstein), Zinoviev (Radomyslsky), Kamenev (Rosenfeld), Radek (Sobelshon), Litvinov (Wallakh), Sverdlov (Solo-mon), Martov (Zederbaum) et Maxim Gorky (Peshkov) entre autres.
Les premières loges furent fondées en Russie en 1730. Catherine I interdit les organisations maçonniques en 1792. Alexandre I, lui-même tenté par l’occultisme, les réintroduit en 1801 mais, conscient du danger, les interdit à nouveau en 1822. Cette décision lui coûta la vie. Elle conduisit la franc-maçonnerie russe à se durcir et à se transformer en un mouvement terroriste clandestin d’une part, et à se tourner vers les thèmes cosmopolites et judéo-kabbalistiques d’autre part. Ce sont les leaders de ces loges terroristes, notamment Léon Deutsch et Alexandre Parvus, qui inspirèrent Lénine et Trotsky, secrètement d’abord puis moins discrètement à partir de la révolution de 1905.
Venons en maintenant à la plus gigantesque imposture d’ordre magique (cosmogonique et astrologique) et méta-politique de la première moitié du XXe siècle, la pseudo prise de pouvoir par les soviets, le 8 décembre 1917.
En route vers l’âge d’or
Inutile de présenter les grands acteurs du soi-disant coup d’Etat du 8 novembre 1917, notamment Lénine et Trotsky. Ces deux grands amis de l’homme et du prolétariat ont toujours veillé jalousement à leur santé et à leur indépendance financière, comme il sied à de dignes représentants du peuple soucieux à juste titre de leur pérennité et de leur valeur personnelles. Lénine, au cours de sa carrière révolutionnaire, affectionnait les stations thermales, notamment suisses, et leurs grands hôtels de luxe. C’est ainsi que, en marge des orgies et des actions terroristes qui l’occupaient ainsi que sa bande de malfrats, il avait fini par prendre goût à l’eau minérale ! Lors de son séjour en prison à Saint-Pétersbourg en 1895 et 1896, il avait coutume de faire venir ses repas d’un restaurant voisin et de se procurer, auprès d’une pharmacie locale, son eau minérale préférée ! Sa fortune personnelle était encore modeste ; quelques pauvres millions de francs suisses... de l’époque qu’il arrondit rapidement en la portant à quelques centaines de millions en 1918 !
La cruauté de ce médiocre paranoïaque était, on le sait, indépassable. Son déséquilibre interne était propice à la génération de phénomènes insolites variés, à la limite parfois du paranormal. Ainsi, lorsqu’il mourut le 21janvier 1924, sa température s’éleva brutalement à ... 42,30, le thermomètre allait brutalement éclater Les archives soviétiques ont livré quelques éléments restés encore secrets sur les particularités et les dysfonctionnements physiologiques du personnage. Ainsi par exemple, pendant quelques décennies, les élèves de philo français ont appris que Lénine avait un cerveau extraordinairement volumineux qui aurait expliqué les capacités hors du commun du personnage ! On établissait une comparaison avec un autre “génie”, Anatole France, dont le cerveau aurait été au contraire anormalement très peu volumineux. Mensonge et propagande bolcheviques En réalité, un des hémisphères du cerveau de Lénine était en dysfonctionnement depuis sa naissance. L’autre hémisphère était comprimé par une couche épaisse de calcium. Les spécialistes russes, sidérés, n’avaient, paraît-il, jamais rencontré un tel cas ! Comment un tel monstre avait pu survivre avec un hémisphère gauche ridé, abîmé, retreci... attaqué par la syphilis ? Un comble le jeune frère de Lénine était également un taré !
Commissaire politique en Crimée dans les années 20, il devint un criminel infâme.
Mais le plus illuminé de la Synagogue de Satan fut certainement Leiba Bronstein, alias Trotski. Originaire d’Odessa dont 40 % de la population était juive, il fit ses études secondaires dans un des nombreux lycées juifs où les cours étaient dispensés en hébreu. Il étudia le Talmud avant d’être initié aux sciences secrètes à Vienne par un certain Victor Adler. Mais son véritable gourou, celui qui fit de lui un monstre, fut Israel Helphand. Sataniste, milliardaire, trafiquant d’armes et de valeurs, il se faisait appeler Alexandre “Parvus” (Alexandre le petit... tout un programme !). Il propulsa Trotski au sommet des Illuminatis. Parvus était en relation avec le banquier Jacob Schiff, président de la banque Kahn et Geb, favori des frères Rothschild, qui assura la logistique... et un début de fortune conséquente à Leiba Bronstein. C’est Trotski qui fit du pentagramme l’emblème de l’Armée Rouge. On sait que la Kabbale du Temple de Jérusalem avait emprunté ce symbole de magie noire aux sorciers de Chaldée ! Trotski voulait faire de la planète un état mondial judaïsé, une démocratie universelle sous obédience juive. Très simplificateur de nature, il considérait que le monde était un Far-West destiné à être placé sous contrôle de cette nouvelle Mafia. Il était devenu si “doué” en Art Royal qu’il pût accéder à la loge ultra-secrète et “Select”, The Schriner Lodge, sorte de Graal réservée aux 32° degrés et aux “Supérieurs Inconnus”. On pense qu’il y côtoya d’éminents “happy fews”, tels F.D. Roosevelt, Kerensky, Bela Kum etc...
Ironie de l’histoire ! C’est Trotski, influencé par Parvus, qui fit opter pour la Russie comme premier test du communisme. Son compère Lénine aurait préféré... la Suisse et ses villes thermales... à moins que le charme de Genève et des magasins Davidoff... aient orienté son choix préférentiellement !
Mais quittons ces affaires de famille.., ou de tribu.., et revenons aux années 1900. Alexandre Parvus joua donc un rôle déterminant dans le financement de la flotte de guerre japonaise et l’étranglement économique de la Russie, ce qui conduisit à la défaite de la marine russe en 1905 et aux émeutes qui s’ensuivirent, notamment à Odessa où le Bnaï Brith joua un rôle actif.
Dernière édition par stg45 le 31/3/2015, 23:43, édité 1 fois