Merci Ratman ! Du lourd, il est vrai !!
Depuis hier, deux sujets en lien avec cette thématique (le sujet sur la FM avec les vidéos de Serge de Beketch postées par Paralleye :
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t6070p15-qu-est-ce-que-la-franc-maconnerie#63543 et l'excellent sujet d'Ironique sur l'histoire juive de Israël SHAHAK :
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t6765-histoire-juive-religion-juive-le-poids-de-trois-millenaires-disrael-shahak#63534sans parler de la nouvelle prise de position de Soral sur le rapport entre judaïsme et sionisme !! (Voir
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t4278p150-actualite-alain-soral#63556 )
Pour ma part, j'ai trouvé ça :
René-Louis Berclaz - Monsieur Edouard Drumont (auteur de La France juive), votre café, avec ou sans sucre ?
La liberté, dans nos démocraties parlementaires, permet de choisir « avec » ou « sans », mais ce choix se limite, en réalité, à boire son café avec ou sans sucre. Certes, le choix avec ou sans Juifs serait plus vital en tant qu’acte de légitime défense, mais il s’agit-là d’un choix qui impliquerait de perpétrer un crime contre l’humanité, selon les Droits de l’homme et le jugement du Tribunal de Nuremberg, ce qui, évidemment, n’est pas une option possible en démocratie. En démocratie, il faut donc juivre ou mourir. Peu importe, pour ceux qui profitent de la rente de situation « avec », que le jugement de Nuremberg soit totalement irrecevable pour des raisons de faits et de droit et que les Droits de l’homme soient la mise en œuvre d’une recette cent pour cent casher qui sent le pilpoul à plein nez : il suffit de décréter que le jugement de Nuremberg est un pilier de la démocratie, au même titre que les « immortels principes » de la Révolution française, et on aura tout compris de l’identité de ceux à qui la démocratie profite.
La France a vécu pendant quatre cents ans « sans » : autrement dit, de 1394 à 1789, la France, qui n’était plus juive, va vivre son âge d’or. Tout ce qui mérite d’être vu, lu ou entendu dans ce pays, à quelques exceptions près, remonte à cette époque.
Mais cette renaissance ne concerne pas que la France. Il existe quatre langues dites « universelles » : l’espagnol, l’anglais et le français et, dans une moindre mesure, le portugais. Ces nations, pendant une période de leur histoire et pour les mêmes motifs que la France, ont choisi de vivre « sans ». Il s’ensuivit pour ces pays une extraordinaire expansion jusqu’au-delà des mers, accompagnée d’une implantation durable de leur culture dans le monde entier. Par contre, l’Allemagne et l’Italie qui, à la même époque, vivaient « avec », étaient encore fragmentées en de multiples Etats et autres principautés, selon le principe de diviser pour régner. C’est pourquoi ces deux grandes nations européennes n’ont pu s’unifier que tardivement et n’ont pas pu se développer outre-mer pendant la même période que la France, l’Angleterre, l’Espagne ou le Portugal, raison pour laquelle l’allemand et l’italien ne sont pas devenues des langues universelles. Au cours du XXe siècle, l’Allemagne et l’Italie essaieront de rattraper le train, de vivre « sans », mais la locomotive de l’Histoire était déjà piratée depuis longtemps. Pour que personne ne puisse se méprendre sur la nature irréversible du « vivre avec » obligatoire partout, l’enseignement de l’Histoire, avant 1789, a été expurgé des programmes scolaires : il ne faudrait surtout pas que les chères têtes blondes puissent se livrer à de coupables comparaisons…
René-Louis BERCLAZ
L’Europe évidemment a traversé à la fin du XIIIe siècle et au commencement du XIVe siècle, une période de crise analogue à celle que nous traversons en ce moment, où la Haute Banque, la Franc-maçonnerie, la Révolution cosmopolite, toutes trois aux mains des Juifs, concourent au même but par des moyens différents. Elle s’est heurtée à cette prétention du Juif d’enlever à la fois aux chrétiens et l’idée religieuse qui aide à se passer d’argent et l’argent d’autant plus nécessaire qu’on ne croit qu’à une vie toute terrestre.
La soudaineté des décisions dont Philippe le Bel fit preuve en arrêtant partout les Templiers sauva la chrétienté du sémitisme, comme la victoire de Charles Martel à Poitiers l’avait sauvée du même fléau six siècles auparavant, comme un coup vigoureux et simultané frappé sur les Juifs par tous les souverains d’Europe la sauverait aujourd’hui.
Les Juifs, tour à tour chassés et rappelés, apparurent encore quelque temps parmi nous. Sous Philippe de Valois, on essaya d’utiliser leur génie fiscal en en faisant des percepteurs d’impôt. Jean le Bon en arrivant au trône paraît avoir voulu une décisive épreuve et il la tenta dans des conditions de loyauté très frappantes. On assura aux Juifs un séjour de vingt ans et le fils du roi Jean, le comte de Poitiers, fut constitué gardien de leurs privilèges. Charles V et Charles VI confirmèrent ces dispositions.
Avec leur incroyable obstination dans le mal, les Juifs continuèrent à poursuivre leurs intrigues multiples. Ils recommencèrent à ruiner le pays par l’usure, ils se procurèrent des hosties pour les profaner, ils égorgèrent des enfants le Vendredi-Saint.
Naturellement, le peuple moins patient qu’à présent hurla, les prédicateurs tonnèrent et les rois durent adopter de nouveau des mesures préservatrices.
Charles VI prit enfin, le 17 septembre 1394, un arrêt d’expulsion définitif, il bannit les Juifs de ses Etats à perpétuité et leur défendit d’y demeurer sous peine de vie.
Cette expulsion, comme le fait remarquer M. Hallez dans son livre Des Juifs en France, qui est pourtant favorable aux israélites, diffère absolument des précédentes par son caractère comme par ses résultats : « Elle n’eut pas pour mobile l’amour du lucre et l’esprit de pillage et ce qui le prouve c’est que toutes les créances des Juifs durent être payées. Il semble qu’on ait voulu exécuter fidèlement les ordonnances qui, depuis le roi Jean, les avaient autorisés à séjourner en France ; car il faut bien remarquer que les délais fixés par ces lois étaient presque expirés quand le bannissement fut ordonné. »
Pour permettre aux Juifs de liquider leurs affaires, on prolongea même leur séjour de deux années après lesquelles ils durent décidément quitter la France pour toujours.
Cette date de 1394 est une des dates les plus importantes de notre histoire. Les rois ont tour à tour essayé de la sévérité et de la douceur ; il est désormais prouvé que le Juif ne peut s’acclimater en France. Les races les plus diverses, Celtes, Gaulois, Gallo-Romains, Francs, Normands, se sont fondues dans cet ensemble harmonieux qui est la nation française, ils ont assoupli leurs angles, ils ont apporté leurs qualités, ils ont toléré naturellement leurs défauts. Seul le Juif n’a pu entrer dans cet amalgame. La France lui dit : « Mon ami, nous ne pouvons nous entendre, séparons-nous et bonne chance ! »
Il y a là intolérance sans doute, mais non pas intolérance dans le sens religieux du terme, puisque les plus redoutables adversaires du Juif ont été des princes comme Philipe le Bel, plus politique assurément que mystique ; il y a intolérance dans le sens que la science prête à ce terme lorsqu’elle dit : « Le sujet ne peut tolérer telle substance. » La France ne peut tolérer le Juif, elle le rend ; elle ne le recevra que bien longtemps après enveloppé dans toute une littérature philosophico-humanitaire et en sera très malade si elle n’en meurt pas.
Grâce à l’élimination de ce venin, la France, qui est encore plongée dans les horreurs de la guerre de Cent Ans, va atteindre avec rapidité un degré de prospérité incroyable ; elle va devenir la grande nation européenne, régner par les armes, par les lettres, par les arts, par la courtoisie exquise, par le goût, par le charme de sa nature bienveillante et sociable, par son originalité de bonne compagnie qui est si accommodante pour les idées des autres.
Elle sera l’arbitre, le modèle, l’envie du monde entier ; elle comptera parmi ses fils des généraux glorieux, des ministres illustres, des écrivains incomparables ; elle aura des triomphes et des revers, mais l’honneur sera toujours sauf ; elle ne sera pas exempte de vices mais de ces vices qui n’abaissent point, et quand elle courra à la bataille ce ne sera ni pour les bons Mexicains, ni pour les bons Tunisiens. Chez elle, tout le monde sera sinon riche, du moins heureux, car le Juif ne sera pas là pour exercer sur le travail d’autrui son parasitisme usuraire. En un mot, à partir de 1394, époque à laquelle elle chasse le Juif, la France montera toujours. A partir de 1789, époque à laquelle elle les reprend, elle descendra sans cesse…
Edouard Drumont, La France juive, Edition Charlemagne, Beyrouth, 1994, pages 133-135
Le livre au format PDF (2 tomes)
Drumont Edouard - La France juive - Tome I.pdf
Drumont Edouard - La France juive - Tome II.pdf
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