Bonjour tout le monde,
Je pense qu'il serait bon de rappeler/ préciser certains points :
Tout d'abord, un brin de ménage s'impose : posez-vous les bonnes questions ;
Qu'est-ce que le NOM ? On ne parle pas ici d'une vague idée abstraite. Il ne s'agit pas d'un fantasme, ni d'une allégorie !
La particularité de ce forum (et d'autres) est, à la base, d'avoir réuni des personnes qui ont réussis à cibler la menace ou l'ennemi... c'est au choix.
Il y' a donc un socle commun sur lequel on peut normalement s'entendre.
Par socle, j'entends une base assez conséquente qui englobe des concepts, des vérités, des
acquis. Par socle, j'entends PARADIGME.
Quel-est ce paradigme ?D'abord, il faut préciser que nous venons d'horizons différents avec des parcours et des personnalités variées. La recherche de la vérité étant à priori notre seul dénominateur commun. A force de recherches, de lectures, d'expériences, de déductions, d'intuitions et sans doute d'une dose de paranoïa, ce paradigme s'est imposé comme une vérité inaliénable. Non pas qu'il ne puisse pas être confronté aux faits, bien au contraire, c'est d'ailleurs sa seul raison d'être. Mais comme ont dit : "On nous la fait pas"
Ce paradigme dans lequel nous sommes exclue toute subversion idéologique. Autrement dit, le gâteau ne peut-être comestible qu'en respectant la recette.
Comprenez par là que tout apport identifié comme nocif pour la recette sera automatiquement rejeté. (cf. la réaction de MomoX). C'est maladroit et un chouïa sectaire, mais il en va de la cohérence du gâteau.
A quoi reconnait-on une idée nocive ?Nous sommes dans un monde contrôlé matériellement mais aussi idéologiquement. Les rôles sont distribués à l'avance ainsi que les scriptes ; Le bolchévisme versus le tsarisme, le communisme versus le capitalisme, le nazisme versus tout le monde... Les noms changent, pas les commanditaires, un peu comme une mauvaise série TV qu'on appellerait Histoire.
L'histoire étant toujours la même : Créer le désordre pour instaurer un nouvel Ordre. "Ordo ab Chaos"
Le désordre profitant autant aux scénaristes que le nouvel ordre.
A l'intérieur de ces grandes boucles, quand on zoom suffisamment, on en trouve de plus petites ; en vrac : Laïcité, libéralisme, hédonisme, humanisme, eugénisme, scientisme... etc
On reconnait ces protubérances cancéreuses à leurs tendances à placer l'homme au centre de toute chose, à le diviniser.
Et même quand l'idée semble au premier abord juste comme pour l'égalité des sexes ou la laïcité, elle cache une volonté putréfiée de contrôle et d'asservissement mentale. Le temps nous donne de toute façon raison comme pour 68.
Bref.
Si vous n'êtes pas dans le paradigme, difficile de dialoguer comme le montre ces sept pages grotesques.
J'adopterai donc de mon côté la posture pacifique et stoïque de
Nourdine le Sage.